mardi 3 décembre 2013

LE CH OU LA "GUEURNOUILLE" QUI VEUT SE FAIRE AUSSI GROSSE QUE LE BOEUF...


«Une grenouille vit un boeuf,
Qui lui sembla de belle taille,
Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeuf,
Envieuse, s'étend, et s'enfle et se travaille,
Pour égaler l'animal en grosseur,
(...) la chétive pécore
S'enfla si bien qu'elle creva.»

Les Fables de Lafontaine.

De multiples images, proverbes et maximes me sont venus à l'esprit afin de m'aider à rassurer une partie des Anti-Habs qui me semblent trop affectés par la présente série victorieuse du torCHon de Moronréal.  Je dois confesser que, moi aussi, j'ai "pogné" une couple de fois les nerfs en regardant les CHieux en mener un peu trop large à mon goût, au cours des dernières semaines.  Et puis, évidemment, il y a toujours quelques fefans qui profitent de cet heureux temps PASSAGER de leur club de merde pour me tirer la pipe et pour tenter de me pomper l'air.  Cela m'a rappelé une fable de Lafontaine, celle de LA GRENOUILLE QUI VEUT SE FAIRE AUSSI GROSSE QUE LE BOEUF.  On peut tirer plusieurs leçons de ce chef-d'oeuvre de la littérature française qui a bercé notre enfance, à la petite école, et qui est toujours d'une sagesse remarquable.  Ce récit, c'est ce qui arrive aux CHaudrons de Haïti Nord et à leurs partisans bipolaires à chaque année.  Le petit club de petits joueurs du Caca (les petites "gueurnouilles nouilles"), ainsi que la foule innombrable de leurs petits partisans dotés de petites cervelles d'oiseau, gonflent leurs illusions et leurs prétentions, en début de saison, grâce à quelques victoires consécutives contre des équipes fatiguées, pas assez motivées ou insuffisamment talentueuses, jusqu'à se croire aussi forts et aussi gros que les meilleures formations de la LNH (le boeuf, et surtout le boeuf de l'Ouest !).  Quand l'automne se termine et que l'hiver arrive, ils pètent au frette ou sous la pression !  Car, comme on le sait, ce n'est pas comment on commence la saison qui est important, c'est comment on la finit.  Et, je le rappelle aux Anti-Habs, les Cannes à CHiens s'écroulent 99% du temps en seconde moitié de calendrier, quand ça compte vraiment, et quand les autres clubs se mettent enfin à jouer pour gagner.  Les saisons sont longues dans la Ligue Nationale.  C'est un marathon.  Vous devez ménagez vos forces pour tenir le coup et vous rendre à la ligne d'arrivée.  Vous ne partez pas en fou ou en sprintant, sinon vous allez vous vous épuiser et vous allez "manquer de gaz".


Les Canailliens de Mourial, la seule équipe de sports dont le logo épouse la forme d'un siège de bécosses, n'ont pas cette mentalité ou le "luxe" de ménager leur énergie afin de finir forts.  Leurs fefans cinglés et les journalistes cheerleaders, qui scrutent chacun de leur coup de patin, de même que leur incapacité à aller à la guerre quand le jeu se corse après les fêtes, ne leur donnent pas le choix de mettre toute la gomme -et de jouer un style de jeu étouffoir, comme celui des séries éliminatoires- durant les trois premiers mois de la campagne.  Disputer des rencontres serrées, suivre à la lettre le plan de match archi-défensif du coach, profiter d'un calendrier favorable en affrontant souvent des gardiens de buts substituts, bloquer des tonnes de lancers pour parer aux faiblesses de leur propre gardien (Scary Price), se fendre le cul pour donner l'illusion à leurs fefans qu'ils forment un bon club, tout ça finit pas être épuisant pour un ramassis de schtroumfs comme les Cacad'CHiens.  Leur espoir ultime : amasser assez de victoires avant les fêtes pour donner des illusions aux fefans avaleurs de couleuvres (à la suite des belles promesses d'avant-saison) et pour survivre à une deuxième demie de saison désastreuse.  Ainsi, parfois, dans le tout dernier droit du calendrier, en donnant un dernier coup de collier, on réussira, in extremis, à entrer en séries par la porte d'en arrière ou la porte de cave.  Au grand soulagement des fefans morts de peur, qui, grâce à ce sauvetage "héroïque" d'une saison qui s'en allait chez le diable, pardonneront à leurs vauriens CHicolores de les avoir amenés avec eux jusqu'au bord du précipice.  Et si, par miracle, on accède au tournoi de la Coupe Stanley, pour faire encore rêver les fefans à la conquête du précieux trophée, on ne fera pas de vieux os, mais l'honneur sera sauf.  On aura évité le pire, c'est-à-dire, se retrouver en compagnie des équipes qui se situent dans les bas fonds du classement de la Ligue.


