dimanche 27 novembre 2011

UNE DÉFAITE AMÈRE MARQUÉE PAR UN COUP VICIEUX DE PACIORETTY QUI POURRAIT HYPOTHÉQUER LA SAISON DU CANACHIEN...


Advenant une longue suspension de Max Pacioretty, (ce dont je doute...) pour son coup de coude vicieux à l'endroit de Kristopher Letang hier soir (voir vidéo ci-dessous), la saison des CHaudrons de Mourial pourrait être pas mal hypothéquée après une défaite crève-coeur de 4 à 3 contre Pittsburgh...  Un seul trio du torCHon fonctionne présentement, et Pacioretty en fait partie (avec Cole et Desharnais).  Cependant, si le joueur fautif des CHieux devait s'en tirer avec deux ou trois parties de punition (on le saura demain, après sa rencontre avec le comité de discipline de la NHL) le Caca ne fera que perdre des matchs qu'il a coutume de perdre sur la côte ouest américaine.  Sur le but gagnant des Penguins en prolongation, Letang est venu tourner le fer dans la plaie de ses adversaires en faisant d'abord perdre la rondelle à Price, avant de la loger dans le but derrière lui.  Scary avait le gant au-dessus du disque, mais il a négligé de le "geler" comme il faut.  Hal Gill (-3 en plus de 4 revirements commis) a eu beau se plaindre avec véhémence à l'arbitre en lui reprochant d'avoir trop tardé à siffler l'arrêt de jeu, il n'en reste pas moins que le défenseur géant de la CHiasse n'a pas fait son job puisqu'il n'a pas protégé son gardien contre deux joueurs des Pens qui ont bel et bien vu "la noire" libre sous le gant de Scary.  En brisant son bâton sur sa cage et en le lançant ensuite en direction des officiels, le cerbère bipolaire des Cannes à CHien mériterait d'être au moins mis à l'amende pour sa conduite anti-sportive.  Price perd souvent son calme et le contrôle de ses nerfs cette saison, contrairement à l'an passé.  Pas bon signe pour son club de broches à foin qui se fie entièrement sur lui afin de gagner suffisamment de parties pour s'en tirer à bon compte et réussir à faire les séries par la peau des dents.  Mais la magie de Scary n'opère plus depuis le début de la présente campagne.  Le premier à en être frustré est Price lui-même.  Il a beau se débattre comme un diable dans l'eau bénite, les résultats ne sont pas à la hauteur des attentes des fefans.  Pas de miracles possibles quand tes coéquipiers te laissent trop fréquemment tomber...




Avec un jeu de puissance (?) qui n'a pas rapporté un seul but au cours des dix-huit dernières opportunités, la pression devient insupportable pour Price, qui n'a jamais de "coussin" ou d'avance assez confortable à protéger.  Hier, le trio de Desharnais a obtenu 15 des 27 tirs au but de la CHnoutte.  Plekanec (-3), Gionta (-4 et constamment dans les moins ces derniers temps) et Cammalleri n'ont encore rien foutu de bon.  Les Penguins ont lancé pas moins de 65 fois au filet défendu par Price.  Ce dernier en a stoppés 38, ses coéquipiers 23.  Il y a des limites à ce que peut faire Scary.  Il réussit à éviter des massacres au CH mais il donne aussi de mauvais buts sur une base régulière.  Chose qu'il ne faisait pratiquement pas l'an dernier.  Les Pens sont les meneurs au classement et ils comptent plusieurs joueurs-étoiles, mais le système défensif des Canailliens leur donne souvent du mal, en particulier dans la métropauvre.  Néanmoins, ils sont parvenus à infliger au CHicolore une 9e défaite en 13 matchs à domicile.  Pour les joueurs d'une petite équipe reconnue pour être une gang de "homers", c'est loin d'être brillant !  Après le même nombre de matchs la saison dernière (24), les nuls de Jacques "big ears" Martin avaient accumulé sept points de plus (31 soit une différence de 23%) au classement.  Ils avaient marqué autant de buts (60 contre 61 cette année) mais ils en avaient alloués seulement 47, soit 13 de moins (22%) que cette saison (60).  La force relative du club de 2010-11 (système défensif et son gardien) est devenue sa faiblesse en 2011-12.  Les Diaz, Emelin et Weber (-3 hier) ne sont pas assez efficaces tandis que Subban, Spacek et Gorges sont sur-utilisés par rapport à ce qu'ils peuvent faire.  Le retour au jeu de Markov aidera l'attaque à cinq, mais on sait qu'il est très mou dans sa zone et autour de son filet.  On va continuer de s'ennuyer de Hamrlik, un des trois joueurs qui, on s'en rappelle, avait été impliqués dans le scandale des escortes et des bouteilles de vodka fournis par un membre de la pègre moronréalaise.  De ces trois lurons, et de leurs semblables ayant trempé dans des histoires d'agressions sexuelles et de beuveries, il ne reste que Andrei Kostitsyn avec l'équipe.  Ce dernier a bien tout tenté pour se faire sortir de la métropauvre, mais...peine perdue !  Cependant, ses voeux pourraient être exaucés si ça continue à mal aller pour la Sainte Guenille et que Pierre Gauthier appuie sur le bouton de panique (pas son genre toutefois, mais le président du club, Geoff Molson, pourrait inciter son DG à bouger et à se servir de AK46 comme monnaie d'échange pour obtenir un joueur pas nécessairement meilleur mais au moins plus travaillant)...




Bref, le moment de vérité approche pour les CHieux.  Si des clubs comme Floride et Toronto continuent à surprendre agréablement, le temps et les victoires vont se mettre à manquer aux CHaudrons, dans cette première moitié de saison au cours de laquelle ils font normalement provisions de points au classement pour sauver leur peau de justesse en seconde demie quand les matchs se corsent et deviennent bien plus durs à gagner.  Fait rare qu'il faut souligner à grands traits de crayon, les fefans ont enfin fait preuve de classe en accueillant Sidney Crosby de belle façon à son entrée sur la patinoire du Centre PouBell.  Une fois n'est pas coutume...  En attendant le verdict dans le cas de Pacioretty, dont la gravité du geste commis contre Letang ne fait aucun doute, les fefans vont mal dormir et vont trembler dans leur froc...  À moins qu'ils croient que le retour du messie, (Markov, pas Jésus Christ) va régler tous les problèmes de la CHiasse.  Pacioretty a fait des excuses à Letang quand celui-ci est revenu au jeu au début de la période de prolongation.  Et comme l'a si bien écrit Stendhal dans son célèbre roman "Le Rouge et le Noir" : «Qui s'excuse s'accuse».  Si seulement Shanahan, le préfet de discipline de la LNH, connaissait cette parole remplie de vérité et de sagesse...  Il pourrait aussi revoir les images de Pacioretty, captées par les caméras de télévision, nous montrant l'attaquant du CH assis au banc des joueurs, le visage contrit et coupable, laissant échapper un "fuck" en réalisant l'ampleur de la bêtise qu'il vient de commettre en frappant illégalement Letang à la tête...                  

vendredi 25 novembre 2011

PHILADELPHIE : VILLE DE PRÉDILECTION POUR LES ANTI-HABS !

