vendredi 21 juin 2013

LE "DEMI" TROPHÉE NORRIS DE P.K. SUBBAN : UNE ABERRATION ET UNE JOKE !


Tous les joueurs ou les dirigeants du Cacanadien de Moronréal qui étaient en nomination pour des trophées récompensant les meilleurs de leur profession ont mordu la poussière lorsque les gagnants ont été annoncés, la semaine passée.  Tous sauf un.  Le pire de tous : Piqué des vers Subban !  La remise du trophée Norris au 76 du torCHon pour le proclamer meilleur défenseur de la NHL (devant Ryan Suter du Wild et Kristopher Letang des Penguins) a été accueilli partout (à l'exception de Mourial, bien entendu) avec des sarcasmes remplis d'incrédulité, de stupeur, et de déception. Dans la plupart de leurs commentaires, les amateurs de hockey insistaient pour que l'élection des récipiendaires de ces trophées soit confiée aux joueurs, aux instructeurs et aux hommes de hockey qui travaillent dans chaque organisation faisant partie de la Ligue.  Présentement, ce sont les journalistes qui choisissent les joueurs et les dirigeants les plus méritants.  Et leurs choix sont trop souvent des "jokes".  Ainsi, par exemple, des scribes qui couvrent les activités de clubs de la Conférence de l'Ouest, ont pu voter pour Subban alors qu'ils ne l'ont même pas vu jouer cette saison.  Ce sont ces mêmes journalistes qui ne connaissent rien au hockey mais qui sont envoyés par leur employeur pour boucher les trous et faire le job que personne d'autre n'accepte de faire.  Ils sont souvent seuls à interroger le coach ou les joueurs de l'équipe qui évolue dans un marché où le hockey est le parent pauvre des sports professionnels de la place.  Ils ne savent même pas de quoi parler et ils demandent toujours à l'entraîneur-chef quel sujet pourrait être le moins ennuyant pour leur poignée de lecteurs...


Cette année encore, les électeurs ne se sont pas forcés pour sélectionner les candidats au Norris.  Ils ont pris les trois meilleurs pointeurs chez les défenseurs.  Comme si le rôle principal d'un défenseur n'était pas de...défendre !  C'est le cas de le dire en cette campagne écourtée par un long lock out, Subban n'a joué qu'une demi-saison et son Norris se trouve ainsi coupé de moitié !  Pour gagner sa précieuses pièce de quincaillerie, le gros jambon spécialiste du plongeon volontaire et l'as des as pour se cacher derrière les arbitres quand des adversaires veulent régler des comptes avec lui, n'a eu qu'à profiter de l'énorme déséquilibre qui a favorisé les CHieux en ce qui concerne le temps passé en avantage numérique par rapport à celui passé en infériorité numérique (CH = 1er dans la Ligue avec un différentiel favorable de 58:23 min.; Minnesota, -le club de Suter-, a fini 4e avec + 31:45; et Boston, le club de l'excellent Zdeno Chara -qui a fini 5e au scrutin pour le Norris-, a pris la dernière place avec un retentissant moins 76:40).  Le gros défenseur du Caca a joué en moyenne 4:37 minutes par partie (2e de la Ligue derrière Markov à 4:42; -en comparaison, Suter a eu 3:46 par match-) sur le jeu de puissance, alors qu'il ne s'est pas fatigué à écouler le temps en désavantage numérique (seulement 1:27 min. par rencontre contre 2:07 pour Suter).  C'est ainsi que Subban a pu tranquillement accumuler 26 de ses 38 points (près du ¾ de ses points) quand c'était le plus facile de jouer, c'est-à-dire lorsque les CHaudrons avaient un ou deux joueurs de plus que leurs opposants sur la patinoire.  À égalité numérique, P.K. n'a marqué qu'une douzaine de points, comparé à 25 pour Letang et 17 pour Suter.