La récente série victorieuse du Caca n'est pas si impressionnante que ça.  Ce n'est pas comme s'il dominait ses adversaires.  Plus souvent qu'autrement, il remporte, par la faible marge d'un but, -et avec la complicité des arbitres- des matchs qui auraient pu aller d'un bord comme de l'autre.  Par exemple, contre des équipes faibles comme Columbus, Buffalo ou New Jersey, la CHnoutte s'abaisse jusqu'au niveau de jeu peu élevé de ses opposants, et ne gagne que par la peau des dents.  J'explique aussi la frustration actuelle des Anti-Habs par ce qui s'est passé au cours des dernières années.  La saison dernière, les données ont été faussées par le calendrier -intra-conférence- écourté après le lock-out.  Oui, les CHaudrons se sont écroulés comme d'habitude après le 40e match, sauf qu'il s'agissait d'une saison de...48 parties.  Le Caca a ainsi pu terminer au premier rang, au grand dam des Anti-Habs.  Il faut aussi souligner que la saison précédente avait été un "grand cru" pour nous (voir le montage ci-dessus), le torCHon finissant dans la cave du classement de la Conférence de l'Est, au grand désespoir des fefans, que nous avons écoeurés toute l'année (y compris dans les partys du temps des fêtes), et qui se sont retrouvés sur les anti-dépresseurs après avoir battu leur conjointe plus souvent que de coutume.  Nous avions été gâtés pas à peu près, car le Caca avait flanché dès le début de la saison, contrairement à leurs habitudes.  Comme le chantent encore les Rolling Stones : "You can't always get what you want".  Ça ne peut pas être toujours Noël à longueur d'année pour les Anti-CHieux !  Mais certains anti-habs purs et durs semblent pourtant le croire, à en juger par leurs commentaires qui frisent parfois le désarroi.  Dites-vous bien, les amis, que nous ne perdons rien pour attendre.  La CHiasse finira bien par prendre le chemin des égouts.  En attendant, restons calmes et prenons ça "cool".  Ne donnons pas trop d'importance aux succès éphémères des CHieux.  Car le Caca, après tout, ne mérite pas autant d'attention.  Nous ne sommes pas des caves.  Gardons-nous d'imiter les fefans bipolaires qui capotent sur le CH et qui pensent que ce médiocre club de pousseux de puck est la fin du monde !  

10 commentaires:

Anonyme a dit…

Quand les autres équipes vont se réveiller en janvier, février, les chieux vont s'écrouler. Qu'ils viennent me reparler de Markoffff, le"général" des bécosses, Subanane, Plecanette et des autres schtroumphs qui vont se faire petits et invisibles. À les écouter parler, ils ont la meilleure défensive.... ils oublient que comme tu le mentionnes les autres joueurs des autres équipes gardent leurs énergies pour quand ça va vraiment compter...
Lâche pas Hacksaw, c'est le meilleur blogue du net!
Pépé

Anonyme a dit…

Parlant de complicité des arbitres, quelle farce de ne pas avoir puni le primate Picouille Subanane et son slewfoot de chieux contre Elias sur le but égalisateur de la Sainte-Guenille.

Si le contraire s'était produit, les petits fefans lobotomisés auraient mis leur ville à feu et à sang.

Le babouin Subanane fauche par derrière un joueur adverse là où se trouve la rondelle, mais aucun arbitre ne sévit. R-I-D-I-C-U-L-E.

Parlant du gros singe nauséabond, il a encore stupidement donné la rondelle à un adversaire dans sa zone tard en troisième période pour permettre aux Devils de brièvement prendre les devants.

Pouvez-vous imaginer ce gros babouin malhabile aux Jeux olympiques? On va en rire un coup.

Anonyme a dit…

Contrairement aux petits fefans lobotomisés, nous, les anti-habs, sommes capables de poser des jugements réfléchis.

Or, force est de constater que la Sainte-Guenille s'en tire pas si mal depuis quelques matchs. Aussi bien d'accumuler les victoires actuellement, car on sait tous que cette équipe moyenne va redevenir bientôt ce qu'elle est, soit un petit club de 500.

Bien reposés, les Bruins auraient dû sortir beaucoup plus forts, mais il leur est souvent arrivé, ces dernières années, d'être passifs et désorganisés face au Torchon (sauf en séries, évidemment, hahahaha).

Donc, pas de panique, le Torchon surfe sur une vague, mais tout ce qui monte redescend, et c'est ce qui va encore arriver cette année.

Hacksaw Reynolds a dit…

Pacioretty envoie Boychuk à l'hôpital avec une mise en échec illégale. Il avait fait la même chose en blessant gravement McDonagh (NYR) l'an passé. C'est donc un récidiviste dangereux. Pourtant on n'entend pas parler de sanction ou de suspension dans son cas. Curieux, vous trouvez-pas ? Une autre preuve supplémentaire de la complicité entre le torCHon et la LNH (merci à la lucrative commandite de 375 millions de $ de Molson).