Lorsque les CHaudrons de la métropauvre moronréalaise jouent à Philadelphie, c'est toujours un délice pour les Anti-Habs. Pourquoi ? Parce que, comme nous, les partisans des Flyers détestent le CanaCHien, et ses fefans, qui osent se rendre dans la ville de l'amour fraternel pour encourager leur club de deux de pique et faire rire d'eux. Le couillon à P.K. Subban a toujours droit à un concert de huées de la part des fidèles fans de l'"Orange Crush". Et, immanquablement, les spectateurs qui assistent au match en profitent pour reprendre dérisoirement le chant ridicule des fefans (le "olé, olé, olé, olé" ou le "ohé, ohé, ohé, ohé"...ce n'est pas clair) quand les carottes sont cuites pour les CHieux. En cette semaine chargée pour la CHnoutte, et avec en perspective un rendez-vous effrayant demain contre Sidney Crosby et les Penguins, les troupiers de Dumbo Martin désiraient sans doute essayer d'endormir les Flyers pour ne pas que ceux-ci les maganent trop. D'autant plus que la partie débutait à 15 heures, une heure où les joueurs ont l'habitude de faire un p'tit somme pour refaire leur réserve d'énergie en vue des matchs qui ont lieu ordinairement en soirée. Oh... les Flyers ont été relativement tranquille en première période, mais la tactique du "lit tricolore" ou de la prise du sommeil "à la Canadienne" a échoué à partir du second engagement. En l'espace de 6 minutes et 48 secondes, Claude Giroux et ses coéquipiers enfilaient trois buts sans réplique, ne faisant ainsi qu'une bouchée des Canailliens.




Ayant développé une forte rivalité avec le torCHon en les éliminant à quelques reprises en séries Stanley au cours des dernières années, les Flyers connaissent bien la stratégie de leurs ennemis et ils évitent ainsi de tomber dans le panneau de l'endormitoire. Trop éveillée et exigeante, leur foule partisane ne les laisserait pas succomber au piège CHicolore, de toutes façons. Histoire de leur enlever toute idée de se battre et d'espérer voler une victoire, les Flyers reçoivent toujours les peureux de la CHarogne à coups de bâton, de coude, de genou, agrémentés ici et là par le classique coup de la "corde à linge". Habituellement, les CHieux ne demandent pas leur change ou leur reste et ils abdiquent assez rapidement. En l'absence de blessés d'importance (Pronger, van Riemsdyk, Jagr), Giroux a pris les choses en mains. Et quelles mains ! Aucun des porte-couleurs de la flanelle fripée (les Habs ont encore une fois "impressionné" en ratant le filet à pas moins de dix-sept reprises dans cette rencontre) n'aurait pu enfiler l'aiguille comme il l'a fait sur ses deux buts marqués d'angles restreints contre un Scary Price médusé. Littéralement abandonné pendant tout le match par sa gang de coéquipiers lâches, Scary n'avait pas le coeur à rire à la fin du deuxième vingt, après avoir été bombardé par les Flyers. Frustré et donnant encore une autre preuve de son manque de maturité, il a donné un violent coup de bâton sur la rampe avant de filer vers le vestiaire pour calmer cette autre crise de bipolarité.



Le plus inquiétant pour la CHiasse c'est que son anémique jeu de puissance a recommencé à ressembler à un pétard mouillé comme ce fut le cas dans leur séquence de matchs désastreux, en début de calendrier. Le pourcentage de réussite du CH en supériorité numérique a chuté à un maigre 13,3 %, bon (on devrait dire "mauvais") pour le 26e rang de la LNH. Autre statistique intéressante qui démontre que les Flyers voulaient plus la rondelle que leurs piètres adversaires : ils ont enlevé la noire aux CHieux pas moins de quatorze fois (contre cinq fois seulement pour le CHiendent). Tant qu'à faire, la bande à Molson aurait dû poster les deux points aux Flyers au lieu de se rendre en Pennsylvanie pour être des objets de moquerie de la part des gens de Philadelphie. Il n'y a pas longtemps, à le voir remplir les filets adverses, les fefans se prenaient à rêver à un trophée Hart pour Max "le boutonneux" Pacioretty. Mais le nouveau "rocket Richard" ne carbure plus très fort. Il y a de l'eau dans le gaz. La grande échalotte portant le numéro 67 ne produit plus que des flatulences depuis plusieurs matchs... Et le chat a mangé la langue des fefans à ce sujet...

jeudi 24 novembre 2011

LES CANADINDES DE MOURIAL "GRACIÉES" PAR LES HURRICANES !


Contrairement à cette dinde que le président Obama a graciée hier, à l'occasion de la fête de l'Action de Grâce américaine, les CanaDindes de MortYial étaient conscientes de la chance exceptionnelle qu'elles ont eu de quitter le domicile des Hurricanes de la Caroline avec la vie sauve et une victoire (4-3 en tirs de barrage). En effet, dans leurs commentaires d'après match, le mot "CHanceux" revenait souvent sur les lèvres de plusieurs CHieux, y compris sur celles de leur entraîneur Jacques "oreilles jumbo" Martin. En fait, s'il faut trouver une similitude entre la CHiasse et la dinde (qui a des airs de Pacioretty, vous trouvez pas ?!) sauvée de la mort par le président des USA, mentionnons que les deux ont quitté les lieux discrètement, comme des voleurs... On sait que le Cacanadien ne réussit à garder la tête hors de l'eau qu'en vertu de son système défensif qui emprisonne souvent ses adversaires dans un carcan. Or, lorsqu'il connaît des ratés en essayant d'installer cette fameuse trappe; lorsque le jeu devient plus ouvert et qu'avec son attaque anémique il tente de rivaliser avec le club opposé, le torCHon gagne très rarement. Le talent collectif très réduit du CHicolore l'empêche de se distinguer dans un festival offensif où les chances de marquer sont nombreuses. Et quand Scary Price gaffe, comme en début de match hier, ou/et qu'il est mal supporté pas sa brigade défensive, le pire peut arriver pour la CHarogne. Ce qui aurait d'ailleurs dû se produire en Caroline en cette veille du Thanksgiving. Après l'avoir échappé belle, les nombreux yankees, qui composent presque le tiers de la formation des Americans of MountReal, avaient de quoi être reconnaissants. Ils pouvaient remercier le ciel ou leur bonne étoile. Ils devaient avoir le coeur à la fête, après s'en être sortis à si bon compte...



Les protégés de Dumbo Martin ont eu le meilleur au pointage dans ce véritable concert des poteaux frappés. Ding Dang Dong ! On se serait cru la veille de Noël tellement on entendait carillonner les tiges de métal des buts derrière les deux gardiens qui s'affrontaient. Les Canes ont eu l'opportunité de liquider la CHiotte alors qu'ils menaient 2-0 et qu'ils bénéficiaient d'un jeu de puissance en deuxième période. Au lieu d'achever les CHaudrons, ils les ont laissés bourdonner dans leur territoire jusqu'à ce que le prolifique Lars Eller s'empare d'un retour de lancer pour marquer un but. Quand vous laissez un nul comme Eller marquer, vous êtes dans le trouble. Le momentum a alors changé de camp et les Canailliens sont parvenus à égaliser le pointage. Ce qui fait une grande différence chez les Hurricanes cette année, c'est le jeu atroce de leur capitaine Eric Staal. Après avoir blesser gravement (commotion) son frère Marc en le plaquant rudement en début de campagne dans un match contre les Rangers de New York, le leader des Canes n'a jamais plus été le même. Impuissant en attaque et terriblement mauvais en défensive. Il contribue plus aux défaites de son club qu'à leurs peu nombreuses victoires. L'absence de son ex-complice Erik Cole, qui joue maintenant pour les Canadindes, n'a pas aidé non plus. Lorsqu'il est dans sa forme habituelle, Eric Staal ne manque pas son coup comme il l'a fait en touchant le poteau en prolongation. Le vrai Eric Staal l'aurait mise dedans, normalement... En tir de barrage, Price n'a pas été plus brillant que d'habitude. Un lancer a touché la partie supérieure du manche de son bâton, un autre a rebondi sur le poteau (photo), et il a bloqué le 3e alors qu'il était rendu dans le fond de sa cage... CHanceux dites-vous ?! Gionta (- 3) a été le seul marqueur en fusillade. Il faut mentionner que le diminutif capitaine format de poche des Habitants avait de quoi se faire pardonner, ayant été sur la patinoire pour les trois buts des Canes...



