mercredi 16 décembre 2009

FEFANS BIPOLAIRES : DE GRÂCE, NE PASSEZ PAS VOS FRUSTRATIONS SUR VOS COMPAGNES

Incroyable mais vrai. J'ai entendu des fefans le jurer dur comme fer ces dernières années. Je l'ai encore entendu de la bouche des officiels du torCHon le 4 décembre lors des célébrations entourant le centenaire des CHieux. Quoi donc ? Et bien rien de moins que le CanaCHien de Mouryial est la plus grande dynastie du sport dans le monde entier. Et vlan dans le dentier ! Aussi bien affirmer, sans rire, que Guy Lafleur est encore premier scoreur de la NHL et que Jean Béliveau est encore dominant sur la patinoire... Sur quelle planète ils vivent ces gens-là ? Ils ne sont pas encore au courant que la métropauvre est devenue la Sibérie du hockey et que plus aucun joueur qui se respecte ne veut jouer pour les CHaudrons ?!

Ni pour les fefans bipolaires non plus, d'ailleurs. Il y a tout de même des partisans réalistes qui savent que le club des Molson est en décadence depuis plus de quinze ans, et qu'il n'est pas près de se sortir du trou. Ceux-là sont pas mal désillusionnés mais trouvent des trucs pour compenser leur déception lorsque les défaites de leurs pioCHeux s'annoncent assez tôt, et en haute définition (HD), les soirs de match, en écoutant les âneries de Pierrot le perdu, Benoît la langue brune, Popositif Demers et grand galop Bouchard à RBS (Réseau Bull Shit). Des trucs comme placer stratégiquement leurs bouteilles de bière en bas du frigo (photo) et demander gentiment à leur blonde, légèrement vêtue, d'aller leur chercher une bonne froide...

Les fêlés du CHaudron eux, continuent à croire à la dynastie du torCHon, comme Hitler croyait en un Reich allemand qui allait durer mille ans... Comme l'ancien dictateur qui pensait jusqu'à la fin, que des armes secrètes allaient lui faire gagner la guerre, les fefans sclérosés ont une confiance absolue en Bob Gainey, le messie qui va les conduire à la terre promise. Mais lorsque les Glorieux sont exclus des séries ou en sont balayés subito presto, comme le printemps dernier, les bipolaires intégristes de la religion de la CHiasse sont frustrés au max et se défoulent sur leur compagnes.

Une étude statistique révèle que lorsque le torCHon participe aux séries éliminatoires, le taux de violence conjugale à Montréal (région la plus violente au Québec après la Côte Nord) se situe entre 325 et 350 infractions par 100 000 habitants. Quand le CHiendent manque la grande danse de fin de saison, ce taux grimpe entre 400 et 420 cas rapportés à la police. Lors de la période 1999 à 2002 (l'âge d'or pour les Anti-Habs, quand Peanut Houle était DG) la violence conjugale à Mourial a atteint son paroxysme parce que les CHieux ont raté les séries durant trois saisons consécutives.

Bien que je me réjouisse des éliminations hâtives et des séries de défaites du torCHon, j'ai toujours une pensée un peu triste pour ces femmes qui payent de leur sang la bipolarité des fefans malades mentaux qui se déragent sur elles parce qu'elles ont le malheur d'être à leurs côtés, à la mauvaise place, au mauvais moment... Pitié pour les blondes de ces colons piqués de la rage du CH.


mercredi 2 décembre 2009

LENDEMAIN DE PARTY AU CENTRE POUBELL...

Décembre premier, au Centre Bell, on a fêté, les Alouettes et leur Coupe Grey.

Dans l'édifice surchauffé, on avait aussi amené, la Coupe Stanley, pour le centenaire du torCHon à célébrer.

Pourquoi pas en profiter, pour acclamer Lucian Bute, champion de boxe incontesté.

Tant qu'à s'énerver, autant donner, à Scary Price le Molson trophée.

Mais les CHieux ont oublié, qu'ils avaient un match à disputer. Trois à zéro buts comptés, les Leafs ont gagné.

Après tant d'athlètes ovationnés, ça s'est terminé sous les huées.

