jeudi 29 mars 2012

GAUTHIER ET GAINEY FLUSHÉS DANS LA CUVETTE DE MERDE DU CH...


Pierre Gauthier disait avoir un plan pour redresser les CHaudrons de Mourial dès la saison prochaine. Du moins c'est ce qu'il tentait de faire croire à tout le monde. En un an, arguait-il, un club peut transformer une situation difficile en situation positive. Aussi rapidement que Randy Cunneyworth peut apprendre le français, aurait-il pu ajouter... Mais voilà, Gauthier a fini de faire croire n'importe quoi aux actionnaires, aux journaliCHeux et aux fefans avaleurs de couleuvres: le président du CHiendent, Geoff Molson, l'a foutu à la porte ce matin. Bob Gainey, le comparse de Gauthier qui a démoli le torCHon avec lui, a subi le même sort : flushé dans la cuvette de merde moronréalaise. Leur règne aura duré neuf ans : un exploit de durabilité étant donné la quantité astronomique de gaffes qu'ils ont commises à eux deux. Les deux dirigeants incompétents ont pu faire illusion grâce à leur air bête et en parlant le moins possible à la presse. Un peu beaucoup comme Jacques Martin, Gainey parlait peu aux médias et quand il le faisait c'était pour rien dire. Gauthier lui, s'exprimait le moins possible et d'une façon qui n'admettait guère de réplique. Comme s'il était certain d'avoir toujours raison. Comme s'il était Dieu le Père. Avec lui en poste, les journalisssssssses ont mangé leur pain noir. C'est pourquoi ils applaudissent tellement son départ. Le remplaçant du tyran fournira-t-il de la meilleure copie aux scribes ? Ça reste à voir, mais ce devrait être difficile de faire pire...


En dernière analyse, les bancs vides aux matchs des Canailliens, les baisses de vente de bière, de chandails et de petits fefanions auront aussi pesé dans la balance du congédiement des patrons hockey de la CHiasse. On ramène le dinosaure Serge Savard pour aider à choisir leurs successeurs. On loue sa sagesse, son sang froid, son bon jugement. N'est-ce pas le même individu qui a déjà été congédié comme directeur-général de la CHnoutte ? Et celui qui a été condamné pour ivresse au volant en septembre 2004 ? Beau jugement, en effet ! Ça fait une éternité qu'il a perdu le "beat" des affaires dans la LNH. Sait-il vraiment ce que ça prend pour diriger de nos jours dans le hockey professionnel ? Mais dans le fond, qu'est-ce que ça change ? Peu importe qui dirigera le Caca, du moins à court et à moyen terme, il est condamné à échouer. Parce que les bons agents libres ne veulent pas jouer dans le bidonville moronréalaid, parce que les jeunes repêchés par la CHarogne sont plus souvent qu'autrement mal choisis ou "gaspillés", et que les fefans et les journalistes bipolaires de la métropauvre exercent une trop grande pression sur les dirigeants et les joueurs de la CHiure. Pour un bon joueur de hockey qui gagne des millions de dollars par année, pourquoi s'en aller dans cet asile où vous n'êtes jamais certain si un journaliste ne se cache pas dans votre placard (rappelez-vous le cas José Théodore), ou si des fefans colons ne viendront pas se coller le nez sur la vitre de votre fenêtre de salon ?



Chose certaine, étant donné le bourbier dans lequel se trouve présentement le club, mieux vaudrait trouver de gros noms pour remplacer Gauthier et Cunneyworth. Les fefans veulent des anciens du Cacad'CHien qui ont déjà gagné la Coupe Stanley à Mourial ou, du moins, qui y ont connu du succès. À part Patrick Roy et Vincent Damphousse, il n'y a guère de candidats qui correspondent à ce profil. Mais ils n'ont pas d'expérience comme DG ou entraîneur au niveau de la LNH. Peu importe, pourvu qu'ils puissent à leur tour faire illusion avant que l'on découvre qu'ils ne pourront pas non plus faire de miracles. Une roue qui tourne et qui revient toujours au point de départ. Un éternel recommencement futile. L'avantage pour les nouveaux venus aux postes de direction, c'est que, sur la patinoire, le torCHon ne peut pas descendre plus bas. Même une amélioration modeste au classement sera vu positivement. Mais il faudra plus que ça pour satisfaire les fefans impatients. Ça prendra de bons résultats rapidement. Autant demander la lune...et savoir que la lune de miel se terminera vitement par...un autre divorce !

dimanche 25 mars 2012

UN SEUL REGRET : SUBBAN AURAIT DÛ PARTICIPER AU MATCH DES ÉTOILES...


Ainsi donc, la saison des CHaudrons s'achève en queue de poisson. Elle aura été fertile en émotions. Hilarante pour nous, les Anti-Habs... Pénible pour les fefans. Difficile pour nous d'être insatisfaits. Bien au contraire ! Mais, pour ma part, j'ai un petit regret concernant cette saison presque parfaite. C'est que P.K. Subban n'ait pas participé au match des étoiles, à Ottawa, au début de 2012. La "All Star Game" a connu une énorme perte de popularité au cours des dernières années. Il y a trois ans, en pleine année du centenaire du Caca, les fefans ont trafiqué le vote et ils ont permis à près de la moitié de leur club poche de participer à cet évènement qui se tenait au Centre PouBell. On se rappelle que Alex Ovechkin avait fait le pitre avec son chapeau de cowboy tout décrissé et en se servant de deux bâtons lors du concours des échappées. Tout aussi "show man", et voulant "singer" la super vedette des Capitals, Piqué des vers Subban a voulu retenir lui aussi l'attention l'année suivante au match des étoiles qui avait lieu en Caroline. On se souvient que, pour faire son comique, le gros plein de soupe CHicolore avait revêtu le chandail de Jeff Skinner, le jeune héros local des Hurricanes.

