jeudi 28 mars 2013

TIM THOMAS MANQUE AUX BRUINS DANS LEURS MATCHS CONTRE LE CACANADIEN.


Cette année, les Bruins de Boston ont certes de bonnes chances de battre le torCHon de la nécropole moronréalaide pour le titre de la division nord-est de la Conférence de l'Est. Mais il leur manque encore des éléments pour pouvoir remporter une seconde Coupe Stanley en trois ans.  Il n'y a rien à redire sur la tenue défensive, généralement impeccable (3e meilleur club de la Ligue pour les buts accordés avec une moyenne de 2,19 par partie), de l'équipe de l'entraîneur Claude Julien.  Mais en attaque, les "B's" connaissent des ratés.  Milan Lucic et Nathan Horton ont des difficultés à produire offensivement.  L'ajout d'un Morrow ou d'un Iginla n'aurait pas nui.  Mais les Penguins ont eu la main plus heureuse que les Bruins pour s'assurer les services de ces deux solides et talentueux gaillards.  Et devant le filet, si Tuuka Rask est sans doute un bon gardien, il n'a pas la hargne ou la confiance que son prédécesseur Tim Thomas possédait.  C'est dommage que ce dernier ait décidé de prendre une année sabbatique et que la direction du club ait ensuite choisi de se départir de ses services.


On spécule, et c'est un peu futile, mais on ne peut s'empêcher de penser que si Thomas avait gardé les buts le 3 mars et hier encore contre les CHieux, le résultat de ces deux joutes aurait pu basculer en faveur des Bruins.  Thomas avait le don de déconcentrer et de frustrer les CHaudrons en les défiant et en les matraquant (à coups de bâton et de gants) devant sa cage.  Avec son style peu orthodoxe et son fichu caractère, il inspirait confiance à ses coéquipiers.  Il faisait toujours les gros arrêts en fin de match pour préserver la victoire des siens.  Il aimait la pression.  Il aimait sortir de son filet pour braver les Canailliens.  Sa forte personnalité, son côté rude, son attitude sans peur, cadraient parfaitement dans le style des "big bad Bruins".  Ça manque présentement et ça manquera probablement aussi aux Bruins dans les prochaines séries éliminatoires.  Les hommes de Claude Julien ont brassé en masse les CHicolorés (33 hits contre 21) hier.  Mais ils leur manquaient quand même Boychuk et McQuaid (blessés, ainsi que le versatile joueur de centre Chris Kelly) à la défense.  Deux solides cogneurs qui adorent aussi secouer les puces des mauviettes du Caca. 


Hier, on a d'ailleurs pu encore vérifier l'importance de la confiance et du leadership d'un gardien de but pour conduire un club à la victoire.  Jesus Price a été crucifié en 2e période par les Bruins.  Budaj a pris la relève en 3e période, et sa bonne performance a permis aux CHieux de profiter de bonds favorables pour égaler le score et l'emporter en fusillade (au cours de laquelle Budaj a excellé).  Le but chanceux de Markov (déviation sur Chara) à huit secondes de la fin du temps régulier, a un peu atténué les carences et les gaffes incroyables du 79 de la CHiasse en défensive (-3).  Emelin, son compagnon de jeu, a été atroce lui aussi (-3).  Non, vraiment, le torCHon ne méritait pas de gagner.

À souligner une fois de plus l'attitude lâche et hypocrite de Pédé Subban durant cette rencontre.  Il a refusé les nombreuses invitations à se battre, lancées par des joueurs de Boston.  Le gros Caca se sauvait ou se cachait derrière les arbitres lorsque la soupe devenait trop chaude.  Quel couillon !  

dimanche 24 mars 2013

ENCORE BATTU PAR LES SABRES : QUAND LES BOTTES DE TRAVAIL NE SUFFISENT PLUS, LE CH EST DÉCULOTTÉ...

Avec le long lock-out de l'automne dernier, l'équipe d'entraîneurs du Cacanadien de Haïti-Nord (aussi appelé Mourial) a eu tout le temps nécessaire pour se rendre compte que, faute de talent de fort calibre, les joueurs du torCHon devraient chausser leurs bottes de travail à tous les matchs pour ne pas être déculottés comme l'an dernier.  Mais le travail ardu a quand même ses limites lorsqu'on atteint ce point de la saison au cours duquel toutes les équipes aspirant aux séries éliminatoires, haussent leur intensité d'un cran.  C'est à ce moment-là, quand le jeu se corse, que les clubs possédant des marqueurs d'élite et des attaquants de puissance peuvent se démarquer.  Dans leurs deux défaites contre Buffalo, la semaine passée, ce constat cruel est venu hanter les CHieux.  Les beaux efforts et les nombreux tirs au but adverse ne suffisent plus.  Il faut des marqueurs naturels pour "la mettre dedans".  Et voilà, le Caca en est dépourvu, et il se retrouve ainsi du côté des perdants.