Sur la glace les préposés, des dentiers de fans ont ramassés...

Les Molson leur bière ont ravalée, de travers leur club ont récupéré...

vendredi 20 novembre 2009

METROPOLIT LE MINI-CAPITAINE EN RUBAN GOMMÉ




Selon Jacques Martin, l'infortuné entraîneur du CanaCHien de Mouryial, le club des Molson passera vraisemblablement l'année sans capitaine. À défaut d'en trouver un qui aurait la stature, le leadership et une ceinture flêchée pour mériter le "C".

Au camp d'entraînement, les joueurs avaient désigné le diminutif Glen Metropolit (en farce et en confectionnant un "C" avec du ruban gommé, voir photo du haut) pour occuper le poste de général de la marmaille. Mais comme le démontrent les deux autres photos, pour honorer l'ancienne tradition glorieuse de valeureux capitaines tels Jean Béliveau et Vincent Damphousse, il manque au moins un pied de grandeur, plusieurs tours du CHapeau, beaucoup de classe ou d'élégance et pas mal de pure laine quéquébécoise à Metro.

Si on se rappelle le chiâlage qui a suivi la nomination du dernier capitaine, Saku Koivu, ça prendrait un Québécois de souCHe pour lui succéder. Impossible. Verriez-vous ça Guimauve le pas bon, Lapierre la poule mouillée, ou Georges Laraque le raqué de partout, couvrir l'équipe de ridicule en portant le "C". Inimaginable. Bob Gainey devait plutôt voir Vincent LeCavalier faire la job, presqu'assuré qu'il était de l'amener à FefanLand l'hiver passé. Il aurait été parfait dans ce rôle. Mais c'était un château en Espagne. Un tour de magie raté. Un rêve qui a tourné au cauchemar.

Faut croire que le torCHon des années 2000 est condamné à un p'tit pain, à de petits résultats et à un p'tit capitaine Crounch dans le genre de Brian Gionta. Elles sont bien finies les années de "grandeur"...quoi qu'en pensent les fefans.

vendredi 13 novembre 2009

CH COMME DANS CHAUDRONS : RIRE DU CH EN IMAGES !

Ce n'est pas facile d'écrire de bons textes. La tâche peut s'avérer laborieuse, voire fastidieuse, et on parvient rarement à exprimer la beauté ou toute la complexité de ce que l'on pense ou de ce que l'on ressent. Comme disait le classique Boileau : "vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage". Mais de nos jours, la vie quotidienne nous bouscule, nous sommes sollicités de toutes parts et tout va tellement vite que les scribouilleurs comme moi n'avons pas le temps requis pour fignoler nos écrits. Les meilleurs écrivains sont souvent ceux qui utilisent un vocabulaire riche, qui trouvent des images bien choisies, lumineuses, pour illustrer leurs pensées ou leurs sentiments.

On dit parfois qu'une image vaut mille mots. C'est vrai que pour se faire mieux comprendre on recourt souvent à des comparaisons ou à des exemples qui éclairent nos interlocuteurs ou nos lecteurs. C'est le but de ce blogue : rire du Canadien de Montréal, cette équipe de hockey à la réputation surfaite, en mettant à notre service des images, des photographies, des caricatures qui en diront davantage que les quelques mots qui les accompagneront. Dire plus en disant mieux. L'idéal de tout écrivain !

Au hasard de mes recherches, je vois fréquemment de ces images drôles ou révélatrices qui me font penser aux situations dans lesquelles se débat le Canadien de Montréal. En tombant sur la première image (ci-haut), j'ai tout de suite fait le lien avec le CH. Une équipe trop "légère" (trop de petits joueurs ou manque de "poids" en talent !), trop "bête" pour la mission dont on l'a chargée ! Ce qui en dit long sur la stupidité ou le manque de prévoyance de ses dirigeants ! Résultats : ça patine dans le vide en ne faisant pas le poids, et ça ne va pas loin !

Ce sont des sourires imagés, de ce genre, que je partagerai avec vous en m'amusant sur ce blogue. J'espère que vous y prendrez plaisir !