samedi 18 mai 2013

IL N'EN PEUT PLUS DES FEFANS COLONS : PRICE VEUT SORTIR DU TROU DE MONTRÉAL...


Dans nos sociétés modernes tout va à un rythme effréné.  Surtout dans les villes populeuses, la vie est réglée sur l'éternel recommencement dodo-métro-boulot.  C'est la même chose dans le domaine de l'information, surtout dans les médias électroniques.  On dirait même que les médias sociaux ont empiré la situation.  Pour pondre leurs articles ou faire leurs reportages, les journalistes disposent de moins en moins de temps.  Avec les chaînes de nouvelles en continu et en direct, on ne parle même plus d'heure de tombée, mais plutôt de minutes, pour livrer une nouvelle presque instantanément transmise sur les ondes.  Plus que jamais, l'information doit être traitée subito presto.  Le journaliste doit faire des présentations et des topos courts, nets et précis, sans oublier d'ajouter du punch pour satisfaire les exigences de l'info-spectacle, ou du "show" de télévision.  Parfois, le reporter est chanceux.  Une magnifique déclaration d'un témoin, ou d'un acteur de l'événement qu'il rapporte, fait presque tout le travail à lui seul.  C'est tellement plaisant dans ce temps-là.  En quelques mots, en une formule simplifiée comme les agents de l'information "compressée" l'aiment tant, un extrait sonore de quelques secondes résume tout ce que le public doit savoir.


Ce fut le cas l'autre jour, quand le gardien du torCHon, Scary Price a vidé son casier de vestiaire après l'élimination éclair de son club de broches à foin.  Agglutinés autour de lui comme des fourmis autour d'un fruit pourri tombé de l'arbre, les joueurnalisssssssses de Moronréal l'ont encore questionné sur sa capacité à supporter la pression des matchs importants (comme ceux des séries éliminatoires) et celle venant des fefans bipolaires de la métropauvre, renommés pour être des cinglés et des malades du Cacanadien.  Fous à en déclencher des émeutes, à en faire des crises nerveuses ou des dépressions.  Et ça, c'est quand ils ne font pas passer leur frustration ou leur rage sur leur conjointe, leur chien ou leur poisson rouge, en les battant...  Price a fini par avouer que sa vie dans la capitale de la corruption lui était devenue  pénible ces dernières années.  Il ne peut plus sortir de chez lui sans se faire montrer du doigt, sans se faire achaler par des fefans ou sans se faire carrément critiquer par des gérants d'estrade grossiers.  Le pauvre Scary se plaint qu'il ne peut même pas faire son épicerie en paix.  En fait, il déplore qu'il ne peut plus rien faire du tout à l'extérieur de son domicile.  Et puis il lâche la fameuse phrase.  Ces quelques mots qui traduisent à merveille le message que je m'efforce de faire passer dans mes blogues depuis quatre ans.  Cette formule imagée qui tombe comme une aubaine incomparable dans les mains des Anti-Habs.  Ce cri du coeur qui signifie jusqu'à quel point il en a assez du manque de savoir vivre et de l'imbécillité des Moronréalaids.  Oui le 31 des CHaudrons a flanché sous la pression des scribes comme il avait encore flanché en séries Stanley contre les Sénateurs d'Ottawa.  «Je me sens comme un hobbit dans un trou», a-t-il confié à la horde de charognards qui l'entourait.


