lundi 23 décembre 2013

JOYEUSES FÊTES AUX ANTI-HABS ET UNE TRÈS MAUVAISE ANNÉE 2014 AUX CACANADIENS !


Ici l'Anti-Habs Hacksaw Reynolds, en mon nom, ainsi qu'au nom de toute ma famille, je souhaite de très joyeuses fêtes à tous les Anti-Habs du monde entier !  Comme vous j'ai dressé ma liste de souhaits et de cadeaux au Père Noël :


*  Une saison de golf hâtive aux joueurs et aux membres de l'organisation du CanaCHien de Moronréal;

*  Puisqu'il a déjà déclaré qu'il jouait comme une fillette, Tomas Plekanec devrait recevoir une poupée pour Noël;

*  Plus de temps libre pour moi, afin de me moquer encore plus des CHieux;

*  Plein de défaites pour le torCHon après avoir perdu des avances au pointage (ça énerve énormément les fefans);

*  Amplement d'anti-dépresseurs pour les fefans, histoire de les calmer et de ménager leur conjointe qui mange trop souvent des volées quand les CHaudrons perdent fréquemment;


*  Des dentiers tout neufs et assez grands pour la grande gueule de P.K. Subban, car il en aura bien besoin quand Milan Lucic lui aura péter le mâche-patates, un de ces quatre;

*  Une extinction de voix d'au moins quatre mois pour Pierre Houde, le chauvin descripteur des matchs de la Sainte Guenille, au Réseau Bullshit (RBS);

*  Quelqu'un de fiable pour faire l'épicerie du Hobbit Scary Price;

*  Un "full face" pour George Parros;


*  Un jackstrap facial pour tenir ensemble le visage de Michel "Éphrem" Therrien, qui se décomposera de plus en plus avec les défaites qui s'accumuleront bientôt pour ses vauriens;

*  Que Marc "Symphorien" Bergevin continue le travail de destruction du Cacad'CHien en allant chercher encore des Brière, des Parros et des Murray;

*  Que Daniel Brière persiste dans sa peur des commotions cérébrales en jouant aussi mal que depuis le début de la saison;

*  Qu'un adversaire rentre son bâton dans le cul de P.K. Subban quand celui-ci tentera de lui appliquer sa fameuse ruade (mise en échec avec le dos et le derrière); 

*  Que Price et Subban ne soient pas choisis dans l'équipe olympique canadienne afin qu'ils ne fassent pas honte au peuple canadien;

*  Que plein d'autres joueurs non canadiens de la Sainte Flanelle soient sélectionnés par les autres équipes olympiques, afin qu'ils se blessent ou reviennent épuisés des Jeux;

*  Que le préfet de discipline de la LNH oublie la commandite de 375 millions de $ de Molson, afin qu'il suspende aussi des joueurs du Caca (ex. Pacioretty et Emelin) pour des gestes condamnables;


*  Que 2014 soit l'année de l'annonce du retour des Nordiques de Québec, pour que nous ayons enfin une équipe et des partisans de hockey qui ne nous feront pas honte comme les Cannes à CHiens étouffeurs de scandales, et leurs fefans bipolaires émeutiers;

*  Que Gallagher se fasse planter plus souvent quand il se place devant les gardiens adverses;

*  Que Pacioretty retourne en Italie;

*  Que la moumoune au genou de porcelaine (Markov) retourne en Russie ou...sur la liste des blessés...pour y rester;


*  Que les joueurs de la CHiasse mangent beaucoup de pâtés à la viande...avariée, durant le temps des Fêtes;

*  Que les journaliCHeux qui couvrent le Cacanadien attrapent tous une gastro en lunchant sur le bras de la direction du CHicolore au Centre PouBell;

*  Que les fraudeurs associés aux Canailliens (Boutique de souvenirs du Centre Bell et Temple de la Renommée du CH) soient enfin reconnus coupables par la justice, afin que le club des Molson soit embarrassé;


*  Mon dernier voeu est impossible à réaliser mais, qu'au moins je voie cela en rêve : les écussons du club de hockey Canadien remplacés par une tête de dinde tricolore sur le chandail des joueurs de la CHnoutte...