Cette année, dans la capitale canadienne, pour égayer la partie d'étoiles, les organisateurs comptaient sur la présence de la bête de cirque des Canailliens. Ils avaient même modifié le concours des tirs de précision (voir gravure ci-dessus) pour accommoder le gros jambon forêt noire no 76. Et pour mousser la candidature de ce cancre nauséabond, ils avaient mis des affiches partout dans les toilettes de la ville. Peine perdue ! Cou don, ce sera pour une autre fois, si Subban ne se fait pas arracher la tête d'ici là. Hier à Philadelphie, il a été hué durant toute la joute par les partisans des Flyers qui n'aiment pas les "fakeux" et les CHieux comme lui. Comme l'an dernier, alors qu'il était sur la patinoire sur le but des Bruins qui a éliminé le CanaCHien, Subban était sur la glace pour trois des quatre buts de l'Orange Crush. Sur le deuxième but de Daniel Brière, il a fait particulièrement dur. Il a donc joué un grand rôle dans la saison de merde du torCHon. Vive Picouille !

Tel que promis hier, voici la version "commentée" de mon montage sur l'élimination des CHieux...

SAISON MÉMORABLE POUR LES ANTI-CH : CÉLÉBRONS L'ÉLIMINATION DES CHAUDRONS !


Sabrez le champagne ! Déclenchez les feux d'artifices ! Chantez ! Dansez ! Les CHaudrons de Moronréal sont finis ! Éliminés ! Capout ! Encore une fois, l'Orange Crush, les Flyers de Philadelphie, ont planté le dernier clou dans le cercueil des CHieux ! Thank You Philadelphia Freedom ! Je n'ai pas eu le temps d'écrire mes commentaires sur les images du montage que j'ai commencé pour fêter cette journée magnifique. Mais en gros, je dirai que le pétage de bretelles des fefans est terminé. Que le temps de la honte et de l'humiliation est venu pour ces bipolaires et leur club de losers. J'inclus le montage tel qu'il est en attendant de le compléter. Rien que le remix qu'il contient suffira à vous faire crier de joie, et à danser. C'est sur la musique de U2, BEAUTIFUL DAY que ces images crient au monde entier que le Cacanadien de MortYial, c'est de la GROSSE MARDE ! Amis Anti-Habs, réjouissons-nous de cette saison mémorable pour nous, mais misérable pour les fefans consternés ! On va passer un été fantastique. Un été à écoeurer les fefans débinés ! Mettez le son au max !

jeudi 22 mars 2012

LES ENRAGÉS DU CH ESSAIENT EN VAIN DE SAUVER L'IMAGE DE LEUR CLUB POURRI...


Vous vous souvenez des célébrations du centenaire du torCHon, il y a une couple d'années ? Fait unique et ridicule en matière de centenaires, l'organisation hypocrite du Cacanadien de Moronréal les a étirées sur trois ans, avec des retraits de chandails d'anciens joueurs, avec la vente d'anciens chandails et de vieux bidules remis à la mode, et diverses autres activités de marketing (films déguisés en info-publicités, livres, articles écrits par des lèche-bottines, etc). C'est un peu si on fêtait pendant trois ans le 100e anniversaire d'un vieil homme qui souffre de la maladie d'Alzheimer... Cette campagne publicitaire extravagante d'entrepreneurs passés maîtres dans l'exploitation éhontée de sa clientèle dopée à la cacaïne, de filous désirant encore et toujours tirer profit d'un passé glorieux pour mieux faire oublier un présent merdique, a d'ailleurs valu aux CHieux le titre de "Turkeys of the Year", une sorte de prix citron décerné par l'un des plus prestigieux magazine de sports, le fameux SPORTS ILLUSTRATED. Évidemment, les fefans du CHicolore ont passé sous silence ce prix gênant pour leur secte religieuse extrémiste. Comme si le jugement d'un périodique sérieux et reconnu comme le SPORTS ILLUSTRATED ne valait rien ou ne comptait pas. Toujours cette conviction d'avoir raison contre le monde entier. Cet auto-abus de soi-même pour ne pas se rendre compte qu'on fait rire de soi pour de bonnes raisons... Ce déni perpétuel en se calant la tuque jusqu'au menton, pour rester dans l'obscurité de son ignorance crasse. Qu'ils l'avouent donc qu'il n'y a pas que les anti-habs pour voir clair dans les manigances du marketing du Cacad'CHien et pour démasquer la supposée belle image de la Sainte Guenille. Qu'ils le reconnaissent donc que l'actuelle chute brutale de leur club de pacotille était prévisible, étant donné qu'il manque désespérément de talent, de profondeur, de coeur et de bons hommes de hockey pour le diriger. Ça fait longtemps qu'elle est révolue l'ère du super Canadien de Montréal mené à bon port par les Toe Blake, Sam Pollock, Scotty Bowman et autres Serge Savard.