Qui de Pacioretty et de Zdeno Chara est le vrai joueur salaud qui frappe lâchement ses adversaires par en arrière ? Que serait-il arrivé si c'est Boychuk qui avait fait sortir Pacioretty sur une civière en lui appliquant un coup sournois ? Les fefans auraient fait une émeute après avoir appelé le 911, et ils auraient exigé une suspension de 20 matchs pour Boychuk.

J'espère que lors des prochaines visites des CHaudrons à Boston, les partisans des Bruins vont huer autant Pacioretty que Subban...

Anonyme a dit…

Encore cette fin de semaine, TSN et Hockey Night in Canada s'interrogeaient sur la nécessité d'envoyer Donkey Kong Subanane aux Jeux olympiques, de crainte que que ce stupide macaque fasse honte au pays en entier.

Jamais dans l'histoire on n'a remis en doute des sélections comme celles de Larry Robinson, Bobby Orr, Denis Potvin ou Raymond Bourque pour les grands tournois.

Que la présence du minable babouin Subanane soit aussi questionnée nous confirme que ce nauséabond primate n'est qu'une vulgaire balloune gonflée par les journaliCHeux montréalais.

Quelle farce grotesque que la carrière de ce misérable primate bourré de stéroïdes et amoureux de lui-même.

Anti-Fefan a dit…

Donkey Kong Subanane

hahahahahahahahahahahahahaha... Excellent!

Anti-Fefan a dit…

Eh bien... Après s'être faits monter aux nues par les fefans et SURTOUT les médias locaux, le CH s'est fait retomber sur Terre, hier soir, et de la meilleure façon, devant fefans et journaliCHeux, par les Kings de Los Angeles.

Cette humiliation est jouissive en plusieurs points : D'abord, ça nous a tous permis de voir qu'il y a encore loin de la coupe aux lèvres, pour le soi-disant club ''Trop fort pour l'Est''. Bien que les Kings auraient pu l'échapper en première période, n'eut été du brio du TROISIÈME GARDIEN de l'équipe sise en Californie, Martin Jones, ils ont fini par sortir en force en période médiane, pour infliger à ces têtes enflées une défaite qu'ils méritaient depuis longtemps.

Une défaite, dis-je? Une volée oui!!! Malheureusement pour nous, les CHieux évoluent dans la Conférence de l'Est. Je n'ose imaginer ce que ce serait, si ces morons jouaient à l'ouest de la rivière Mississippi... Dommage que Jacques Cartier n'ait pas poursuivi son voyage plus loin, on rirait davantage lol.

Josh Georges décriait ''le manque de fierté'' de son club de deux de pique, pour expliquer l'humiliation du club des fabricants de pisse de cheval. T'en fais pas mon Josh, et vous en faites pas, fefans, il y aura une parade cette année à Montréal, ce sera justement celle de la Fierté. LOL!

Après cette excellente soirée de hockey, les minables Flyers. Retour sur Terre pour nous aussi, malheureusement...

À chacun son tour...

Anonyme a dit…

6 à 0! 6 à 0! 6 à 0!

AHAHAHAHAHAHAHAHA!

6 à 0!

Anonyme a dit…

Entièrement d'accord avec Anti-Fefan: la Sainte-Guenille serait au fond du classement si elle jouait dans l'Ouest.

Il suffit de voir comment cette petite équipe a été dominée quand elle a affronté Saint-Louis, San José et maintenant Los Angeles (sans oublier ses échecs contre Edmonton et Nashville).

D'ailleurs, avez-vous noté comment les petits fefans lobotomisés ne commentent pas les défaites humiliantes de leur club pourri?

Quand le Torchon gagne, ces arriérés mentaux en parlent pendant des jours. Toutefois, aujourd'hui, ils se cachent comme des coquerelles pour ne pas se faire rappeler la dégelée subie contre les Kings.

Évidemment, le misérable lèche-cul démagogue Mathias Brun-Nez préfère parler de mille autres sujets (et bien entendu, pas un mot non plus de ce crotté sur la performance gênante de Price).

En espérant que les Flyers ont pris des notes pour jeudi.

Anonyme a dit…

C'était tout mignon mardi soir d'entendre les journalicheux justifier le massacre subi par la Sainte-Guenille en disant qu'une dizaine de joueurs avaient connu leur pire match de la saison.

Hey, les épais, quand la moitié d'une équipe dispute sa pire partie de l'année, c'est tout simplement parce que ladite équipe n'est pas de taille et qu'elle se fait torcher.

La Sainte-Guenille est un club de milieu de peloton au mieux. Rien à voir avec les Kings, les Bruins, les Penguins, les Sharks, les Blues et les Hawks, de vraies bonnes équipes.

Quand donc ces enfants de chienne de jounalicheux vont-ils cesser d'être des petites meneuses de claques tricolores?