dimanche 26 janvier 2014

LE CACANADIEN EN CHUTE LIBRE : LE CANCER EST GÉNÉRALISÉ...


Les Anti-Cacanadien de Morvial s'amusent ferme ces temps-ci.  Il faut dire qu'il y a bien de quoi rigoler avec les CHieux qui s'effondrent et leurs fefans qui leur tombent dessus !  Non seulement les minus de la métropauvre ne gagnent plus, mais leurs défaites sont cinglantes et gênantes pour eux, leurs amis journaliCHeux, et leurs partisans qui, tous, se désâment à force de chercher des solutions aux maux terribles qui affligent la Sainte Guenille.  Quelle catastrophe !  Avec leur club en perdition, que vont-ils tous devenir ces larrons qui ne vivent que pour les CHaudrons ?!  Voilà que plusieurs de ces personnes éplorées contemplent avec le plus cuisant effroi la perspective que leurs bouts de CHou de hockeyeurs vauriens ne participent pas aux prochaines séries éliminatoires de la Coupe Stanley.  Misère !  Quelle honte ! Quel drame dans leur sibérie de calcium !  Comment expliquer ce malheur immense ?  C'est la faute à Passoire Price, se lamentent les uns.  Non c'est le meilleur gardien au monde, un héros olympique, rétorquent les autres.  Le coupable des déboires du CH c'est l'entraîneur Michel Therrien, répliquent une clique de fefans qui se pensent plus fins que les autres (le plus grand défaut de tous les Moronréalaids, qui, d'ailleurs, pensent que leur ville de cul est le nec plus ultra de l'univers).  Certains amants du CHicolore pointeront d'autres bobos pour expliquer la débandade actuelle : manque de leadership, manque de bons gros joueurs physiques, manque d'unité ou d'émotion, etc.


Pauvres hères !  Ils errent tous !  Le cancer qui emporte présentement le Cacad'CHien vers une fin rapide n'est ni un cancer de la prostate, ni un cancer des poumons ou des intestins.  C'est un cancer généralisé !  Tout simplement impossible de concocter une bonne recette avec de mauvais ingrédients -ou des ingrédients manquants- et sans une base de qualité.  La gangrène qui pourrit le Caca tire son origine d'un bidonville infect (un trou laid, pollué et puant) où aucun joueur de qualité ne veut se ramasser, et elle va jusqu'en haut d'une équipe de direction dont le seul talent est de savoir créer des illusions pour convaincre leurs clients fefans de leur donner leur cash, saison après saison.  Les frères Molson et leurs partenaires d'affaires engrangent ainsi des dizaines de millions par année, à faire marcher les cochons payeurs au Centre BéBell, sans presque rien leur donner de bon en retour.  Pour les porte-couleurs du Bleu, Blanc, Merde, pris entre ces deux extrémités, il y a, en plein milieu ces fefans détraqués et cinglés qui voudraient qu'ils soient tous des "super man", flanqués de joueurnalisssssssses tetteux et taches à marde qui cherchent des poux dans la paille.  Une paille en train de se transformer en fumier !  Joli portrait !  En plus d'avoir à se taper ces inconvénients majeurs, les pousseux de puck CHicolores voient leur grosse paye être sévèrement amputée par l'impôt.  Quand, fatalement, les blessures, ainsi que le manque de profondeur et de talent, font ressortir la faiblesse du CH au moment même où les autres clubs remontent leur niveau d'intensité d'un cran, on assiste à la déconfiture que l'on voit habituellement à ce stade-ci de la saison.