Si vous avez des suggestions de souhaits ou de cadeaux à offrir aux Cacanadiens, n'hésitez pas à nous en faire part dans la section des commentaires !

mardi 17 décembre 2013

N'OFFREZ PLUS DE LUTINS DE NOËL À MICHEL THERRIEN, IL EN A DÉJÀ PLEIN !


À une semaine de Noël, il est grand temps d'acheter les cadeaux pour vos êtres chers, si ce n'est pas déjà fait.  Parmi les journalistes-guidounes vendus au Cacanadien de Moronréal, les nombreux lèche-cul de l'entraîneur Michel "t'es-rien" Therrien, se bruniront encore davantage la langue en lui offrant un beau présent bien emballé, histoire de s'attirer des grâces supplémentaires de la part du torCHon, ou, du moins, pour continuer à luncher gratuitement sur la galerie de la presse du Centre BéBell.  Peut-être seront-ils tentés de lui donner en cadeau ces fameux lutins de Noël (photo ci-dessus) qui font fureur au Québec depuis une couple d'années...  Ce serait une erreur et du gaspillage car, des lutins, Éphrem Therrien en a déjà plein dans son alignement !  Et puis, pour mettre la main sur ces filous, il faut, d'après la légende, partir à la chasse pour les capturer.  Ce que Symphorien Bergevin, et son prédécesseur au poste de DG des CHieux, Bob "l'empaillé" Gainey, ont amplement fait ces dernières années.  Point besoin d'en rajouter !  La cour est pleine !  Ces lutins sont des petits monstres  renommés pour jouer de mauvais tours et faire des coups pendables durant la nuit.  Et, ces temps-ci, en effet, ils font rien que de la "marde" dans l'uniforme CHicolore.


Certes, les Cannes à CHiens sont encore installés au second rang de leur division, même s'ils ont subi trois fois la défaite dans leur quatre derniers matchs.  Certes, ils ont une fiche récente de 5-3, mais c'est presque par miracle, tellement ils ont mal joué durant cette séquence.  S'ils se sont maintenus à flot après une mauvaise passe au début de novembre, ils ont réussi à le faire au prix d'immenses sacrifices, notamment en pratiquant un jeu de camisole de force, axé sur la défensive et l'obstruction, et en bloquant une tonne de lancers (393, soit 92 de plus que le club qui arrive 2e dans ce domaine).  De tels efforts, dignes de hockey de séries éliminatoires, ne peuvent durer longtemps.  Ils en paient le prix maintenant.  Les "p'tits gars" sont épuisés, selon "Toto" Therrien.  En particulier, la gent "trotte-nenue" (les petites souris du Cacad'CHien), qui n'en peut plus de se garrocher partout pour empêcher l'adversaire de marquer.  Les parties du CHiendent sont pénibles à regarder parce qu'il n'y a pas plus d'action ou de buts que dans des matchs de soccer.  C'est devenu une vraie risée.  Non seulement les CHieux ne marquent plus, mais ils ont de la difficulté à lancer au but.  Au cours de leur présente période de sécheresse offensive, ils ne réussissent pratiquement plus à cadrer au moins dix tirs au but par période.  Le désert...  

C'est bien beau le système défensif de Therrien, mais si vous ne lancez pas au filet adverse, vous avez peu de chances de compter des buts, même contre six équipes, (sur les huit dernières que le CH a affrontées) faibles qui jouent pour une moyenne inférieure à .500.  La CHiasse n'a surpassé le nombre total de tirs de ses opposants qu'en 14 occasions cette saison.  Imaginez maintenant quel aurait été ce nombre si les CHicolorés n'avaient pas bloqué autant de lancers !  Contre les Panthers de la Floride, dimanche passé, les Canailliens n'ont réussi que deux lancers au filet, en 3e période, après avoir rétréci le score à 2-1 dans la 3e minute de jeu de cet engagement.  Une piètre performance malgré des chances en avantages numériques (dont un jeu de puissance à 5 contre 3).  Difficile de faire pire !  Sans le secours de son jeu de puissance (un but à ses 19 derniers avantages numériques) le Caca est perdu !