C'est bien beau de patiner vite (pour se sauver des mises en échec des opposants) mais il faut avoir le personnel pour batailler devant la cage ennemie.  Ce ne sont pas des poids plumes comme Desharnain, Gallegher ou Gionta qui peuvent accomplir ce boulot.  Et ceux qui pourraient faire mieux dans ce département préfèrent se tenir dans le confort des zones périphériques.  On l'a bien vu encore hier, la grande majorité des tirs des CHieux provenaient de ces zones loin de l'enclave.  Il est faux de dire, comme Therrien après la joute, que le gardien des Sabres, Ryan Miller, a volé la victoire.  Il a bien joué mais il a aussi accordé un paquet de retours de lancers que les CanaCHiens  n'ont pu convertir en buts, faute de talent, de courage, de force; ou à cause de leurs mains de ciment...


Qui est impressionné par les huit buts de Desharnain (un petit but sur le power play et seulement 18 points au total, fiche de -1) cette année ?  Êtes-vous renversés par les trois buts de Galchenyuk ou les quatre filets de Lâche Eller (il a eu l'air fou hier quand deux de ses attaques ont fini en queue de poisson devant le filet de Miller) ?  Êtes-vous ébahi devant les performances de Gionta (17 points), le capitaine de pacotille du torCHon ?  Dans trois de ses quatre dernières parties, le torCHon a marqué deux buts ou moins...  Pas fort !  Pourtant, les journaliCHeux de MortYial-le-pire-trou-corrompu-de-la-terre, ne cessent de chanter leurs louanges et de parler de Coupe Stanley pour leurs favoris.  Faut croire qu'ils ont attrapé la même maladie vénérienne (dans le sens de "vénération" du CH) que Vincent Damphousse, qui a parti le bal des prédictions de Coupe pour le CHiendent, il y a deux semaines.

Moi je ne suis pas de ceux qui sont impressionnés par la CHiasse.  Je ne suis pas comme ces hypocrites qui riaient des CHaudrons l'an dernier et qui se reconvertissent en admirateurs cette saison, parce que le club des Molson gagnent.  Je ne suis pas comme ceux qui, après les avoir reniés trois fois (c'est la semaine sainte !), déclarent maintenant : «je vous l'avais bien dit que leur dernière place de l'an passé était un accident».  Je ne suis pas de ces faux anti-CH qui ont viré leur capot de bord cette année, à cause des succès de la bande à "t'es rien".  Anti-Habs je suis, et je resterai...


Cette semaine, on a vu les faiblesses et les limites de la CHiasse, et ce, face à des clubs de second plan.  Hier, on a constaté que les CHaudrons manquaient de munitions offensives tandis qu'en face, un scoreur redoutable comme Thomas Vanek pouvait les liquider à lui seul en profitant deux fois de ses occasions de toucher le fond du filet.  Le CHicolore n'a gagné que cinq des treize parties disputées contre les équipes de sa division cette saison.  Une des raisons de ces déboires se trouve sans doute du côté des unités spéciales.  La CHnoutte a certes un jeu de puissance respectable qui l'a aidée à remporter tous ses matchs (9 de ses 20 victoires) contre les faibles formations de la division sud-est, mais contre des clubs qui comptent sur de bonnes unités en désavantage numérique, ça n'a pas aussi bien fonctionné.  En effet, pour tuer les punitions, les adversaires de division du Caca sont parmi les meilleurs de la Ligue.  Boston est 1er (92,4%), Ottawa est 2e (89%) et Toronto est 5e (85,3%). Les CHieux, eux, sont 21e (80%).


Dans ses deux revers contre les Sabres cette semaine, les fusils à eau des joueurs de la CHarogne ont "fait feu" à 166 reprises.  73 de ces ballounes ont atteint le filet; 54 ont été bloquées, et 39 ont raté la cible.  166 lancers qui ont donné un grand total de trois buts !  Ayoye !  Les Sabres ont remporté les deux rencontres en marquant plus de buts que les CHieux avec deux fois moins de tirs que leurs adversaires.