Les Anti-Habs s'amusent en regardant T'éRien jongler infiniment avec ses trios et mille combinaisons de défenseurs.  C'est un peu comme jongler avec des tomates pourries.  Ça te retombe dans la face en foirant.  Trouver la bonne direction pour s'en sortir, c'est comme bander les yeux d'un fefan, le faire tourner plusieurs fois sur lui-même, et lui demander ensuite d'essayer de trouver la porte de la pièce où il est.  Les fefans se cassent également la caboche pour rien à essayer de trouver des solutions aux problèmes du jeu de puissance de leurs favoris, la seule chose qui permettait à la CHnoutte de marquer des buts dans les 30 premiers matchs.  Un enfant d'école peut deviner aisément que les supériorités numériques du torCHon sont devenues prévisibles parce qu'elles répétaient toujours la même stratégie.  Tout ce que l'on visait c'était de refiler le disque au gros tarlat à Subban pour ses "one timer".  Les autres équipes se sont ajustées.  Elles s'arrangent pour placer un joueur devant P.K. pour bloquer ses tirs ou les faire rater -ce qui est trop facile d'ailleurs-.  Résultats : les nuls de la CHiasse ont scoré six fois à leurs 50 derniers avantages numériques (un gros 12% de réussite)...  Si les Canailliens font durs en territoire adverse, les rares fois qu'ils sont capables d'y pénétrer avec force, c'est toutefois dans leur propre zone qu'ils paraissent le plus mal.  Ils y commettent gaffes par-dessus revirements.  Ils collectionnent les mauvaises pénalités.  Ils sont constamment en mauvaises positions.  Ils sont incapables de prendre et de couvrir leur homme.  C'est fou le nombre de chances de marquer accordé à leurs opposants.


C'est également fou le nombre de passagers en offensive chez le CHiendent.  On peut presque tous les nommer.  À part Plekanec, il n'y a pas grand monde qui joue avec conviction.  La confiance est à son plus bas et le coeur n'y est plus.  Quand t'es rendu à t'attaquer à un junior de 19 ans (Tom Wilson, des Capitals ) comme Brandon Prust l'a fait hier soir en début de rencontre, pour essayer de stimuler tes coéquipiers amorphes, c'est que tu es vraiment rendu très très bas.  Prust, Eller, Moen, Bourque et les autres joueurs de soutien de la CHarogne ne soutiennent rien depuis le début de la présente campagne.  Ça fait pitié !  Sans soutien, ceux qui sont supposés produire en attaque, en viennent à se lasser et à baisser les bras.  C'est la même chose pour Price.  Sans l'appui de ses incompétents et lâches défenseurs, il abandonne et préfère se faire retirer des matchs.  Hier, trois des marqueurs des Caps en étaient à leur premier but de la saison.  C'est vous dire comment Scary a été chancelant !  On est loin de la "dureté du mental" des BOYS !  Dans les quatre dernières parties, toutes des défaites humiliantes, Price et sa bande ont été écrasé par un score combiné de 19 à 5.  Hier soir il s'est passé 20 minutes de jeu sans qu'il n'obtienne le moindre tir au filet ennemi.  Pendant ce laps de temps, les Capitals ont marqué quatre buts sur 21 lancers.  Les fefans ont réagi avec un tonnerre d'applaudissements dérisoires quand leurs pioCHes ont mis fin à cette vilaine séquence avec une faible balloune venant de 42 pieds du filet de Holtby.  Marc Bergevin, et sa bande de nioCHons de l'état-major du Caca, auraient voulu être ailleurs -sous terre- quand leurs clients ont ainsi manifesté leur ras-le-bol de l'inertie de leurs piteux porte-torCHon.