Oui, comme la dinde qui a filé en douce de la Maison Blanche (photo), le Cacad'CHien a dû se faufiler délicatement en dehors du RBC Center de Raleigh, après sa victoire merdeuse, hier soir. Mike Cammalleri, un des buteurs des CHaudrons dans ce match, a continuellement recours à cette tactique qui consiste à se faufiler hypocritement dans les zones peu achalandées de la patinoire, pendant que les autres regardent ailleurs. À chaque saison, Cammy est un des joueurs de la LNH qui effectue le moins de mises en échec. Un habitué du Centre BéBell racontait l'autre jour que le 13 des Habs met toute son attention à éviter tout contact physique avec ses adversaires. C'est presque comique tellement c'est flagrant, du haut des gradins ! Je n'ai pas de difficulté à le croire. Cammalleri : un vrai de vrai CHieux, dans toute la force de l'expression ! Pas fort pour contrer les joueurs ennemis quand ceux-ci contre-attaquent... Si les Hurricanes n'ont pas su accepter le cadeau de la victoire que lui offrait le CHicolore sur un plateau d'argent, il devrait en être autrement du côté des Flyers de Philadelphie demain, si la bande à Gionta joue de la même façon. Dans cet affrontement, ça serait le fun si les CHieux se faisaient sonner comme les poteaux des buts hier à Raleigh... En terminant, le président de la Nordiques Nation, Jérome Landry, de CHOI-FM, a l'intention d'organiser un gros party dans deux ans pour célébrer les 20 ans sans Coupe Stanley des Cannes à CHien de Moronréal. Inutile de dire que je vais fêter ça en grand moi aussi, avec la gang de Québec ! À bas le Caca !

mardi 22 novembre 2011

LE TRICOLORE BLANCHI 1-0 PAR THOMAS ET LES BRUINS ET...ENFIN UNE BAGARRE DANS UN MATCH DU CH À DOMICILE !

Un peu trop facile pour les fefans, et les scribouilleurs à la solde de la CHiasse, de se contenter de dire que Tim Thomas, le gardien des Bruins, a volé le match au Cacanadien hier soir au Centre JingleBell. Certes, le gagnant du dernier Conn Smythe, le printemps passé, était en grande forme. Lorsqu'il couvre bien ses angles, qu'il bouche le bas de son filet à la perfection (c'est suffisant contre les CHieux puisqu'avec leurs mains pleines de pouces ils sont incapables de soulever la rondelle dans les coins supérieurs du but), qu'il ne donne pas de retours de lancers et qu'il gèle souvent la rondelle, il est très difficile à déjouer et à vaincre. Mais ses coéquipiers, à l'exception de la poule pas de tête à Pouliot (un ex-CHieux), ont également mis la main à la pâte pour l'aider à blanchir les CHaudrons 1-0. J'ai vu beaucoup de 2e et de 3e efforts de la part des Bostonnais. Des gars qui se sont sacrifiés en plongeant pour bloquer des tirs ou des passes. Qui se sont donnés aux maximum pour dégager leur zone in extremis, en allongeant les bras ou en se lançant la tête la première pour rejoindre le disque ou un adversaire menaçant. Un gars comme Chara, harponnant la rondelle pour corriger un revirement aux mains de Cammalleri qui s'en allait seul au but. Des gars déterminés à ne pas perdre une troisième fois d'affilée contre le torCHon. Des gars fiers et solidaires. Des CHAMPIONS ! Qui ont gagné un neuvième match de suite et qui sont maintenant au premier rang de leur division (avec le Caca dans la cave, bien à leur place, bien entendu !). Les fefans qui se réjouissaient des déboires des "B's", en début de saison, doivent maintenant se mordre les lèvres et les doigts ! Eux qui ont vu leurs vauriens perdre encore au Centre PouBell, là où le CHicolore montre une fiche peu reluisante de quatre victoires en douze parties, cette saison... Pas forts... Qu'est-ce que les fefans feraient si, par miracle, leurs canards boiteux alignaient neuf victoires consécutives comme les Bruins viennent de le faire ? Ça sentirait la Coupe à plein nez ! La SAQ battrait des records de vente (ou de vol, c'est selon...). Ils doivent oublier ce rêve insensé... Et faire comme les Blue Jackets de Columbus : se contenter de séries de...deux gains en ligne...



Ahhh... Il y a bien le "floater" à Benoit Pouliot qui a tenté de se faire pardonner ses vieux péchés par les fefans en écopant de six minutes de pénalité, dont une double-mineure pour avoir atteint Pété Subban au visage avec son bâton. Évidemment, pour mettre les choses au pire et appâter les arbitres, Pitié Subban a fait gicler le sang de ses grosses babines en les mordant et en les pressant comme un citron. À défaut d'être autre chose qu'un guichet automatique à erreurs et à revirements, Piqué des vers Subban devient de plus en plus un excellent acteur. Mais hier, les Cannes à CHiens auraient eu beau passer tout le match en avantage numérique : le résultat de la joute n'aurait pas changé. Avec des francs tireurs comme Lars Eller (un but), Darche (un but), Desharnais (trois buts), Diaz (un but), Subban (un but), Gomez (zéro but) et même le supposé compteur de 40 buts Mike Cammalleri (un but à ses dix dernières parties), il ne faut pas s'attendre à ce que les Habitants remplissent le filet de leurs adversaires. Mais, de toutes façons, les fefans ne jurent plus que par Erik Cole. Un peu pas mal avec raison puisqu'il est le seul joueur de la CHiasse qui a assez de couilles pour couper au filet lorsqu'il transporte la rondelle en direction du but ennemi. Mais, à peu près au milieu du match, après avoir reçu un coup d'épaule à l'entrée du territoire des Bruins, Cole a été ébranlé et il a pris le chemin du banc de son équipe. Ce qui nous a rappelé qu'il traîne un lourd bilan médical depuis les débuts de sa carrière en Caroline... Bientôt un futur client pour l'infirmerie déjà passablement occupée du côté des CHieux ? Autant ils adorent leur nouveau héros, autant les fefans ne veulent plus voir Scott Gomez. Pourtant ils ne devraient pas fustiger le numéro 11 de leurs Glorieux. Il était aussi pourri quand il jouait à New York et que le DG des Rangers, Glen Sather, cherchait à s'en débarrasser par tous les moyens. Non, ce n'est pas la faute du "gomer". Il affiche un large sourire et la providence est généreuse pour lui. Celui qui est à blâmer ce n'est pas non plus l'entraîneur Jacques "oreilles en portes de grange" Martin qui l'envoie sur la patinoire trop souvent au goût des fefans. Le vrai coupable c'est Bob Gainey, le seul DG (sur les 30 de la NHL) qui a osé réclamer Gomez et son faramineux contrat dans un échange qui est devenu un fiasco (un autre de plus !) pour la Sainte Guenille...



Le clou de la soirée poche des Canailliens hier soir, a été la bagarre qui a éclaté dans les rouges du Centre BéBell, dans la dernière minute de la rencontre. Enfin une bataille ! Mais pas sur la patinoire... Semble-t-il que les gens dans la foule regardaient ça et ne suivaient même plus l'action (?) sur la glace, même si le Caca avait retiré son gardien et attaquait (?) à six joueurs contre quatre (Peverley était en punition pour les Bruins)... On peut voir la grande classe des partisans du CH sur la vidéo ci-dessous. Un passage à tabac d'un spectateur (fan des Bruins ?) couché au sol et que trois ou quatre braves citoyens moronréalaids bûchent à coups de pieds ou de poings sous les encouragements de la foule. Édifiant ! On peut aussi apercevoir Mario Dumont qui se sauve de ce carnage, ayant sans doute peur d'être pris au milieu d'une autre émeute de fefans ! Émeute qui se produira un jour ou l'autre, j'en suis convaincu ! Pour mercredi en Caroline, souhaitons que les Hurricanes se feront pardonner leur contre-performance ignoble de la semaine dernière à Mourial. Ils viennent de battre les Flyers. Pourquoi pas humilier le torCHon ?!

dimanche 20 novembre 2011

LES JOUEURS DU CLUB VISITEUR ENCORE INVISIBLES AU CENTRE POUBELL...