En plus de leur faible force de frappe, les blessures semblent également vouloir rattraper les CHaudrons.  Les absences de joueurs plus physiques comme Prust et Bourque se font sentir.  Des matchs cruciaux s'en viennent cette semaine à Pittsburgh et à Boston.  Le manque de robustesses des Habs et leur attaque en pétard mouillé les déculotteront-ils encore devant des adversaires qui sont tout le contraire d'eux ?  Ça devrait être intéressant pour les Anti-Habs !   

dimanche 17 mars 2013

LES HABS SONT VICTORIEUX, MAIS NOTRE SPORT NATIONAL ET LES VRAIS AMATEURS DE HOCKEY SONT PERDANTS...


Avant la partie d'hier soir entre les CHaudrons de MourYial et les Devils du New Jersey, j'étais certain que nous aurions droit à un affrontement ennuyant à mourir.  Deux clubs qui pratiquent à outrance le damné système de la "trappe" ne pouvaient offrir qu'un spectacle désolant.  Comme de fait, dès le début de la rencontre on avait déjà envie d'aller se coucher tellement on bâillait.  Après ce qui m'a semblé le 50e arrêt de jeu (dégagement ? gel de rondelle ? tir dévié dans la foule ? temps d'arrêt demandé par un coach ? un joueur du Caca faisant semblant d'être blessé ? punition ? gardien immobilisant la rondelle pour rien ? name it !) la nostalgie de mon enfance m'a soudain envahi.  Je me souvenais avec attendrissement de mes hivers d'enfant et des joutes de hockey bottine que je disputais avec mes copains, sur un rythme endiablé, dans une rue de notre quartier.  Qu'est-ce qu'on s'amusait alors !  Le temps passait si vite !  Nous ne voulions jamais rentrer à la maison malgré les cris de désapprobation de nos parents.  Il faut dire que les gamins qui ont grandi dans les années 1980 étaient inspirés par le hockey des grands de la LNH.  C'était le temps de la furieuse rivalité Nordiques-TorCHon et notre sport national nous comblait avec du jeu ouvert à pointage élevé.  Les équipes en présence pouvaient s'échanger l'avance cinq ou six fois !  C'était excitant !  Du jeu palpitant !  On était toujours sur le bout de notre siège !

Oui, j'étais perdu dans mes rêveries hier soir devant le petit écran, jusqu'à ce qu'un autre coup de sifflet de l'arbitre me ramène à la réalité de ce match plate.  Un festival de la trappe dans lequel les chances réelles de marquer étaient rares comme de la merde de pape (mes excuses au pape François).  Avant le début de cette saison raccourcie par un autre lock out inutile, j'avais renoncé pour la première fois en vingt ans à participer à mon pool de hockey habituel.  J'avais le pressentiment que cette campagne serait "botchée" et que plusieurs clubs seraient mal préparés, ou pas préparés du tout.  Comment choisir des joueurs dans un pool quand vous ne savez pas à quoi vous attendre ?  Surtout avec ce calendrier tronqué, amputé des matchs inter-association (Est contre Ouest).  J'avais l'impression que la Ligue Nationale se foutait de notre gueule en nous offrant un produit bâclé...  Non ! Pas de pool c'tannée !  La suite des choses a confirmé mes appréhensions.  Quelle saison de merde nous avons !


Dans le fond, on ne peut pas blâmer l'entraîneur Michel "Éphrem" Therrien pour le triste spectacle que son club nous impose en 2013.  Il a vite réalisé que sans attaque (aucun marqueur parmi les 50 premiers de la Ligue -sauf Ryder, mais il ne compte pas puisqu'il a joué surtout avec Dallas-) il n'avait pas le choix de s'accrocher à un système défensif étanche basé sur l'obstruction et l'accrochage.  Et ça adonne bien !  Les fefans se contentent de ce style de jeu inintéressant, pourvu que les CHieux gagnent.  Sur une patinoire aux dimensions olympiques, les Canailliens feraient dur car, avec plus d'espace sur la glace, ils ne pourraient pas appliquer avec le même succès leur système de sape.  Oui les CHieux sont victorieux jusqu'à maintenant cette année, mais ce sont les vrais amateurs de hockey, et le hockey lui-même, qui sont perdants, à cause de l'anti-hockey pratiqué par les Habs.  Dans l'Association de l'Est en 2013, il y a seulement deux formations qui m'ont fait pousser des "wow" d'admiration en raison de leur talent et de la qualité du hockey qu'elles présentent.  Ce sont les Penguins de Pittsburgh (leur vitesse est étourdissante) et les Bruins de Boston (remarquable jeu d'ensemble).  Les autres clubs de l'est sont presque tous décevants ou n'ont tout simplement pas leur place dans la LNH (Floride).