Dans des articles récents, certains journaliCHeux, ayant manipulé des statistiques à l'avantage de la Flanelle sale, ont tenté de nous démontrer que Trevor Timmins et ses collaborateurs ont été les meilleurs recruteurs de jeune talent au cours de la dernière décennie. Sous prétexte que beaucoup de joueurs amateurs qu'ils ont choisi ont joué dans la NHL, Timmins serait un as dans sa profession. Les mauvais résultats du CHiendent sur la patinoire durant cette période, et le fait qu'une majorité de ces choix "brillants" de repêchage aient été échangés pour quasiment rien à d'autres formations, prouvent exactement le contraire. Si tant de ces jeunes ont pu disputer quelques matchs avec le "grand" club, ne serait-ce pas, justement, parce que les Canailliens étaient pourris et qu'ils manquaient de ressources suffisantes pour remplir des uniformes ? Chez les Red Wings de Détroit, par exemple, puisqu'on a de bons vétérans qui font la job, les recrues qui graduent avec l'équipe ne le font souvent qu'à 23 ou 24 ans. Ils sont prêts pour la grande Ligue. On ne les a pas précipité dans le feu de l'action quand ils étaient encore "verts" ou qu'ils n'étaient pas en mesure de faire leurs preuves.


Chez les CHieux, au contraire, dans plusieurs cas, le talent de ces jeunes joueurs issus du repêchage a été mal développé ou gaspillé. Dans d'autres cas, on n'a pas été assez patient avec eux. Ou bien le profil de ces prospects ne correspondait tout simplement pas aux besoins les plus urgents de la CHiasse. Fatalement, entourés de trop de joueurs marginaux et de dirigeants incompétents, presque tous ces jeunes, dont aucun -il faut le souligner- n'avait le potentiel de devenir une super star, se sont révélés des "flops" ou des candidats sur-évalués. Le malheur du Cacanadien depuis vingt ans, aura été de ne considérer que les possibilités offertes par chacun de leurs joueurs repêchés ou obtenus par des échanges ou par la voie du marché des agents libres. Les bonnes organisations ne se contentent pas de regarder le potentiel ou les anciens faits d'armes des joueurs qu'elles engagent. Elles savent évaluer CORRECTEMENT les PROBABILITÉS que ces joueurs s'intègrent au style et au concept de l'équipe et y connaissent le maximum de succès en accomplissant ce qu'ils font le mieux sur la patinoire. La polyvalence de ces athlètes importent également, car elle peut servir en cas de blessures à des joueurs clés. Autrement dit, comme dans tout bâtiment bien construit, on s'assure que chaque pièce, chaque élément soit solide et fiable. Bien sûr, le repêchage n'est pas une science exacte mais les hommes de hockey qui commettent le moins d'erreurs ont un net avantage sur leurs homonymes. Et à coup sûr, le dernier rang actuel du Caca de Mourial dans la Conférence de l'Est, n'est pas le fruit du hasard ou de la clairvoyance supérieure de Trevor Timmins !



Hier soir, à Buffalo, les Sabres ont porté leur fiche récente contre les CHieux à 8-0-1 en les blanchissant 3 à 0. Les hommes de Lindy Ruff sont de très bons alliés pour les anti-habs ! Merci à Ryan Miller et à ses coéquipiers ! Cody Hodgson a choisi le bon moment pour marquer ses deux premiers buts avec les Sabres, depuis qu'ils ont fait son acquisition des Canucks de Vancouver. Avant la partie, j'ai bien ri quand j'ai entendu des journalistes se demander si les Canassons profiteraient de cette rencontre pour venger Scott Gomez, après que celui-ci ait subi une commotion cérébrale en étant frappé dans le coin de la patinoire par le colosse défenseur Tyler Myers, quelques jours auparavant. Sous le régime Gainey/Gauthier, quand est-ce que vous avez vu ça un porte-couleurs de la CHnoutte défendre un coéquipier après un coup dur ? Il faudrait remonter à l'époque de Chris Nilan et de Pierre Bouchard pour retrouver les traces d'un pareil évènement ! Si cela avait été possible, s'ils avaient été assurés de toucher leur salaire quand même, une forte majorité des feluettes des Cannes à CHiens seraient partis en vacances au début du mois. Alors jouer dur, fournir des efforts louables contre un club comme Buffalo, qui donne tout ce qu'il a pour participer aux séries ? Oubliez ça !



On a bien vu cette indolence tranquille -pour éviter les blessures et ne pas trop suer- dans la façon que Scary Price s'y est pris pour écouler le temps durant cette joute. Normalement, un bon gardien de buts va immobiliser la rondelle lorsqu'il n'aime pas ce qui se passe autour de lui (mauvais positionnement de ses coéquipiers ou présence de joueurs adverses menaçants près de lui), pour donner une chance à ses coéquipiers de reprendre leur souffle, parce que son club est prisonnier dans sa zone depuis trop longtemps, ou pour briser le rythme de l'équipe opposée. Au contraire hier, Price avait hâte que ça finisse au plus vite. Il multipliait les retours de lancers sans les contrôler. C'était flagrant... Il se contentait de se faire le plus gros possible devant sa cage, de laisser les rondelles le frapper. La loi du moindre effort, en quelque sorte... Autour de lui, les Campoli, Emelin et Weber titubaient et échappaient les attaquants des Sabres, qui ont tiré profit de leur jeu mou et maladroit à trois reprises. Il n'en fallait pas davantage puisque l'offensive anémique des CHieux a été annihilé par un Ryan Miller bien concentré. Véritable monument d'impuissance en leur déshonneur, les tire-pois du CH établiront un record de concession la prochaine fois qu'ils seront blanchis au pointage. Le seul trio potable de la CHiasse, celui de Desharnais, a été neutralisé par la ligne Leino-Roy-Pominville. Rene Bourque a bien essayé de se sortir de sa torpeur, mais c'est pas facile quand tu as des mains de ciment.