De quoi ressortir les sacs bruns d'il y a deux ans pour faire voir leur honte et leur mécontentement en se cachant la tête !  Quoi qu'il s'en trouvera toujours des fefans fêlés pour croire encore et toujours à un revirement positif, au nom des souvenirs du passé glorieux de l'équipe, du temps de Jean Béliveau et de Guy Lafleur.  C'était dans un autre siècle...pourtant.  Les récents adversaires des CHieux -Detroit et Washington- en arrachaient eux aussi dernièrement.  Minés par les blessures, c'est avec leur club "B", composé majoritairement de "no name" rappelés de la Ligue Américaine, que les Red Wings ont facilement disposé des CanaCHiens.  Au cours de cette joute, j'ai éclaté de rire en voyant Subban se retrouver sur le dessus de la rampe, devant le banc des Wings, après avoir raté une mise en échec avec son gros cul (il s'en est fait une spécialité).  Dommage qu'un joueur des Wings ne l'ait pas empalé avec le bout de son hockey !  Chez la CHnoutte, à la fin de cette défaite gênante, quand tu analyses ce match et que tu constates que Douglas Murray a été ton meilleur défenseur, sapristi, tu sais que tu es vraiment dans le trouble !  Quant aux Capitals, ils se sont présentés au Centre Bell avec une série de sept défaites de suite derrière eux.  Il n'y a rien comme jouer contre les pauvres Cannes à CHiens pour retrouver le chemin de la victoire après une vilaine dérape !


Après cette partie de jubilation anti-habs, pour la première fois cette saison, je suis allé voir aujourd'hui les commentaires sur le blogue torchon de Mathias Brunet, le lèche-cul des dirigeants de la Sainte Fripouille.  J'ai constaté que les fefans n'avaient pas plus de méninges qu'ils en avaient quand je consultais jadis leurs inepties sur le défunt blogue de François Gagnon.  Plus bas que ça, tu défonces le plancher !  Un sans génie a écrit que Bergevin aurait dû engager Jerome Iginla quand il était joueur autonome l'été passé.  Comme si l'ancienne gloire des Flames de Calgary avait été intéressé à venir jouer dans le territoire dévasté de Haïti Nord !  Impensable !  Un autre cave du même genre suggérait d'échanger Rene Bourque contre Milan Lucic !  Ayoye !  Faut le lire pour le croire !  On se demande, en prenant connaissance de la prose de ces débiles profonds, si ces propos délirants leur viennent naturellement ou en se forçant énormément...

Il n'est pas utile de chercher à prédire le résultat des prochaines parties des CHieux.  N'importe lequel adversaire, fort ou faible, peut battre la bande d'enfoirés de Therrien si elle continue à jouer aussi misérablement que maintenant.  Après la dégelée de samedi, j'ai regardé l'émission 24CH sur RBS.  Encore une première pour moi cette saison.  Je n'ai pas été impressionné par les petits "pep talk" de Éphrem Therrien avant les matchs et entre les périodes.  Ceux qui prétendent que le message du coach ne passent plus ont certainement un bon argument.  Un gros étron passe bien mieux que ça dans une toilette...  C'était à prévoir que le style abrasif de Therrien ne fonctionnerait pas plus de nos jours que lorsqu'il l'a employé à son premier passage derrière le banc du Caca, il y a une couple de décennies.  En envoyant quelques vétérans dans les estrades pour les punir de leur performance pourrie, Therrien n'a fait que se les mettre à dos.

François Gagnon a dit, la semaine passée, que ça grogne pas mal dans le vestiaire de la CHiure.  On a commencé à contester le pilote de l'avion CHicolore.  Un avion qui ne cesse de perdre de l'altitude et qui, en fait, pique beaucoup du nez et menace de s'écraser complètement.  Une réunion des joueurs, derrière des portes closes, a précédé l'ouverture du vestiaire aux journalistes après le revers embarrassant de 5-0 contre les Capitals, samedi.  La direction du torCHon a ensuite intimé l'ordre à tous les joueurs de répondre aux questions des pelleteux de marde de la presse.  Défense de fuir par la porte d'en-arrière, de se cacher dans les douches ou dans le gym.  Une manière de les punir pour cette autre contre-performance sous les nombreuses huées de la foule du Centre PouBell.  Raison de plus pour les joueurs de vouloir se révolter davantage et de foutre le bordel.  Avec l'orage qui commence à gronder, les Anti-Habs doivent être prêts à se délecter de la cerise sur le sundae de la discorde et du déchirement du Cacanadien de Coderre-ville.  Que la pagaille enfle et enfle comme la moyenne de Passoire Price !  Pour nous ce sera tout un party !  Hourra !!!          

lundi 20 janvier 2014

RIEN NE VA PLUS POUR LES CACANADIENS : LA DÉBÂCLE EST COMMENCÉE...

