lundi 27 mai 2013

DES FEFANS DÉSAXÉS DU CH FONT DES MENACES DE MORT À ERIC GRYBA...


Dans nos cours de biologie à l'école secondaire, on nous enseignait les merveilles du corps humain.  Pour ma part, j'ai toujours été davantage fasciné par la psychologie.  Par cette partie de notre corps qui doit normalement nous gouverner, c'est-à-dire notre tête ou notre matière grise.  L'étude des comportements des humains est une inépuisable source d'intérêt et d'étonnement à laquelle je ne me lasse jamais de puiser matière à réflexion.  Et encore plus depuis que la technologie nous permet de voir l'intérieur du cerveau.  Malgré ce grand pas en avant dans l'exploration et la compréhension de nos méninges, il reste tellement de choses à découvrir au sujet de notre conscient et de notre subconscient, que nous ne sommes pas prêts d'arrêter de nous émerveiller en scrutant notre fors intérieur.

Si nous sommes tous faits de la même "pâte" et que, en tant qu'êtres humains, nous partageons un bagage génétique semblable ainsi qu'un ensemble commun de pensées, de réactions, de passions et d'émotions, les "ingrédients" qui composent nos vies ne sont pas tous "dosés" ou répartis également.  Si chacun d'entre nous s'efforce de trouver sa propre recette de bonheur ou de bien-être en vivant en équilibre ou en harmonie avec ses forces, ses faiblesses, ses qualités, ses défauts, son environnement et les autres humains, il y a cependant des gens qui n'arrivent pas à se contrôler pour éviter les excès et les débordements souvent néfastes pour leur santé mentale.  Et on en est encore à se demander si, comme dans le paradigme de l'oeuf ou la poule, on naît fefan (fou) ou on le devient en cours de route, à force d'avaler les couleuvres de la direction du torCHon... Tout est relatif dans la vie.  Ça dépend comment on la prend.  Selon ses moyens et son jugement, on la prend bien ou mal, face à divers événements qui nous touchent.


Prenez, par exemple, les fefans du Cacanadien de MortYial.  Ils capotent sur leur équipe de hockey.  Chez plusieurs d'entre eux on observe des dérèglements notoires en matière de comportements et d'attitude.  Dans la population des amateurs de hockey, ce sont des déséquilibrés qui sont affectés par des troubles bipolaires.  Une forme de démence très près de la folie pure et simple, selon ce que l'on racontait hier dans les journaux après une mise à jour périodique des connaissances scientifiques sur les maladies mentales.  Pour des individus sains d'esprit, le hockey est un sport, un jeu, un divertissement, un plaisir, une passion excitante.  Mais pour le fefan détraqué, le Cacanadien c'est le commencement et la fin du monde, c'est un exutoire à sa folie, à ses pulsions animales, à son inclinaison à retourner à l'âge des cavernes.

Lorsqu'un événement un peu hors de l'ordinaire agite les CHaudrons, le fefan tordu est encore plus déstabilisé.  Il entre alors dans un état second, dans une espèce de "no man's land" psychique, et il perd la boule.  Cet hébétement caractéristique le conduit à faire des choses stupides comme se déguiser, se cacher la tête dans un sac d'épicerie, participer à des émeutes, faire des actes de vandalisme, insulter ou agresser les partisans des autres clubs, poser des gestes obscènes ou, encore, faire des menaces de mort comme cela s'est produit récemment après que Eric Gryba, des Sénateurs d'Ottawa, ait envoyé Lars Eller à l'hôpital avec une percutante mise en échec lors du premier match de la série éliminatoire gagnée 4-1 par les porte-couleurs de la capitale du Canada.


Le phénomène des réseaux sociaux ayant davantage exacerbé leur rage CHicolore, qu'ils veulent propager au monde entier, les fefans fêlés du chaudron s'en sont servis pour proférer des menaces de mort à l'endroit de Gryba.  Parmi les gentils messages qu'on lui a envoyés, il y a celui dans lequel on lui souhaite un cancer, et un avertissement selon lequel il ne quitterait pas Montréal vivant.  Très édifiant !  Tout ça parce que Gryba est entré en collision avec Eller au moment où celui-ci recevait une passe suicide du cave à Raphael Diaz...  Remarquez que les fefans m'envoient également de beaux messages d'amour pour bien moins que ça.  Du genre, "ta mère doit être une ostie de chienne pour avoir mis au monde un crisse de chien sale comme toé".  Le reste est à l'avenant, et les menaces aussi.

Il faut dire que Gryba n'a pas été très brillant en déclarant que ce déluge de haine contre lui a permis de faire connaître au monde la façon correcte de prononcer son nom...  Ça n'a fait qu'attiser le feu de la folie des fefans qui se sont grandement réjouis quand le jeune défenseur de 25 ans des Sens s'est fait planter à son tour dans la série contre les Penguins de Pittsburgh.  Se faire frapper de la sorte, ça fait partie des risques du métier.  Gryba est le premier à le reconnaître.  Mais, à ce que je sache, l'assaillant de Gryba n'a pas été la cible de menaces ou d'attentat pour son sévère placage.  N'essayez pas d'expliquer ce constat aux fefans, vous perdez votre temps.  C'est deux poids deux mesures pour des crack pot à l'ego démesuré...