Les fefans sont de moins en moins bavards, surtout les grandes gueules qui, avant le début de la saison, clamaient que les Canayins faisaient peur, tellement ils formaient une équipe d'élite (Allo M4rco, chez Gagnonville !). Maintenant ces prétentieux et ces pauvres cloches se cachent, et la fin de la saison de leurs "losers" ne viendra jamais assez vite à leur goût ! S'ils croient que les anti-habs vont les laisser tranquillement guérir leur peine cet été, ils se mettent royalement le doigt dans l'oeil. Ils n'en ont pas fini avec nous ! Bien sûr que nous serons toujours là pour leur rappeler sans cesse cette saison mémorable dont nous nous délecterons jusqu'à la fin ! Malgré leurs faibles excuses pour expliquer la débandade de leur bande de lâches, nous ne pouvons qu'être satisfaits que tous nos arguments des dernières années triomphent maintenant ! Indiscutablement et parfaitement ! Hourra pour les Anti-Habs !

mardi 13 mars 2012

LE RETOUR DU GROS MOU AVEC LE CH, VIVE MISTER SOFTEE, ANDREI MARKOV !

Après une absence non remarquée de près de deux ans, il est enfin de retour ! Qui ça ? Bin...le gros mou au genou de plâtre, voyons ! Mister Softee en personne : nul autre que Andrei "too soft" Markov. Il n'a guère changé depuis le commencement de la saga rocambolesque et dérisoire qui a mis Pierre Gauthier et ses acolytes dans l'embarras. Une vraie farce que cette histoire de fou. Au cours des dernières saisons, la condition physique du timide russe naturalisé "canadian", a été aussi changeante que la météo. De vraies montagnes russes ! Reviens, reviens pas. Guéri, pas guéri. Vrai, faux. Chaud, froid. Son genou en bouillie a fait couler beaucoup d'encre, en plus de rendre les fefans bipolaires complètement gagas. Bien entendu, selon eux, Markov, le futur récipiendaire du trophée Norris, va nous en faire voir de toutes les couleurs et il replacera le torCHon parmi les équipes d'élite de la LNH. Ouais... Ces pauvres hydrocéphales hypocondriaques peuvent bien rêver... Pour l'instant Softee en arrache et il a déjà coûté quelques buts à son club de BS en étant mou, je dirais même, mollasson, dans son territoire et autour du filet CHicolore. S'il est un bon passeur et possède un instinct offensif valable, il manque terriblement de robustesse et il se révèle trop peureux dans sa zone. C'est un peu normal après les graves blessures qu'il a subies. Mais il était déjà comme ça avant celles-ci. Un gros toutou, tout doux, pas assez malin. Il n'a pas retrouvé la forme. Il est plus joufflu et dodu que jamais. Il est maintenant chauve et il a semblé perdre ses forces en même temps que ses cheveux. Une sorte de Samson scalpé...mettons...



Sur le premier but du tout petit Tyler Ennis, hier soir, à Buffalo, Too Soft Markov a manqué le bateau complètement, pour se retrouver le bec à l'eau, dans sa vaine tentative de stopper l'attaquant des Sabres. Ennis est passé en coup de vent à côté du CHieux 79, après lui avoir enlevé culottes, jack strap, et bobettes grâce à une couple de belles feintes exécutées à la vitesse de l'éclair. Ce qui contrastait tellement avec la lenteur de Mister Softee (un vrai Hal Gill !). Puis, sur le deuxième but des Sabres (passe de Ennis déviée parfaitement par Emelin dans son propre filet -les seuls buts qu'il est capable de réussir-) le gros mou s'est fait prendre à contre-pied en zone des Sabres. Il est arrivé très en retard pour constater les dégâts. Bon, j'entends déjà crier les fefans qui plaident la cause de Markov, qui prédisent qu'il va se replacer. Qu'il faut lui donner le temps de retrouver la forme, et son synchronisme. Mais dans mon livre à moi, il va toujours être une pâte molle dans sa zone. Tout comme Tomas Kaberle qui joue du même côté. Avis à tous les ailiers droits de la LNH : passez sur leur bord de patinoire lorsque vous avez le disque, vous ne serez pas inquiétés !



Un autre qui a été particulièrement pourri, c'est Lâche Eller. Et hier soir, il a réellement mérité le surnom que je lui ai donné. Il a été "lâche" comme un âne pendant tout le match. Il était sur la patinoire pour les trois buts de Buffalo. Il s'est sorti lui-même du jeu en se faisant piéger au fond du territoire ennemi et en faisant ses replis défensifs au super ralenti, sans fournir aucun effort. Sur le but gagnant de Myers, Eller a plongé comme un canard blessé, pour couper une passe , mais ce fut trop peu, trop tard. Il a manqué son coup. Encore... Pendant que l'on parle de plus en plus du club de l'année, les Blues de St-Louis, et de la plus belle histoire de la saison, le retour en force de Jaroslav Halak, Pierre Gauthier fait encore rire de lui pour l'échange qui a amené Eller à Mourial en retour de l'ex-numéro 41 du CHicolore.

Les Sabres et les CHaudrons nous ont habitués à des affrontements serrés qui se terminent pratiquement toujours par un but de différence, et souvent en prolongation (cinq des huit dernières rencontres). Amorphes, après un long voyage dans l'Ouest canadien, les Canailliens auraient perdu en temps régulier s'ils n'avaient pas été sauvés par trois ou quatre gros arrêts de leur gardien Peter Budaj. David Desharnais a aussi fait plus que sa part en enfilant le but égalisateur à trois secondes de la fin et en servant toute une passe à Cole pour ouvrir le pointage. Où serait le torCHon sans Desharnais. Au dernier rang de toute la Ligue ? Sans doute. Et...l'aviez-vous remarqué ? C'est un QUÉBÉCOIS ! Un Québécois qui se débat, qui ne lâche jamais. Un des rares joueurs qui porte le CH avec fierté et qui mérite plus que son salaire...