Comme la saison dernière, on remarque que le torCHon a évité le pire jusqu'ici en enregistrant la moitié de ses victoires contre les clubs de la division Metropolitan, la section la plus faible de la LNH.  Contre les formations de leur propre division, les bull-CHitteux n'ont joué que huit fois et ils ont compilé une fiche modeste de 4-3-1.  Ça ne regarde pas bien pour les vauriens de Therrien car leurs ennemis se sont ajustés à eux.  Ils savent que les moteurs de l'attaque du Caca sont Subban et Markov, (surtout en supériorité numérique), et ils s'arrangent désormais pour les neutraliser.  En décembre, Subban a deux aides.  Depuis le 27 novembre, Markov, le général d'opérette, revendique aussi deux assistances seulement.  Au cours des sept dernières rencontres, ces deux-là n'ont qu'un point chacun...  En fait, plus rien ne fonctionne à l'attaque, à part Galchenyuk.  Ses jeunes jambes de 19 ans semblent les seules qui ne sont pas fatiguées chez les CHaudrons de Haïti Nord.  Il faut dire qu'il y a beaucoup de vieux pitons parmi ses coéquipiers.  Ils n'arrivent plus à avancer et Therrien ne peut les fouetter davantage.  Remarquez que ce calendrier compressé, à cause des Jeux Olympiques, est le même pour tous les clubs de la Ligue Nationale.  Therrien affirme qu'il ne peut plus presser davantage le citron.  Dire que son club est un citron, voilà qui est un résumé parfait de ce qu'est sa formation composée de deux de pique !

Les plus récentes acquisitions de Bergevin sont des fiascos.  On songe maintenant à sortir le lutin Daniel Brière de l'alignement parce qu'il nuit plus qu'il n'aide à son équipe, lui que les Flyers ont racheté parce qu'ils savaient qu'il était fini.  Bergevin lui a consenti 4 millions de $ par saison parce qu'il s'attendait à ce qu'il produise en supériorité numérique.  Or, Brière a trois points cette année, sur le jeu de puissance du Caca.  Et, en défensive, c'est une hypothèque.  Il est -2 au chapitre des plus et des moins, et Therrien le relègue sur le 4e trio quand les CHieux doivent protéger une faible avance (le CH gagne d'ailleurs rarement plus que par un maigre but).  Le coach le remplace alors par Moen sur sa ligne offensive.  Le lutin Brière affiche un dossier peu reluisant de...un point dans ses huit dernières parties.  Ayoye !  La petite peste Brendan Gallagher est encore plus pourri puisqu'il n'a qu'une aide à ses dix derniers matchs.  Cet autre lutin est maintenant mieux surveillé par ses adversaires lorsqu'il essaie de se planter devant la cage ennemie (2e photo ci-dessus).  Encore là, les autres équipes se sont ajustées.  Et on a vu un Gallagher très frustré quand il a attaqué le gardien des Flyers l'autre jour, au son de la sirène qui annonçait la défaite de son groupe de pousseux de puck, à Philadelphie.  Il n'arrive plus à être la bougie d'allumage qu'il était à son année recrue, l'hiver passé.