Cette histoire de menaces de mort contre Gryba n'a guère été évoquée dans les médias moronréalaids.  Ce n'est pas surprenant.  Quand la visite passe, on cache le mongol de la famille dans le placard.  Ce n'est pas un cas unique.  Il y a bien des cinglés chez les fans de certains autres club de hockey de la LNH.  Mais, je le répète, tout est relatif.  Tout est une question de "trop" ou de "trop peu".  Tout dépend où on se situe par rapport au "juste milieu".  Le phénomène des hooligans qui se déchaînent en Europe lors des matchs de soccer est un exemple de ce qui peut se produire quand des gens perdent la carte à cause du sport.  Les plus bas instincts remontent à la surface.  On se rappelle également de la joueuse de tennis Monica Seles, poignardée dans le dos en plein match par un illuminé.  Des joueurs de hockey professionnels ont déjà eu maille à partir avec certaines têtes brûlées qui leur voulaient du mal.  Mais ça s'est limité à quelques claques sur la gueule.  S'il y a un endroit où ça pourrait aller plus loin que ça dans la violence et la démence, je dirais que Mourial est très bien placée.  Car dans la folie, les fefans sont un cran au-dessus de tout le monde.  À la honte de tous les Québécois...malheureusement. 

samedi 18 mai 2013

IL N'EN PEUT PLUS DES FEFANS COLONS : PRICE VEUT SORTIR DU TROU DE MONTRÉAL...


Dans nos sociétés modernes tout va à un rythme effréné.  Surtout dans les villes populeuses, la vie est réglée sur l'éternel recommencement dodo-métro-boulot.  C'est la même chose dans le domaine de l'information, surtout dans les médias électroniques.  On dirait même que les médias sociaux ont empiré la situation.  Pour pondre leurs articles ou faire leurs reportages, les journalistes disposent de moins en moins de temps.  Avec les chaînes de nouvelles en continu et en direct, on ne parle même plus d'heure de tombée, mais plutôt de minutes, pour livrer une nouvelle presque instantanément transmise sur les ondes.  Plus que jamais, l'information doit être traitée subito presto.  Le journaliste doit faire des présentations et des topos courts, nets et précis, sans oublier d'ajouter du punch pour satisfaire les exigences de l'info-spectacle, ou du "show" de télévision.  Parfois, le reporter est chanceux.  Une magnifique déclaration d'un témoin, ou d'un acteur de l'événement qu'il rapporte, fait presque tout le travail à lui seul.  C'est tellement plaisant dans ce temps-là.  En quelques mots, en une formule simplifiée comme les agents de l'information "compressée" l'aiment tant, un extrait sonore de quelques secondes résume tout ce que le public doit savoir.


Ce fut le cas l'autre jour, quand le gardien du torCHon, Scary Price a vidé son casier de vestiaire après l'élimination éclair de son club de broches à foin.  Agglutinés autour de lui comme des fourmis autour d'un fruit pourri tombé de l'arbre, les joueurnalisssssssses de Moronréal l'ont encore questionné sur sa capacité à supporter la pression des matchs importants (comme ceux des séries éliminatoires) et celle venant des fefans bipolaires de la métropauvre, renommés pour être des cinglés et des malades du Cacanadien.  Fous à en déclencher des émeutes, à en faire des crises nerveuses ou des dépressions.  Et ça, c'est quand ils ne font pas passer leur frustration ou leur rage sur leur conjointe, leur chien ou leur poisson rouge, en les battant...  Price a fini par avouer que sa vie dans la capitale de la corruption lui était devenue  pénible ces dernières années.  Il ne peut plus sortir de chez lui sans se faire montrer du doigt, sans se faire achaler par des fefans ou sans se faire carrément critiquer par des gérants d'estrade grossiers.  Le pauvre Scary se plaint qu'il ne peut même pas faire son épicerie en paix.  En fait, il déplore qu'il ne peut plus rien faire du tout à l'extérieur de son domicile.  Et puis il lâche la fameuse phrase.  Ces quelques mots qui traduisent à merveille le message que je m'efforce de faire passer dans mes blogues depuis quatre ans.  Cette formule imagée qui tombe comme une aubaine incomparable dans les mains des Anti-Habs.  Ce cri du coeur qui signifie jusqu'à quel point il en a assez du manque de savoir vivre et de l'imbécillité des Moronréalaids.  Oui le 31 des CHaudrons a flanché sous la pression des scribes comme il avait encore flanché en séries Stanley contre les Sénateurs d'Ottawa.  «Je me sens comme un hobbit dans un trou», a-t-il confié à la horde de charognards qui l'entourait.