J'aurais demandé un remboursement du prix de mes billets si j'avais assisté aux deux derniers matchs locaux des Cannes à CHiens au Centre PouBell. J'aurais éprouvé le même sentiment de frustration que le spectateur qui paye une forte somme pour voir un combat de boxe et qui n'en a pas pour son argent puisqu'un des deux belligérants refuse de se battre. Il se contente de se protéger le mieux possible des coups de son adversaire sans répliquer pour la peine. Oui, pour créer un intérêt minimal dans un match de hockey, ça prend au moins deux adversaires. S'il y en a un qui ne se présente pas ou qui joue les hommes invisibles, c'est un peu comme si vous assistiez à une pratique. Après les Hurricanes de la Caroline, plus tôt cette semaine, ce fut au tour des Rangers de New York de se déguiser en courants d'air au cours de leur escale de "touristes" à Moronréal. Après 48 minutes de jeu, les "vacanciers" du Big Apple n'avaient que dix maigres lancers au but. Ils n'avaient pas souvent la rondelle et ils refusaient de batailler pour s'en emparer ou la garder. Ils semblaient patiner dans la mélasse. Amorphes, sans vie, les Blue Shirts ne voulaient décidément pas payer le prix pour de se libérer du carcan défensif des CHieux. Invisibles, les super vedettes Gaborik et Richards se sont laissés entraîner dans le courant d'indifférence qui a coulé rapidement le bateau des Rangers face un club miné par l'absence de plusieurs éléments. Bref, les New Yorkais n'ont pas fait leur part pour qu'on ait droit à un affrontement digne de ce nom. Leur gardien Martin Biron a mal paru sur une couple de buts, mais que les Rangers aient perdu 2-0 au lieu de 4-0 n'aurait pas changé grand chose. Ils ont encaissé une cinquième défaite consécutive dans la caverne d'Ali Molson et ses quarante voleurs.

Récemment, je crois que c'est Joe Thornton, des Sharks de San Jose, qui qualifiait les Rangers de club de molassons. Le gros joueur de centre, qui a aussi porté les couleurs des Bruins de Boston, ne s'est sûrement pas fait d'amis à New York, mais sa déclaration n'est pas fausse. Avec des équipes souvent impressionnantes sur papier, garnies de gros noms surpayés, les Blue Shirts se sont faits une réputation de dégonflés, et de perdants accusés de ne pas livrer la marchandise. On est loin de la glorieuse époque du milieu des années '90 où les coéquipiers de Mark Messier étaient prêts à saigner du nez et à défoncer des murs pour suivre leur capitaine à la guerre. Cette détermination et ce courage leur avaient d'ailleurs valu une Coupe Stanley... Tout un meneur d'hommes, tout un leader légendaire que ce Messier. Il ne s'en fait plus comme lui. À côté de cette force de la nature, le p'tit capitaine du torCHon, Brian Gionta, fait figure d'avorton ou de larve infecte...



Que se passe-t-il pour que Scary Price n'ait qu'à se mettre sur le "cruise control" pour enregistrer deux blanchissages coup sur coup au Centre BêêêBell ? L'organisation du Caca envoie-t-elle de l'air chloroformé dans le vestiaire des visiteurs pour les endormir durant la partie ? Après le Sandgate d'il y a quelques années (sable répandu sur le chemin de la chambre des joueurs des Flyers pour briser leurs patins, durant les séries éliminatoires) ça ne serait même pas surprenant ! Jamais je ne croirai que les Bruins de Boston vont se laisser endormir de cette façon demain soir. Ils ont déjà deux défaites à se faire pardonner contre la CHiasse cette saison. Bien entendu, les fefans vont estimer que leurs favoris ont joué deux matchs parfaits à la maison, la semaine passée. Ça serait bien que les champions de la Coupe Stanley les ramènent sur terre et...sur le cul !

jeudi 17 novembre 2011

LES CANES SE LAISSENT LESSIVER 4-0 PAR LE CH : PRICE EN CHAISE BERÇANTE ET UN TOUR DU CHAPEAU POUR P.K....



Un mot sur le blanchissage de 4-0 subit par les Hurricanes de la Caroline contre les CHieux hier soir.  Les Canes auraient probablement perdu contre un club junior tellement ils jouent mal ces temps-ci (3-8-2 à leurs 13 derniers matchs).  Comme ce fut le cas pour leurs deux victoires contre les Bruins, plus tôt cette saison, la CHiasse profite des léthargies des autres clubs pour amasser quelques victoires.  Scary Price aurait pu garder les buts assis dans une chaise berçante.  Notons quand même le tour du chapeau de Pédé Subban : un but, une connerie (pour célébrer son but) et un plongeon (diving) pour faire prendre une pénalité à un joueur adverse.  Comme le prouve la photo ci-dessus, Piquet Subban a appris à la bonne école, celle du capitaine Crochet Hal Gill.  On le voit accrocher Skinner tout en vérifiant si les officiels regardent en sa direction.  Quel hypocrite !  À l'image de son employeur, le Cacanaillien de Mourial...

mardi 15 novembre 2011

LA VÉRITÉ CHOQUE : PRICE FAIT UNE CRISE DE NERFS APRÈS AVOIR ENCORE ÉTÉ POURRI EN FUSILLADE...


La vérité choque, c'est bien connu.  Carey Price était choqué après avoir été encore pourri en fusillade contre les Sabres de Buffalo.  Ceux-ci ont profité de son incompétence en tirs de barrage pour gagner 3-2.  Lorsqu'il doit faire face à une échappée, Scary perd tous ses moyens.  Seul avec le joueur ennemi, il ne peut alors compter sur ses coéquipiers (Hal Gill, en particulier, qui est son gardien adjoint et qui se couche toujours devant le filet) pour le secourir, ennuyer ou retenir les adversaires, et bloquer les lancers à sa place.  Il ne peut compter que sur lui-même et son supposé grand talent.  On voit ce que ça donne : des buts à profusion.  Scary a aussi entrepris de se prendre pour Martin Brodeur et de faire des dégagements en se plaçant hors de son but.  Ça fait quelques fois qu'il vient bien près de donner le disque à un joueur opposé, qui n'aurait alors qu'à lancer dans un filet désert.  Ça arrivera sûrement.  Et Scary aura le même air fou que lorsqu'on le déjoue comme un enfant en fusillade.  Il n'a pas fini d'en briser des bâtons pour montrer sa frustration et son manque de talent...




L'autre pseudo-vedettes du torCHon, "Pis qu'yé pas tanné de manquer le but" Subban, a encore été un artisan de la défaite des siens avec un beau revirement qui a conduit au but égalisateur de Derek Roy.  Picouille a décoché pas moins de sept tirs au but.  Un seul a atteint le gardien.  Aussitôt que les Sabres ont commencé à frapper les CHieux, le vent a changé de bord.  En troisième période, lorsqu'ils ont mis de la pression sur la brigade défensive inexpérimentée de la CHiasse, ils ont pris le contrôle de la partie.  C'eut été enrageant si la punition à Vanek en prolongation, après que les fefans aient influencé le jugement des arbitres en criant après eux, avait donné la victoire aux CHaudrons.  Avec le trois pommes à Spacek encore blessé à une épaule, le Caca aura une défensive en lambeaux, avec plein de composantes branlantes importées de Hamilton ou du niveau de la Ligue Américaine (Webber, Emelin, Diaz, et autres sous-fifres).  On s'excite beaucoup en prévoyant le retour de Markov pour bientôt.  Avant que cet infirme retrouve son synchronisme, il aura le temps de se blesser à nouveau...