Cette déclaration concise, nette et précise veut tout dire.  Pour les Anti-CH c'est comme s'ils se retrouvaient à la place du renard dans la fable de Lafontaine mettant également en vedette un corbeau qui laisse échapper son morceau de fromage.  Sauf que nous, les antis, à la différence du renard flatteur, nous n'avons même pas "travaillé" pour profiter de ce cadeau tombé de l'arbre.  D'abord, cet aveu de Price exprime la détresse d'un gars trop faible entre les deux oreilles -comme nous l'avons toujours affirmé-pour garder le contrôle sur sa situation et son environnement.  On pourrait expliquer ce désarroi par les origines amérindiennes de Scary, mais il faut concéder que l'idiotie et la rusticité des Moronréalaids peut suffire à détraquer n'importe lequel individu sensé venant de l'extérieur de ce trou de merde.  Il n'y a même pas 50 ans, les Québécois de souche employaient le terme "sauvages" pour désigner les membres des premières nations.  Peut-être Price est-il resté un peu sauvage et qu'il aime mieux se retrouver dans les grands espaces non pollués de fefans, dans les forêts ou sur les immenses rivières canadiennes, à se promener librement, à chasser le coyote ou à pêcher le saumon.  Plutôt que de côtoyer des fefans effrontés et impolis qui le traitent comme un objet de curiosité ou sont familiers avec lui au point de l'offusquer.

On dit que Price s'ennuie du temps où il pouvait passer incognito dans la ville de Denis Coderre.  Pourtant, au début de sa carrière professionnelle avec le Caca, par ses frasques répétés dans les bars et les clubs de nuit du bidonville de la municipalité aux mille dépotoirs à ciel ouvert, Scary paraissait bien à l'aise.  Il sortait beaucoup et ne craignait guère d'être reconnu.  Son statut de vedette ne lui pesait pas du tout.  De nombreuses photographies sur le net nous le montrent en train de faire le party et de foirer avec des filles aux moeurs légères.  Faut croire qu'avec son contrat de 39 millions de dollars, le cerbère no 1 des CHieux s'est embourgeoisé au point de ne plus vouloir frayer avec la populace rebutante de Mourial-la-sale.  En se comparant à un hobbit, le gardien des Canailliens frappe aussi dans le mille car c'est vrai qu'il a toujours eu l'air un peu étrange avec son regard triste de chien battu ou peureux.  Et en parlant d'un hobbit dans un "trou", ce dernier mot décrit parfaitement le bidonville moronréalaid.  Que dire de plus !  Price vient de cerner complètement sa situation.  Il vient classer les fefans dans la catégorie des malappris et des colons, et il qualifie à juste titre de "trou" (de merde en sous-entendu) la ville de Mourial.  C'est le plus beau tour du chapeau dont pouvait rêver les Anti-Habs !  Merci Scary !  

Malheureux à Fefans'Land, Price n'a plus qu'un pas à franchir pour exiger d'être échangé à un club évoluant aux USA, dans une ville où on ne le reconnaîtra pas dans la rue parce qu'à cet endroit les quilles sont plus populaires que le hockey.  En cela, il n'y a, après tout, rien de nouveau puisque tous ceux qui ont fait fortune chez la CHiasse ont fini par s'arranger pour se faire sortir du "trou" moronréalaid après quelques années de galère à avoir les fefans et les journaleux sur le dos...  «What the fuck !  These frenchies are crazy !»

14 commentaires:

Anonyme a dit…

S V P n echangez pas scary on en a encore besoin ....pour rire et rire encore des années et des années vers l infini et plus loin encore comme dirait buzz lightyear

Anonyme a dit…

La volonté mal cachée de Passoire Price de se sortir de Montréal nous comfirme une réalité que les journaliCHeux et les petits fefans lobotomisés refusent encore d'admettre: Montréal est désormais la pire ville de la LNH.

De fait, si la LNH était un corps, le Centre PouBell serait son anus.

Qui voudrait jouer dans une ville où tu as des caméras toujours collées au derrière, où tu dois répondre aux questions stupides de médiocres journaliCHeux incompétents, où tu te fais achaler sans arrêt par des mongols de fefans édentés qui n'ont pas de vie (ni de cervelle)?

Ces dernières années, la Sainte-Guenille a perdu beaucoup plus de joueurs autonomes qu'elle n'a pu en signer. Et les rares joueurs que ce club pourri a pu embaucher étaient des vieux finis qui s'accrochaient ou des plombiers dont personne ne voulait.