Cette déclaration concise, nette et précise veut tout dire.  Pour les Anti-CH c'est comme s'ils se retrouvaient à la place du renard dans la fable de Lafontaine mettant également en vedette un corbeau qui laisse échapper son morceau de fromage.  Sauf que nous, les antis, à la différence du renard flatteur, nous n'avons même pas "travaillé" pour profiter de ce cadeau tombé de l'arbre.  D'abord, cet aveu de Price exprime la détresse d'un gars trop faible entre les deux oreilles -comme nous l'avons toujours affirmé-pour garder le contrôle sur sa situation et son environnement.  On pourrait expliquer ce désarroi par les origines amérindiennes de Scary, mais il faut concéder que l'idiotie et la rusticité des Moronréalaids peut suffire à détraquer n'importe lequel individu sensé venant de l'extérieur de ce trou de merde.  Il n'y a même pas 50 ans, les Québécois de souche employaient le terme "sauvages" pour désigner les membres des premières nations.  Peut-être Price est-il resté un peu sauvage et qu'il aime mieux se retrouver dans les grands espaces non pollués de fefans, dans les forêts ou sur les immenses rivières canadiennes, à se promener librement, à chasser le coyote ou à pêcher le saumon.  Plutôt que de côtoyer des fefans effrontés et impolis qui le traitent comme un objet de curiosité ou sont familiers avec lui au point de l'offusquer.

On dit que Price s'ennuie du temps où il pouvait passer incognito dans la ville de Denis Coderre.  Pourtant, au début de sa carrière professionnelle avec le Caca, par ses frasques répétés dans les bars et les clubs de nuit du bidonville de la municipalité aux mille dépotoirs à ciel ouvert, Scary paraissait bien à l'aise.  Il sortait beaucoup et ne craignait guère d'être reconnu.  Son statut de vedette ne lui pesait pas du tout.  De nombreuses photographies sur le net nous le montrent en train de faire le party et de foirer avec des filles aux moeurs légères.  Faut croire qu'avec son contrat de 39 millions de dollars, le cerbère no 1 des CHieux s'est embourgeoisé au point de ne plus vouloir frayer avec la populace rebutante de Mourial-la-sale.  En se comparant à un hobbit, le gardien des Canailliens frappe aussi dans le mille car c'est vrai qu'il a toujours eu l'air un peu étrange avec son regard triste de chien battu ou peureux.  Et en parlant d'un hobbit dans un "trou", ce dernier mot décrit parfaitement le bidonville moronréalaid.  Que dire de plus !  Price vient de cerner complètement sa situation.  Il vient classer les fefans dans la catégorie des malappris et des colons, et il qualifie à juste titre de "trou" (de merde en sous-entendu) la ville de Mourial.  C'est le plus beau tour du chapeau dont pouvait rêver les Anti-Habs !  Merci Scary !  

Malheureux à Fefans'Land, Price n'a plus qu'un pas à franchir pour exiger d'être échangé à un club évoluant aux USA, dans une ville où on ne le reconnaîtra pas dans la rue parce qu'à cet endroit les quilles sont plus populaires que le hockey.  En cela, il n'y a, après tout, rien de nouveau puisque tous ceux qui ont fait fortune chez la CHiasse ont fini par s'arranger pour se faire sortir du "trou" moronréalaid après quelques années de galère à avoir les fefans et les journaleux sur le dos...  «What the fuck !  These frenchies are crazy !»

vendredi 10 mai 2013

COMME D'HABITUDE LA SAISON DU CACANADIEN SE TERMINE EN QUEUE DE POISSON...


Comme c'est bon !  Dans une belle unité avec les fans des Sénateurs, dans la capitale canadienne, les Anti-Habs jubilent aujourd'hui après l'élimination du torCHon, un club largement surestimé qui n'aura fait que passer dans les présentes séries de la Coupe Stanley.  Après une telle déconfiture, on a encore plus la conviction que les CHaudrons n'avaient pas d'affaire dans le grand tournoi de hockey du printemps.  Surtout avec Scary Price, ce gardien immensément surestimé (et surpayé), qui a offert des performances encore une fois indignes des ligues majeures (une victoire, deux défaites, moyenne de buts alloués par match de 3,26 (15e rang des gardiens en séries) et pourcentage d'arrêts de .894 (16e rang en playoffs).  Il a mal paru, surtout en comparaison avec son homologue Craig Anderson, qui a donné le ton à la série en volant le premier match au Centre BéBell.  Les gardiens de buts sont les joueurs les plus importants d'une équipe de hockey.  Et c'est encore plus vrai en éliminatoires.  Plusieurs fefans frustrés en ont ras le bol de Price et ils veulent qu'il soit échangé contre à peu près n'importe qui ou n'importe quoi.  C'est le désenchantement versus Scary, celui que l'on a préféré garder à la place de l'excellent Jaroslav Halak, seul rayon de soleil dans les buts du CHiendent depuis le début de leur période de grande noirceur en 1993.


Parce que les CHaudrons de Moronréal avaient été massacrés à une couple de reprises par les Maple Leafs durant la campagne écourtée de 2013, beaucoup d'Anti-Habs espéraient voir le club de Michel T'esRien se faire démolir par Toronto en première ronde des séries.  Mais finalement, à la place des rudes Leafs, nous aurons été très bien servis par les Sénateurs d'Ottawa.  Ces derniers ont été sans pitié pour la CHarogne, surtout dans le match no 3, à domicile.  Rarement aura-t-on vu le Cacanadien se faire pulvériser de la sorte, aux poings comme aux points.