Par ailleurs, j'ai beau être habitué à la flagornerie des journaliCHes-culs de Mourial, mais je n'en reviens pas des louanges que reçoit le cancre à P.K. Subban pour sa "nouvelle" maturité et l'excellence de ses performances.  C'est inouï !  Récemment c'était Michel Bergeron qui l'encensait.  Pourtant, encore hier, une bévue de P.K. à la ligne bleue ennemie a permis à Kovalchuk de s'échapper.  Son lancer a malheureusement touché le poteau.  Cette erreur de Subban aurait pu coûter le match à son équipe.  Plus tôt la semaine passée, Picouille a commis revirements après revirements dans la rencontre contre les Sénateurs.  Après deux périodes, il en avait accumulé six ou sept (18 en 22 games cette saison).  Et ça lui arrive constamment.  Combien de fois en regardant les parties du Caca je dis à haute voix : "punition" en voyant Subban accrocher, retenir ou faire de l'obstruction.  Quatre fois sur cinq, P.K. n'est pas puni pour ses infractions.  Ridicule !  Il n'enlève presque jamais le disque aux adversaires (six fois seulement) et il perd régulièrement ses batailles à un contre un, que ce soit dans les coins de patinoire ou devant le filet de son gardien.  Il continue également à rater fréquemment ses tirs au but.  Vraiment pas de quoi crier au trophée Norris dans le cas de ce pourri de no 76 !  

mardi 12 mars 2013

PROCHAINS GAGNANTS DE LA COUPE STANLEY : DAMPHOUSSE CROIT AUX CHANCES DU CH.

Ça y est !  Le mot est lâché : les CHaudrons de MortYial sont en route pour leur 25e Coupe Stanley !  On ne sait pas si c'est parce qu'il a l'esprit troublé par ses démêlées judiciaires avec son ex-femme, mais l'ex-capitaine du torCHon, Vincent Damphousse, a en effet osé faire cette déclaration pour le moins prématurée et audacieuse sur les ondes de RBS, il y a quelques jours.  Les fefans étaient déjà fous comme des balais à cause du premier rang (temporaire) de leurs demi-dieux.  On devine que les propos de Damphousse ont dû les exciter comme des insectes apercevant une bouse de marde de vache dans un champs lors d'une chaude journée d'été.  Les plus frénétiques ont même dû pisser dans leur froc tellement ils étaient en chaleur et en coït.  Qu'est-ce qui amène Damphousse et les mordus de la CHiasse à tant fantasmer sur les chances du club des Molson de rafler le Saint-Graal ?  Remarquez que ça ne prend pas grand chose pour que leurs chéris CHicolores leur donne un orgasme.  Pourtant, cette année, plus de la moitié des victoires des CHieux (9 sur 17) ont été acquises contre les faibles équipes de la division sud-est (la division la moins forte de la Ligue).  Mais, encore quelques victoires de leurs favoris et on pourrait croire que les fefans vont bientôt déclencher une de leurs traditionnelles émeutes qui fera de nouveau passer tous les Québécois pour des demeurés aux yeux du monde entier...


Ces exagérations de bipolaires sont une des raisons qui m'ont incité à créer des blogues anti-habs.  Demain marquera le 4e anniversaire du plus vieux d'entre eux (CH comme dans torCHon).  Un blogue que j'ai dû mettre de côté, il y a deux ans, parce qu'il a été censuré à la suite de plaintes de fefans frustrés.  La vérité choque, on s'en est rendu compte encore une fois.  Depuis le début de mon entreprise, on tente de me faire taire en m'intimidant par des messages de menace (qui, pour ma sécurité, m'ont obligés à écrire sous un pseudonyme) ou en inondant mes sites avec une multitude de "spams".  J'en reçois justement des tonnes ces jours-ci.  Pourtant je ne fais que critiquer un simple club de hockey qui, peu importe ce que disent les fefans, est un club, au mieux très ordinaire, pour ne pas dire médiocre.  Ça fait même partie de mon objectif de dénoncer l'importance du Cacanadien dans la société québécoise.  Des études ont démontré que la présence ou la couverture médiatique du CHiendent était inégalée dans le monde.  Aucune équipe de sport n'est autant suivie que le Caca.  Les déclarations du coach des CHieux attirent plus l'attention des médias et de la population que celles des premiers ministres de la province.  C'est anormal.  Presque malade.  Même en restant au niveau du sport, quand nos athlètes amateurs réussissent des exploits sur la scène internationale, ils reçoivent moins de crédit et de place dans la Presse, en comparaison avec une insignifiante pratique des Canailliens à Brossard.