Je ne me rappelle pas d'avoir déjà vu un club démuni comme le Cacanadien. Un club de manchots qui ne se fie que sur un seul trio. Les autres trios ne font absolument rien sacrebleu ! C'est incroyable, ils ne s'approchent même pas du filet ennemi. Aucun lancer dangereux... On a acquis Rene Bourque pour sa robustesse et la production offensive secondaire qu'il pouvait apporter. Non seulement il marque très rarement, il joue plusieurs parties sans toucher à personne ! Comme hier soir. Ce qui m'a aussi fait plaisir en regardant les statistiques dans mon journal ce matin, c'est que le duo Price/Budaj se retrouve maintenant dans la deuxième colonne des stats des gardiens. Les portiers de la CHnoutte accompagnent donc ceux qui, dans la LNH, ont de moins bons chiffres. Une première cette saison.


L'élimination officielle du Caca s'en vient à grands pas. Mais laissez-les mourir à petit feu. Faites-les "souffert" comme dirait Georges Laraque. Me semble qu'ils pourraient perdre par des pointages plus élevés. Manger quelques bonnes raclées humiliantes pour nous faire plaisir avant de partir en vacances. Nous sommes peut-être trop gourmands...mais n'empêche...ce serait si bon de manger le crèmage sur le gâteau, la cerise sur le sunday !

dimanche 11 mars 2012

FEFANS À LA TÊTE CARRÉE DANS L'OUEST CANADIEN : CRÉTINS DE PÈRES EN FILS...

Ce n'est pas que ça m'empêche de dormir. Ça pique néanmoins ma curiosité et ça me fait rire. En ce sens que, à part leur maladie dégénérative commune du CH difficile, qu'est-ce qui unit les fefans moronréalaids et les fefans à tête carrée de l'Ouest Canadien ? À chaque fois que les CHaudrons des Molson jouent à Calgary, Edmonton ou Vancouver, je n'en reviens pas de voir des milliers de pauvres tarés anglophones entrer en transe au passage de leurs idoles CHicolores. Même si, depuis plus de dix ans, leur club de merde perd presque toujours contre l'équipe locale, ces partisans plus souvent qu'autrement grossiers et colons continuent d'encourager leurs "losers". Pourquoi ? Quand je les vois gesticuler et gueuler comme des demeurés, avec leur torCHon CHicolore sur le dos, je ris de cette incongruité. C'est comme si des lépreux prenaient part à un concours de beauté. Ou que des clochards participaient à un défilé de mode. Ou que Jacques Parizeau était en lice pour les finales de Star Académie (on se souvient qu'il avait massacré la chanson "Du pain et des roses" en chantant avec des manifestantes lors d'une journée de la femme, quand il était Premier ministre). Pourquoi s'entêter à chanter les louanges d'un club pourri, miné par l'incompétence crasse de ses dirigeants, déshonoré par des fans émeutiers et des scandales récurrents ?



D'accord, ces fefans "occidentaux" ressemblent à leurs congénères moronréalaids au point de vue du manque de savoir vivre et de l'impolitesse. Ce sont aussi de sordides ivrognes. Et ils font aussi rire d'eux par les partisans des Flames, des Canucks et des Oilers. Comme les anti-habs ici, se moquent des fefans indigènes du Québec. Pourtant, outre leur maladie fefanesque débilitante, tout sépare les mordus de la CHnoutte du Québec et ceux des provinces de l'Ouest. On le sait, les têtes carrées de l'Ouest Canadien détestent les Québécois. Au mieux, ils sont indifférents et refusent toute relation avec eux. Une forte majorité de ces "westerners" sont écoeurés de nous faire vivre par le biais de la péréquation. Ils souhaitent ardemment l'indépendance du Québec. Ils veulent que nous débarrassions le plancher, que nous câlissions notre camp du Canada au plus sacrant, afin qu'ils ne nous entendent plus nous plaindre ou chiâler, et qu'ils ne se fassent plus chier avec l'irritant bilinguisme officiel. Bref, les têtes carrées de l'Ouest ne nous aiment guère. Mais ils sont prêts à tuer pour le Canadien de Montréal, l'équipe de hockey du Québec. Allez donc comprendre !



Les Westerners sont les gens les plus riches et les plus prospères du pays. Ils sont fiers de leurs ressources naturelles et de la beauté de leurs paysages. Leurs principales villes vivent un "boom" économique. Ils gagnent bien leur vie. Mais beaucoup d'entre eux s'identifient à un club (le Caca) et à un bidonville (Mourial) de BS et de "losers"... Chercher l'erreur ! Si au moins ils avaient l'excuse de leurs vieux parents ou de leurs grands-parents qui, dans le temps où la LNH ne comptait que six équipes, n'avaient pas tellement le choix de prendre pour les Canailliens. Mais ça fait trente ou quarante ans qu'ils ont des clubs professionnels chez eux, pourquoi ne prennent-ils pas pour leurs représentants locaux ? Je veux bien croire qu'ils vivent encore dans le passé, du temps où les CHieux formaient des dynasties, mais ça remonte aux années de leurs grands-parents. Parmi ces dingues de la CHiasse, ceux qui sont âgés de trente ans et moins n'ont jamais pu les voir gagner la Coupe Stanley, ou bien ils étaient trop jeunes en 1993 pour pouvoir se rappeler aujourd'hui du dernier triomphe des Glorieux.