Le torCHon a eu quelques bons moments dans cette série, mais au final, les chiffres ne trompent pas.  Que ce soit à forces égales ou sur les unités spéciales, la troupe du capitaine Daniel Alfredsson a dominé.  À cinq contre cinq les Sens affichent le meilleur ratio "buts pour/buts contre" de toutes les équipes en séries (2,17).  Le CHicolore est bon dernier dans ce département avec un faible 0,46 !  En avantage numérique, avec un pourcentage de réussite de 24% contre 15,8%, le club d'Ottawa a aussi eu le dessus.  Même chose en désavantage numérique (84,2% contre 76% en faveur des Sens).  Est-il nécessaire d'ajouter et de souligner encore que les schtroumfs de Mourial étaient l'équipe la plus légère et la plus petite en séries cette année...  Cela a paru énormément.


À la fin, Picouille Subban se sera fait clouer le bec par ses opposants en multipliant les gaffes et les déclarations stupides.  Hier soir, en 3e période (voir photo ci-dessus), le 76 de la CHiasse était moins baveux et il n'avait plus du tout la tête en l'air.  Il n'avait plus envie de faire ses pitreries et ses singeries habituelles.  Il a été dominant...au chapitre des revirements avec pas moins de sept dans cette série.  Lui, la terreur au gros derrière percutant, n'a réussi que huit mises en échec dans ce 4 de 7, deux de moins que...le nain Desharnais !  Les insignifiants commentateurs de RBS avaient tous choisi le Caca pour remporter la série, et ils se sont plus à faire des comparaisons entre le défenseur Erik Karlsson des Sens, et le gros plein de merde à Subbanane.  Même si Karlsson n'a pas joué une grande série, il n'a certes pas souffert de la comparaison.  Et surtout, le plus important, c'est qu'il a aidé son équipe à sortir victorieuse de cette première ronde éliminatoire.  Pendant qu'il continuera à pousser pour gagner la Coupe Stanley, Subban sera en vacances sur les terrains de golf.  À moins qu'il ne se cache parce qu'il a honte d'être identifié aux losers du CH.


Dans les célébrations d'après match, Chris Neil et Daniel Alfredsson étaient particulièrement heureux.  À l'image de leur vaillante équipe, ce sont deux valeureux guerriers.  On leur souhaite la Coupe pour nous avoir si rapidement débarrassé des CHieux !  Ce fut encore un scénario idéal pour les Anti-Habs : des fefans bipolaires qui s'excitent au boutte en première portion de calendrier, avant de retomber en pleine face quand leur club de merde s'écroule en fin de saison.  C'est comme ça depuis 20 ans, et on ne s'en lasse jamais !  L'an passé, les animateurs du poste de radio CHOI-FM (Radio X) de Québec, avaient parlé d'organiser une parade pour fêter les 20 ans sans Coupe Stanley du médiocre Cacad'CHien.  J'espère qu'ils vont le faire.  Si ça se réalise, je serai dans les premiers rangs de ce joyeux défilé !!!

LES SÉNATEURS FERMENT LA GRANDE GUEULE DE SUBBAN EN NE FAISANT QU'UNE BOUCHÉE DU CACANADIEN...

On sait qu'ils sont faibles d'esprit et qu'ils subissent annuellement un lavage de cerveau de la part des dirigeants de leur Sainte Flanelle, mais ça fait maintenant 20 ans que leurs héros déchus n'ont pas gagné la Coupe Stanley.  Il faudrait que les fefans de Moronréal comprennent enfin que le torCHon n'est plus une dynastie, ni l'équipe de la destinée, ni la plus prestigieuse franchise de sport, ni un phénomène spécial, et encore moins des Glorieux.  Comme je l'écrivais dans un billet il y a quelques mois, en pastichant la fameuse de chanson de Lisa Leblanc : «Dans l'ancien temps  y'étaient glorieux mais aujourd'hui les Habs c'est d'la maaaaaaaarde».

Dans cette saison 2013, un avorton à cause du lock out de l'automne passé, le Cacanadien n'aura fait illusion que pendant 35 matchs.  Comme lors des vraies campagnes régulières de 82 parties, il s'est ensuite effondré.  Il doit donc sa fausse 2e place à un semblant de calendrier.  Un calendrier écourté intra-conférence qui a faussé les données et qui a commencé tout croche pour plusieurs équipes fortes sur papier mais mal préparées après le long hiatus qui a duré de septembre 2012 jusqu'à la deuxième semaine de janvier 2013.  Les CHieux ont pu profiter de ces formations (notamment celles de la division sud-est) qui sont demeurées dans un état de torpeur et qui ne semblaient pas intéressées à jouer avec intensité cette année.



Mais quand le jeu s'est corsé en fin de saison, le Caca s'est fait descendre en flammes...  Son gardien de 39 millions de dollars, Scary Price, a précipité la débâcle de sa bande de lâches, en offrant des performances gênantes...  Il n'est pas le seul à blâmer.  Quand vous n'êtes pas capables de marquer plus que deux buts par match, vous êtes les artisans de votre propre malheur.