Il y a quatre ans, en prenant la relève d'un blogue (L'Anti-Habs) coulé par les fefans à coups d'attaques informatiques, je voulais surtout continuer à m'amuser comme je le faisais en confondant les maniaques de la CHnoutte        dans la section commentaires (en direct) de l'Anti-Habs.  L'autre volet de mon entreprise était celui consacré au rétablissement de la vérité au sujet des mensonges, des scandales étouffés, et des manoeuvres hypocrites des dirigeants des CHaudrons (comme la récente entente secrète des Molson avec la NHL sur des compensations pour des pertes -dues au lock out- dans le contrat de commandite qui les lie) .  Je voulais aussi lutter contre la complaisance des médias à l'égard de la Sainte-Guenille.  Parfois, je ne fais que souligner ou faire remarquer certaines nouvelles peu flatteuses pour le Cacad'CHien et qui n'occupent qu'un entrefilet dans le journal.  Par exemples, les liaisons de la direction de la CHarogne avec des criminels (le responsable du Temple de la Renommée du CH au Centre Bell et le gars qui est en charge de la boutique de souvenirs au Centre Bell font tous deux l'objet de poursuites devant les tribunaux pour fraude; l'affaire de la vodka et des escortes -frères Kostitsyn et Hamrlik-, etc); l'histoire des agressions sexuelles probablement commises par certains joueurs du Caca, etc.  


Il faut rétablir fréquemment les faits, ou mettre en doute certaines "certitudes" ou couleuvres que l'on tente de nous faire avaler ou prendre pour du cash.  Mentionnons entre autres les folies dans l'affaire Chara/Pacioretty, les nombreuses analyses tendancieuses des porteurs de valises des Molson à RDS, les campagnes des journalistes en faveur des Price et autres Subban, le parti pris de ces mêmes scribes pour Pacioretty après que celui-ci ait frappé illégalement McDonagh, des Rangers, il y a quelques semaines...  Puisque presque tout ce qui touche aux Habs est ou bien amplifié et déformé, ou bien consciemment diminué ou étouffé (quand ça ne fait pas leur affaire), je me dis qu'il est utile qu'il existe au moins un endroit (ce blogue) pour donner une chance de s'exprimer à ceux (pas assez nombreux, hélas) qui ne sont pas vendus aux CHieux et qui osent contester et dénoncer les faussetés et les conneries que trop d'extrémistes ou d'à-plat-ventristes propagent et répètent.  

Moi, j'essaie de le faire dans la bonne humeur, en riant et en ne me prenant pas au sérieux.  Je n'ai qu'un temps très limité et aucune ressource financière pour écrire ce blogue.  Et c'est tant mieux comme ça, car si l'on doit relativiser tout ce qui concerne le torCHon (surtout à cause de la folie des fefans bipolaires qui capotent sur eux), on ne saurait gaspiller un temps précieux pour essayer de convaincre les gens que les Cannes à CHiens de Moronréal, c'est loin d'être ni le commencement, ni la fin du monde...    

jeudi 7 mars 2013

INCAPABLE D'ARRÊTER DE FAIBLES LANCERS DE PRATIQUE, PRICE PÈTE LES PLOMBS DURANT UN ENTRAÎNEMENT OPTIONNEL !


