jeudi 26 janvier 2012

COLE ET LE CACANADIEN ONT ENCORE PROUVÉ QU'ILS N'ONT PAS DE CLASSE...



Depuis près de vingt ans, les Red Wings de Détroit et le CacanaCHien de Moronréal s'en vont en directions totalement opposées. Les Wings sont la crème de la LNH tandis que les Habs en sont le lait caillé, ou, si vous préférez, la vaCHe avariée. On a bien raison de rire de la déCHéance des CHieux, qui correspond à celle du bidonville qui s'étend autour du plus grand scandale de l'histoire du Canada, le stade olympique branlant de Mourial. Ben oui, le fabuleux "big O" du mégalomane maire Drapeau (un bonhomme complètement "décollé" de la réalité, comme les fefans qui pensent que le CHiendent va participer aux séries de fin de saison), symbole qui va comme un gant aux politiciens corrompus et à la racaille de criminels de la métropauvre. Une ville de hockey qui est devenue un cimetière de joueurs finis, rendus à «l'agonie» de leur carrière. Un repère de dirigeants incompétents tournant en rond, mettant leurs chaussures à l'envers et incapables d'attirer le moindre hockeyeur intéressant dans cette nouvelle Sibérie du hockey, où aucun agent libre qui se respecte ne veut aller. Il faut ajouter que les partisans fanatiques du torCHon et les journalistes "guidounes" de la place, agissent aussi comme des repoussoirs pour dissuader ces multi-millionnaires de s'établir dans ce bled d'une laideur sans pareille, pollué et polluant. Qui voudrait s'exposer à jouer devant cette foule d'abrutis qui salissent les estrades du Centre PouBell, qui n'ont rien d'autre à faire que de vociférer comme des demeurés et à se donner mutuellement des douches de bière amère et puante ? Holà ! La décadence...


Il y a bien mieux ailleurs... Détroit, par exemple. Un club de hockey ("hockey town", une désignation, une marque de commerce que Mourial a tenté de copier, il y a quelques années, en adoptant le slogan : «la ville est hockey») synonyme d'excellence, de gagnants, de champions, de compétence. Notamment au niveau du recrutement des jeunes joueurs qui, souvent, même s'ils sont repêchés dans les dernières rondes, deviennent de très bons actifs pour le grand club après avoir mûri à point dans les ligues mineures. Quel contraste avec la situation qui prévaut chez les CHaudrons. On sait combien le repêchage est depuis longtemps un fiasco avec Trevor Timmins comme "désastre-en-chef" ! Le succès engendrant le succès, plusieurs bons vétérans, espérant gagner la Coupe Stanley avec les Wings, désirent être échangés à Détroit lorsque la date limite des transactions approche. Tandis qu'un vétéran acceptera de se joindre aux Canailliens seulement si aucun autre club n'en veut et s'il est sur-payé.




Tout ça pour dire que les Red Wings de Détroit sont une équipe d'élite depuis longtemps et qu'elle mérite le respect et l'admiration du monde du hockey. Peut-être parce qu'ils sont jaloux ou envieux, peut-être parce qu'il y avait des bonis de performance en jeu, peut-être pour plaire aux fefans à qui ils font vivre une saison de misère, sûrement parce qu'ils n'ont pas de classe, les CHieux, eux, les ex-glorieux, ont manqué de respect à l'endroit des joueurs et de l'organisation des Red Wings de Détroit hier au Centre BêêêBell. En troisième période, avec un pointage de 6-2 en faveur de la CHiasse, la ligne Cole-Desharnais-Pacioretty a continué de jouer la "pédale au fond" jusqu'à ce que Cole enfile le septième but de son équipe à 1:23 de la fin de la game. Le gros no 72 du CHicolore a-t-il une clause de bonus dans son contrat pour le nombre de buts qu'il va réussir à marquer ? En tout cas, il a joué en malade jusqu'à la toute fin du match, en fonçant dans le tas, tête baissée. Compte tenu du pointage et des adversaires (qui avaient concédé depuis longtemps la victoire dans cette partie qui semblait de trop à leur calendrier, à la veille du congé du match des étoiles), les excès de Cole étaient déplacés et même gênants au point de vue du "fair play" et de la décence. Faire par exprès pour humilier un opposant, ça ne se fait pas ! Au football, par exemple, en fin de 4e quart, quand l'issue du match est scellée, le quart-arrière met le genou au sol à quelques reprises pour écouler le temps qui reste au tableau indicateur. Au hockey, c'est un peu la même chose : on se contente de dégager son territoire, on tourne pas mal en rond, en attendant que la partie finisse.


Pour une fois qu'ils pouvaient marquer à profusion contre des adversaires qui ont opposé peu de résistance en l'absence de leur leader Nicklas Lidstrom, les CanaCHiens ont abusé de leur avantage. Espérons que les Wings ont la mémoire longue et qu'ils rendront la monnaie de leur pièce à leurs tortionnaires lors des prochains affrontements (malheureusement trop peu fréquents) entre les deux clubs. Cette saison, les Habitants (on devrait dire les "colons") ont trouvé de nouvelles façons de perdre. Pour notre plus grand plaisir d'ailleurs ! Hier, ils ont démontré qu'ils ne savaient même pas comment gagner ! Triste et désolant, mais pas surprenant... Pas de classe...je disais...ça va avec le reste... De la merde comme disait Spacek l'autre jour...



Au moins l'écervelé à Pété Subban n'a pas déçu les anti-CH. Après une autre pénalité d'indiscipline écopée en fin de première période, le jeune arrogant de la CHarogne a séché sur le banc pendant tout le deuxième vingt. Et il a encore eu droit aux sermons de l'entraîneur des défenseurs, Randy Ladouceur (photo). Et, encore une fois, il n'a rien compris ! À sa première présence à son retour au jeu, au troisième engagement, il a traversé la patinoire d'un bout à l'autre, en diagonale, pour perdre ultimement le disque, pas loin du but ennemi. Il s'est attiré les applaudissements et les cris orgasmiques des fefans (ça le fait jouir et ça lui enfle encore plus sa grosse caboche dure), mais ses coéquipiers étaient tous plus ou moins hors position et mal pris sur la contre-attaque des Wings. Toute une cruCHe vide que ce P.K. !


Parlant de cruches, les fefans bipolaires étaient sur le party et sans doute qu'ils croient dur comme fer que cette victoire inespérée contre le club no 1 de la Ligue va constituer l'étincelle qui va relancer leur club poche vers la stratosphère. Il y a même un illuminé qui a lancé une pieuvre sur la patinoire au son de la sirène annonçant la fin de la rencontre... Encore une commotion cérébrale ! Beau cas de cruauté envers les animaux. Pas parce que cet hydrocéphale débranché a "pitché" la pauvre créature sur la glace, mais parce qu'il l'a tenue dans ses mains sales... Pauvre bête ! Imaginez la peur qu'elle a dû avoir quand ses yeux ont croisé le regard hagard de ce mordu du torCHon, de ce tétanisé CHicolore en convulsions. Ce pauvre ignare n'a pas la moindre idée qu'un animal a des sensations comme celles des humains. Si un spectateur a été puni pour avoir lancé une banane au noir Wayne Simmonds des Flyers de Philadelphie, pendant un tir de barrage, celui qui a lancé la pieuvre au Centre ZooBell devrait être châtié en subissant le supplice du Chara. Vous ne savez pas ce que c'est ? Demandez à Max "Pacini" Pacioretty, il va vous l'expliquer comme un pro...

lundi 23 janvier 2012

«SUBBAN, DERRIÈRE SON FILET, LA PASSE À LAVEU GLETTE, ET C'EST LE BUUUUUUUUUUUUTTTTTTTTTTTTT...»


Si Laveu Glette était un joueur de la LNH qui jouait souvent contre P.K. Subban, il serait sans doute le meilleur pointeur de son équipe. En effet, combien de fois le sans génie défenseur no 76 du torCHon fait des passes ou des dégagements à l'aveuglette et se pisse ainsi sur le ventre, tout en mettant son malheureux club dans la merde ? Comme l'autre soir contre les Penguins de Pittsburgh. En plus, de retour sur le banc des joueurs après sa bévue monumentale, qui permettait aux Pens de revenir dans le match, eux qui tiraient de l'arrière par deux buts, Subban, la prima donna, est entré dans une confrontation verbale avec Randy Ladouceur, l'instructeur des défenseurs des CHieux, qui le réprimandait pour son erreur coûteuse. L'entraîneur-chef Randy Cunneyworth a dû s'interposer pour mettre fin à cette dispute qui avait lieu devant les caméras de la télévison et qui distrayait les autres joueurs de sa formation en pleine partie ! Ceux-ci se poussaient d'ailleurs le plus loin possible de P.K., comme si c'était une bête puante. Évidemment, la grande gueule du CH argumentait avec Ladouceur en disant que ce n'était pas de sa faute si Gomez ne se trouvait pas où il aurait dû être pour saisir sa passe...à l'aveuglette. C'est incroyable qu'un jeune blanc bec à sa deuxième saison dans la Ligue se croit plus fin que ses entraîneurs. Encore du jamais vu chez le CHicolore ! Il n'aurait pas fait la forte tête comme ça avec un Scotty Bowman ou un Pat Burns ! Ils l'auraient laisser sécher sur le banc ou ils l'auraient envoyé chez lui immédiatement... De toute façon, ni Bowman ni Burns n'aurait consenti à ce que la CHarogne repêche un gros épais comme Subban... Ils connaissaient leur hockey EUX !