Alors que conclure au sujet de ce fanatisme et de cette vénération incroyables de beaucoup de gens de l'Ouest Canadien à l'endroit du torCHon ? Tout ce que l'on peut avancer comme hypothèse, c'est que le fefanatisme est une maladie mentale héréditaire qui se transmet de pères en fils, de crétins à crétins. Oh ! Il y en a des crétins comme ça ici au Québec. À Québec, même lorsque nous avions les Nordiques, des citoyens de la région de la capitale nationale continuaient de prendre pour les Cannes à CHiens. Assez bizarre, mettons... Toujours l'aura des anciennes Coupes Stanley, j'imagine... Ou l'atavisme hérité de leurs ancêtres... Et c'est assez répandu au Québec, les gens n'aiment pas le hockey, ils aiment le Cacad'CHien et...beaucoup d'entre eux aiment le CH seulement quand il gagne. Quand il perd, les fefans se défoulent malheureusement sur leur conjointe (j'ai vérifié les statistiques de violence conjugale à Mourial en comparant les bonnes et les mauvaises années du CH) ou bien ils continuent à baver en faisant des plans insensés pour la saison suivante. "Vous allez voir l'an prochain" disent-ils en vain...depuis bientôt 20 ans. Cependant, j'ai entendu dire que dans la métropauvre, les pousseux de puck des Molson ne sont plus le sujet de conversation, ces temps-ci. On parle plus du club de soccer (l'Impact, je crois, je ne suis pas sûr du nom, tellement ça ne m'intéresse pas). C'est vous dire comment ça fait dur leur affaire. Il est vrai que plus de la moitié de la population de MortYial est maintenant constituée d'importés. Eux-autres ils adorent ça le "foot", ça fait partie de leur culture. Remarquez qu'il y a un lien entre ces fanatiques du ballon rond et les fefans du CHiendent. Le soccer a ses hooligans, le Caca a ses émeutiers. Mêmes capotés de bas étage...

mercredi 7 mars 2012

LES TROUPES DU CH BATTENT EN RETRAITE DANS LE DÉSORDRE...

Loin de moi l'idée de comparer les CHaudrons de MortYial à une armée. Dans une vraie unité d'infanterie, il y a des guerriers. Chez le Cacanadien, il n'y en a guère. Dans une armée, il y a de la discipline. Une discipline imposée par un commandement fort. Ce qui n'est évidemment pas le cas chez le torCHon. Une armée c'est aussi synonyme de force, de courage et de leadership. Pendant que le CHiendent fait penser au contraire : à la lâcheté, la faiblesse et l'anarchie. Les seules similitudes du CH avec une armée seraient avec celle de Hitler à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Sachant la guerre perdue, les soldats amochés, découragés, désorganisés, inexpérimentés et mal armés de la wehrmacht ont battu en retraite, dans le désordre. Inférieurs à leurs opposants dans tous les départements, ils étaient vaincus d'avance et ils finissaient par déserter ou se rendre, sans se battre. Pas mal comme les CanaCHiens ces temps-ci... Pas mal comme Scary Price, lassé de se débattre tout seul devant sa cage, pendant que ses coéquipiers baissent les bras. Lui aussi abandonne facilement le combat maintenant. Il coopère même avec l'ennemi, comme on a pu le constater hier soir avec la superbe passe qu'il a faite à Curtis Glencross sur le but gagnant des Flames de Calgary.



J'éprouve du mépris et du dégoût pour une organisation qui se laisse bafouer de la sorte. On aurait jamais vu un tel déshonneur du temps où l'équipe était composée à 75% de joueurs francophones du Québec. Le mot fierté signifiait quelque chose à cette époque... Les gars demeuraient chez eux, dans la "Belle Province", durant l'été, et ils devaient rendre des comptes aux partisans et à la parenté. De nos jours, ce sont des mercenaires qui s'alignent avec le club des Molson. Leurs valises sont prêtes avant la fin de la saison, et il déguerpissent dans leur pays aussitôt après la dernière partie. Peu importe s'ils ont établi auparavant de nouvelles marques de médiocrité comme celle de ne pas avoir gagné à Calgary depuis le 5 janvier 2002. Ce qui me fait toujours rire, c'est d'entendre les commentateurs ou les fefans dire que "n'eut été du brio de Price, le Cacad'CHien aurait subi un revers bien plus cinglant". Misère ! À les entendre ainsi déconner, c'est à croire qu'un gardien, qui ne cède pas à chaque chance de marquer de l'adversaire, est un athlète exceptionnel... Quand vous regardez un autre match que ceux impliquant le torCHon, les autres cerbères ne réalisent-ils pas très souvent de bons arrêts qui tiennent leur club dans le match ? C'est leur job et ils sont payés assez cher pour le faire comme il faut. Sinon ils ne seraient pas dans la NHL. Que ces admirateurs béats de Scary s'ouvrent donc les yeux : leur idole est un gardien bien ordinaire, parfois mauvais, qui s'ennuie de Hal Gill, son ancien gardien auxiliaire qui bloque maintenant des lancers à Nashville pour les Predators. Depuis le départ de la pieuvre, qui bouchait la partie inférieure du filet en se couchant devant lui, la moyenne de buts alloués du pauvre Scary est à la hausse... Et elle n'a pas fini de monter... S'ils perdent demain contre les Oilers, les CHaudrons tomberont au 29e rang du classement général. Une pitié ! Et Price, comme les autres porte-couleurs de la CHiasse, sera à blâmer. Comme le dit l'adage : on gagne en équipe ou on perd en équipe. On gagne plus souvent quand on est bon; on perd plus souvent quand on est pas bon. C'est bien simple !