Ça y est !  Les Anti-Habs viennent de recommencer à rire aussi souvent que l'an dernier, quand le torCHon de Moronréal a été la honte du Québec tout entier, en terminant la saison dans la cave du classement de la Conférence de l'Est.  C'est qu'il y a de quoi se marrer.  D'abord, on a appris que Éphrem Therrien est demeuré à l'hôtel aujourd'hui parce qu'il est malade (virus de la défaite).  Sans doute que les récentes contre-performances de sa bande de CHaudrons y sont pour quelque chose dans ce mauvais état de santé du coach.  D'ailleurs, hier, après la gênante dégelée de 6-3 subie aux mains des faibles Islanders à Uniondale, devant une faible assistance dont la moitié était constituée de morons de la métropauvre, "t'es rien" était enragé.  Il avait la mèche courte et semblait vouloir mordre les journalistes qui prétendaient que ses hommes avaient manqué de discipline dans ce cinglant revers.  

L'entraîneur perdant n'était pas le seul qui était d'une humeur massacrante.  Le héros par excellence des fefans, Passoire Price, a pété les plombs ce matin à l'entraînement.  Seul vétéran à prendre part à une pratique optionnelle, Scary se disait sans doute qu'il devait travailler afin de retrouver son aplomb, après s'être fait défoncer pour douze buts au cours de ses deux dernières sorties (des défaites de 7-6 contre Pittsburgh et de 6-3 contre les Islanders).  Outre Galchenyuk (qui, en passant, a beaucoup baissé de régime depuis deux semaines), il n'y a que des patineurs réservistes (Weber, Kaberle, Dumont, Nokelainen) qui ont participé à l'exercice de tirs de la pratique facultative d'aujourd'hui.  Pour aider Price à reprendre confiance en ses moyens, les deux de pique de service ont dirigé quelques faibles "ballounes" vers le but défendu par le portier no 1 de la CHnoutte.  À leur grande surprise, Scary était absolument incapable de stopper le moindre petit lancer décoché sur lui.  Toutes les rondelles passaient à travers Passoire Price.  

Après plusieurs buts accordés successivement, le gardien bipolaire du Caca a sauté les plombs et s'est attaqué aux poteaux de son filet avec son hockey.  Il lui a fallu quatre bons coups pour réussir enfin à fracasser son bâton.  Quand ça va mal...  Ha ! Ha ! Ha !  J'aurais aimé être à la place du journaliste de la Gazette qui a été témoin de cette crise de nerfs du pauvre Scary.  Malgré les succès de début de saison des CHieux, Price, comme l'an passé, n'a volé aucun match à lui seul.  Voler ainsi des victoires est l'apanage des bons gardiens, ce que Price n'est vraiment pas.  Jusqu'à tout récemment, grâce au système défensif étanche du CHiendent, il faisait face à peu de lancers dangereux.  Maintenant que le système ne fonctionne plus, Scary est devenu soudainement très vulnérable et faible.  De quoi perdre les pédales et s'en prendre à ses poteaux !  Therrien est bien mal pris.  Ou bien il mine encore plus la confiance de Price, en envoyant le gardien substitut Peter Budaj dans la mêlée (pour avoir plus de chances de gagner), ou bien il prend le risque de faire confiance à Scary et de continuer à perdre des parties importantes... 


CHieux favorisés par les arbitres

Dimanche, après que les arbitres aient encore favorisé les Habs dans leur victoire de 4-3 contre son club, l'entraîneur Claude Julien, des Bruins de Boston, était en beau fusil.  Il a accusé les joueurs du torCHon de jouer la comédie et d'inciter les arbitres à sévir contre leurs adversaires pour des gestes qui ne méritent pas d'être punis.  Plongeons volontaires ("diving"), simulations de blessures (embellissement ou grimaces de douleur forcées), plaintes aux officiels (chiâlage), bâtons adverses retenus sous l'aisselle pour faire croire à de l'accrochage, tous les trucs sont bons pour faire tomber les zèbres dans le panneau.  Et quand on regarde les statistiques, il faut donner raison à Julien.  Le Cacad'CHien est l'équipe qui a profité du plus grand nombre d'avantages numériques dans la NHL (105).  Les Bruins sont derniers dans ce département avec 63, et les prochains opposants de la CHiasse, les Hurricanes de la Caroline, sont au 16e rang avec 84 supériorités numériques.  Depuis le début du calendrier 2013, le torCHon a obtenu plus de jeux de puissance que ses rivaux dans 14 matchs sur 23.  L'inverse (plus de power plays pour l'adversaire) s'est produit à cinq reprises seulement.  Un hasard ?  Comme le disait si bien l'écrivain québécois Yvon Rivard : «Le hasard ne fait toujours que la moitié du chemin.»