Tout comme son tata Scary Price (ils ne se tiennent pas ensemble pour rien) Subban se défend toujours que ce qui arrive de mal pour eux ça dépend des autres qui n'ont pas fait ceci ou qui n'auraient pas dû faire cela... Même s'il le fait moins cette année, Price a l'habitude de jeter un regard accusateur à un coéquipier fautif lorsqu'il est déjoué ou qu'il paraît mal sur un but des adversaires. Pas de quoi susciter la sympathie ou le soutien des autres joueurs de la CHiasse. Price ne semble pas savoir que le hockey est un jeu d'ÉQUIPE. Ça rappelle un certain "Me, Myself, Mike" Cammalleri... C'est tout le contraire dans le cas de Jaroslav Halak. Non seulement c'est un meilleur gardien que Scary, mais c'est surtout une meilleure personne. Lors de son récent passage à MortYial, on a pu constaté à quel point ses coéquipiers l'aiment. Ils étaient prêts à traverser des murs pour l'aider à faire de son retour à Fefans'Land un franc succès. Quand ton joueur le plus important te regarde de travers pour te blâmer pour un but qu'il vient d'accorder, quand il déconne dans le vestiaire avec un cave comme P.K. (le maître des grimaces et des simagrées), quand il se croit plus gros que l'équipe et pique des crises de bipolaires lorsque les choses vont mal, tu n'es certainement pas porté à te défoncer pour lui... À force d'être follement adulés par les fefans, à force de se faire dire qu'ils sont l'avenir des CHaudrons, Price et Subban ne portent plus à terre et semblent penser qu'ils sont au-dessus de tout le monde et de tout "ça"... Ils se croient intouchables et partis pour la gloire !



Dans le même match contre Pittsburgh, Subban s'est attiré une amende de $ 2 500 pour avoir donné un croc-en-jambe ("slew foot") dangereux à Chris Kunitz. Il était plus que temps que le préfet de discipline de la Ligue s'intéresse au cas P.K.. Moi je dénonce ses manies pernicieuses et insensées depuis qu'il joue pour le Cacanadien. L'autre jour, Cunneyworth l'encourageait dans le vice en déclarant au médias qu'il aimait ça quand Subban se ruait sur ses adversaires lorsqu'ils entraient dans la zone de son club. Sauf que ces ruades sont illégales puisque "Piqué des vers" Subanane saute dans les airs pour frapper ses opposants. Et lorsqu'il fait ses plongeons volontaires (diving) pour faire prendre des punitions aux joueurs adverses, il s'envoie les patins en l'air de tous bords tous côtés. C'est d'ailleurs comme ça qu'il avait coupé gravement Jordan Staal, lors des éliminatoires d'il y a deux ans. En fait, en plus d'écoper d'une amende, Subban aurait dû être suspendu pour au moins trois parties. On ne lui a servi qu'un avertissement alors que des crocs-en-jambes, il en donne depuis plus de deux saisons. Si le comité de discipline avait fait son travail, Picouille en serait au moins à une 10e suspension ! À se faire aller la lame des patins comme des guillotines, Subban finira par blesser encore plus sérieusement un joueur adverse si on tolère encore longtemps son comportement irresponsable digne d'un cinglé.

Hier, durant les épreuves d'agilité présentées devant 18 000 enfants au Centre BéBell, P.K. a fait le clown comme il sait si bien le faire. Et les enfants en redemandaient. C'est vrai que Subban est à peu près de leur âge mental. Le coloré défenseur des CHieux est populaire auprès des jeunes fefans parce qu'il donne un bon show avec ses mimiques de bête de cirque. Mais ailleurs, dans les autres villes du circuit Bettman, il ne s'attire que des huées et des doigts d'honneur. Des enfants endoctrinés par des parents vendus à la religion CHicolore, ça ne peut pas comprendre l'idiotie de Subban. Des adultes non fanatiques, ça voit plus clair.


Et lorsque des joueurs sont échangés d'une façon cavalière comme Jaroslav Spacek, il y a quelques semaines, ils en profitent également pour dire la vérité sur leur ancienne équipe. Spacek a utilisé le mot "merde" pour se référer à ses ex-patrons et à la situation qui prévaut dans la métropauvre. Pourtant, bizarrement, chaque joueur qui s'amène à Fefans'Land dans un échange (comme Rene Bourque), ou en graduant des mineures, déclare toujours qu'il est honoré et heureux de venir jouer pour cette grande organisation et les meilleurs partisans au monde... Faut croire que le déplaisir croît avec l'usage...

Comme c'est drôle de voir les têtes brûlées de la métropauvre s'exciter parce que les CHaudrons ont gagné UN match samedi à Toronto. À ce que je sache, les CHieux n'ont pas amélioré leur position au classement, et à la pause du match des étoiles, ils risquent de se retrouver encore plus loin d'une place en séries. Pas de quoi pavoiser ! Un site internet vient d'être créé pour vendre des t-shirts demandant le congédiement de Pierre Gauthier. Sur le devant du gaminet blanc, on peut voir écrits en lettres rouges les mots "FIRE GAUTHIER", et au dos "CONGÉDIER GAUTHIER". Ces partisans frustrés ont honte du club qui représente leur bidonville et ils n'en peuvent plus de voir leurs favoris patiner dans la fange et dans les bas-fonds de la NHL. Ils demandent $ 15 pour le t-shirt et ils s'engagent à verser $ 5 (par unité vendu) à un hôpital pour enfants de moronréal. Ce mouvement fera-t-il boule de neige ? Et on apprenait également aujourd'hui qu'il avait été question que le gouvernement québécois remplace les vieilles plaques d'immatriculation des automobiles par de nouvelles licenses qui auraient permis, par exemple, d'intégrer sur leur surface des logos comme celui du Cacad'CHien. Ouf, heureusement, on n'a pas donné suite au projet... Il y a déjà assez de pollution comme ça à Montréal-La-Sale...

jeudi 19 janvier 2012

LE CH EN ARRACHE : PLUS ILS JOUENT, PLUS ILS SE CALENT...


Si le Cacanadien de MortYial était un véhicule automobile et que son chauffeur était une femme, on dirait qu'il a fait une sortie de route et qu'il ne cesse de se creuser un trou à chaque fois que son incompétente conductrice appuie sur l'accélérateur. En conditions hivernales comme celles que nous connaissons au Québec, la pauvre tête de linotte, aux commandes du véhicule, symboliserait ou ressemblerait encore plus aux dirigeants et aux joueurs du torCHon car en voulant remonter une pente glacée, plus elle pèserait sur le champignon, plus l'automobile reculerait. Si nous voulions être méchants en regardant la photo ci-haut, nous pourrions dire "gros jos = petit cerveau". Ça s'applique aussi aux fefans qui sévissent sur les blogues pro-CHieux : gros jos connaissants = petits nabots (avortons)...


DÉFAITE CAPITALE !

Hier soir, au Centre PouBell, c'est l'impression qu'on avait en regardant perdre les CHaudrons. Plus le match avançait, plus ils avaient des avantages numériques, plus ils se calaient et nous faisaient rire, nous les anti-habs ! Au contraire, les fefans dans les estrades, eux, n'entendaient pas à rire. Il y avait déjà des sièges vides en première période. Il y en avait de plus en plus à mesure que leurs vauriens s'enfonçaient dans leur pourriture. Mais certains mordus de la CHiasse trouvaient le moyen de voir les choses du bon côté en scandant le nom du premier choix au prochain repêchage de la Ligue Nationale ! Pauvres eux-autres, même avec un premier choix, qu'est-ce que vous voulez que les recruteurs sans génie du Caca fassent ? Il y aurait un Crosby disponible au prochain encan amateur, qu'ils ne le verraient même pas ! Ils prendraient le jeune qui joue le mieux...sans la rondelle !