Bien entendu, aucun lèCHe-cul de journaliCHeux ne va se prononcer là-dessus. Et la direction de la Sainte-Guenille, elle, va encore radoter sur le passé glorieux pour camoufler le fait que son club est désormais aussi indésirable que la présence du minable et insignifiant crotté Marco le consanguin.

Anti-Fefan a dit…

Même Patrick Roy, qui a donné deux coupes Stanley à Montréal, avant de se faire mettre à la porte comme un trou-de-cul, ne veut rien savoir d'y revenir. Et avec raison!

Le grand 33, qui a remporté quatre coupes Stanley, trois Conn Smythe, et une coupe Memorial (2006, à Moncton), en serait près d'une entente avec l'organisation qui lui a laissé sa 2e chance, soit l'Avalanche du Colorado.

Il irait ainsi rejoindre son bon copain Joe Sakic, avec qui il a fait la pluie et le beau temps, entre 1995 et 2003.

Une belle claque en pleine sur les sales tronches des fefans. Non seulement il a dit «NON» une, mais DEUX FOIS!!!

Bravo à M.Roy, et... GO AVS GO!!!

Dailleurs, mon cher Hacksaw, j'aimerais bien avoir ton opinion personnelle, que ce soit ici ou par le biais de ton blogue, à propos de cette rumeur qui va sûrement devenir une confirmation dans les prochains jours. Merci :)

Anonyme a dit…

Que tu sois gardien numéro 1, DG de la sainte-nitouCHe ou coach, la réalité est la même : on te suit jusque dans ta douche. Les journaliches ont fort probablement déjà même offert à n'importe quelle vedette dans l'entourage du bleu-blanc-brun de ramasser le savon pour lui dans la douche. Entre gagner 6 millions par année dans un no man's land comme Phoenix ou dans une place de retardés mentaux, je choisirais le no man's land même si c'est ennuyant.

Bonne chance mon Carey, profites bien de tes prochains mois de vacances parce que plus ça va aller, plus tu vas te faire observer 24h sur 24. Maintenant que t'es multimillionnaire en plus d'avoir fait cette déclaration de gars qui s'est une fois de plus mis le pied dans la bouche pour ne pas dire se tirer dans le pied, t'es pas sorti du bois mon garçon. Et comme t'as jamais rien prouvé en séries, t'as pas vraiment de valeur d'échange. Si tu avais gagné 2 coupes Stanley, la sainte-nitouCHe n'aurait pas de misère à t'échanger mais c'est très loin d'être le cas, t'arriveras probablement jamais aux ongles d'orteil de Patrick Roy. Roy est parti au bon moment car il savait que ça dégénérait de plus en plus à Bipoland et que ça commençait à puer la médiocrité à l'horizon. Il voulait finir sa carrière avec honneur, avec une équipe qui aspirait à quelque chose de plus valorisant qu'une misérable Coupe Molson qu'on remet à un joueur du CH comme un chèque de BS qu'on remet le 1er du mois.

Vlad

Anonyme a dit…

Quel autre printemps jouissif pour nous, les anti-habs.

1) Le TorCHon s'est fait planter solide par une équipe ordinaire et privée de son meilleur joueur.

2) Passoire Price a reconfirmé qu'il est un misérable «choker» incapable de soutenir la pression.

3) Le gros singe puant Subanane est allé perdre avec l'équipe canadienne au championnat du monde.

4) Les Bruins gagnent, gagnent et gagnent encore, ce qui donne de boutons aux petits fefans lobotomisés, particulièrement à cet abruti de mongol Marco le consanguin.

5) Le petit laquais démagogue Mathias Brun-Niais s'est encore couvert de ridicule en comparant Passoire Price avec l'excellent Henrik Lundqvist. La crédibilité de ce pauvre lèCHe-bottes s'émiette chaque jour. D'ici peu, son boss va envoyer cet incompétent couvrir les ligues de bowling et les tournois de pétanque.

6) Le plus ironique, c'est que le têteux Brun-Niais a publié mardi un article dont le titre résume fort bien l'ensemble de sa minable carrière de gratte-papier: «L'art de dire des âneries».