Et quand les CanaCHiens sont entrés en séries en usurpant leur place grâce, entre autres facteurs, à des arbitres complaisants et à la commandite de 375 millions de dollars qui lie ses propriétaires de Molson à la LNH, on a bien vu qu'ils n'étaient pas de taille, qu'ils ne faisaient pas le poids, et qu'ils n'avaient pas assez de joueurs de caractère pour évoluer dans le style de jeu robuste qui est pratiqué en éliminatoires.  Ils ont été dominés physiquement par les gros joueurs des Sénateurs d'Ottawa.  Au pointage ce ne fut guère mieux (20 à 9 pour les buts).  Comme ils chokent habituellement en fin de saison, ils ont aussi choké dans les fin de matchs en séries (12 buts à zéro pour les Sens en 3e période).



Humiliés une seconde fois au compte de 6-1 dans la dernière partie de cette première ronde, les CHieux ont donc plié bagages en cinq petits matchs contre une équipe qui était pourtant privée d'un joueur d'élite de la LNH (Jason Spezza).  Les Sens ont fait mentir l'imbécile Pédé Subban qui avait prétendu à tort, avant la rencontre, que lui et ses vauriens de coéquipiers formaient une meilleure équipe que leurs opposants d'Ottawa.  La différence était pourtant flagrante, surtout au niveau des défenseurs, et encore plus devant les buts où Craig Anderson a éclipsé Price et Budaj.

Une fois l'élimination des CHaudrons officialisée, j'aurais aimé que le plaisir des Anti-Habs durent plus longtemps.  J'aurais aimé voir plus de mines déconfites au banc du Cacad'CHien et dans le coin où était réunie la direction des perdants.  Je n'ai jamais vu une séance de poignées de mains aussi rapide après la sirène qui confirmait la fin de la saison du CHiendent.  Les CHieux étaient visiblement pressés de rentrer chez eux et de tomber en vacances.  Il faut dire que, en mauvais perdants qu'ils sont, leurs piteux fefans avaient fui le Centre PouBell depuis un bon bout de temps.  Moins du quart d'entre eux ont tenu à rester pour les saluer une dernière fois avant de les revoir en septembre prochain.  Les caméras de CBC ont alors montré un Subban gêné, qui aurait bien aimé se cacher.  Un Subban devenu soudain beaucoup moins bavard...

Ensuite dans le vestiaire, les losers n'étaient guère plus volubiles et parlaient à voix basse.  Mais ils n'ont même pas eu à se défendre pour expliquer leur élimination rapide.  Les lèche-culs journalistes n'arrêtaient pas d'évoquer les blessures pour justifier leur débandade.  Quelle race de sous-fifres !

mercredi 8 mai 2013

LE CACANADIEN À UNE DÉFAITE DE L'ÉLIMINATION : «C'EST LE TEMPS DE LES ACHEVER» GRYBA...


Beau concert de jérémiades et de CHiâlage aujourd'hui pour les anti-habs.  D'abord les fefans de Moronréal, les joueurs et les membres de la direction du torCHon qui CHiâlent après les arbitres parce qu'ils prétendent que ceux-ci leur ont volé la victoire hier soir à Ottawa, quand les Sénateurs l'ont emporté en prolongation pour prendre les devants 3 parties à une, dans leur série de première ronde éliminatoire contre les CHieux.  Et puis ensuite Brian Gionta, le petit capitaine format de poche, et lui-même très poche, qui pleure dans les bras de Michel "T"rien en apprenant que sa saison est finie parce qu'il doit se faire opérer pour un biceps tordu.  Et puis les fefans qui pètent, rouspètent et pleurent encore sur les injustices de la vie ainsi que sur les blessures de leurs héros déchus Price, Prust et White.



Price et son club sans courage ont à nouveau cédé sous la pression (CH comme dans CHokeurs) hier alors qu'ils se sont écroulés comme d'habitude en 3e période et en sur-temps, après avoir pourtant pris une avance de 2-0 durant le deuxième engagement.  Ce n'est tout de même pas la faute des officiels si les CHaudrons ont cessé de jouer au 3e vingt.  Le nombre de lancers au but le prouve (13-4 pour les Sens).  Les CHicolorés et leurs partisans bipolaires contestent encore le but accordé à Mika Zibanejad, qui réduisait l'écart à 2-1 vers le milieu de la 3e période.  À la télé, on a vu le DG des Canayins Marc Bergevin avaler son dentier quand il a su que les juges de but à Toronto ont approuvé la décision des arbitres à Ottawa.  Sur les nombreuses reprises télévisées du jeu controversé, on voit que la rondelle ricoche sur le bâton de Zibanejad et que ce dernier a simplement le réflexe (ça se passe en une fraction de seconde) de la récupérer avec son patin.  Le disque touche la partie arrière de la lame de sa bottine.  Un joueur a le droit de rediriger la rondelle vers le filet avec son patin, du moment que ce n'est pas intentionnel.  Comment vouez-vous que Zibanejad ait poussé le disque dans le but de façon délibérée alors qu'il n'a fait que réagir instinctivement et à la vitesse de l'éclair à la déviation du disque sur son bâton ?