Le match d'hier n'était pas banal. J'adore ce genre de rencontres marquées par des faits loufoques sans précédents. Une manière d'ajouter des faits d'armes peu glorieux à la déchéance actuelle des Canailliens. C'est bon de les voir enrichir l'album légendaire de leurs déboires et de leurs désastres inégalés dans toute l'histoire du hockey. D'abord, Passoire Price dormait au gaz sur les deux premiers buts des Capitals. Des buts marqués à la vitesse de l'éclair. Un éclair au chocolat et crème pâtissière. Des buts tartes, farfelus, poches, comme celui qui les a donnés. Dans chaque cas, Scary a réagi en retard d'au moins trois secondes ! Faut croire que le congé obtenu dimanche, quand il a laissé le filet à Budaj contre les Rangers, l'a plongé dans une sorte d'hibernation qui s'est prolongée dans les premières minutes de la partie d'hier. Après quatre lancers, c'était déjà 2-0 Caps ! Il n'en fallait pas plus aux hommes de Dale Hunter pour l'emporter. C'est d'ailleurs ce qu'a déclaré l'excellent Marcus Johansson après le match, dans le vestiaire des siens. Avec la très peu redoutable attaque des CHieux et leur jeu de puissance impuissant, tout le monde sait, à travers la Ligue, qu'il vous suffit généralement de deux buts pour battre la CHnoutte de Moronréal. Et ce, même en économisant vos tirs au but, pour ne pas trop vous fatiguer (les Caps n'ont lancé au but que douze fois à partir de la 9e minute de la première période, laissant Price continuer son somme à son aise, sauf quand Ovechkin lui a fait siffler un boulet de canon aux oreilles sur le dernier but de la rencontre). Un manque de respect bien mérité envers les CHaudrons... Afin de compenser pour les Rangers, qui jouent toujours des matchs pourris à Mourial, il y a heureusement les Capitals de Washington. À leur 14 dernières visites à Ville La Sale, les représentants de la capitale américaine ont une fiche de 10-2-2, en saison régulière. Le Caca n'a pas célébré le moindre but contre eux depuis le 15 mars 2011 (le CH blanchi durant les dernières 156 minutes et 32 secondes de jeu entre les deux clubs -et c'est pas fini-).

Le jeune cerbère des Capitals, Michal Neuvirth (photo), 23 ans, a été superbe, bloquant les 31 tirs des CHieux, en restant calme, et en contrôlant bien les retours de lancers. Il aurait pu être plus rouillé que Price, vu qu'il en était à un premier départ en onze parties. Mais comparer un autre gardien de buts à Passoire Price, c'est injuste. Nul n'a plus de défaites que lui, et nul n'est plus sur-estimé que le 31 du CHicolore. Concédons toutefois que Neuvirth n'a pas la même piètre équipe devant lui que son vis-à-vis de MortYial-bidonville. Les Capitals ont bien protégé leur portier en bloquant 25 lancers et en faisant du bon travail pour nettoyer le devant de son filet contre les sales du club des Molson. Depuis son arrivée au poste d'entraîneur chef, Dale Hunter (13-9-1) a mis l'accent sur le jeu défensif, qui était jusque là déficient sous la gouverne de Bruce Boudreau. Et ça rapporte. Les Caps ont gagné quatre de leurs cinq derniers matchs et ils se retrouvent en tête de leur division. Maintenant, ils savent comment conserver une avance. La philosophie de l'ex-joueur des Nordiques, qui a tant fait damner les CanaCHiens d'antan : minimiser les risques quand ses gars se lancent en offensive. S'il n'y a pas d'ouverture en zone ennemie, s'il y a danger de revirement ou d'un surnombre sur une contre-attaque de l'équipe adverse, on n'insiste pas, et on fait le jeu le plus simple, c'est-à-dire, envoyer la rondelle dans un coin sûr. Il y aura bien des occasions plus favorables plus tard. Du hockey bien moins spectaculaire qu'avant, mais qui paiera de meilleurs dividendes en séries éliminatoires. En fait, c'était un match des séries hier. Un match de quatre points que le torCHon devait gagner. Un match que Cunneyworth avait qualifié de "plus important match de la saison" pour son équipe. En le perdant, la probabilité que la CHarogne participe aux séries Stanley est passée de 15% à 9,9% selon sportsclubstats.com.



Mais le clou de la soirée d'hier ce n'est pas le combat bien ordinaire qui a opposé Rene Bourque à Matt Hendricks (photo). Non, l'incomparable festin copieux des anti-habs ce fut quand les CHieux n'ont pu profiter d'une douzaine de minutes en supériorité numérique (0 en 7). On a alors assisté à une démonstration exemplaire de ce qu'il ne faut pas faire avec un joueur en plus sur une patinoire. Le comble est survenu quand deux joueurs des Capitals ont perdu leur bâton. Le Caca se retrouvait pratiquement à cinq contre deux. Les pauvres pioCHes CHicolores n'ont même pas pu menacer la forteresse de Neuvirth. Même que Subban s'est approché tout près du but et il a trouvé le moyen de tirer à côté ! Inimaginable ! Prodigieux ! Pathétique ! De l'inédit dans le monde du hockey ! Un comble pitoyable ! Les fefans huaient pendant que les anti-habs étaient morts de rire ! Good Lord !!! En plus, dans son point de presse d'après-match, Randy Cunneyworth, dont la face ressemble à un bloc de fromage de gruyère, a été se caler encore plus en précisant que c'est lui qui est en charge du jeu d'impuissance de la CHiure. À sa place, je me garderais bien de le rappeler. C'est non seulement le pire power play de la Ligue (12,4% de réussite), mais c'est aussi et surtout le pire avantage numérique du Cacad'CHien depuis que l'on compile ces statistiques (1967-68). Avant cette saison, c'est en 2002-03 que l'attaque à cinq du CHiendent avait le moins bien fait avec un pourcentage d'efficacité de 14%. Je vous le dit, les amis, on vit des moments historiques cette année avec la déconfiture du torCHon ! Un vrai "dream team" pour nous !

Pour essayer de ressusciter son jeu de puissance, l'embaumeur-en-chef Cunneyworth a tenté toutes les combinaisons possibles de joueurs. Un vrai jeu de chaise musicale ! Un peu plus et il envoyait Price en avant, d'autant plus que ce dernier n'avait rien à faire devant sa cage (il a quand même trouvé le moyen de commettre deux revirements). Tomas Kaberle, celui qui devait être le messie de ce power play en panne, (et que Pierre Gauthier est allé chercher en Caroline en retour d'un "Spacek" et d'une longue série de "chèques" de plusieurs millions), a passé 7 minutes et 25 secondes à ne rien faire de bon à la pointe, quand son club de broches à foin jouait en surnombre. Un autre échec, un autre coup d'épée dans l'eau, un autre coup de boule de démolition de Gauthier. Un échec, une gaffe qui coûtera cher au CH dans les prochaines années, en plus de faire rire les dirigeants des autres équipes de la Ligue, et les anti-habs, bien entendu ! Ça va comme c'est mené ! Ha ! Ha ! Ha ! Ayoye mes côtes !

Le pire, c'est que Scott Gomez a été le moins pire des siens ! Lui, Kostitsyn et Emelin ont tout de même eu la distinction d'être sur la patinoire pour les deux premiers buts des Caps. Le défenseur infirme du CH, Hal Gill, n'a traîné son piano sur son dos que pendant cinq minutes à forces égales (disons plus tôt à 5 contre 5 parce que les forces étaient plutôt inégales entre le CH et ses opposants !). Il s'est aussi couché pendant quatre minutes devant son gardien quand son club de lâches était en désavantage numérique. Parlant de "lâche", "Lâche" Eller a promené sa grosse carcasse désossée sur la glace pendant onze minutes et demie, dont trois minutes et demie pour tuer les punitions. Toute une performance pour le Danois aux palettes d'en avant semblables à celles de Jeannot Lapin. Les quatre buts qu'il a scorés dans une joute au début du mois étaient-ils les derniers de sa carrière ? Lâche pas la patate mon Lâche Eller !

Les légendaires et glorieux champions des fefans revendiquent donc une brillante fiche de 4-10-1 à leur quinze dernières sorties (de route ?). En route vers la cave de leur Conférence. Et le meilleur est à venir puisque les CHaudrons prennent la route (et le fossé, sûrement) pour jouer à Pittsburgh vendredi, et à Toronto samedi. Rappelons que le dossier de Cunneyworth à l'étranger est de 1-6 jusqu'à maintenant. Le seul remède que propose le futur ex-coach du CH, pour guérir les maux qui affligent sa formation, c'est de "travailler plus fort". Un peu comme notre femme au volant qui pèse plus fort sur l'accélérateur et qui creuse davantage le trou dans lequel son véhicule est enlisé...

lundi 16 janvier 2012

CAMMALLERI PARTI, ÇA SENT MOINS LA CHAROGNE DANS LE VESTIAIRE DU CH, MAIS C'EST DE PLUS EN PLUS HUMIDE...