Pendant que Suter dominait la Ligue pour le temps passé sur la patinoire (moyenne de 27:16 min. par joute), Subban se contentait de 23:14 par partie.  P.K. a maintes et maintes fois mis son équipe dans le pétrin avec ses punitions stupides (57 min. -ce total serait bien plus élevé si les officiels appelaient ne serait-ce qu'une petite partie de ses infractions pour obstruction-) alors que Letang ne passait que 8 minutes au cachot, et Suter 24.  Subban a certes eu l'avantage pour le nombre de mises en échec (51 contre 45 pour Letang et 33 pour Suter), mais combien de fois s'est-il sorti du jeu en y allant de son fameux coup de derrière aussi spectaculaire que sournois sur un adversaire patinant la tête basse ?  D'ailleurs, P.K. a fréquemment manqué son coup en tentant ce jeu, et même quand il le réussissait il tombait souvent lui-même sur la glace, en créant ainsi un trou en couverture défensive.  Beau défenseur oui !  Sans compter ses grandes difficultés dans les "un contre un" qu'il perd la majorité du temps.  Ses carences en défensive ont d'ailleurs été mises en relief par les commentateurs de "Hockey Night In Canada" (à CBC -on est pas chez les lèche-culs des CHieux à RBS là...-).


On juge aussi du travail d'un défenseur par le nombre de revirements qu'il commet (ou évite).  À ce chapitre, Subban a "dominé" facilement ses deux co-listiers en se rendant coupable de 42 "give aways" (contre 34 pour Letang et seulement 19 pour Suter).  Une autre statistique importante concerne le nombre de lancers bloqués par les défenseurs.  Subban ne fait encore pas le poids dans cette catégorie (ça prend du courage pour se jeter devant des rondelles propulsées à 100 milles à l'heure, et on sait que P.K. est un peureux et un jaune) alors qu'il n'a bloqué que 49 tirs contre 74 pour Suter et 59 pour Letang.  Compte tenu de sa couardise qui lui fait éviter tout combat (sauf parfois contre des adversaires beaucoup plus petits que lui) même s'il fait souvent des coups déloyaux et provoque toujours les joueurs adverses, il était normal que Subban porte un veston jaune pour aller chercher son demi-Norris !


Subban avait déjà la grosse tête en commençant sa carrière dans la métropauvre.  Imaginez maintenant après la récolte de ce trophée !  Avant, on peut dire que sa grosse bolle ressemblait à celle d'un mongol.  Un mongol fier.  Maintenant elle ressemble plus à une montgolfière !  Ha ! Ha ! Ha !  Il exigera sûrement entre 6,5 et 7 millions de dollars par an pour son prochain contrat.  Autant d'argent sur un pourri comme lui, ça veut dire moins d'argent pour de meilleurs joueurs chez le CHicolore.  Voilà déjà une bonne nouvelle pour les anti-habs !  Bell étant associé aux CanaCHiens, cette compagnie de téléphone devra fatalement payer une partie du salaire de Pédé Subban.  Je me suis assuré de ne pas défrayer ne serait-ce qu'un quart de cenne de cette manne en mettant fin hier à mon abonnement à la téléphonie de Bell.  Je ne m'en porterai que mieux !  Au final, ce Norris décerné injustement à P.K. est à la fois une farce monumentale ainsi qu'une disgrâce et une honte pour la LNH...  P.K. aurait certes mérité un Oscar à titre de joueur qui joue le mieux la comédie.  Personne n'aurait également mis en doute un prix citron attribué pour souligner sa domination chez les plus poltrons...

mardi 4 juin 2013

MacLEAN A MERVEILLEUSEMENT COMPLÉTÉ SA MISE EN ÉCHEC SUR THERRIEN ET LE CACANADIEN.