Les Anti-Habs ont été bien servis au cours des derniers jours.  Dans mon précédent billet j'écrivais que les CHieux se préparaient à passer de médiocre (moyenne de .500) à minables (fiche perdante).  C'est ce qui s'est produit la semaine passée.  À leurs dix matchs les plus récents, la bande de pioCHes de Michel "Éphrem" Therrien a non seulement subi six échecs, mais trois de ses quatre gains ont été arrachés de justesse et par chance en prolongation.

En fait, les Anti-Caca pouvaient difficilement s'amuser plus.  Tout a commencé après la victoire de 2-1 contre les Blackhawks de Chicago, le 11 janvier.  Ceux-ci l'auraient emporté si les arbitres ne leur avaient pas refusé un but.  Les zèbres ont prétendu que sur ce jeu un joueur des Hawks avaient nui au travail de Scary Price.  Bof !  J'ai vu en masse des accrochages du genre être ignorés par les officiels.  Mettons encore cette tricherie sur le compte de la commandite de 375 millions de dollars qui a fait de la "Molson Canadian" la bière officielle de la LNH.  Oui, oui, la bière des Molson, propriétaires du Cacad'CHien de Moronréal.

À la suite de ce "triomphe" contre les champions de la Coupe Stanley, qui ont joué à peu près à 70% de leurs capacités dans cette rencontre, on a vu les fefans glousser de plaisir.  Le coach T'es Rien en a rajouté, on clamant toute la fierté qu'il ressentait pour son club de canards boiteux.  Tout à leur jouissance de bipolaires effarés, les fefans criaient partout, comme les demeurés qu'ils sont, «Yes ! Yes !  Ça y'est !  Nous y sommes !  On a battu les champions !  Le CH fait partie de l'élite de la LNH !»  C'est ce délire CHicolore que nous aimons tant ici !  Car chaque fois qu'ils se croient rendus au TOP, les fefans et leurs CHokers retombent de très haut dans la bouette.  Comme ces participants malheureux à la course au cochon graissé, qui s'effondrent dans la marde après avoir bien cru avoir saisi le pourceau.

C'est typique en ce temps-ci de l'année.  Le torCHon ressemble à un fruit tombé de l'arbre à la fin de l'automne.  Alors que le temps passe et que l'hiver approche, cette pomme pourrie en étant rongée par toutes sortes de bibittes.  Elle est également piquée des vers Subban.  D'ailleurs c'est très comparable à Mourial, réserve mondiale de la punaise de lit.  On peut comparer aussi le CHiendent à un bazou tout patché (par le carossier Symphorien Bergevin).  Avec les rigueurs de l'hiver québécois et le calcium qui couvre les routes, le vieux taco rouille et sa carosserie se troue.

On le savait nous, que les fefans en orbite, après la partie contre Chicago, allaient tomber de haut.  Dès le match suivant contre New Jersey, le Caca s'est effoiré 4 à 1.  Face au gardien Martin Brodeur (un héros pour les Anti-Habs car il a battu si souvent la CHiure) et à des Devils qui ont été sans pitié en échec avant, les pauvres Canailliens ont été totalement impuissants.  De vrais Mickey Mouse, pour employer une comparaison rendue célèbre par Wayne Gretzky.  Mais le plus drôle est survenu à la fin du point de presse de Therrien après cette partie de merde pour son club de zouins-zouins.  Un journaliste anglophone (les journaliCHeux francophones polisseurs d'anus des membres de la direction du Bleu, Blanc, Merde, n'auraient jamais osé poser cette question) a demandé au coach des Habitants d'expliquer pourquoi les joueurs des Devils avaient passé la soirée dans les jambes de Scary Price.  Ouf !  En entendant la question, la tête m'a tourné.  Celle de T'éRien aussi !  Il a balbutié quelques mots signifiant qu'il refusait de répondre à cette colle !  Je suis certain qu'il a pensé à la même chose que moi !  Si les pourris de la Sainte Guenille ne protègent pas leur gardien, c'est qu'ils sont des CHIEUX voyons !  «A team without courage», comme l'ont déjà écrit sur une affiche des partisans des Bruins, à Boston, lors des séries éliminatoires, il y a quelques années.  C'est clair comme de l'eau de roche que les joueurs de la Sainte Guenille sont des poltrons.  Je le répète ici depuis plus de quatre ans.  Ici, nous le savons tous depuis longtemps !  Quand tu n'es même pas capable de protéger ton gardien, tu manques de fierté, tu n'as pas d'esprit d'équipe, et tu es un loser.  Quelques secondes plus tard, blanc comme un drap, Therrien mettait fin abruptement au point de presse.  Qu'est-ce que j'ai rigolé !