Il était temps pour l'esprit d'équipe des CHaudrons de MortYial que "Me Myself and Mike" Cammalleri soit "expédié" dans l'Ouest du pays, loin de la métropauvre. Tête enflée ne portant pas à terre quand les choses allaient bien pour lui, il se transformait en un cancer qui blâmait les autres pour ses insuccès. Le pire pour les dirigeants du torCHon, c'est que ce cancer commençait à contaminer d'autres joueurs (ex. Webber) qui, comme lui, se plaignait leur utilisation (temps de glace) en se comparant à des coéquipiers qui n'étaient pas meilleurs qu'eux et semblaient injustement chouchoutés par l'entraîneur, etc. Quand de tels enfantillages ou commentaires assassins commencent à miner l'atmosphère d'un vestiaire, les choses peuvent dégénérer rapidement. De son bureau, dans les hauteurs du Centre PouBell, Pierre Gauthier, le DG raté du Cacanadien, pouvait sentir l'odeur de CHarogne (sur la photo ci-dessus, un partisan des Flyers a écrit sur son affiche que Cammalleri pue -stinks- ou empeste) qui montait du vestiaire de sa bande de vauriens sur patins. S'il est vrai, comme il le prétend, qu'il magasinait Cammalleri à travers la Ligue Nationale depuis au moins un mois, gageons qu'il a vite renoncé à chercher une meilleure valeur en retour de son no 13 quand celui-ci a commencé a déblatérer sur son club de "losers". Dans ses pourparlers avec son homologue des Flames de Calgary, certaines sources attestent que c'est le gros défenseur Jay Bouwmeester que Gauthier voulait obtenir en retour de Cammy le pourri. Mais après les déclarations incendiaires de celui que ses coéquipiers avaient surnommé "Me, Myself and Mike", Gauthier devait agir rapidement pour stopper l'épidémie de jérémiades et de pointages de doigts qui dégradaient l'ambiance de la chambre des joueurs. Voyant son vis-à-vis en position de faiblesse, le DG des Flames en a profité pour lui refiler son propre joueur-problème : Rene Bourque. Cammy et lui, deux indésirables qui changent d'adresse (et s'échangent leur maison semble-t-il !) : les deux DG se sont accommodés l'un l'autre. Incapable de marquer depuis le début de la saison, Cammalleri n'avait plus aucune utilité pour son équipe. Pire que cela, il nuisait carrément au torCHon puisque c'est connu depuis longtemps que monsieur ne sait pas ou ne veut pas jouer défensivement. Ni se salir le nez dans le trafic. Encore moins appliquer des mises en échec, car il craint tout contact physique. Avec le physique de ouaouaron qu'il a, c'est facile de comprendre pourquoi il se tenait loin des bandes.



Pour sa part, Bourque (photo) était critiqué à Calgary parce qu'il ressemblait à l'ex-vedette des Habs, Alex Kovalev qui, ironie du sort, portait le numéro 27 que la nouvelle acquisition du CH porte maintenant avec les CHieux. En quoi les deux joueurs sont-ils comparables ? Pas au niveau du talent ou de la finesse. Comme Kovy, Bourque ne se "forcerait" pas trop. Il jouerait quand ça lui tente, c'est-à-dire environ un match sur quatre. Les trois autres, on se demande s'il fait partie de la formation. Il se laisse flotter en passant inaperçu. Gauthier a expliqué son échange en disant que les CHaudrons avaient besoin de se grossir. D'avoir un joueur robuste autour du filet, qui marquerait des "garbage goals", les seuls buts qui se marquent désormais d'après lui, dans la NHL. Wow ! Il était temps que Gauthier se réveille et se rende compte qu'il avait un club de schtroumfs ! Tous les amateurs de hockey de douze ans et plus le savent depuis des années ! D'un autre côté, Bourque, un Albertain de 6'2" pesant 211 lbs, n'aura pas de mal à s'acclimater au club moronréalaid. Son curriculum vitae mentionne qu'il a tendance à éprouver des ennuis de concentration et à fonctionner par bourrées (exactement comme 90% de ses nouveaux coéquipiers). Il traverse souvent de longues léthargies offensives, se blesse fréquemment et adopte parfois un comportement irresponsable qui lui vaut des suspensions, comme la dernière de cinq parties qu'il vient de compléter. Depuis le début de sa carrière, l'ailier de 30 ans qui a également joué pour Chicago, a maintenu une moyenne de 0,55 point par partie (contre 0,75 pour Cammalleri). Mais cette saison, comme Cammy, il sous-performait et il était devenu presque un boulet pour les Flames. Bon, voyons son acquisition comme une pierre moins friable dans la reconstruction de l'édifice branlant des Cannes à CHiens. Une 19e année de reconstruction depuis la dernière Coupe Stanley des ex-glorieux. Normalement, ce serait un gars de troisième trio, mais avec les petits CHieux, on a besoin de lui pour accompagner et protéger les nains qui évoluent sur les deux premiers trios. Du reste, il ne faudrait pas se surprendre que d'autres bouts de choux ne soient plus avec le Caca au début de la prochaine saison. Gomez, Gionta et Webber pourraient suivre l'exemple de Cammalleri et se retrouver sous d'autres cieux. En attendant, on a deux gars de petite stature aux postes-clés de joueurs de centre no 1 et no 2 : Plekanec et Desharnais. Pas de quoi faire peur à leurs vis-à-vis des autres clubs... Surtout à l'approche du match des étoiles, après lequel le jeu va se corser et départager les vrais hommes des enfants d'école, poids plume.



La semaine passée a été plus mouvementée dans la chambre des joueurs du torCHon que sur la patinoire. L'air s'est quelque peu purifié avec le départ de la bête puante à Cammalleri. Mais il reste des pommes pourries comme Subban, Price, Kostitsyn, et Kaberle qui sont loin d'embaumer l'air ambiant des CHieux. Les deux derniers joueurs ci-dessus mentionnés pourraient eux aussi se voir montrer la porte de sortie. On a besoin de se dégager une marge de manoeuvre financière pour refaire l'équipe. Quant à Subban, le joueur le plus détesté de la Ligue (et encore plus haï après avoir craché sur Del Zotto hier), l'état-major devra bien y penser avant de renouveler son contrat ce printemps. Même chose avec Price qui voudrait signer une entente de dix ans, d'après ce que l'on a entendu à travers les branches. Un contrat en or, à la Rick DiPietro ? Les dirigeants de la CHiasse sont bien capables de commettre une telle erreur et d'hypothéquer ainsi l'avenir de leur club de broches à foin. Bref, ça ne sent pas la rose dans l'entourage de ce club de carcasses de viande avariée. Et même que ça sent le renfermé et qu'on ressent beaucoup d'humidité : deux phénomènes communs qui sont normaux quand un club est...dans la cave (du classement).


La CHnoutte a réussi à garder la tête hors de l'eau grâce à sa récolte de trois points en fin de semaine. Mais l'équipe de Cunneyworth est toujours incapable d'amorcer une série victorieuse qui pourrait lui permettre de revenir dans la course à une participation aux éliminatoires de fin de saison. La semaine qui vient sera encore plus cruciale car le torCHon affronte trois adversaires (Capitals, Penguins, Leafs) qu'il doit absolument vaincre pour garder ses minces chances (évaluées généreusement à 15% par SPORTSCLUBSTATS.COM) de faire les playoffs. Sportsclubstats a établi à 88 le nombre de points nécessaires pour participer aux séries Stanley. Normalement c'est plus 92 ou 93 points que ça prend. Peu importe, le Caca doit gagner deux parties sur trois au cours des douze prochaines semaines pour espérer atteindre son objectif de prolonger sa saison au-delà du mois d'avril. Il doit également compter sur les déboires de plusieurs clubs qui les précèdent directement au classement de la Conférence de l'Est. On dit qu'avec plusieurs "si" on va à Paris. Le Caca lui, avec ses "si", risque d'aller nulle part sauf chez le diable... Au plus grand plaisir des anti-habs !

jeudi 12 janvier 2012

GIONTA ET PRICE FOUS FURIEUX : HALAK ET LES BLUES EMBOUTEILLENT LE CACANADIEN ET BRASSENT DE LA MÔLLESOUNNE À FEFANS'LAND !