Poches au max, faibles en attaque, les Cannes à CHiens sont condamnés à jouer des matchs dont le pointage est toujours serré.  Ce qui signifie beaucoup de prolongation et de fusillades.  Avec un Price incapable d'arrêter un ballon de plage en pareilles situations, on risque de le voir frapper souvent des courants d'air dans ses tentatives pour bloquer des tirs quand il est seul à seul avec les tireurs ennemis.  Le pauvre Scary s'est encore fait rentrer dedans pas les joueurs adverses au cours de cet affrontement.  Une bonne fois, sa crise bipolaire il l'a fera contre un de ces "missiles" lancés contre lui.  Frappant un adversaire à la tête avec son gant ou son bâton, il sera alors suspendu pour plusieurs matchs.  Qu'est-ce qu'on va se marrer ! 

dimanche 13 novembre 2011

VICTOIRE ACCIDENTELLE DU CACANADIEN GRÂCE À UN PETIT BOUT DE PATIN D'UN SCHTROUMF...


On ne les voit pas souvent. Heureusement. On pourrait d'ailleurs s'en passer. Leur jeu collectif ressemble comme deux gouttes d'eau à celui pratiqué par les CHieux de Mourial. C'est d'un ennui mortel. De l'anti-hockey d'automates. Du "dump and chase" semblable à un chien qui court après sa queue. Les seules fois qu'on les remarque vraiment, c'est lorsqu'ils enfilent leurs uniformes jaune moutarde. Hier, ils jouaient un millième match dans ce style de régime spartiate. Pas de quoi se sustenter quand on est un amateur de bon hockey. Caca et Predators : même platitude. Nulles en offensive (en plus, David Legwand, le centre no 1 des Preds ne jouait pas car il est blessé), les deux clubs ont un mal fou à tromper la vigilance des gardiens adverses. Manque de talent et d'imagination. Deux entraîneurs, Martin et Trotz, aussi ennuyants et endormants l'un que l'autre. Avec des alignements et un système éteignoir à leur image. On aurait fait un sondage avant la partie et plus de la moitié des répondants auraient prédit un score final de 2-1 pour un ou l'autre des deux opposants.



Normalement, comme l'an dernier, l'excellent gardien de Nashville, Pekka Rinne, aurait dû blanchir le torCHon. Il aura fallu que le bout d'un patin du schtroumf David Desharnais (photo) fasse accidentellement pénétrer la rondelle dans le filet de Rinne pour qu'il en soit autrement. Trotz a imputé la léthargie de sa troupe au fait qu'elle était revenue jeudi matin d'Anaheim au terme d'un périple de cinq parties à l'étranger. Bof ! Moi je n'ai pas vu une grande différence avec les autres fois où je les ai vu jouer... C'est toujours le même jeu du chat et de la souris dans lequel on s'efforce d'être plus souvent le chat que la souris... Du jeu défensif à outrance... Au moins, contrairement aux Cannes à CHiens, les Predators ont quelques joueurs vedettes dignes de ce nom. Pas des vedettes d'opérette inventées ou fabriquées par des journaliCHeux comme ceux de Mourial. En Suter, Weber et Rinne, les Preds ont un trio défensif solide qui peut les maintenir à un niveau respectable à défaut d'être excitant ou spectaculaire.



Pitié Subban a encore feint une blessure pour que les arbitres sévissent contre Nashville, mais ce fut peine perdue. Chez les "zèbres", on commence à connaître ses facéties. Peu de lancers dangereux ou de chances réelles de marquer d'un bord comme de l'autre. Un autre des mille premiers matchs des Predators qui ne passera pas à l'histoire. Au moins, contrairement aux Coyotes de Phoenix, l'équipe de Trotz peut compter sur de bons partisans...qui savent se satisfaire de peu... Étant donnée leur ineptie, les vauriens de Martin sont bénis de revenir dans la métropauvre avec quatre points en poche. Mais les clubs qui leur font la lutte pour les huit premières places dans l'Est ont presque tous gagné eux aussi au cours des derniers jours. Et la moyenne de ,500 des CHieux n'est évidemment pas suffisante pour leur permettre d'obtenir un laisser-passer pour les séries éliminatoires. Qu'ils continuent d'en gagner deux ou trois pour en perdre ensuite autant, ça ne sert pas du tout leur cause même si ça excite quand même les fefans. La CHiasse c'est comme la cigale dans la fable de Lafontaine : lorsque la bise sera venue (les matchs moins faciles après la période des fêtes) elle se trouvera bien dépourvue pour avoir chanté tout l'automne sans avoir fait assez de provisions (points au classement) pour l'hiver et les temps durs...

vendredi 11 novembre 2011

AU LIEU DE MONTRER LES DENTS LES COYOTES ONT TROP BIEN ACCUEILLI LES CANAILLIENS À PHOENIX.


Les affrontements sportifs dépassent souvent le simple rapport de force entre les belligérants en présence. Parfois plus que le talent, l'état psychologique des joueurs d'une équipe peut influencer énormément le déroulement d'un match. Peu habitués à connaître du succès, comme c'est le cas en ce début de saison, le gardien de buts Mike Smith et ses coéquipiers des Coyotes de Phoenix ont peut-être pris pour acquis que la partie d'hier soir serait facile contre des Canailliens de Mourial, pas forts d'avance et décimés en plus par les blessures (Gomez, Markov, Cammalleri, Kostitsyn, Campoli). En l'absence de leur premier centre, Daymond Langkow, (hors de l'alignement pour cause de mortalité dans sa famille), les Coyotes n'ont pas fourni un niveau d'effort acceptable et suffisant pour bafouer les CHaudrons comme ils auraient dû le faire. Leur entraîneur Dave Tippitt a d'ailleurs souligné ce manque d'ardeur au travail pour expliquer la défaite des siens (3-2 en prolongation). Raffi Torres, l'auteur du deuxième but des Yotes, en a rajouté en faisant remarquer que son club n'a pas démontré assez d'esprit de compétition ou de combativité face à leurs opposants d'hier. De plus, a-t-il noté, l'équipe locale n'a pas dominé "physiquement" les CHieux, comme cela s'imposait face à des adversaires renommés pour être peureux, surtout après avoir pris les devants 1-0 dans la rencontre. En résumé, les Coyotes n'étaient pas assez affamés et ils ont été trop complaisants ou gentils à l'égard de leurs visiteurs. Un peu comme la charmante cowgirl Olga Kurylenko photographiée ci-dessus près du panneau routier souhaitant la bienvenue aux visiteurs en Arizona. Si ça peut vous intéressez, je viens d'écrire un article au sujet des cowgirls sur mon site BELLES À CROQUER (http://bellesacroquer.blogspot.com). Un captivant diaporama accompagne le texte. C'est à voir !