De plus, le Cacanadien a joui de trois attaques massives en périodes de prolongation (2e plus haut total dans la Ligue).  Neuf fois il a bénéficié de 5 contre 3 (2e dans la NHL), et il est en 3e place pour le nombre d'occasions qu'il a joué à 4 contre 3 (encore plus avantageux que des 5 contre 4).  Ces chiffres ont de l'importance quand on sait que le jeu de puissance de la CHarogne est le 10e meilleur de la Ligue (cependant en baisse dernièrement) et que son jeu en désavantage numérique est très moyen (15e, Hal Gill n'est plus là pour servir de 2e gardien, et les CHieux n'affrontent pas les grosses équipes de l'Ouest cette année).


Ce déséquilibre flagrant entre les pénalités écopées par les joueurs de la CHnoutte et les pénalités imposées aux clubs adverses,  nous amène à nous demander s'il n'y a pas une entente avec les autorités de la Ligue pour avantager les CHieux afin qu'ils participent aux séries éliminatoires.  On sait qu'il y a deux ans, Molson Coors, compagnie dans laquelle les propriétaires majoritaires du Caca ont encore de gros intérêts, a signé le plus lucratif contrat de commandite (plus de 375 millions de dollars, contrat contesté en vain devant les tribunaux par la brasserie Labatt) de l'histoire de la LNH.  À cause du lock-out de l'automne dernier, la Ligue a compensé Molson pour les pertes qu'elle a subies.  Le termes de l'entente sont demeurés secrets.  Parmi eux, outre un dédommagement en argent sonnant, y a -t-il un arrangement pour faire en sorte que le CHiendent se qualifie pour les séries et empoche ainsi des revenus supplémentaires ?  Avec les récents scandales qui ont fait de Mourial la ville la plus corrompue en Amérique, ce genre de magouille ne serait pas surprenant...

Pour battre le CHieux, il faut les frapper

Pour battre les CHaudrons, la recette est bien connue : il faut les frapper et les harceler (échec-avant agressif).  Les adversaires ont eu l'avantage, pour le nombre de mises en échec, dans sept des neuf défaites encaissées par la CHiasse cette saison.  Et dans l'un des deux cas d'exception, les défenseurs des Sabres de Buffalo avaient largement dominé ceux des CHieux (pour les hits) même si au total ceux-ci avaient eu le dessus.  Je considère les mises en échec des défenseurs comme étant plus significatives car elles se produisent surtout proche du filet, en zone défensive.


Reconnus pour leur couardise et leur manque de couilles, les schtroumfs CHieux sont faciles à intimider.  Si vous les pressez assidûment quand ils sont porteurs du disque, ils vont commettre des revirements.  Ils sont d'ailleurs la 7e pire équipe de la Ligue à ce chapitre (194 revirements).  Si vous donnez aussi souvent la rondelle aux opposants, c'est parce que vous avez peur d'être frappé, ou que vous êtes maladroit, ou que vous avez un mauvais jugement, ou que vous paniquez et n'avez pas confiance en vos moyens (ou toutes ces hypothèses en même temps).  Et à ce niveau, le duo russe formé de Emelin et Markov est de loin le pire de toute la Ligue Nationale.  Le no 79, supposé être un candidat au trophée Norris (selon les fefans) a commis pas moins de 24 revirements (5e pire joueur dans la LNH) jusqu'à maintenant cette saison.  Emelin le suit de près avec 22 (10e pire dans la LNH).  Bouillon en a 16 (38e dans la Ligue).  Markov est probablement  le défenseur le plus "mou" de la Ligue car même s'il joue 27 minutes par match, il n'a été crédité que de dix mises en échec (512e dans la Ligue !) et il n'a enlevé le disque à l'adversaire que onze fois (Emelin, six fois seulement, Bouillon, deux fois !).  Son jeune coéquipier Galchenyuk est encore plus frileux avec 8 hits (552e de la LNH).  Le bout du bout c'est Travis Moen, qui est censé avoir un rôle de "fore checker" mais qui n'a pas réussi une seule fois (un gros zéro) à subtiliser la rondelle à un opposant.  Plus inutile que ça...tu meurs.  Brian Gionta (qu'est-ce qu'on s'en fout qu'il ait marqué le 20 000e but des CHieux dans la NHL !) se distingue aussi sur les mises au jeu pour lesquelles il a un taux de succès de...29% (une autre façon de donner la noire aux adversaires).