On aurait annoncé que le pape a eu un enfant avec Lady Gaga, personne à Mourial n'en aurait fait de cas. Le Prof Caron est mort, les fefans se sont dits : «c'é qui lui ? C'é-tu le gars qui faisait le personnage de monsieur Caron dans RBO ?» Le pont Champlain serait tombé, les moronréalaids assistant au match d'hier soir au Centre PouBell auraient haussé les épaules en se disant «cou don, on rentrera chez nous à la nage». Non, rien n'était important à fefans'land à part le duel tant attendu entre Jaroslav Halak et Scary Price. On allait enfin savoir qui était le meilleur. Ou plutôt, on (les fefans) allait confirmer que Price est incontestablement le meilleur "goaleur" au monde. La question à 6 millions de dollars qui passionne tout le pays serait enfin tranchée après deux ans de débats enflammés et des océans de salive gaspillée sur les lignes ouvertes... De plus, les mordus du torCHon étaient excités comme des rats se ruant sur une brique de fromage moisi à point, convaincus-cus-cus que leur super CH était relancé après leur plus longue série victorieuse de la saison, c'est-à-dire, deux matchs gagnés récemment contre des clubs poches. Histoire de conforter la croyance des partisans à savoir qu'elle avait eu raison de garder Price et d'échanger Halak, l'organisation CHieuse avait choisi de retarder d'une semaine la remise de la Coupe Molson pour le mois de décembre. Le récipiendaire était bien sûr Scary Price en personne. C'est toujours lui qui gagne à tous les mois. Pourtant il ne lui manque qu'une défaite pour être le pire gardien dans cette catégorie de statistiques (seul Jonas Hiller des Ducks a plus de défaites -23- que lui). Ça vous en dit long : le pire "loser" de la LNH est, sans conteste et de loin, le meilleur joueur de la CHiasse (alors que Halak ne perd plus depuis le mois de novembre, soit depuis que Hitchcock a pris la relève derrière le banc des Blues) ! Wow ! De toute façon, la Coupe Môllesounne n'intéressant pas grand monde à part quelques enfants pré-pubères ou des fanatiques jusqu'auboutistes, Price n'a eu droit qu'à des applaudissements polis de la part des fefans bipolaires lorsqu'on lui a présenté le trophée merdique (on verra plus loin que Halak, lui, a eu droit à deux grosses ovations à la fin du match). À part s'en servir comme crachoir ou pour dégueuler dedans quand il est saoul, que voulez-vous que Scary fasse de ce bol de métal froissé qui ramasse la poussière ?



En cette grande soirée marquant le retour à MaurYial du seul homme qui a fait vivre de bons moments aux fefans depuis près de vingt ans, on pouvait s'attendre à quelque chose de spécial. C'était dans l'air. Dès le début de la rencontre Blues/Caca, on a bien vu ça ! En fait, je n'avais jamais vu ça ! Je me frottais les yeux, pour être certain que je voyais bien, incrédule devant une telle domination de l'équipe du vieux Hitchcock. La patinoire ressemblait à une "pin-ball machine". Chaque fois qu'un CHieux touchait à la rondelle, il l'a perdait tout de suite, commettait un revirement (incroyable total de 21 dans la partie), se faisait plaquer, voyait sa passe interceptée ou était obligé de se débarrasser du disque sous la forte pression exercée par les adversaires qui semblaient partout sur la surface glacée. Pas de place sur la patinoire, pas le temps d'organiser quelque jeu que ce soit... Invraisemblable. Une vraie souricière ! Les joueurs de la CHarogne obtenaient-ils un jeu de puissance ? Même résultat : embouteillés comme de la Molson éventée ! En près de cinq minutes d'avantage numérique : un seul lancer, une balloune de 45 pieds de Diaz. Les HabsNots sont bons derniers de la Ligue en supériorité numérique avec un pourcentage anémique de réussite de 12,8 %. À titre comparatif, les Canucks sont premiers dans ce département avec un taux de réussite de 23,4 %. Et ce n'est pas les opportunités qui manquent au jeu de puissance du Caca. Leur attaque à cinq arrive au 4e rang pour le nombre d'avantages numériques obtenus. C'est pas mêlant, les attaquants de la CHiasse sont comparables à des soldats qui iraient à la guerre avec des fusils à eau ! Hallucinant ! Une savante et brillante démonstration de ce qu'il ne faut PAS FAIRE avec un ou deux hommes en plus sur la patinoire... Des 19 tirs au but qu'ils ont réussis (plus faible total cette saison), au plus cinq ou six étaient menaçants. Les seules chances réelles de marquer ont été l'échappée de Plekanec en désavantage numérique au début du match, et celle de Darche, plus tard. Mais comme ces deux andouilles marquent rarement depuis le début de la saison, faut-il s'étonner qu'ils aient raté leur coup encore une fois ? Les autres pousseux de puck du "Holy Tweed" ont été égaux à eux-mêmes, c'est-à-dire nuls à chier.. Le trio Plekanec-Cammalleri-Gionta a été témoin des trois buts des Blues qui eux, contrairement à leurs opposants, sortaient aisément de leur territoire, se faisaient des passes précises et n'avaient aucune difficulté à envahir à toute vitesse la zone des Habs. Les défenseurs Subban, Gill et Emelin ont été tour à tour fautifs sur les buts du club de St-Louis. Du vrai travail d'amateur : contournés plus facilement que des cônes ou se faisant déculotter comme des enfants par des prêtres pédophiles.


Ça m'a fait bien rire quand j'ai entendu les analystes de RBS dire que Cammalleri n'avait pas fait sa couverture défensive sur les deux premiers buts des Blues. L'avez-vous déjà vu se replier comme il faut dans sa zone depuis qu'il joue pour les CHaudrons ? Les nombreux "mini-go" de la CHnoutte font du ski nautique quand ils tentent de freiner les gros joueurs adverses. Peut-il en être autrement puisqu'ils sont gros comme des poux ? Même phénomène en ce qui concerne la fameuse stratégie du "dump and chase". Croyez-vous vraiment que ces schtroumfs peuvent récupérer la rondelle dans le fond de la zone adverse quand ils font face à des défenseurs qui mesurent presque tous 6' 2" en montant et pèsent plus de 200 lbs ? D'ailleurs, parlant de nain ou de lutin, le petit Cap'tain Crouch, Brian Gionta, s'est fait bobo en 3e période en allant s'adosser tranquillement à la clôture derrière le but de Halak. Peu de temps après, il a dû retraiter au vestiaire non sans avoir préalablement lancé violemment son hockey contre un mur. Ça doit être en se dérageant ainsi qu'il s'est abîmé un biceps et qu'il a dû être opéré aujourd'hui pour recoller le morceau. On est pas près de le revoir dans l'uniforme bleu, blanc, merde. Mais ça lui évitera peut-être d'être échangé contre deux roulettes de "tape" et une douzaine de cintres dans la vente de feu qui s'annonce pour bientôt du côté du torCHon. Pas de problème ! Le CanaCHien peut se passer de lui puisque la merveille CHauve Scott Gomez sera de retour au jeu cette semaine après une couple de mois de vacances payées. Il était parti en "no where".



À la fin du match, ça faisait déjà un bon bout de temps que le gros des fefans avaient déserté l'édifice, déçus et honteux d'avoir vu leurs vauriens se faire bafouer par une équipe absolument supérieure en vitesse, en vaillance, en finesse, en robustesse, en agilité, en savoir-faire et en talent. Le duel tant attendu entre les deux cerbères qui s'affrontaient n'a même pas eu lieu. Les coéquipiers de Halak l'ont tellement bien protégé, les CHaudrons ont tellement été inoffensifs, que le gardien des Blues n'a eu que quelques bons arrêts à faire pour blanchir son ancienne équipe, une main dans le dos. Les quelques centaines de partisans du CHiendent qui sont restés jusqu'à la fin, ont scandé son nom et l'ont ovationné à deux reprises, une fois avant qu'il quitte la patinoire, et une seconde fois lorsqu'il a salué la "foule" en faisant son tour d'honneur après avoir été nommé la première étoile du match. Malheureusement, le réseau bull shit (RBS) a été trop mesquin pour présenter ce spectacle humiliant pour Molson et l'état-major du Caca. Je me suis repris en allant voir le tout sur YouTube. Pendant ce temps, dans le vestiaire des CHieux, Price, sans doute jaloux et frustré, était furieux et garrochait son équipement dans son grand sac, en prévision d'une autre catastrophe qui l'attend d'ici peu. Cette crise bipolaire était accompagnée de jurons bien sentis. Mercredi, lui et Pacioghetti étaient en thérapie pour des blessures mineures. Signe que les fefans ont perdu espoir ou/et sont gênés par la déconfiture de leur club de merde, il n'y avait pas un chat dans les gradins au site d'entraînement des CHaudrons à Brossard. D'habitude la place est pleine de niochons qui n'ont rien d'autre à faire que de regarder une bande de sans dessein faire semblant de s'exercer à on ne sait trop quoi...