Curieusement, même si la CHiasse a disputé son match le plus pitoyable de la semaine à Ottawa, jeudi, c'est le seul qu'elle a gagné.  Le cerbère des Sénateurs, Craig Anderson, ne l'avait pas du tout.  Il aurait dû être remplacé après le 2e ou, à tout le moins, après le 3e filet de la CHarogne.  Mais en dépit de cette victoire nettement pas méritée, les Anti-CH en ont eu pour leur argent quand le bouffon à Subban a fait encore un fou de lui en célébrant son but en sur-temps.  Sautant comme un singe, narguant les partisans des Sens, il a capoté complètement en soulevant l'écusson sur son chandail puant (photo ci-dessus).  On aurait pu croire qu'il avait littéralement le feu au cul !  Quel sans-génie !  Évidemment, Anderson et ses coéquipiers ont été choqués par ces simacrés indignes d'un professionnel et manquant totalement de classe ou de respect.  Et il faut ajouter que ce spectacle grotesque et ridicule avait été précédé, comme d'habitude, par les sempiternels propos baveux et insultants que le gros 76 ne cesse pas de proférer à ses adversaires assis sur le banc des joueurs.  P.K. agit ainsi à toutes les games.  Il est incorrigible et fait damner son entraîneur qui n'arrive pas à lui mettre du plomb dans la tête.  Qu'est-ce qu'il doit être découragé et frustré !  P.K. c'est une cause perdue !  Il va finir par avoir la peau de l'infortuné T'esRien !

En tout cas, les images des facéties du gros tas ont fait le tour de la planète hockey et elles s'ajoutent au dossier déjà très lourd des niaiseries de Subban. Celles-ci ne cessent de s'accumuler depuis le début de sa carrière.  Même Don Cherry a condamné Subban pour cette dernière étourderie.  P.K. est trop cave pour s'apercevoir qu'en se faisant haïr de la sorte, par ces gestes d'irresponsable et ses paroles idiotes, il stimule ses adversaires à vouloir encore plus battre les CHieux.  Oui Subban a donné la victoire au Caca jeudi mais il a fait en sorte que les Sens voudront se venger lors du prochain choc entre les deux équipes.  Il a fait encore monter la rivalité d'un cran avec Ottawa.  S'il a aidé sa gang à gagner cette fois-ci, son comportement déplacé sera peut-être la source de motivation supplémentaire qui, à l'avenir,  transportera les Sens vers des victoires contre les vauriens des fefans.