Même si le Cacanadien n'accorde pas beaucoup de buts à ses adversaires, tout n'est pas rose en défensive.  Therrien ne fait plus jouer Bouillon.  Celui-ci était rendu à -12 dans le département des plus et des moins.  On l'a remplacé par une autre mauvaise acquisition de Bergevin, le très lent Douglas Murray...  Faut vraiment être mal pris...  Le désespoir...  Au moins Murray frappe ses adversaires, ce que ne font pas ni Mark"sof", ni Diaz.  Ce dernier (voir 3e photo) semble jouer avec un vase de porcelaine sur la tête...  Sensible à l'oeil, fragile au vent...  Quant à Gorges et à Emelin, ils peinent souvent à sortir le disque de leur territoire.  Parlant de Emelin, les pseudo-experts de l'Ostie de CHambre, à RBS, étaient convaincus qu'il serait suspendu deux ou trois matchs après son coup de coude à Downie l'autre jour à Philadelphie.  Avec images à l'appui, on en était venu à cette conclusion après avoir comparé son geste dangereux à des infractions semblables survenue à travers la Ligue.  C'était sans compter les bénéfices marginaux de la commandite de 375 millions de $ unissant la LNH à Molson.  Emelin n'a pas été inquiété, tout comme Pacioretty qui a récemment commis des atrocités encore plus graves, et qui n'a même pas été invité à s'expliquer devant les autorités complices de la Ligue. 

Therrien a beau multiplier les combinaisons de trio, il ne parvient pas à stimuler l'offensive anémique de sa troupe de tire-pois.  Même son seul véritable franc-tireur, Pacioretty, ne fait rien qui vaille.  Quand je le vois arriver sur la patinoire avec les lutins Desharnais et Gallagher, je ris, tellement Max Pac ressemble a un grand poteau auquel sont attachés  deux minuscules poulains.  Pacioretty ressemble de plus en plus à Michael Ryder.  Il donne un coup de collier de temps à autre.  Cette saison, il a disputé 22 parties (il a raté 13 rencontres en raison d'une blessure).  Lors de ses quatre premiers matchs, il a marqué deux buts.  Du match 5 jusqu'au match no 12 : zéro but.  Du match 13 au match no 21 : 9 buts.  Du match 22 au match 26 : un petit but.  Avec douze filets aussi mal distribués, il est tout de même le meilleur buteur des siens...  Et comme bien d'autres CHieux, il est bien frileux quand il joue à l'étranger.  Bien que le torCHon n'ait disputé que 15 de ses 35 parties loin du Centre PouBell, Pacioretty n'a accumulé que 4 de ses 15 points sur les patinoires ennemies.  Dans le cas de la fillette à Plekanec, c'est 6 sur 22.  Le lutin Gionta ne fait guère mieux avec un 6 sur 17, tout comme le lâche Lars Eller.  Gallagher en arrache également à l'extérieur, avec un 6 sur 16.  Ça augure mal pour le prochain périple de six parties sur la route, qui commence jeudi.

Si la présente disette de buts du Caca fait souffrir les fefans, les malheurs du prétendu dur à cuir George Parros les affectent tout autant.  C'est une vraie farce.  Cette autre mauvaise acquisition de Bergevin est pathétique, tellement il fait pitié.  Il accumule les K.O. et les commotions cérébrales.  Si c'était un cheval, il faudrait l'achever, pour abréger ses souffrances.  Après son dernier supplice contre Boulton, des Islanders (photo ci-dessus), le pauvre Parros ne savait plus où il était.  Bergevin non plus...d'ailleurs !  Parros ressemblait à un gros punching bag, ou à un Obélix qui, enfant, serait tombé dans la merde plutôt que dans la potion magique !  Ça ressemble de plus en plus à l'histoire de Big Georges Laraque, un matamore qui devait faire trembler les adversaires des CHaudrons mais qui s'est plutôt révélé un flop monumental !  Chers amis anti-habs, attachez bien vos ceintures, on est parti pour un méchant party au cours des prochains mois !  Ha ! Ha ! Ha !      

mercredi 11 décembre 2013

ÉCRASÉS ET LESSIVÉS 6-0 PAR LES KINGS, ON A PU MESURER L'ÉCART QUI SÉPARE LES CANADIENS DES BONNES ÉQUIPES.