Hué par les fefans à cause de sa saison de misère et de son jeu désolant, Mike Cammalleri y est allé de déclarations incendiaires après le match et dans la journée de mercredi. D'après lui, le club dont il fait partie a une attitude de "losers". Cammy se voit définitivement ailleurs et il prend les moyens pour se sortir de l'asile du Centre PouBell. Les fefans ont enfin découvert le vrai Cammalleri, l'enfant de chienne rejeté par les Kings et les Flames et qui avait offert ses services d'agent libre à Brian Burke, le DG des Leafs de Toronto (d'où Cammy est natif). Burke avait répondu "beurk" avec dédain, en insistant publiquement sur le fait qu'il ne voulait pas de cet égoïste "loafeur", même à rabais. Soulignons également que le fils à moman, Lars Eller, n'a rien fait qui vaille contre son ancien club mardi. Zéro chance de marquer et trois revirements commis. Disons plutôt qu'il a aidé les Blues par sa performance déplorable. Les Bruins, les Senators et les Rangers pourraient achever les CHaudrons au cours des prochains jours. Comme dirait Yvon Lambert, "y vont souffert"... Envoye, envoye la p'tite tite tite, envoye, envoye la p'tite équipe ! En enfer !

mardi 10 janvier 2012

SPECTATEURS AGITANT DES DRAPEAUX DU QUÉBEC DANS LE CENTRE ANGLO-BELL : PRICE CROYAIT QUE C'ÉTAIT POUR LE RETOUR DES NORDIQUES !


Profitant presque d'une soirée de congé face aux joueurs du Lightning, qui n'ont joué que des rôles de figurants dans leur défaite de 3-1 aux mains des Montreal Americans, le gardien de buts Scary Price a eu tout le temps et le loisir d'observer ce qui se passait dans les gradins du Centre PouBell samedi soir. Comme ses coéquipiers, Price n'était pas au courant qu'une manifestation de quelques centaines de militants des Mouvements Québec Français et Montréal Français avait eu lieu avant la partie, devant le Centre Bell, pour dénoncer le manque de respect de l'organisation des Habs envers la législation linguistique du Québec et, du même coup, envers sa clientèle francophone. Les protestataires invitaient les spectateurs à accepter le petit drapeau du Québec qu'ils leur offraient afin qu'ils l'agitent durant le match en signe de soutien à leurs revendications. L'embauche d'un instructeur unilingue anglais (Randy Cunneyworth) par Pierre Gauthier et Geoff Molson, les patrons hockey du club de hockey de l'establishment anglais de MountReal, a déclenché ce mouvement de protestation. La grande majorité des fefans ont refusé le drapeau que les manifestants voulaient leur donner. D'autres s'esquivaient ou se faufilaient en couillons, à travers la cohue, afin d'éviter les nationalistes québécois. Ces derniers faisaient quasiment rire d'eux par les nombreux partisans anglophones des CHaudrons, dont quelques-uns qui arboraient une petite affiche sur laquelle était écrit :« I love Randy". Pour en revenir à Price, lorsqu'il a vu les spectateurs qui brandissaient le drapeau fleur-de-lysé, il a cru que c'étaient des gens de Québec qui manifestaient en faveur du retour des Nordiques ! Dans sa méprise, Scary était paradoxalement criant de vérité ! Oui, il faut associer le beau drapeau bleu et blanc du Québec aux Nordiques : le seul véritable club de hockey professionnel qui a fait honneur au français durant sa trop courte existence ! Les rouges (torCHon), c'est le club privé des "red necks" du west island.



Les joueurs du Caca ignorent ces querelles linguistiques puisqu'ils peuvent parfaitement vivre en anglais dans leur somptueuse demeure de l'ouest de la métropole. Et quand la saison de hockey est terminée, ils retournent chez eux aux USA ou en Europe. "Never mind Montreal". Ils sont ici à défaut d'être ailleurs. Pour faire du ca$h... Oh, il y a bien les désagréments de l'impôt, du climat, de la laideur de la ville, des fefans bipolaires débiles, des taches à marde de journalissssssses, de la participation à des oeuvres de charité du côté des francos, mais avec les millions de $ qui rentrent quand même dans leurs poches, ça vaut bien quelques sacrifices... Quant aux Molson, le seul langage qu'ils comprennent vraiment c'est celui du signe de piastre ($$$). Et le Mouvement Québec Français le sait très bien. C'est pourquoi son président, M. Mario Beaulieu a déclaré durant la manifestation de samedi dernier : «Nous demandons au club "Les Canadiens" d'agir rapidement pour respecter sa clientèle québécoise. Nous n'excluons pas de poursuivre nos actions ou d'appuyer activement le mouvement de boycott des produits Molson». Pour M. Beaulieu, la nomination d'un entraîneur strictement anglophone n'est que la pointe de l'iceberg dans ce dossier. Il dénonce avant tout la culture d'entreprise des dirigeants de la CHiasse. Des dirigeants qui «transgressent allégrement la loi 101 en imposant le travail en anglais seulement. À peine deux joueurs réguliers sont francophones; la musique d'ambiance était totalement en anglais jusqu'à mercredi dernier; les annonces sont bilingues sans prépondérance du français et ce, malgré la loi 101; il y a belle lurette qu'un capitaine de l'équipe ne s'est adressé en français à ses supporteurs». Notons que cette anglicisation de MortYial n'est pas exclusive au cas du CH. Loin de là ! Plus de la moitié des habitants ne parlent pas français dans la métropauvre. Et bonne chance si vous voulez vous faire servir en français dans les commerces du centre-ville ! Il s'agit de tout un retour en arrière ! Un retour aux années '50, où les "collets montés" anglais vous répondaient "speak white" lorsque vous osiez vous adressez à eux en français.



Samedi soir, Denis Trudel, du Mouvement Montréal Français, a agrémenté son discours de protestation d'un sarcasme bien senti envers le Cacanadien : «Devant tous ces constats, on se dit que dorénavant le Canadien devrait perdre son surnom de "Sainte-Flanelle" pour "Holy Tweed" ! Le club de hockey et le Centre Bell doivent respecter le statut du français comme langue commune et respecter la législation québécoise». Bof ! Quant à moi, que les Molson et leurs "suiveux" continuent à mépriser les Québécois. Ceux-ci, ceux qui comprennent et voient clair, viendront rejoindre les fiers partisans des Nordiques quand ils reviendront nous faire honneur à Québec ! Que revivent les Nordiques DU Québec ! EN FRANÇAIS ! De toute façon, le Canadien et ses propriétaires majoritaires, ça ne vaut pas de la marde, que ce soit sur la glace avec leurs mercenaires poches, que ce soit avec leur bière pas buvable, ou dans leurs relations avec leurs cruCHes de partisans qu'ils exploitent et fourrent à l'os !

samedi 7 janvier 2012

L'EXCITATION DES SÉRIES ÉLIMINATOIRES DE LA NFL : ÇA CHANGE DE LA PLATITUDE DES MÉDIOCRES CANACHIENS DE MOURIAL !

Ces temps-ci, mon attention est plus tournée vers les séries éliminatoires de la Ligue Nationale de Football que sur le club poche des Mountriawl Americans. Ce soir je vais surveiller du coin de l'oeil ce qui se passe devant le Centre JingleBell alors que le Mouvement Québec Français essayera de faire honte à l'organisation broche à foin du torCHon. J'espère que les manifestants confectionneront de belles affiches pour se moquer de l'état-major et des joueurs des CHieux ! Le match Lightning/Caca devrait être suffisamment ennuyant pour que je regarde la fin du match de football (wild card) entre les Bengals de Cincinati et les Texans de Houston. Ensuite, dans la seconde partie du programme double de la NFL, le spectacle est fort prometteur puisque les Lions de Détroit se rendent au Superdome de la Nouvelle-Orléans pour y affronter les puissants Saints. Ce sera autre chose qu'une joute de hockey sans intérêt entre Tampa Bay et MortYial, deux clubs de bas de classement. À moins que les nombreux petits drapeaux du Québec distribués aux spectateurs par le Mouvement Québec Français, aient un effet spécial sur les fefans bipolaires de la CHiasse ! Juste une petite remarque concernant l'ambiance au Centre PouBell pour les parties des CHaudrons : Kevin Gilmore, un porte-parole des Molson, a déclaré que le service du marketing s'efforçait de rendre l'expérience des spectateurs encore plus agréable lorsqu'ils assistent aux matchs. Un effort est notamment fait en ce qui concerne la musique d'ambiance (qui sera probablement davantage francophone -tiens tiens tiens, justement une demande du Mouvement Québec Français-). Ce que j'aime de monsieur Gilmore, c'est le titre de sa fonction : "chef de l'exploitation". Wow ! Ça en dit long : chef de l'exploitation des fefans ! On sait qu'après Toronto, c'est à Mourial qu'on charge le plus cher pour les billets, la bière et la multitude de gugusses que l'on vend aux partisans du club de hockey local...