La dernière série éliminatoire Ottawa/Moronréal fait déjà partie de l'Histoire.  Elle restera mémorable très longtemps pour les Anti-Habs et même pour les pauvres fefans du Cacanadien.  Le torCHon était favori dans cette série, et leurs dingues partisans, forts du 2e rang de leurs "champions" dans la Conférence de l'Est durant la saison écourtée de 2013, s'attendaient à ce que le CH participe au moins à la finale de l'Est ce printemps.  Beaucoup d'écervelés bipolaires parlaient même de Coupe Stanley et préparaient la prochaine émeute dans les rues du bidonville d'Haïti-Nord.  La déchéance du gardien Scary Price et de ses coéquipiers poches a été toute une claque dans la face pour eux.  Et cette élimination rapide contre les Sénateurs a été loin d'être banale, d'où son caractère historique pour les anti-habs.  Rarement avait-on vu un instructeur, Paul MacLean, finaliste pour l'obtention du trophée Jack Adam (contrairement à Therrien qui n'a pas été mis en nomination -au grand dam des fefans et des journaliCHeux de la métropauvre-), remis au coach de l'année, se moquer de ses adversaires à ce point.


Non seulement MacLean a "out-coaché" de façon gênante son homologue Michel "Éphrem" T'esRien, mais il l'a complètement humilié.  On n'oubliera jamais le temps d'arrêt demandé par MacLean à 17 secondes de la fin du massacre de 6-1 des CHieux dans le match # 3.  Therrien était furieux et il nous a offert un beau spectacle de frustration derrière son banc.  Un pur délice !  Qu'est-ce qu'on a ri simonac !!!  Il y a aussi eu l'histoire de Eller terrassé par Gryba.  En répondant aux questions des journalistes en point de presse, après ce premier match de la série, MacLean n'a désigné les joueurs des CHaudrons que par leur numéro d'uniforme (exemple, il a parlé du 61 -au lieu de nommer Diaz- pour sa passe suicide qui a envoyé Eller aux pays des cauchemars).  Belle marque d'irrespect !  Et c'est justement comme ça que vous devez traiter cette organisation de broches à foin toujours sur-évaluée et qui a instauré une véritable médiocratie dans la cité la plus corrompue d'Amérique du Nord...


Au moment de commencer la série éliminatoire suivante contre Pittsburgh, MacLean a complété sa "mise en échec" (ou son "échec et mat") de Therrien et du Caca en prenant soin d'associer le numéro des vedettes des Penguins à leur nom.  "Le 87 c'est Crosby, le 58 est Letang, le 71 est Malkin" a-t-il précisé sans faire semblant de rien mais en riant sans doute en son fors intérieur.  Une manière savoureuse et subtile de dire qu'ils respectait les Penguins mais qu'il méprisait les "no name" du Cacad'CHien.  Sublime !  Une prolongation du calvaire de la CHnoutte et de leurs fefans.  Génial ce MacLean !


Il y également eu cette déclaration stupide de Brandon Prust qui a traité l'entraîneur-chef des Sens de "gros morse aux yeux globuleux".  Évidemment cela a bien fait rire MacLean qui a répliqué qu'il n'était pas gros.  Mais cet incident a surtout motivé davantage ses joueurs à gagner pour lui.  Ils ont d'ailleurs fait ravaler son insulte à Prust qui a mangé tellement de coups par la suite, qu'il a été incapable de finir la série...  Pas de doute, MacLean a remporté haut la main la guerre psychologique contre Therrien.  Il l'a fait avec humour.  À notre plus grand plaisir.  Quelques jours après la conclusion de la série, on apprenait dans un journal d'Edmonton (pas de Mourial évidemment) que Prust s'excusait pour ses propos à l'endroit de MacLean.  Il ne demandait pas pardon à celui-ci, mais il s'excusait plutôt aux enfants du pays parce qu'il leur avait donné le mauvais exemple.  Il est vrai que son injure à MacLean était du niveau des enfantillages des cours d'école du primaire.  On se crie des noms en disant "gnan-gnan-gnan-gnan-gnannnnnnnnn-gnan".  Pas très mature en effet, monsieur Prust...  Mais ça va bien avec le niveau intellectuel des fefans !