Aussi simple que cela puisse être, bien des fefans n'admettront jamais que leur club de nouilles perdent parce qu'ils ne sont pas bons. Et qu'ils ne sont pas bons parce que la direction du Caca les a sur-évalués en les repêchant chez les juniors, ou en allant les chercher dans d'autres clubs ou sur le marché des agents libres. Un club perdant a rarement de bons hommes de hockey à sa tête. Mais les fefans aiment mieux trouver des excuses faciles pour justifier la place de leurs incapables dans la cave du classement. Ah ! Ils ont donc eu des blessés ! Ah ! Ils ont bin été malchanceux ! Ah ! Les arbitres les ont bin désavantagés ! Ah ! Les fantômes de l'ancien forum ne les ont pas aidé c'tannée ! Et patati... et patata... Rome ne s'est pas bâtie en un jour et la CHarogne ne se rebâtira pas non plus avec un seul bon choix de repêchage, l'été prochain. Beaucoup de fefans croient le contraire, semble-t-il... Ils croient à un nouveau sauveur, à un autre Guy Lafleur...russe, qui va virer la Ligue à l'envers ! On appelle ça des malades (bipolaires) ou des poires. Selon le dictionnaire, au sens figuré, une poire est une personne qui se laisse tromper facilement (naïf). Et les fefans sont comme la poire en haut de cet article : rien que des grandes gueules qui n'ont pas de yeux pour voir la vérité, ni d'oreilles pour entendre raison, ni de nez pour sentir la pourriture, ni de cerveau pour comprendre. Ils parlent, ils bavent, ils déparlent, ils gaspillent leur salive et répandent leurs microbes. Comme ce fefan (photo ci-dessus) qui a piqué une plonge samedi soir dernier au Centre PouBell. Vous devinez bien que je ne pouvais pas laisser passer un accident aussi cocasse. Je l'ai exploité "à plein" dans mon plus récent billet, sur mon site L'ANTI-HABS ILLIMITÉ (http://lantihabsillimite.blogspot.com). C'est à lire et à rire !

dimanche 4 mars 2012

LE CH ÉCLABOUSSÉ PAR LA SALETÉ ET LA CORRUPTION DE MOURIAL...


Il fallait s'y attendre... Déjà nous savions que Mourial était un bidonville sale, un gigantesque dépotoir à ciel ouvert... Puis, il y a une couple d'année, le magazine MACLEANS publiait un dossier étoffé sur la corruption qui sévit dans la métropauvre. Là où les gangs de rues et la mafia s'en donnent à coeur joie. Et, récemment, un reportage bien documenté de TVA nous montrait que la grande île aux génies était un immense terrain de jeu pour plus de quatre millions de rats qui arpentent ses ruelles et se faufilent parfois jusque dans les toilettes de ses logements insalubres. Beau portrait ! Et ce n'est pas tout ! Si la ville est hockey (comme les fefans du CH se plaisent à le proclamer) et qu'elle est corrompue, on aurait dû se douter que le torCHon sale trempait aussi dans cette corruption. Après les scandales sexuels (camouflés) d'il y a trois ans, après l'affaire toute chaude de la Boutique des Canadiens confiée à un fraudeur par les administrateurs CHicolores, voilà que l'on apprend que le Temple de la renommée du Canadien, au Centre PouBell, serait rempli d'objets historiques appartenant à un criminel (voir les détails dans mon plus récent article sur mon site JOURNAL INTIME D'UN ANTI-HABS EN FEU). Il est donc possible que d'anciens chandails, bâtons, et souvenirs des Maurice Richard, Jean Béliveau, Yvan Cournoyer et autres Patrick Roy, aient été obtenus et payés grâce à de l'argent sale ou frauduleux. Et les Cannes à CHiens contribueraient à valoriser encore plus ces fruits du crime en leur donnant de la visibilité dans leur repère d'Ali Baba.


Pensez-y ! Dans l'état actuel des choses, alors que le Caca croupit dans les bas-fonds de la LNH, il ne peut même plus s'accrocher à son passé glorieux (comme il le fait depuis 20 ans) pour berner ou consoler ses fefans... Ce passé, symbolisé par cette exposition "corrompue" de vieilleries appartenant à des dynasties révolues, est donc lui aussi entaché à cause de ce nouveau scandale... C'est tout simplement abominable et minable ! Après la "crasse" de la zone Molson-Ex (terme employé par les joueurs et les entraîneurs du CH pour désigner les fefans bipolaires qui remplissent cette partie des estrades), voilà la crasse de la camelote de la Boutique de souvenirs et la crasse du Temple de la renommée du Caca. Décidément, ce n'est pas l'année des Canailliens ! Mais ça en est toute une pour les Anti-Habs ! Honte aux CHieux et à Moronréal !



Pierre Gauthier peut bien imposer la loi du silence (omerta) à ses sous-fifres et à son personnel. On cache bien des secrets dans cette organisation d'hypocrites. Exemple, dans mon plus récent billet sur mon blogue NORDIQUÉBEC, je relate les déclarations que le journaliste Réjean Tremblay a faites lors d'une entrevue qu'il accordait la semaine dernière à la station de radio CHOI-FM de Québec. Selon le toujours bien informé monsieur Tremblay, il est évident que, même s'ils prétendent le contraire en public, les bonzes des CHaudrons s'activent dans l'ombre pour bloquer le retour des Nordiques à Québec. Belle bande de salauds ! Ils ne pensent qu'à l'argent et se fichent complètement des amateurs de hockey du Québec, qui attendent si impatiemment le retour de notre équipe nationale... Avec l'organisation et le club pourri qu'il a, le CHiendent doit craindre que des dizaines de milliers d'amoureux du hockey désertent les rangs de ses "losers" pour rejoindre une concession qui, contrairement à celle de la CHarogne anglo-saxonne, aura un préjugé favorable envers les francophones du Québec. Les fleurs-de-lysés redeviendront rapidement le club du peuple québécois. Face au club de l'establishment des anglos de MountReal.