D'ailleurs, à Toronto, le samedi suivant, les Leafs ont été inspirés par cette pitrerie de Subban, qui a fait rapidement le tour de la Ligue.  Après son but vainqueur James Van Riemsdyk s'est moqué de Subban en imitant son geste (soulever le logo de son club sur son gilet).  Encore un motif pour s'esclaffer du côté des Anti-Habs !  En passant, si le joueur des Maple Leafs a eu la voie libre jusqu'à la cage de Price, c'est parce que Pacioretty, qui était responsable de le contrer, n'a pas fait sa job.  Max Pac est payé très cher mais pas pour se replier en défensive...apparemment...  C'est rare qu'il s'échine à l'ouvrage dans ce département.  Trop forçant sans doute...  Digne d'un vrai CHieux quoi !  Sur ce même jeu, Markov s'est fait distancer facilement dans la course au disque.  Le gars est visiblement au bout du rouleau.  Ça n'empêchera pas Bergevin de lui accorder encore un beau gros contrat bientôt.  C'est si rare un joueur qui veut demeurer à Haïti Nord et y passer toute sa carrière !

Il n'y a tellement plus rien qui fonctionne chez le Cacanadien, que Bergevin et Therrien posent des gestes de désespoir.  Imaginez, on a laissé René Bourque dans les gradins pour le remplacer par Joonas Nättinen, rappelé d'urgence du club ferme de Hamilton.  On aurait dit Jonas dans la baleine tellement le pauvre bougre avait les deux pieds dans la même bottine !  Après deux mises au jeu perdues, et un revirement, le nouveau sauveur de la CHnoutte était cloué au banc pour le reste du match.  En tout une minute et 45 secondes jouée par ce nul de Nättinen.  Elle est forte la relève en attaque à Hamilton !  Oh boy !  On a d'ailleurs retourné Joonas aux Bulldogs subito presto !  Le balourd George Parros n'a pas fait fureur non plus à Toronto samedi.  Quelques tours en rond (pendant trois minutes) et sa soirée de travail était finie !

Pour résumer, les Cannes à CHiens ne scorent plus que des buts de merde (quand ce n'est pas l'adversaire qui marque dans son propre filet, comme à Ottawa sur le but égalisateur qui faisait 4-4).  Et ça c'est quand ils réussissent à faire briller la lumière rouge.  À cinq contre cinq c'est rare en maudit.  Ils sont avant-derniers dans la Ligue à ce chapitre.  Les défenseurs peinent à libérer leur territoire, l'enclave et l'embouchure du filet.  Therrien ne se fie plus que sur Subban (33 minutes de glace samedi) et Markov (28½ minutes).  Les avants sont trop loins d'eux et ce, dans les trois zones.  On ne met pas de pression sur le porteur de la rondelle.  Les Habs sont dominés physiquement et techniquement.  Le système défensif est en ruines.  Dans sept des dix derniers matchs, le Caca s'est fait scorer quatre buts et plus par rencontre.  Depuis le massacre de 6-0 aux mains des Kings de L.A. le 10 décembre, le torCHon alloue en moyenne 3 buts par partie alors qu'il n'en accordait qu'un peu plus de deux par match avant cette date.  Le power play est 7 en 55 au cours de cette période.

On invoque la fatigue pour cette débandade.  Ils peuvent bien être brûlés les Cacanadiens !  Pour espérer accumuler le plus de points possibles avant la difficile 2e moitié du calendrier, on les a forcés à jouer du hockey de séries éliminatoires.  Les petits Schtroumfs bleu, blanc, merde sont déjà handicapés par leur taille d'ado et leur physique de femmelette, pas surprenant qu'ils soient à bout.  Et le plus tordant c'est que les moins pires d'entre eux (8 joueurs au total) ne pourront même pas reprendre des forces durant la pause des Jeux Olympiques puisqu'ils ont été sélectionnés par le club de leur pays pour y participer.  Ha ! Ha ! Ha ! Ha !  Le bateau des CHieux va continuer à couler de plus en plus vite à mesure qu'il prendra l'eau !  Jonas dans la baleine, entraîné vers les bas fonds !  Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !     

jeudi 9 janvier 2014

COMME D'HABITUDE, EN JANVIER, LE CACANADIEN DE MORTYIAL EST ENTRÉ EN HIBERNATION !