Les Coyotes ont une fiche désolante contre la CHiasse au cours de leurs treize derniers matchs (0-11-2). Ils n'ont pas gagné contre ce club poche depuis décembre 1998. Stupéfiant et inexplicable ! Si jamais les Coyotes déménageaient à Québec, faudrait que ça change ! Il faut aussi comprendre qu'hier soir, craignant le pire, comme c'est souvent le cas en pareille situation de détresse, le Caca a joué avec l'énergie du désespoir. Ce qui m'a déplu surtout du côté de Phoenix c'est leur mollesse dans leur zone. Sur le but de Gionta qui nivelait le pointage 1 à 1, le défenseur Boyd Gordon dormait. Il s'est bêtement fait subtiliser le disque derrière le filet de Smith et ce dernier n'a pas semblé plus éveillé que son coéquipier pour empêcher le capitaine de poche du CH de le déjouer sur un "wrap-around". Normalement, dans la LNH, vous ne devriez pas marquer sur ce genre de jeu. Par ailleurs, décidément, la Sainte Guenille a le bon Dieu de son bord. En première période, Tomas Plekanec ressemblait à un paraplégique, en grimaçant de douleur, en semblant paralysé et en mettant une éternité à se relever, après avoir été frappé près de la bande. En revenant au jeu au début du deuxième vingt, il semblait pourtant au sommet de sa forme ! Un miracle du Frère André ! Et Josh Gorges, qui compte un but par année, a bien choisi son moment pour toucher la cible en sur-temps ! Misère... Scary Price n'a pas eu à se surpasser pour inscrire cette victoire à sa fiche. L'offensive des Coyotes manquait d'autorité, de conviction et de mordant. On s'attend à plus de détermination de la part d'un club qui joue à la maison. Il est vrai qu'il y avait un méchant paquet de mongols, vêtus du torCHon et coiffés de la calotte du CHicolore, qui assistaient au match. Ils encourageait leurs minus en criant et en gesticulant comme des demeurés, pendant que les fans de Phoenix restaient de glace et regrettaient d'avoir profité de billets gratuits ou à rabais. Quand mettra-t-on fin à cette mascarade et à cette grosse joke que constitue l'acharnement d'implanter un club de hockey dans le désert de l'Arizona ? Le manque d'intérêt pour le hockey à Phoenix est aussi profond que le Grand Canyon... Mais qui sait ? Hier soir, les Coyotes ont peut-être été intimidés par cette bande de spectateurs CHicolores, menaçant de perdre leurs dentiers en vociférant comme des bêtes dont la queue se serait prise dans des pièges à ours...



Il faut tout de même donner à César ce qui appartient à César. Les CHieux sont les maîtres de l'auto-promotion et des faux-semblants. Après avoir encensé Lars Eller (auteur de l'impressionnant total de "un" but depuis le 8 mars 2011) qui par son jeu magnifique, digne de Wayne Gretzky, a fait oublier Halak, (le joueur pour qui il a été échangé l'an dernier), les joueurs et les membres de l'état-major de la CHarogne se sont donnés le mot pour louanger Scott Gomez, (un autre échec retentissant qui enrage les fefans depuis longtemps) cette semaine. Oui, oui, Scott Gomez, ce marqueur prolifique dont le tir foudroyant rappelle celui de Brett Hull. Gomez serait extraordinaire dans le vestiaire. Il n'arrêterait pas de dispenser ses précieux conseils, surtout auprès des plus jeunes porte-couleurs de la CHiasse. Il partagerait avec eux son secret pour gagner la Coupe Stanley (LOL). Un maître suprême ! Ni plus ni moins qu'un dieu ce Gomez. En passant, parlant de Coupe Stanley, j'ai reçu un message dans mon compte YouTube concernant mon montage audio-visuel "Tout petit, tout petit, le Cacanadien" -"small team = small results"- (que vous pouvez voir sur YouTube et sur mon site L'ANTI-HABS ILLIMITÉ). Mécontent de mon diaporama, un rappeur anglophone moronréalaid m'invitait à visionner une de ses productions, composée à la gloire de son équipe de hockey chérie. Malheureusement, les images de la vidéo en question étaient floues et de mauvaise qualité. Ça se comprend, dans son clip le gars a reproduit des images qui datent des dernières conquêtes de la Coupe par le torCHon. C'était il y a très, très, très longtemps... Tellement longtemps, que les moins de trente ans ne peuvent s'en rappeler et que les plus vieux en gardent un souvenir embrouillé... "Chante-là ta chanson", pauvre mec ! L'époque glorieuse des dynasties du CH, c'est de l'histoire ancienne ! Le temps achève où la direction du torCHon pourra inviter un Henri Richard ou un Jean Béliveau (surtout quand le club va mal) pour remettre une Coupe "Mollassone" à un joueur actuel du Caca. Bientôt, les anciens "glorieux" seront tous morts et enterrés... Ils ne pourront plus redorer l'image du Cacanadien...

mercredi 9 novembre 2011

LA BONNE PERFORMANCE DE KHABIBULIN N'EST PAS LA SEULE RAISON DE LA DÉFAITE DU CH CONTRE LES OILERS...


À en croire les joueurs, les instructeurs et les journalistes, tous membres de l'organisation des CHaudrons de Moronréal (oui oui les journaliCHeux aussi font partie du club des Molson en qualité de propagandistes, d'agents de promotion et de communication), c'est le trop "hot" gardien de buts des Oilers d'Edmonton, Nikolai "bulin wall" Khabibulin, qui a causé leur perte hier soir au Centre BêêêêêBell. Excuse facile. Le gardien trop fort et trop chanceux. Y avait rien à faire. Concédons que la logique a été respectée. Khabibulin a, jusqu'ici cette saison, alloué une moyenne d'un but par match. Et comme on sait que le Caca n'a pas une offensive digne de ce nom, il ne fallait pas s'attendre à ce que les tire-pois de Coco Martin défonce le filet adverse avec leurs lancers de femmelettes. Soit... Mais dans les commentaires d'après-match des porte-couleurs de la CHiasse, pas un mot sur les trois petits tirs au but de leur club minable pendant leurs six avantages numériques. On n'est pas allé non plus jusqu'à tourner le fer dans la plaie en mentionnant que les Oilers ont été plus dangereux en infériorité numérique (un but, deux échappées) que les CanaCHiens en attaque à cinq (power play) ! Passablement nul à cinq contre cinq, le torCHon ne peut se permettre de traîner au 25e rang (12,7 % d'efficacité) de la LNH au chapitre du jeu de puissance. En désavantage numérique, les patineurs des CHieux peuvent toujours aider Passoire Price à tenir le coup en bloquant un grand nombre de lancers à sa place, mais en supériorité numérique le manque de talent (mains pleines de pouces, tirs imprécis -le CH est le 7e pire club de la ligue à domicile dans cette catégorie avec 103 tirs manqués- ou faibles) de robustesse (trop petits pour occuper l'enclave ou se placer près du filet), de détermination et d'imagination, sont des carences que l'on ne peut pas combler facilement quand on a pas ce qu'il faut. Le meilleur marqueur des Canailliens en supériorité numérique est Yannick Weber avec deux gros buts. Malgré qu'il ait été employé souvent avec un homme en plus, Mathieu Darche a un grand total d'un point en quatorze parties. Quant à Erik "cold" Cole, ses cinq points cette saison (fiche de plus et moins = -4) sont loin de justifier son salaire astronomique. Comme "sauveur", on a déjà vu mieux ! Gorges et Moen ont plus de points que lui (6). Martin a commencé à le dire en points de presse : il doit se débrouiller avec ce qu'il a comme personnel. Un aveu d'impuissance teinté de critique négative à l'égard de la direction du club. Des paroles et un genre d'excuse qui précèdent généralement un congédiement de...l'instructeur en chef !