Donc, contrairement à ce que voient les fefans avec leurs lunettes roses, tout ne baigne pas dans l'huile pour la CHiure.  Et même ce qui paraît rose est d'un rose douteux, comme le costume des Ice Girls des Islanders (photo un peu plus haut).  Un rose de gomme balloune.  Une balloune qui va bientôt éclater au visage des Canailliens et des fefans...

lundi 4 mars 2013

LES HABS DÉJÀ REDEVENUS ARROGANTS : CHASSEZ LE NATUREL ET...


On avait tort de croire que, après leur humiliante dernière place de l'an passé, les CHaudrons de Moronréal auraient appris à être plus humbles et plus modestes.  Il aura suffi d'une vingtaine de matchs, de quelques victoires plus ou moins convaincantes, et d'une première position qui est loin d'être assurée, pour que les CHieux se prennent à nouveau pour des Glorieux.  Aujourd'hui, Pacioretty et son coach Therrien se permettaient de traiter Claude Julien et ses Bruins de "frustrés" et de "jaloux" après leur avoir ravi temporairement la tête du classement dans l'Est à la suite d'une victoire de 4-3, dimanche.  Ouais, chassez le naturel et il revient au grand galop.  Les fefans et leurs as du torCHon se prennent de nouveau pour les "kings" du hockey !  C'est pathétique.  Fallait entendre les journaliCHeux ce matin, vantant le supposé leadership de Brandon Prust qui, en se faisant moucher dans son combat contre Milan Lucic, aurait selon eux inspiré ses coéquipiers et changer l'allure du match remporté par la CHiasse.  N'importe qui d'autre qui a vu la rencontre sait très bien pourtant que le jeu qui a tout changé c'est le double-échec non puni de Emelin sur Seguin.  Le capitaine des Bruins, Zdeno Chara, a voulu venger son coéquipier et il s'est fait coller dix-sept minutes de punition pour la correction qu'il a donnée au défenseur fautif du Caca.  Sans la charrue Chara pour nettoyer le devant du filet des siens, les schtroumfs Desharnain, Gallegher, et leurs amis ont eu la voie plus libre pour faire des dégâts autour de la cage de Rask.


Si les fefans des Canailliens croient que l'Anti-Habs que je suis est bien découragé parce que leurs "champions" imaginaires sont premiers dans l'Est, ils se trompent complètement.  Chaque année il y a des surprises et des déceptions en première moitié de calendrier dans la NHL.  Le CHiendent fait partie des surprises jusqu'à maintenant parce qu'il joue du hockey de séries éliminatoires en pratiquant un style hermétique axé sur la défensive et la trappe.  D'autres clubs sont partis plus lentement mais commencent à reprendre du poil de la bête.  En allouant dix buts en fin de semaine contre Pittsburgh et Boston, des craques sont apparues dans la forteresse défensive de la CHnoutte.  Ces fissures pourraient s'agrandir à mesure que les autres équipes commencent à jouer avec plus d'intensité en seconde moitié de calendrier.


Ce n'est jamais chanceux de s'enfler la tête trop vite et de provoquer l'adversaire par des propos arrogants.  L'adage "crache en l'air, tombe sur le nez" est bien connu et il pourrait bientôt s'appliquer aux troupiers baveux de Michel Therrien.  Qui sème le vent, récolte la tempête.  J'ai hâte au prochain affrontement entre les "B's" et le Cacad'CHien (27 mars à Boston).  On va régler des comptes entre les vrais hommes en or et noir et les "fakeux" CHicolores.  Jouer prématurément du hockey de séries, dans le système du type "camisole de force" du torCHon, c'est épuisant et abrutissant à la longue.  Et puis, malgré sa grosse poussée des dix derniers matchs, la CHiure ne s'est pas détachée des clubs de sa division, sauf pour ce qui est de Buffalo, qui, en passant, joue mieux depuis le changement d'entraîneur.  Le Cacanadien ne peut faire mieux que présentement.  C'est donc dire qu'il fera pire.  Des équipes talentueuses qui ont offert un rendement inférieur aux attentes (comme Philadelphie, Buffalo, Rangers et Washington) ne peuvent, au contraire, faire pire.  Elles feront donc mieux.  Et les CHieux s'en ressentiront, et devront ravaler leurs paroles défiantes...  Quand on est valet, on ne s'improvise pas roi...  Dans l'autobus du classement de la Conférence de l'Est, les CHaudrons devront...avancer en arrière !