Anonyme a dit…

Amis anti-habs, faites-vous plaisir et conservez précieusement ce lien:

http://blogues.lapresse.ca/lnh/2013/05/22/et-si-henrik-lundqvist-avait-joue-pour-le-canadien/#comments

Le petit laquais Mathias Brun-Niais y mange une volée pleinement méritée de la part de ceux qui, habituellement, boivent les paroles de ce porteur de valise.

Comme chaque fois qu'il se fait planter (ce qui arrive de plus en plus souvent), le lèche-cul Brun-Niais a tenté de camoufler son texte pourri en en sortant pas moins de quatre autres en quelques minutes.

Pas étonnant que ce pathétique démagogue en soit réduit à censurer ceux qui le prennent en défaut. Mais quel plaisir pour nous tous de voir cet incompétent se faire massacrer par ses lecteurs.

Anonyme a dit…

Cher amis anti-CHiures EURÉKA!et oui enfin une explication plausible au mongolisme de M4RCO Yves champagne et cie l'eau bien sur l'eau de L'ile au génie les autorités ont découvert aujourd'hui qu'il fallait faire bouillir l'eau et voila! mais ce qu'ils ne savaient pas c'est que ca fait 20 ans qu'ils devraient la faire bouillir car mélangé aux anti-dépresseur cette eau libere des substances toxiques qui surement affectent le jugement et par surcroit la santé mentale en général des individus à risque.

De la le nombre croissant d'hydrocéphalites(tetes d'eau)le corps ne pouvant éliminés cette eau polluée.

Les symptomes
facilité à se faire hypnotiser.

Entre en transe à la vue d'un sigle de la charogne.

Devient agressif si contrarié.

En plus la moulson est brassée avec ça OUF!

Anti-Fefan a dit…

En effet, ça prend une équipe ordinaire, pour faire les séries malgré des blessures à ton meilleur attaquant, ton meilleur défenseur et ton gardien numéro un...

Anonyme a dit…

Les petits fefans lobotomisés, ces mongols sauvages à grande gueule, sont désormais très discrets (on ne s'en plaint pas).

Disparus les fefanions cheaps sur les bazous. Disparus les gueulards qui beuglaient «Olé, olé, olé» dès la première période. Disparus les abrutis qui se promenaient avec des calottes chicolores vissées sur leur tête creuse.

Si seulement ces arriérés édentés pouvaient tous boire quelques gallons de l'eau contaminée de Montréal, on aurait la paix pour un bon bout de temps. D'ailleurs, je me demande si l'eau dans la grosse tête d'imbécile de Marco le consanguin est aussi contaminée.

Anti-Fefan a dit…

Parlant de colons, cette CONNE donne parfaitement l'exemple, dans son billet sur le RDS.CA

Je vous invite à aller consulter - et pourquoi pas lui répondre, par le fait même?

http://legrandclub.rds.ca/profils/juliecanadienne/posts/158824/public

Anonyme a dit…

Tabarnak, méchante cruche vide la Julie.

Anonyme a dit…

les fans des charogne prenne toute pour les autre clubs sauf boston.si jamais boston passe les talentueux penguoins y vont capoter

Anonyme a dit…

Je commence à penser qu'on va attendre longtemps avant d'avoir une équipe à Québec. Avec la nouvelle ligue reconfigurée, avec 16 équipes dans l'est et 14 dans l'ouest, les chances sont faibles de voir arriver les Coyoetes cette année. Et si Molson avait son mot à dire pour s'assurer qu'aucune équipe débarque en ville pour s'arracher les possibles futures parrtisants des Nordiques qui boycotterront leurs pisse de vache? N'importe quelle entrerise rêve d'avoir le monopole sur son produit sur tout le territoire du Québec. Je commence à me demander si on fait juste donner des illusions aux gens de Québec, un rêve qui semble de plus en plus inatteignable.

Pépé

Anonyme a dit…

Julie...on dirait la soeur à DEE SNIDER le chanteur de TWISTED SISTER D'OH!