La saison est encore jeune (bien que samedi prochain, le CHicolore aura tout de même joué 20% de son calendrier) pour tirer des conclusions mais, comme disait l'ennuyant Bernard Derome, "si la tendance se maintient" les CHaudrons perdront une autre condition nécessaire pour sauver leur peau : leur fiche gagnante à domicile. Ces dernières années, ils ont été des "homers" en remportant les matchs faciles à la maison. Jusqu'à maintenant en 2011-12 ils montrent un piètre dossier de 2-4-2 au Centre PouBell. Trop de revers qui font figures de clous dans leur propre cercueil s'ils continuent de perdre aussi fréquemment devant leurs fefans, dont on entend de plus en plus souvent les huées... L'autre raison qui a empêché leur bateau de couler l'an passé, c'est la tenue de Scary Price. Pour espérer se tirer d'affaires, la CHarogne doit compter sur son gardien no 1 pour voler plusieurs victoires à lui-seul. Or, jusqu'à maintenant cette saison, Scary n'a rien volé (deux buts sur treize lancers hier). Son "casier judiciaire" est vierge ! Et ce n'est pas la nouvelle fleur-de-lys sur son masque qui va faire une différence dans son rendement. Pour connaître du succès, vos meilleurs joueurs doivent faire leur job. Hier, Plekanec a commis deux revirements affreux, qui ont coûté cher. Il n'est pas le seul à blâmer dans ce département : le Caca est 4e dans la LNH pour le plus grand nombre de "turnovers". Cammalleri, le seul attaquant capable de "la mettre régulièrement dedans", a raté quatre de ses lancers au but. Le minuscule et peureux Cammy revendique un total de deux mises en échec cette saison en plus d'échouer lamentablement sur ses replis défensifs. Incapable de contrer son homme même en faisant du ski nautique en s'accrochant à lui. Comme c'est aussi le cas pour les Gionta, Desharnais, Gomez et compagnie. Sans parler de P.K. "je rate le but" Subban, un spécialiste des tirs qui défoncent...les bandes (16 tirs ratés + 14 revirements commis en 2011-12). Quatre points pour Pédé jusqu'à maintenant, lui à qui les experts prédisaient une récolte de 45 points avant l'ouverture de la saison. Au grand plaisir des Anti-Habs, le 76 de la CHiasse s'est fait secouer les puces pas à peu près par Theo Peckham (voir vidéo ci-dessous). Idem pour Gionta (photo ci-dessus) "toute" ramassé par Taylor Hall. Cap'tain America n'était pas content d'avoir lévité malgré lui ! Comme il ne devrait pas être plus satisfait de son jeu en général, peu reluisant, comme en début de saison l'an dernier. En déclin, disions-nous alors ? Membre du club des "has been" des Cannes à CHiens ? Merci à Bob Gainey pour être allé chercher, à fort prix, cette marchandise avariée avec les autres pommes pourries : Gill, Gomez, Spacek, et j'en passe, et des pires !



En somme, il y a une foule de raisons qui font que le torCHon est avant-dernier dans sa Conférence et 28e au classement général, malgré un calendrier accommodant. Chaque rencontre entre deux équipes peut connaître un dénouement inattendu, mais si on peut se fier aux statistiques, le Cacanadien est loin d'être assuré de gagner à Phoenix demain. Tout en étant le club le moins puni de la ligue, les Coyotes excellent en désavantage numérique (7e avec un PK de 87,5% d'efficacité). Ça signifie encore moins de chances de marquer pour les CHieux qui eux, par contre, sont la 9e équipe la plus pénalisée dans le circuit Bettman. Les représentants de la Sainte Guenille sont très frileux sur les patinoires ennemies. Malheureusement pour eux, les Coyotes sont au 6e rang pour le nombre de mises en échec à domicile (les CHaudrons sont 25e à l'étranger dans la même catégorie). Deux autres défaites dans l'Ouest en fin de semaine mettront probablement la métropauvre sans dessus dessous. Le Caca pourrait se ramasser dans la cave de la Conférence de l'Est. Encore une fois ! Go Habs Go...au dernier rang !

dimanche 6 novembre 2011

LES RANGERS RETOURNENT LES HABITANTS À LEURS HABITUDES DE PERDANTS...


Michael Blunden et Petteri Nokelainen sont des petits nouveaux chez les CanaCHiens de MortYial. Ils ne comprennent pas encore très bien le style et le plan de match typique de leur équipe de CHickens. La clef du succès pour les CHieux c'est d'endormir leurs adversaires comme ils l'ont fait à Ottawa vendredi. Éviter à tout prix de provoquer l'ennemi, de faire des vagues, de susciter des émotions. Disputer des matchs plates pour se sauver avec la victoire. Blunden a fait tout le contraire samedi soir à New York. En début de rencontre, en plus de se rendre coupable d'une infraction (trop de CHieux sur la surface de jeu) en embarquant trop tôt sur la patinoire, il a sournoisement plaqué Brandon Dubinsky qui, s'amenant avec le disque le long de la bande, à la hauteur de la ligne bleue du CH, n'a pas eu le temps de l'éviter, son opposant sautant pratiquement sur lui directement à partir du banc tout près (voir vidéo ci-dessous)... Vous pensez bien que les Rangers, en l'occurrence Ryan Callahan et Michael Sauer, n'allaient pas laissé ce geste salaud impuni. Blunden s'est fait passer le K.O. par une droite dévastatrice de Callahan tandis que Nokelainen (qui a sauté sur Callahan en devenant le 3e homme dans la bagarre) allait payer de son sang son intervention illégale et lâche (deux gars sur le même joueur) en ayant maille à partir avec Sauer. En somme, Blunden a mis le feu aux poudres avec son coup de cochon. Un comportement totalement contre-indiqué quand on sait que, surtout à l'étranger, match robuste ou ponctué de bagarres = défaite du Cacanadien. Évidemment, si un joueur du CHicolore avait subi le même sort que Dubinsky face à Blunden, personne ne se serait porté à sa défense chez le torCHon. Il n'y a guère de gauchistes (des gauches oui !) parmi les CHieux : "so...so...so...solidarité", ce n'est pas leur slogan !



L'indiscipline des CHaudrons en première période, leur a valu un paquet de pénalités qui, au final, auront causé leur perte. Des Rangers plus mordants et plus opportunistes auraient pu les massacrer. Mais au lieu de les achever rapidement, les hommes de Tortorella ont laissé les Habs revenir dans le match. Les Blue Shirts manquent d'instinct du tueur. Leur gardien Lundqvist, ordinairement très fiable, ne connaît pas un début de saison à la hauteur de son talent et de ses capacités, même si son équipe se tire bien d'affaires récemment. Néanmoins, la CHiasse vient d'échapper un autre match de quatre points contre un club susceptible de lutter lui aussi pour les dernières places donnant le droit d'accéder aux séries éliminatoires. Ça s'additionne avec les deux défaites contre Toronto. Pédé Subban a trouvé encore une autre façon de faire rire de lui lorsqu'il a volontairement enneigé le cerbère des Rangers. Sa stupidité a incité l'arbitre à aller réfléchir deux minutes au cachot. Auparavant, l'ex-espoir des Habitants, le gros défenseur McDonagh, avait frotté à rebrousse-poils le nez épaté de Subban. Ce faisant, il lui donnait une leçon dans l'art de protéger son gardien (photo du haut). C'était pathétique d'entendre Pierre Houde, le descripteur télé des parties du CH au réseau bull shit (RBS), se plaindre de l'arbitrage en pleurnichant dans son micro... Même après une semaine de repos de la gang à Dumbo Martin, Houde invoquait sa sempiternelle excuse de la fatigue pour expliquer l'échec de son club chéri... Dégueulasse...



Le pire reste à venir pour la CHarogne. Le capitaine Gionta et ses amis schtroumfs vont s'enfoncer dans la médiocrité de leurs habitudes perdantes puisque la semaine prochaine ils vont jouer trois parties contre des clubs de l'Ouest. Deux de ces affrontements auront lieu en territoire hostile. L'Ouest est toujours synonyme de dégelées pour les Cannes à CHiens. En regardant un peu plus loin sur le calendrier, d'autres joutes de quatre points pointent à l'horizon. Des batailles qui pourraient déjà s'avérer cruciales pour les mauviettes de la métropauvre. Les patineurs de fantaisie du torCHon ne peuvent se permettre de perdre trop fréquemment en début de campagne. Ce n'est pas en seconde moitié de saison, quand le jeu se corse, qu'ils pourront se reprendre et accumuler des points pour éviter une élimination hâtive. Ils n'ont pas les soldats pour aller à la guerre. Chaque point perdu en octobre, en novembre et en décembre peut être extrêmement coûteux. Jouer pour ,500 ou moins durant cette période n'est pas suffisant. C'est un arrêt de mort pour les CHieux et une raison de célébrer chez les Anti-Habs !

vendredi 4 novembre 2011

LE CACANADIEN ROUILLÉ APRÈS AVOIR PASSÉ UNE SEMAINE SANS JOUER ?