Sur la patinoire, les CanaCHiens continuent d'aller de mal en pis et de faire honte à leurs partisans bipolaires. Depuis la fin de la période des échanges, on accepte maintenant très bien les défaites chez les CHieux. Du moment, comme le dit si bien le "head coach" Randy Cunneyworth, qu'on donne un bon show aux fefans. Un show de "goons" (ça adonne bien avec la sortie du film du même nom) que l'on veut divertissant pour la populace moronréalaise. La robustesse, ce serait la nouvelle identité du club des Molson, si on se fie à ce que Gauthier nous raconte, les rares fois qu'il s'ouvre la trappe. Laissez-nous en rire ! Robustesse mon oeil ! En tout cas, les nouveaux matamores des CHieux ont frappé un noeud samedi soir contre Dion Phaneuf (26:25 minutes de jeu, 4 tirs au but, 5 mises en échec) et les Maple Leafs de Toronto. Les nombreux joueurs costauds du nouvel entraîneur Randy Carlyle ont répliqué coup pour coup aux assauts de leurs adversaires. D'ailleurs, en fin de match, c'est une retentissante mise en échec de Phaneuf sur Erik Cole qui a scellé l'issue du match. Cole, sonné et frustré, s'est déragé sur un porteur de chandail blanc, écopant d'une pénalité stupide qui mettait fin aux derniers espoirs des CHaudrons. De son côté, Mikhail Grabovski a été superbe en méritant la première étoile de la partie grâce à ses deux buts et à sa mention d'assistance sur le filet de Matt Frattin. Grabovski a maintenant 13 points en onze joutes au Centre BéBell depuis que le Caca l'a échangé aux Leafs pour presque rien. Il est maintenant d'autant plus heureux depuis que ses ennemis jurés, les Frères Kostitsyn, ne sont plus dans les parages ! Scary Price sentait le caoutchouc après la rencontre. Il a été bombardé de 42 rondelles pendant que les tire-pois de la CHiasse ne répliquaient que 22 fois.


Écoeuré de jouer avec des minables des mineures (White et Geoffrion) Tomas Plekanec a abdiqué complètement. Il n'a gagné qu'une mise au jeu sur quatorze, et il n'a qu'un but et deux points à ses neuf dernières parties. Ça va très bien avec la fiche récente du Cacad'CHien (2-7-1)... Comble du ridicule, samedi soir, l'enfoiré de Piquet Subban s'en est pris à Tim Connolly, un des joueurs les plus fragiles de la Ligue, au son de la sirène concrétisant cet autre échec de la CHnoutte. Tabarouette ! Quelle mouche a piqué P.K. ? Il se fait maintenant un devoir d'essayer d'intimider les joueurs les plus vulnérables du circuit Bettman... Méchant connard jaune citron...



Les rares fois qu'il gagne, le torCHon trouve quand même le moyen de faire dur. Comme jeudi passé contre le Wild du Minnesota, alors qu'il a perdu (encore !) une avance de 4 à 1 dans les quatre dernières minutes de jeu en 3e période. Inimaginable ! À 4-1, j'avais résisté à la tentation de fermer mon téléviseur, dans l'espoir que dans ce match assez chaotique, un homme fort du Wild pourrait peut-être expédier Subban au pays des rêves. Puis, à la toute fin, voilà que Price et les CHaudrons s'effondrent ! Deux des trois buts du Wild, lors de cette débâcle, sont imputables à des passes ou des dégagements ratés de Price. J'ai ri aux éclats quand j'ai vu Scary qui voulait se rentrer la tête dans la glace (photo ci-dessus) après avoir donné le but égalisateur à dix secondes de la fin de la 3e ! Sublime ! Un autre scénario digne d'Hollywood ! L'effondrement de Scary était d'autant plus drôle que jusque là, lors de ce fatidique 3e engagement, il avait fait son hot dog "all dressed" sur de petits arrêts anodins.


Price et le Caca ont sauvé les meubles et la face quand Setoguchi a chuté et n'a pu lancer au but durant la fusillade. Une chance inouï pour la CHiasse ! Le nom de Ryan White s'est ajouté sur la liste noire des "suckers" quand il a frappé Stéphane Veilleux par derrière alors que ce dernier était retenu par Chris Campoli en arrière du but des CHieux. Le nom de White a rejoint ceux de Subban et Emelin sur cette liste de salauds à corriger. Emelin a d'ailleurs été pris à son propre jeu en ratant un de ses placages caractéristiques. Il a plutôt fauché involontairement son coéquipier Erik Cole, qui a fait tout un vol plané sur cette séquence ! Le 72 du torCHon est déjà pas mal amoché. Il aurait pu se passer de ce mauvais coup-là...


Les CanaDindes ne sont pas au bout de leur peine alors qu'il se rendent maintenant disputer trois parties dans l'Ouest canadien avant de s'arrêter à Buffalo pour y affronter des Sabres ragaillardis, revenus au coeur de la bataille pour l'obtention de la dernière place disponible pour participer aux séries éliminatoires. Les chances du Caca pour ravir cette 8e position ? Un dixième de 1% (0,1%) selon Sports Club Stats ! La fin approche à grands coups de patins pour les Canailliens... Je vais faire un beau petit diaporama avec musique de circonstance pour fêter ça !