Ce n'est pas la première fois que le Cacad'CHien s'effondre dans la dernière portion du match quand le club adverse met de la pression sur leurs petits défenseurs et leur gardien affolé.  Il s'en est même fait une spécialité depuis l'an passé.  Et dans la présente série les Sens mènent 9-0 au chapitre des buts marqués en troisième période.  Ce que les fefans et les Canailliens oublient de dire tout en continuant de se plaindre, c'est que sur le but de Zibanejad, Tinordi a laissé le marqueur des Sens libre devant la cage de son gardien.  La "sensationnelle" recrue du Caca n'a pas fait son travail.  Et si Conacher a pu niveler le pointage dans les dernières secondes de jeu, c'est que les Canachiens ont raté leur coup quand ils ont eu l'opportunité de dégager leur territoire.  Sur le but gagnant, en prolongation, Diaz a nui à Budaj, qui l'a d'ailleurs regardé de travers en constatant les dégâts.  Ça ne prend pas un grand connaisseur de hockey pour se rendre compte que Diaz, Gorges, Bouillon et Markov n'ont pas le physique ou la force (y compris la force mentale) pour rivaliser avec leurs opposants devant le filet.  Reste l'inexpérimenté Tinordi et le gros étron à Subban qui a encore fait rire de lui hier.



En effet, en plus de faire un fou de lui en célébrant son but et en sautant partout comme un orang-outan, Subbanane a mis son club dans le pétrin en écopant d'une punition stupide en fin de 2e.  À part le tir avec lequel il a marqué, ses sept autres lancers ont raté la cible.  Plus tôt dans la partie il s'était ridiculisé en ratant une mise en échec avec son gros cul, se plaçant ainsi hors position et forçant Prust à prendre une punition pour empêcher les Sénateurs de s'inscrire au pointage.  Enfin, il a continué de préparer sa seconde carrière (au cinéma) en jouant la comédie (photo ci-dessus) après avoir reçu un coup de Chris Neil quand ce dernier s'est dégagé de la prise de l'ours que Subban lui faisait subir.  Beau candidat au trophée Norris, oui...



Brandon Prust continue de ravaler sa mauvaise plaisanterie (l'histoire du morse obèse aux yeux exorbités) sur l'entraîneur MacLean.  Achevé par Erik Gryba, le même qui a sorti Eller de la compétiton en l'expédiant à l'hôpital, lors du premier match de la série, le gros plein de soupe du Caca ne jouera pas demain.  Prust est en morceaux et il paye le gros prix parce que les joueurs et les partisans (photo ci-dessus) des Sénateurs ont pris la défense de leur coach.  Ces propos d'imbécile ont attisé la haine des porte-couleurs de la capitale nationale et, comme je l'écrivais dans un billet précédent, plus les adversaires des CHaudrons les détestent, plus ils ont des chances de les vaincre.

On ne sait pas encore si Scary Price jouera demain, mais cela vaudrait mieux pour nous, les anti-habs.  Le 31 des CHieux est en effet un loser fini, surtout en séries.  C'est un gage de défaite pour le CHiendent.  Écoeuré de perdre des dents et...la face, qui sait s'il ne fait pas semblant d'être blessé pour se sortir lui-même de l'eau bouillante et retourner au plus vite chasser le coyote dans son bled de Colombie-Britannique ?  Son auxiliaire Peter Budaj est meilleur que lui.  Il se peut même qu'il aide le torCHon à éviter l'élimination demain, avant de s'avouer vaincu à Ottawa au match no 6.  À moins que, comme un boxeur sanguinolent qui en a assez des coups meurtriers de l'adversaire, le CanaCHien décide tout simplement de lancer la serviette dans le ring.  Il ne serait pas étonnant non plus que le gardien Craig Anderson décide de ne rien laisser passer parce qu'il en a assez du petit bleu, blanc, merde.  Sans oublier que les joueurs des Sens doivent partager l'avis de leur coéquipier Gryba, qui a déclaré après le match d'hier : «on peut sentir le sang des Habs, on peut même le goûter; c'est le temps de les achever et de les écarter de notre chemin».  On est d'accord à 100% Erik !  

lundi 6 mai 2013

LES SAINTS MARTYRS CANADIENS DÉVORÉS DANS LA FOSSE AUX LIONS DES SÉNATEURS D'OTTAWA...