J'ai souvent écrit que les Canailliens de Moronréal étaient pourris. Qu'ils semblaient fréquemment patiner dans le ciment. Que les joueurs de cette équipe se forçaient un match sur quatre. Qu'ils se traînaient les pieds, etc. Après avoir passé une semaine à bailler (on a vu Scary Price bailler sur la patinoire hier) en écoutant leur coach croque-mort Dumbo Martin leur montrer comment étouffer leurs futurs adversaires avec des prises du sommeil ou de l'obstruction systématique, les favoris des fefans reprennent le collier ce soir contre les Sénateurs à Ottawa. Des Sens privés de leur capitaine, Daniel Alfredsson, habituellement un "habs killer" de première classe. Le club de la capitale fédérale surprend jusqu'ici cette saison. Mais on soupçonne qu'avec la faible défensive qu'elle possède, cette équipe devrait redescendre vers la cave du classement dans les prochains mois. Cave que leur prédisaient la plupart des experts avant l'ouverture du calendrier. Tout ce que nous pouvons espérer c'est que les CHaudrons soient rouillés et qu'ils se fassent laver par les Sens ce soir. On sait que les fefans seront en grand nombre pour encourager leurs héros dans cet aréna perdu en banlieue d'Ottawa. Ça mettra un peu d'ambiance dans ce salon funéraire... Au moins, excellente perspective, les Leafs de Toronto continuent de bien jouer et d'amasser des points. Ça fait une équipe supplémentaire, avec la Caroline et les Rangers de New York, que le torCHon devra devancer au classement pour atteindre les séries de fin de saison. Ce ne sera pas une sinécure d'arriver à devancer tout ce beau monde.


Lorsque les CHieux sont longtemps sans jouer de parties, les pauvres joueurnaliCHes-culs de la métropauvre sont désoeuvrés et ne savent pas quoi écrire ou inventer. Résultat : leurs articles ou leurs commentaires = du n'importe quoi, et ça frise la folie et le délire. Par exemple, un certain Steven Ellis de AllHabs.net a remporté la palme de l'idiotie en écrivant hier que les récentes performances de Lars "Jeannot Lapin" Eller ont aidé les fefans à oublier Jaroslav Halak. "Jaroslav Qui ?" disent déjà les cons qui, il y a un an à peine braillaient comme des veaux parce que Gauthier avait échangé leur héros... Come on, give us a break ! Le but que Eller a marqué contre Boston samedi passé était son premier depuis le 8 mars 2011 (matchs éliminatoires compris) ! Avant de conclure que son acquisition en retour de Halak est tout un vol, faudrait peut-être attendre encore un peu... Un autre journalisssssssse épais a affirmé sans rire que si Pacioretty n'a pas marqué dans les deux matchs contre Boston, c'est parce qu'il avait bobo à son poignet. Pourtant au lendemain de sa prétendue blessure, il avait trouvé le fond du filet à deux reprises... Faut croire que le mal l'a frappé à retardement... Autre joke monumentale : Andrei Kostitsyn, qui ne parle qu'à son caniche, à son casier et à lui-même, serait devenu un leader ! Imaginez ! Dans mon livre à moi, un leader c'est un meneur, un gars qui guide, qui prend les devants. Il n'y a qu'en une circonstance où AK46 prend les devants : c'est pour s'éclipser rapidement lorsqu'il y a une bagarre ou une échauffourée... Autre légende urbaine entendue de la bouche de l'analyste Marc Denis du réseau des porcs : Price serait excellent pour manier la rondelle autour de son filet. Or, la moitié du temps quand il s'aventure hors de son demi-cercle, Scary fait des passes imprécises ou des passes suicides à ses coéquipiers, perd le disque ou ne sait pas quoi faire avec, commet des revirements ou a tout simplement l'air fou.

On crie aussi au génie parce que Gauthier a congédié Perry Pearn et qu'il a fait descendre Randy Ladouceur derrière le banc pour redresser la défensive boiteuse du Caca. Un vrai Jésus Christ que ce Ladouceur, il a reconstruit la défensive du CH en trois matchs comme notre Seigneur a reconstruit le temple en trois jours ! Parlant du Christ, la Presse mourialaise a aussi célébré la résurrection de Erik Cole. Un autre coup de maître de Gauthier ! Et Alléluhia ! parce qu'il a eu la bonne fortune de voir ses coéquipiers bloquer plus de lancers que lui au cours des dernières joutes, Scary "passoire" Price est de nouveau le meilleur gardien de buts au monde ! Bref, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possible. À croire que la CHiasse ne perdra pas une partie d'ici la fin de la saison ! Laissez- nous rire ! Ha ! Ha ! Ha ! Oui il est grand temps que les CHaudrons retournent à l'ouvrage et reprennent le chemin de la défaite. Pour calmer un peu la foule et les journalistes complètement "décollés" de la réalité... Oui, à n'en pas douter, comme le soulignait jadis des écrivains célèbres, "l'imagination est la folle du logis" et "l'oisiveté est la mère de tous les vices". Pas de meilleure preuve de cela que le délire médiatique des derniers jours à MortYial. Ces scribes incestueux qui couchent avec les CHieux dans le bidonville à Tremblay sont de vrais prestidigitateurs : un coup de baguette magique, et hop ! du jour au lendemain Eller est un champion compteur; un coup de baguette magique et hop ! Price est le dieu des "goalers". À peine arrivé, Nikolainen fait déjà parler de lui comme d'un as de quatrième trio ! Comme le nez de Cyrano de Bergerac, sa renommée ne fait que s'agrandir de jour en jour. Pour l'Halloween les affreux CanaCHiens se sont déguisés en équipe gagnante. À moins que ces victoires inattendues aient été le cadeau de Noël prématuré des fefans !

* * *

Courte victoire de 2-1 des CHaudrons.

Il s'en est fallu de peu pour qu'une bande d'obscurs inconnus marginaux (Cowen, Greening, Zac Smith, Butler, Winchester, Filatov, Condra, Daugavins, Da Costa) battent les minus de Jacques Martin. La mince différence entre la victoire et la défaite aura été le cadeau d'un défenseur inexpérimenté des Sens sur le but vainqueur (revirement de Karlsson directement devant son but) ainsi qu'une couple d'arrêts des poteaux de Price... Pédé Subban s'est encore rendu coupable de deux infractions stupides qui auraient pu coûter cher. En passant, le Bobby Orr des CHieux revendique un grand total de zéro but, trois aides jusqu'ici cette saison. En faisant une projection rapide sur l'ensemble de l'année, ça donne zéro but et vingt points. Quelle merveille que ce piqué des vers ! Quel grand quart-arrière sur le jeu d'impuissance de la Flanelle détrempée ! D'un autre côté, combien de buts coûtera-t-il à sa bande de tarés à force de répéter sans cesse les mêmes erreurs en défensive ? Encore une fois, sur sa première pénalité, il a dangereusement sorti le patin pour enfarger un opposant. Bientôt il causera une blessure grave à cause de ses gestes insensés... Parlant de gestes douteux, le coup de coude de Gionta qui, il y a deux semaines, a assommé le gardien James Reimer (des Leafs) aurait dû lui mériter une suspension en vertu de la nouvelle politique de la LNH qui a pour objectif de protéger les joueurs en punissant sévèrement les coups à la tête. Le gardien numéro un des Maple Leafs n'est toujours pas revenu au jeu après cet acte prémédité du capitaine de la CHiasse.