Pour ceux que ça peut intéresser, rendez-vous sur mon blogue FOOTBALL MANIA AVEC HACKSAW (http://footballmaniaavechacksaw.blogspot.com) pour lire et commenter mes analyses et mes prédictions sur les matchs éliminatoires de la NFL. Et qui dit football dit également jolies cheerleaders ! Comme celle qui apparaît ci-dessus ! Elle incite les partisans des Broncos de Denver à encourager leur équipe. On est loin des p'tits gars qui patinent en titubant avec un drapeau trois fois plus gros qu'eux, avant les parties du Caca au Centre PouBell !

jeudi 5 janvier 2012

JOUET SEXUEL LANCÉ SUR LA PATINOIRE DU CENTRE POUBELL : LARS ELLER PROCURE UN RARE ORGASME AUX FEFANS MORONRÉALAIDS !

Ça faisait une éternité que les fefans et le CH n'avaient pas fait l'amour ensemble (célébré une victoire à domicile), à la maison. En fait, depuis le 20 novembre 2011, le couple CHicolore n'avait joui qu'une seule fois au lit, ensemble. Habitués de voir leur "conjoint" scorer si peu depuis si longtemps, les mordus du torCHon étaient terriblement en manque de "sexe". C'est pourquoi ils ont eu un immense orgasme quand un gars qui ne score jamais ou presque (Lars Eller) a miraculeusement doublé sa production annuelle de buts en en enfilant quatre en une seule soirée. Quatre buts par un seul joueur des CHaudrons (même en un mois), c'est plus que phénoménal en ces temps de misère où les vingt joueurs de la formation arrivent rarement à en marquer plus que deux par partie ! C'est sans doute pourquoi, une partisane de la CHiasse, réduite depuis belle lurette à devoir se masturber pour trouver du plaisir en assistant à un match de ses favoris, a lancé son jouet sexuel sur la glace (photo ci-dessous) quand le beau grand blondinet (Lars le sexy Danois) a complété son tour du chapeau. Elle, comme les 21 000 autres frustrés à ses côtés, ne se pouvait tout simplement plus ! J'imagine qu'il y avait aussi quelques bobettes parmi les détritus qui ont inondé la surface glacée du Centre PouBell... Le plus extatique était Eller lui-même. Il n'en revenait pas. Et avec raison. Il a avoué qu'il ne s'attendait pas à répéter cet exploit d'ici la fin de ses jours. Tellement incrédule et au 7e ciel le jeune bébé Danois, qu'à défaut de pleurer dans les jupes de sa mère, au Danemark, il lui a parlé au téléphone en braillant une bonne partie de la nuit. Fallait le voir "faire simple", comme ils disent au Lac St-Jean, durant son tour d'honneur sur la patinoire après avoir été nommé la première étoile par les fefans. Pendant que ces derniers l'acclamaient follement, Eller en a redemandé. Bien conscient qu'un pareil miracle ne se reproduirait pas. Et pour servir la propagande CHicolore. Il est évident que les dirigeants des CHieux sont toujours très inquiets au sujet de la manifestation du Mouvement Québec Français, prévue avant la joute de samedi soir contre Tampa Bay. Tellement inquiets que le "head coach" Randy Cunneyworth a demandé le silence aux journalistes en commençant son point de presse. Mesurant son effet "coup de théâtre", la tête carrée de Toronto a déclaré, en français s'il-vous-plaît : "Je suis très content pour Lars". Ayoye ! Faut-il qu'ils aient assez peur, les Molson et leurs valets, pour exposer leur entraîneur-chef au ridicule de parler un français boiteux ?! Ils semblent assis sur un baril de poudre. Qui sait si les fefanatiques du CH (y compris de nombreux anglophones) n'en viendront pas aux coups avec les nationalistes du Mouvement Québec Français samedi ? Ils sont si excités après cette deuxième victoire de leur glorieux à leurs neuf derniers matchs !



Si seulement cette victoire avait été méritée au lieu d'être donnée par les Jets, le deuxième pire club de l'Est quand il évolue à l'étranger (5-9-4). Mais quand tu as vraiment faim, tu manges n'importe quoi ! Les fefans exultaient peut-être aussi pour remercier le ciel d'avoir créé des conditions gagnantes. Et Dieu sait s'il en faut pour que le torCHon gagne ! D'abord, le gardien Pavelec, des Jets, n'était pas dans son assiette. À sa décharge trois des buts qu'il a alloués ont été marqués à la suite de tirs déviés : un a dévié sur la culotte de Enstrom (-3); un autre a ricoché sur le bâton de Oduya et un lancer de Cammalleri a trouvé le fond du filet après avoir touché le patin de Bogosian. Et, je regrette, il n'y avait pas matière à décerner un tir de pénalité sur le jeu qui a ouvert la porte au 4e but de Eller. Celui-ci n'était pas en échappée claire et nette. Il était en échappée partielle. Ron Hainsey le retenait mais pas complètement par-derrière. Ça méritait au plus un deux minutes. Pas un lancer de punition ! L'arbitre a voulu contribuer au spectacle et plaire à des milliers de fefans en délire... Pas digne d'un circuit professionnel. Ce genre de faute n'aurait pas été possible dans la Ligue Nationale de Football. L'officiel a même commis une double faute puisque le but de Eller aurait dû être refusé. Il s'est amené devant le gardien Mason; il a freiné brusquement dans son demi-cercle en l'enneigeant (voir photo ci-dessous); il était dans ses jambes en faisant son 360° (spinorama) avant de tomber par-dessus lui. En faisant sa manoeuvre spectaculaire, Eller a fait bouger la rondelle par-derrière : ce qui n'est pas permis par le règlement des lancers de punition... En étant dans le demi-cercle et dans les jambes de Mason, Eller faisait de l'obstruction et empêchait le gardien de faire l'arrêt... Tout à fait débile et illégal !



Après la rencontre, Claude Noël, l'entraîneur des Jets, affirmait ne pas avoir reconnu son équipe, du moins pas celle qu'il a dirigée en décembre (10-3-1). Il a déploré le manque de passion, de coeur, de détermination et de feu sacré de sa troupe. En termes plus concrets, soulignons l'échec-avant déficient de ses joueurs, leur mollesse et leur négligence dans leur territoire, les erreurs ou l'absence de couverture adéquate devant leur filet (les CHieux se promenaient librement dans l'enclave), les nombreux revirements ou les "cadeaux de rondelles" offerts à leurs adversaires (trois "give-away" chacun par les défenseurs Mark Stuart et Ron Hainsey -un pourri repêché par le CH-). Andrei Kostitsyn (qui se présente une fois à tous les sept parties) est à son mieux dans ce genre de match "mollo". Contre un club solide, il n'aurait pas fait le tour de la zone offensive sans se faire "ramasser", comme il l'a fait avant de passer à Eller sur son 3e but.



Le plus drôle c'est que, malgré leur très mauvaise performance, les Jets auraient pu remporter cet affrontement. Price (qui a encore cafouillé en-dehors de son filet en commettant trois revirements) était chancelant (il l'est depuis longtemps, ce qui augure mal pour les CHaudrons) et les Jets ont trop souvent manqué la cible (15 tirs ratés). Alors que le pointage était 3 à 2 pour les CHieux, un lancer de Bogosian, durant un avantage numérique, a semblé percer la mitaine de Scary avant de frapper le poteau du but. Un poil de moins et c'était 3-3. Peu confiants lorsqu'ils perdent l'avance (c'est arrivé quinze fois cette saison) les CanaCHiens auraient pu tout aussi bien perdre leurs moyens et s'écraser en 3e période. Outre la tenue inquiétante de Price, qui semble manquer de concentration, le jeu de l'invisible Max Pacioretty laisse énormément à désirer (un petit but en 13 matchs) depuis qu'il a été suspendu pour avoir mis Kris Letang au rancart. Hal Gill (photo ci-dessus) le numéro 75, semble porter son âge sur son dossard. Il n'est plus capable de patiner, de se tenir debout et encore moins de se battre, comme il l'a encore démontré en jetant les gants en fin de match. Il est au bout du rouleau et la fin approche pour lui. Comme Tomas Kaberle, Gill n'a joué que 9:35 minutes à forces égales (12:17 au total). On verra bien ce qui se passera samedi contre le Lightning. Le Caca peut-il coller deux gains de suite ? C'est rare que ça s'est produit cette saison. Faut-il s'attendre à du grabuge avec la manif du Mouvement Québec Français ? Je ne crois pas. Les fefans ont eu leur nananne avec cette victoire de 7-3. Ils vont se tenir tranquilles. À moins que le Lightning donne une correction à leurs protégés... La situation pourrait alors dégénérer avec cette bande de...dégénérés. En attendant ils ont repris espoir et sont encore en coït à la suite de l'orgasme que leur a procuré Lars "la farce" Eller (qui repasse perpétuellement en boucle l'enregistrement de ses buts de mercredi soir -4 buts le 4 janvier-). En marquera-t-il autant durant tout le reste de la présente campagne ? Faudrait pas parier là-dessus !

mardi 3 janvier 2012

L'AUTO-DESTRUCTION DES CANACHIENS DE MORTYIAL EST COMMENCÉE ?