Les Sénateurs d'Ottawa avaient revêtu leur tenue de guerrier hier au Scotia Bank Place.  Dès les premières minutes du 3e match de la ronde initiale qui les oppose au torCHon de MortYial-la-sale, tout le monde s'est vite rendu compte que les hommes de Paul MacLean n'étaient pas là pour pique-niquer ou recevoir poliment la visite.  Ils sont tombés à bras raccourcis sur les CHieux comme la misère sur le pauvre monde.  Pour ma part je me suis mis à rire et à crier tout de suite quand j'ai vu les joueurs des Sens attaquer le gros plein de boudin à Subban, le matamore raté de Prust et le petit Tintin Gallegher.  À mesure que le massacre continuait je riais de plus en plus, même que j'en pleurais...de joie !  Et en 3e période, je riais tellement que je me suis étouffé.  J'en ai encore mal à la gorge.  Il s'agit du match le plus trippant que je savoure depuis que j'écris mes blogues.  Il y en avait eu des sucrés de bons en saison régulière contre Boston et Toronto, ainsi que des parties inoubliables contre les Flyers, mais celle d'hier les battait toutes.  Il ne manquait plus que le gros Caca à Subban se ramasse à l'hôpital pour que je sois totalement comblé.



Cette raclée mangée par les CHaudrons me rappelait des expressions consacrées dans le genre : «être battus comme des tapis», «se faire secouer comme un prunier», «se faire battre comme une pinata», «se faire brasser comme de la bière» (de la mauvaise bière comme la Molson), «se faire battre avec le boutte qui saigne» (ancienne joke des Cyniques), «se faire écraser comme des punaises ou des moustiques», «se faire passer dans le tordeur ou le blender», «se faire aplatir comme des crêpes», «se faire secouer comme des poupées de chiffon», etc.  Les Sens ont littéralement sorti les CHieux de la patinoire.  À la fin, il ne restait que quelques débris sur le banc de la CHnoutte.  Comme si un ouragan avait tout balayé.  Le Cacad'CHien me faisait penser au gallon de peinture que j'ai acheté récemment.  Vous savez, quand le quincaillier utilise la machine pour brasser la peinture.  Ça shake pas à peu près !  C'est ça qui est arrivé au CHiendent hier !  Ils doivent encore ramasser les morceaux aujourd'hui !




Le principal broyeur à déchets CHicolores a été le rude Chris Neil.  Il a passé la charrue toute la soirée en faisant revoler partout les petits schtroumfs du Cacanadien.  Ceux-ci ressemblaient à des petits soldats de plomb projetés dans les airs par des bombes ou des obus qui éclatent.  Au milieu du premier vingt, des poltrons comme Galchenyuk n'osaient plus toucher au disque lorsqu'un Sénateur était dans les parages, de peur de se faire planter.  Depuis le début de la série le nain Desharnais se contente d'encaisser les coups sans même essayer de tirer au but (zéro lancer en 52 minutes de jeu).




Anéantis physiquement par les Sens, les CHaudrons ont aussi été humiliés au pointage.  Avec en prime la possible naissance d'une étoile, le jeune Québécois de 20 ans Jean-Gabriel Pageau, qui a réussi rien de moins qu'un tour du chapeau en plus d'être acclamé par la foule assistant à ce derby de démolition des Habs.  Natif d'Ottawa mais ayant grandi à Hull, cette verte recrue n'oubliera pas de sitôt sa soirée d'hier !




Frustrés au coton, plusieurs lâches de la CHiasse ont commis des actes qui auraient dû leur mériter des suspensions par la Ligue Nationale.  Comme ils sont protégés par l'entente de 375 millions de dollars qui lie Molson au circuit Bettman, ils ont encore évité les sanctions qui auraient été automatiques pour les porte-couleurs de n'importe laquelle autre équipe.  White, Prust et Bourque ont tous asséné des coups dangereux à la tête de rivaux.  À la fin de la partie, Gorges a fait exprès pour effectuer un violent lancer frappé sur un joueur des Sens.  Gallegher a été l'instigateur d'une escarmouche dans les cinq dernières minutes de la rencontre, ce qui aurait dû lui valoir une suspension automatique selon les règlements en vigueur.  On a aussi vu le gros bac à vidanges Piqué des vers Subban s'en prendre sournoisement à Turris, sans parler du coup de bâton qui a coûté une dent et un flot de sang à Pageau lorsqu'il a marqué son premier filet.  Dans le cas du 76 du torCHon, les dizaines de milliers de gens qui le huent à travers la ligue ne peuvent se tromper : c'est le pire enfant de chienne dans toute l'histoire de la NHL.




Il faisait bon de voir enfin les partisans des Sénateurs "enterrer" les milliers de fefans qui, d'habitude, prennent le "contrôle" de la Place en faisant chier tout le monde.  Parmi la foule se trouvait Therese (ci-dessus), la charmante épouse du défenseur Erik Karlsson.  Étant le meilleur club de la ligue pour écouler les punitions, les Sénateurs profitent doublement de cet avantage en abusant physiquement des CHieux et en les intimidant "à planche".




Les fefans, de même que les journaliCHeux qui se prosternent devant les Canailliens et leur lèchent les bottines, ont beau prétendre que le cinglant revers d'hier sera vite oublié, il sera difficile pour les peureux du torCHon de faire abstraction des meurtrissures qui recouvrent leur corps amoché, et de la trouille qui hante maintenant leur esprit.  Éphrem T'esRien ne sait plus quoi faire avec sa bande de vauriens.  Il essaie de les motiver en prétextant le manque de classe de MacLean à cause du temps d'arrêt qu'il a demandé à dix-sept secondes de la fin de la game.  Il ne fait pourtant que jeter de l'huile sur le feu.  Un feu qui va lui revenir dans la face puisque ses petits soldats de plomb sont incapables de faire face à la musique et de remporter des guerres où la loi du plus fort s'applique implacablement.