On ne sait pas si les CHaudrons de Moronréal étaient encore dans les vapeurs de leur party de "bureau" du temps des fêtes, mais s'ils étaient encore étourdis, après quelques abus de boissons alcoolisées, avant d'affronter les Kings de Los Angeles, hier, au Centre BéééééBelle, ils se sont fait littéralement assommés par des adversaires plus robustes et plus rapides qu'eux.  Les petits lutins du torCHon ont été déclassés dans toutes les phases du jeu et ils n'ont pu déjouer une seule fois le gardien inconnu des Kings, Martin Jones, qui en était seulement à son troisième départ chez les professionnels.  On aurait pu croire que sa présence était un autre coup de chance pour les CHieux, sans doute contents, avant le match, d'apprendre qu'ils n'auraient pas à se frotter au brillant gardien numéro 1 des Kings, Jonathan Quick, blessé.  Mais voilà, même en son absence, les pousseux de puck de Michel "tête de lard" Therrien n'ont pas fait le poids contre la solide défensive des Kings, et ils n'ont pu contenir les assauts répétés des attaquants vedettes du club californien.  Déjoué à répétitions par ses opposants, le gardien Scary Price ressemblait à une porte tournante ou à un gros plein de tourtières.  Il était drôlement empâté devant sa cage.  Il accordait des retours de lancers succulents pour les Kings qui se pressaient autour de lui en dominant facilement les défenseurs des CHieux, qui, d'ailleurs ne les défiaient guère en corps à corps.  Abandonné par les siens, réduit à ne se battre que par ses faibles moyens, Price n'a pas veillé tard...  Pour une fois, ses coéquipiers avaient décidé de ne pas se sacrifier pour lui.  Ils ne bloquaient plus les tirs dangereux à sa place.  Peter Budaj, son remplaçant, semblait également plein comme un boudin, et aussi balourd que le numéro 31 du CHicolore.


Les Anti-Habs attendaient cette dégelée royale depuis longtemps.  Et qui mieux qu'une équipe de l'Ouest pour nous la servir à point, comme un bon gros festin de Noël...avant le temps.  Contre les formations de la Conférence de l'Ouest, que nous ne voyons pas assez souvent, hélas, les nioCHons de Moronréal ont une fiche perdante, (6-8) cette saison.  Il était grandement temps que les petits Canailliens se fassent remettre à leur place.  Depuis deux semaines, l'enflure verbale qui caractérisait leurs propos, de même que ceux des fefans et des journaliCHeux cheerleaders de la métropauvre, était rendue loufoque et disproportionnée.  Un fefan a même eu l'audace de faire un commentaire sur ce blogue, événement qui ne s'était pas produit depuis des lunes.  C'est vrai que son équipe de merde ne connaît pas souvent de séries victorieuses depuis 20 ans.  Il n'avait pas souvent eu la chance de se réjouir et de venir nous baver ici.  Outre les louanges habituelles adressées au super héros Price et au nouveau Bobby Orr (P.K. Subban), voilà qu'on qualifiait les joueurs du quatrième trio de "champions" et que l'on saluait Andrei "too soft" Markov à titre de véritable général de la ligne bleue.  Pourtant, même après les récents succès de la CHiure, on ne voit toujours pas le moindre CHieux parmi les 50 premiers marqueurs de la Ligue.  Par contre on constate que Markov est au 5e rang du circuit Bettman pour le plus grand nombre de revirements commis (36, et Subban n'est pas loin derrière avec 32) et que ce nombre est presque deux fois supérieur à celui de ses mises en échec (19).  Pour un général, c'est pas trop fort !