Janvier est là avec son froid à faire fendre le roc.  Beaucoup d'animaux de nos contrées nordiques sont entrés en période d'hibernation depuis un bout de temps.  Comme c'est d'ailleurs le cas pour les Canailliens de Moronréal !  Vers la fin décembre, quand les rigueurs du calendrier de la LNH en viennent à ressembler à celles du climat du Québec, les CHieux de la métropauvre trouvent ça trop dur, et ils prennent leur trou comme des siffleux lorsque vient le terrible hiver.  Ils disparaissent alors.  Ils ne font plus d'efforts.  Ils préfèrent hiberner et dormir sur la "switch".  Comme on a pu le voir hier soir à Philadelphie, où les gars du torCHon ont joué aux hommes invisibles.  Les enfoirés de Michel Therrien ne se sont pas présentés contre les Flyers, étant sans doute certains de perdre pour la 10e fois de suite au repère de leurs coriaces adversaires.  Cette équipe de mauviettes CHicolores, sans aucune once de courage, aurait posté les deux points de la victoire à Philadelphie, si elle avait pu le faire.  Sachant ce qui attendait sa troupe de parasites, Therrien a épargné Scary Price en livrant plutôt en pâture, à sa place, le pauvre réserviste Peter Budaj.  Quant à lui, P.K. "King Kong" Subban, l'autre membre du Caca choisi pour représenter le Canada aux prochains Jeux Olympiques, a été humilié par son entraîneur, qui l'a fait croupir pendant seize minutes sur le banc au début de la 3e période, en raison de la pénalité d'indiscipline dont il a écopée après la fin du deuxième engagement (voir vidéo ci-dessous)...  Il s'agissait d'un "sucker punch" vicieux, asséné à Sean Couturier, au moment où personne ne s'y attendait.  Ce geste constitue une monstruosité d'hypocrisie et de lâcheté de la part de P.K..  Une raison supplémentaire pour laquelle il est détesté et hué dans presque tous les amphithéâtres à travers la NHL.  Au point de vue hockey, en plus de son comportement ignoble, Subban a encore été affreux hier soir.  Le pire est à craindre pour TEAM CANADA si ce mongol à batteries joue trop souvent à Sotchi.  Il est tellement crétin et il manque tellement de jugement et de classe.  Une honte pour le pays...  Un individu tellement aux antipodes des valeurs canadiennes reconnues à l'étranger.  Des valeurs telles que la générosité, l'humilité, la sobriété, l'altruisme, la politesse, et la solidarité...



C'est depuis le 10 décembre, quand le CHiendent a mangé une raclée de 6-0 aux mains des Kings de L.A., que le système défensif du CH -le pain et le beurre de ce club faible en attaque- a commencé à s'effriter.  Le Bleu, Blanc, Merde est redevenu une formation médiocre qui peine à jouer pour .500.  Et bientôt, elle passera de médiocre à minable, si ce n'est pas déjà fait.  L'automne passé, outre son système "trappiste" et anti-hockey qui a permis au Cacanadien de se maintenir à flot dans la portion la moins difficile du calendrier, son jeu de puissance avait aussi grandement contribué à donner l'illusion aux fefans qu'ils avaient sous les yeux une des puissances de la Conférence de l'Est.  Mais, depuis Noël, ce jeu de puissance est passé de la 3e à la 11e place dans la LNH.  Et cette dégringolade n'est pas la faute des arbitres qui ont accordé jusqu'ici 258 minutes de "power play" aux CanaCHiens (6e plus haut total dans la NHL).  Contre les Flyers hier, l'avantage numérique du Caca a été complètement nul.  Et on continue d'être aussi improductif à cinq contre cinq.  Ce qui fait que bientôt, le club que le DG Marc "Symphorien" Bergevin vantait tellement cette semaine, lors de son bilan de mi-saison, aura accordé autant de buts qu'il en a marqués.  Hier soir, l'offensive du torCHon a été tellement inepte qu'il s'est écoulé treize minutes (de la 17e minute de la deuxième période jusqu'au milieu de la 3e) sans qu'elle réussisse le moindre lancer au but des adversaires.  En fait, les Flyers, qui avaient en plus joué la veille, contrairement aux Canailliens, n'ont rencontré aucune opposition de la part du club visiteur.  Les gars au chandail orange forment une des équipes de l'heure dans la NHL.  Après un début de saison plus que difficile, qui leur a valu d'ailleurs les railleries de l'imbécile analyste Benoît Brunet de RDS, les Flyers sont remontés au deuxième rang de leur division.  Ils sont pratiquement invincibles à domicile...