       

samedi 4 mai 2013

SANS AVOIR JOUÉ LEUR MEILLEUR HOCKEY, LES SÉNATEURS RENTRENT À OTTAWA AVEC L'AVANTAGE DE LA PATINOIRE.


Les Sénateurs d'Ottawa ont réussi ce que toute équipe visiteuse veut accomplir lorsqu'elle se présente sur la patinoire ennemie en séries éliminatoires : gagner au moins un des deux matchs à l'étranger, devant une foule hostile.  Les représentants de la capitale canadienne sont loin d'avoir joué leur meilleur hockey dans ces premières rencontres, et ils doivent à leur gardien de but, Craig Anderson, et à la faiblesse de son homologue Scary Price, de se retrouver avec une égalité de 1-1 dans la série, en rentrant chez eux pour les parties 3 et 4. Paradoxalement, les hommes de Paul MacLain ont mieux joué dans le second affrontement puisqu'ils ont beaucoup plus limité le nombre de chances de marquer accordées aux CHieux de Mourial.  Mais ils ont perdu quand même, surtout à cause de l'inefficacité de leur jeu de puissance.  Pour soutirer la victoire dans le match no 2, les défenseurs et les attaquants des Habs ont dû bloquer 34 tirs de leurs opposants.  Une telle mitraille laisse des traces et des ecchymoses.  Dans bien des cas, un centimètre ou deux et quelques-uns de ces lancers passaient tout droit sans être bloqués, et ces rondelles auraient pu déjouer Price.  Question de chance ou de malchance, selon la couleur des uniformes...  Quand Scary s'est fait casser une couple de dents en 2e période, il était ébranlé et les Sens aurait dû en profiter pour le mettre plus souvent à l'épreuve pendant qu'il crachait le sang.



Au contraire, pendant que le jeu des Sens laissait à désirer dans ces rencontres inaugurales, les petits Cacanadiens devaient se débattre et tout donner pour arriver à éviter le pire, c'est-à-dire subir deux revers en partant, à domicile, dans cette série.  Autre aspect intéressant, la série est très dure physiquement jusqu'ici pour les frêles porte-couleurs de la CHnoutte.  Plusieurs des mauviettes de l'instructeur Michel Therrien sont déjà sur le carreau, et plusieurs autres se sont fait sonner et jouent malgré des blessures.  Tout indique qu'à ce rythme effréné les plus robustes joueurs des Sénateurs sont bien placés pour gagner la guerre d'usure qui semble se dessiner.  Les Sens ont toutefois un problème au centre de leur premier trio.  En remplacement de Spezza, Turris ne fait pas le travail présentement, et ça nuit au capitaine Alfredsson. MacLain est même obligé d'utiliser la verte recrue Jean-Gabriel Pageau sur ce trio.  Les Sénateurs sont bons à la maison, n'ayant perdu que six fois cette saison à la Place Banque Scotia.  Par contre le torCHon montre une bonne fiche cette année à l'étranger.



Ottawa devra améliorer également son échec-avant puisqu'il n'a pas été à la hauteur vendredi soir.  Les Sens doivent mettre plus de pression sur le vulnérable duo Subban/Markov.  Ce dernier est à bout de souffle et commet des revirements quand on le presse dans sa zone.  Subban panique et rate ses passes quand on le frappe autour de son filet alors qu'il tente de libérer son territoire.  Les Sens ont été plus mous vendredi autour de leur propre filet.  Karlsson a joué près de 30 minutes, ce qui est beaucoup trop, surtout pour un gars qui revient à peine d'une grave blessure.  J'aimerais également que Chris Neil se plante davantage devant la cage de Price pour nuire à son travail et lui faire perdre sa concentration -et pourquoi pas quelques autres dents- !  Puisque les Canailliens veulent bloquer des lancers, il serait bon que les Sens se passent davantage le disque autour du but adverse au lieu de trop être prévisibles en télégraphiant leurs lancers frappés à une trop grande distance du filet.  J'ai remarqué que Price est fréquemment trop profond dans son filet quand les Sens bourdonnent autour de lui.  Ainsi mal placé, il n'a pas le temps de réagir sur les courtes passes dans l'enclave ou sur des passes transversales devant lui.  Il accorde aussi beaucoup trop de retours de lancers faciles dont les Sens devraient profiter davantage.  

Bref, les Sénateurs ont pas mal de place à l'amélioration tandis que les CHieux font déjà tout ce qu'ils peuvent.  La troupe de MacLain doit se mettre à jouer comme elle en est capable.  En resserrant leur défensive, en étant plus agressif en échec-avant ainsi que sur leurs mises en échec, et en multipliant les assauts sur Price, les Sens devraient être en mesure d'avoir les CHaudrons à l'usure...  À force de perdre des effectifs, Therrien va bientôt manquer de soldats pour aller à la guerre...