Le CHien sale à Pacioretty a encore fait des siennes, en première période, quand il a tenté de blesser Kopitar avec une mise en échec illégale, près de la bande, en territoire des Kings.  Les arbitres l'ont encore absolu en fermant les yeux sur son infraction dangereuse.  Kopitar, lui, a dit sa façon de penser à son agresseur.  Il était mécontent.  On le comprend.  Il aurait pu subir le même sort que Boychuk et McDonagh, qui se sont retrouvés au rancart après avoir encaissé un coup vicieux de Max Pac.  Il faudrait que quelqu'un le ramène à l'ordre celui-là.  Pourquoi pas lors du prochain match des Habs-Not, à Philadelphie, demain ?  Malheureusement, le Caca va se mesurer à des clubs faibles de l'Est au cours des prochains jours.  Des équipes plus à sa mesure, contrairement à celles de l'Ouest.  Mais consolons-nous avec la partie d'hier.  Qu'elle serve de provision face à la perspective de voir du jeu décousu, dans des matchs défensifs plates, contre des formations sans envergure de la conférence de l'Est.  La visite des Kings nous aura au moins permis de voir la vraie valeur des CHieux, c'est-à-dire...0-6.  On ne sait jamais, peut-être que les Kings ont assez assommé les nioCHons pour qu'ils soient encore ébranlés au cours des prochains jours.  Les Flyers pourraient en bénéficier jeudi.   

mardi 3 décembre 2013

LE CH OU LA "GUEURNOUILLE" QUI VEUT SE FAIRE AUSSI GROSSE QUE LE BOEUF...


«Une grenouille vit un boeuf,
Qui lui sembla de belle taille,
Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeuf,
Envieuse, s'étend, et s'enfle et se travaille,
Pour égaler l'animal en grosseur,
(...) la chétive pécore
S'enfla si bien qu'elle creva.»

Les Fables de Lafontaine.

De multiples images, proverbes et maximes me sont venus à l'esprit afin de m'aider à rassurer une partie des Anti-Habs qui me semblent trop affectés par la présente série victorieuse du torCHon de Moronréal.  Je dois confesser que, moi aussi, j'ai "pogné" une couple de fois les nerfs en regardant les CHieux en mener un peu trop large à mon goût, au cours des dernières semaines.  Et puis, évidemment, il y a toujours quelques fefans qui profitent de cet heureux temps PASSAGER de leur club de merde pour me tirer la pipe et pour tenter de me pomper l'air.  Cela m'a rappelé une fable de Lafontaine, celle de LA GRENOUILLE QUI VEUT SE FAIRE AUSSI GROSSE QUE LE BOEUF.  On peut tirer plusieurs leçons de ce chef-d'oeuvre de la littérature française qui a bercé notre enfance, à la petite école, et qui est toujours d'une sagesse remarquable.  Ce récit, c'est ce qui arrive aux CHaudrons de Haïti Nord et à leurs partisans bipolaires à chaque année.  Le petit club de petits joueurs du Caca (les petites "gueurnouilles nouilles"), ainsi que la foule innombrable de leurs petits partisans dotés de petites cervelles d'oiseau, gonflent leurs illusions et leurs prétentions, en début de saison, grâce à quelques victoires consécutives contre des équipes fatiguées, pas assez motivées ou insuffisamment talentueuses, jusqu'à se croire aussi forts et aussi gros que les meilleures formations de la LNH (le boeuf, et surtout le boeuf de l'Ouest !).  Quand l'automne se termine et que l'hiver arrive, ils pètent au frette ou sous la pression !  Car, comme on le sait, ce n'est pas comment on commence la saison qui est important, c'est comment on la finit.  Et, je le rappelle aux Anti-Habs, les Cannes à CHiens s'écroulent 99% du temps en seconde moitié de calendrier, quand ça compte vraiment, et quand les autres clubs se mettent enfin à jouer pour gagner.  Les saisons sont longues dans la Ligue Nationale.  C'est un marathon.  Vous devez ménagez vos forces pour tenir le coup et vous rendre à la ligne d'arrivée.  Vous ne partez pas en fou ou en sprintant, sinon vous allez vous vous épuiser et vous allez "manquer de gaz".