Les gardiens de buts des CHieux paraissent moins bien depuis quelque temps.  Leur moyenne de buts alloués est à la hausse car leurs défenseurs ne se donnent plus le mal -comme c'était le cas jusqu'au 10 décembre- de s'occuper des nombreux retours de lancers qu'ils donnent.  Les joueurs de T'es Rien ne bataillent plus, ni devant leur filet, ni devant celui des adversaires.  Les avants, notamment des paresseux comme Pacioretty (un "loafer") et Bourque (0 point sur la route cette saison, 0 point dans ses dix derniers matchs, une aide cette saison -soit une de moins que Carey Price !-), jouent mollement et ne se forcent pas pour se replier dans leur territoire.  Trop petits et pas assez robustes, les CHnoutteux se dégonflent quand le jeu devient plus viril en seconde moitié de saison.  Chez les défenseurs, Emelin (-11) n'est plus l'ombre de lui-même.  Gorges paraît affecté par les rumeurs qui courent au sujet de sa possible homosexualité.  Murray (-10) est une nuisance.  Bouillon  végète sur le banc en prenant son Bovril.  Markov (0 point à ses 4 dernières parties) est en hibernation.  Diaz, qui est aussi doux et tendre qu'un agneau, serait sur le marché des échanges, tout comme Pacioretty, qui joue seulement quand ça lui tente (pas souvent).  Maintenant, aussitôt que les clubs adverses se donnent la peine de mettre de la pression sur la gang de Therrien, celle-ci se retrouve prisonnière dans sa zone et elle peut accorder deux ou trois buts en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.  L'autre soir, les Panthers de la Floride auraient transformé une défaite de 2-1 en victoire s'ils avaient pu compter parmi leurs rangs une couple de bons marqueurs.  Ils ont passé la 3e période en territoire CHicolore.  Et avec la perte à long terme de Galchenyuk (fracture de la main, absence de 4 à 6 semaines), le CH voit disparaître de son alignement un rare attaquant qui apportait un peu de talent et d'énergie à l'offensive.  Le Cacanadien ne récolte plus que des points de BS quand l'adversaire est encore plus faible que lui, ou qu'il le prend à la légère.  Ou, encore, quand  le Caca réussit à perdre...en prolongation ou en tirs de barrage.  Plus aucune avance au pointage n'est sécuritaire pour le CH qui peut se faire remonter par n'importe qui et n'importe quand, mais surtout en 3e période, comme il y a deux ans, lorsqu'il avait terminé dans la cave du classement de la Conférence Est.




Même si Bergevin fait encore avaler des couleuvres aux journaliCHeux moronréalaids et aux fefans bipolaires, tout ne va pas si bien qu'il le dit, madame la marquise !  Avec une offensive en panne et des défenseurs inertes, c'est confirmé que la période d'hibernation du torCHon est bel et bien commencée.  Ça n'annonce rien de bon pour sa bande d'endormis et de sans dessein.  Les Sénateurs d'Ottawa, eux, semblent, au contraire, se réveiller, et les Leafs de Toronto, ainsi que les Red Wings de Détroit finiront bien par rebondir après avoir été affectés par des blessures à des joueurs-clés.  Le Cacanadien les affrontera d'ailleurs plus souvent en deuxième moitié de saison, tout comme ils devront se frotter davantage aux autres bons clubs de sa division -les Bruins et le Lightning-.  Le meilleur reste à venir pour les Anti-Habs !