La nouvelle en a fait pouffer de rire plus d'un : Subban et Plekanec qui en viennent aux coups durant une séance d'entraînement à Brossard. Une bataille à coups de mouchoir ou de bouteilles d'eau ? "Turtle neck" Plekanec ne s'est jamais battu depuis le début de sa carrière dans la LNH, et Subban se bat comme une fillette, comme le prouvent ses cinq combats "forcés" au cours des deux dernières saisons. L'art de mal paraître et de passer pour le tata qu'il est. Pour que Pleky, un gars tranquille comme un ruminant dormant dans un champ de pâquerettes, veuille se salir les mains en essayant de casser la gueule du jambon à P.K., faut vraiment qu'il ne soit plus capable de l'endurer ou de le sentir ! Faut comprendre le no 14 du torCHon. Il est frustré parce qu'il ne joue pas bien dernièrement (différentiel de -10 cette saison) et qu'il voit (comme bien d'autres de ses coéquipiers) Subban saboter ses efforts en commettant toujours les mêmes gaffes et en faisant perdre les CHaudrons plus souvent qu'à son tour. Si au moins P.K. prenait son trou et arrêtait de se prendre pour super man dans le vestiaire et durant les pratiques... Mais non ! On l'entend toujours jacasser et péter plus haut que le trou. C'est fatiguant pour son entourage à la longue... Sans compter que pour Plekanec, c'est toujours la même rengaine année après année : on le sur-utilise jusqu'à l'épuisement à cause du manque de joueurs de talent autour de lui. C'est un joueur de centre de deuxième trio qui doit se taper le rôle de joueur de centre no 1 du club, sans en avoir les moyens ou le potentiel. C'est un fabricant de jeux dont les passes ne sont pas converties en buts par des gars comme Cammalleri ou Kostitsyn. Des capricieux ou des lâches qui ne font pas leur job de marqueurs. Un gars s'écoeure...à un moment donné, à force de se débattre presque tout seul au sein d'une offensive qui se situe à l'avant-dernier rang de l'Association de l'Est (seuls les Islanders ont marqué moins de buts que la CHiasse). Plekanec est un des rares CHieux qui déteste perdre et qui a le bien de l'équipe à coeur. Et, en passant, les défenseurs des CHieux ne contribuent pas beaucoup à l'attaque, y compris Subban avec ses lancers hors cible qui abattent des mouettes ou des montées spectaculaires qui finissent en queue de poisson...



Hier, Pierre Gauthier s'est excusé aux fefans pour la mauvaise première moitié de saison du Caca et pour se faire pardonner d'avoir nommé un entraîneur unilingue anglais le 15 décembre dernier, en remplacement de Jacques Martin, qui repose désormais en paix avec un bonus d'un million de dollars pour se fermer la boîte. Bien souvent, "qui s'excuse s'accuse". Mais ces plates excuses du DG du CHicolore étaient avant tout destinées à désamorcer la crise linguistique qui risque de secouer le Centre PouBell samedi prochain quand le mouvement Québec Français dirigera une manifestation pour protester contre le fait que les Molson bafouent les demandes et les désirs des partisans francophones de son club. Des fans qui paient $ 400 par soir pour avoir le privilège de débourser plus de $ 10 par verre de bière et avoir droit à du hockey qui ne vaut pas 10 ¢... Des fefans qui commencent à faire des indigestions avec la quantité impressionnante de couleuvres que Gauthier leur a fait avaler récemment. Des promesses d'ivrognes comme celle d'une équipe aspirante à la Coupe Stanley; comme celle d'un général à la ligne bleue (Markov, à qui il a consenti un contrat de trois ans valant 17,25 M. de $) et qui devait être dans l'alignement au début de la saison (il est en Floride et continue de soigner son genou de plâtre); comme celle de cette solution de rechange pour Markov en donnant 1,75 M. de $ à Chris Campoli (il n'est même pas assez bon pour être dans la formation régulière ces temps-ci); comme celle de Tomas Kaberle qui devait requinquer le jeu de puissance de la CHiasse. Tous des coups d'épée dans l'eau... Gomez devait être meilleur que l'an passé, ce qui n'était vraiment pas risqué comme promesse, vu qu'il avait été tellement pourri... On connaît la suite, le "Gomer" a trouvé le moyen d'être encore pire cette année, d'être un moins que rien...

Bien sûr, Gauthier se réfugie derrière l'excuse des blessures pour expliquer la piètre saison de ses canassons et gagner du temps afin de sauver son poste. Quand les blessés reviendront au jeu (à supposer que d'autres ne se blesseront pas à leur tour, ce qui est illusoire avec le genre de joueurs -petits, surtaxés physiquement, fragiles ou vieux- que le CH compte dans ses rangs) ils vont tout renverser sur leur passage, selon le patron hockey des ex-glorieux. Et ce miracle arrivera dans le contexte de la vraie saison qui commence généralement après le match des étoiles, quand les équipes jouent du hockey plus intense et viril. Mais en sur-évaluant sa bande d'incapables, en prétendant, avant la saison, qu'ils appartenaient au premier tiers des clubs de la Ligue, le DG des CHaudrons oubliait que ces équipes de haut de classement appartiennent justement à l'élite du circuit Bettman parce qu'elles ont de la profondeur et des réserves suffisantes pour parer aux coups durs, ou au mauvais sort des blessures nombreuses. Les bonnes formations ont ce genre de ressources parce qu'elles ont obtenu de bons jeunes lors des repêchages et parce qu'elles possèdent aussi des joueurs de talent dans les ligues mineures. Leurs joueurs de 3e ou de 4e trio (souvent acquis grâce à de bons échanges ou signé sur le marché des joueurs autonomes) et leurs défenseurs subalternes peuvent aussi relever leur jeu d'un cran pour bien assurer la relève quand des joueurs clés tombent au combat. Ce n'est pas le cas pour un club dépourvu et démuni comme le Cacanadien, qui collectionne plutôt des deux de pique, des moumounnes de 5'8" ou moins, des vieux cancers ou des gars qui jouent les hommes invisibles en attendant d'aller jouer ailleurs. D'ici la fin du mois, si ses joueurs si "extraordinaires" ne redressent pas la situation périlleuse dans laquelle le club de Gauthier se retrouve, ils pourraient devenir soudain moins fantastiques et servir de matériel pour attiser une vente de feu... C'est évident que Gomez ne trouvera pas preneur, mais des gars comme Cammalleri, Kaberle et Gionta pourraient être échangés contre des choix au repêchage, c'est-à-dire pas grand chose, si l'incompétent Trevor Timmins reste à la tête des recruteurs de jeune talent de la CHnoutte...

dimanche 1 janvier 2012

BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2012 À TOUS LES ANTI-HABS !


BONNE ET HEUREUSE ANNÉE À TOUS LES LECTEURS DE MES BLOGUES ANTI-HABS ! Plus que jamais en 2012, les CHieux vont bouillir dans le CHaudron ! Des jours et des nuits de plaisir pour les anti-habs du monde entier ! Plein de mauviettes CHicolores à l'infirmerie. Une autre jambe de bois pour Markov. Price et Subban qui continuent à se couvrir de ridicule. Les fefans bipolaires en beau fusil et/ou en déprime. La direction du Cacanadien embarrassée. Des joueurs découragés qui laisseront tomber. Des engueulades et la zizanie dans le vestiaire. Des journalisssssssses débinés qui se mettront le pied dans la bouche. Bref, de la marde en quantité pour le bleu, blanc, merde !

Sur mon blogue L'ANTI-HABS ILLIMITÉ (http://lantihabsillimite.blogspot.com), j'ai écrit ma version du TEMPS D'UNE DINDE, histoire de commencer l'année en beauté. En chantant les déboires du Caca, c'est encore plus gai ! C'est encore plus Gainey ! Amusez-vous les amis ! C'est le temps de fêter et de festoyer ! Nous sommes déjà comblés. C'est une période faste pour tous les anti-habs. La déroute des CHaudrons, c'est notre ivresse et notre allégresse ! Profitons-en au maximum ! Rions et chantons en voyant la CHiasse crouler dans les bas-fonds du classement ! Avec les fefans qui se désâment et se retournent contre leur club de broches à foin (pires partisans dans le monde du sport) ! Yeahhhhhhhh !