Les Canailliens de Mourial, la seule équipe de sports dont le logo épouse la forme d'un siège de bécosses, n'ont pas cette mentalité ou le "luxe" de ménager leur énergie afin de finir forts.  Leurs fefans cinglés et les journalistes cheerleaders, qui scrutent chacun de leur coup de patin, de même que leur incapacité à aller à la guerre quand le jeu se corse après les fêtes, ne leur donnent pas le choix de mettre toute la gomme -et de jouer un style de jeu étouffoir, comme celui des séries éliminatoires- durant les trois premiers mois de la campagne.  Disputer des rencontres serrées, suivre à la lettre le plan de match archi-défensif du coach, profiter d'un calendrier favorable en affrontant souvent des gardiens de buts substituts, bloquer des tonnes de lancers pour parer aux faiblesses de leur propre gardien (Scary Price), se fendre le cul pour donner l'illusion à leurs fefans qu'ils forment un bon club, tout ça finit pas être épuisant pour un ramassis de schtroumfs comme les Cacad'CHiens.  Leur espoir ultime : amasser assez de victoires avant les fêtes pour donner des illusions aux fefans avaleurs de couleuvres (à la suite des belles promesses d'avant-saison) et pour survivre à une deuxième demie de saison désastreuse.  Ainsi, parfois, dans le tout dernier droit du calendrier, en donnant un dernier coup de collier, on réussira, in extremis, à entrer en séries par la porte d'en arrière ou la porte de cave.  Au grand soulagement des fefans morts de peur, qui, grâce à ce sauvetage "héroïque" d'une saison qui s'en allait chez le diable, pardonneront à leurs vauriens CHicolores de les avoir amenés avec eux jusqu'au bord du précipice.  Et si, par miracle, on accède au tournoi de la Coupe Stanley, pour faire encore rêver les fefans à la conquête du précieux trophée, on ne fera pas de vieux os, mais l'honneur sera sauf.  On aura évité le pire, c'est-à-dire, se retrouver en compagnie des équipes qui se situent dans les bas fonds du classement de la Ligue.


La récente série victorieuse du Caca n'est pas si impressionnante que ça.  Ce n'est pas comme s'il dominait ses adversaires.  Plus souvent qu'autrement, il remporte, par la faible marge d'un but, -et avec la complicité des arbitres- des matchs qui auraient pu aller d'un bord comme de l'autre.  Par exemple, contre des équipes faibles comme Columbus, Buffalo ou New Jersey, la CHnoutte s'abaisse jusqu'au niveau de jeu peu élevé de ses opposants, et ne gagne que par la peau des dents.  J'explique aussi la frustration actuelle des Anti-Habs par ce qui s'est passé au cours des dernières années.  La saison dernière, les données ont été faussées par le calendrier -intra-conférence- écourté après le lock-out.  Oui, les CHaudrons se sont écroulés comme d'habitude après le 40e match, sauf qu'il s'agissait d'une saison de...48 parties.  Le Caca a ainsi pu terminer au premier rang, au grand dam des Anti-Habs.  Il faut aussi souligner que la saison précédente avait été un "grand cru" pour nous (voir le montage ci-dessus), le torCHon finissant dans la cave du classement de la Conférence de l'Est, au grand désespoir des fefans, que nous avons écoeurés toute l'année (y compris dans les partys du temps des fêtes), et qui se sont retrouvés sur les anti-dépresseurs après avoir battu leur conjointe plus souvent que de coutume.  Nous avions été gâtés pas à peu près, car le Caca avait flanché dès le début de la saison, contrairement à leurs habitudes.  Comme le chantent encore les Rolling Stones : "You can't always get what you want".  Ça ne peut pas être toujours Noël à longueur d'année pour les Anti-CHieux !  Mais certains anti-habs purs et durs semblent pourtant le croire, à en juger par leurs commentaires qui frisent parfois le désarroi.  Dites-vous bien, les amis, que nous ne perdons rien pour attendre.  La CHiasse finira bien par prendre le chemin des égouts.  En attendant, restons calmes et prenons ça "cool".  Ne donnons pas trop d'importance aux succès éphémères des CHieux.  Car le Caca, après tout, ne mérite pas autant d'attention.  Nous ne sommes pas des caves.  Gardons-nous d'imiter les fefans bipolaires qui capotent sur le CH et qui pensent que ce médiocre club de pousseux de puck est la fin du monde !