mercredi 7 décembre 2016

REVOILÀ LE CAREY PRICE NONCHALANT ET...PERDANT !


Bon, ça fait un bon bout de temps que je n'ai pas pondu un billet pour ce blogue.  Ce n'est pas qu'il n'y a pas de quoi rire du Cacanadien de Mourial.  Il suffit de regarder les fiches du Capitaine Kapout Max Pacioretty (qui a l'air fou avec ses sept petits buts), qui semble tout faire en son pouvoir pour perdre le "C" sur son torCHon de chandail (il y a fort à parier que Shea Weber sera le capitaine du Caca dès l'an prochain); les deux minuscules buts de l'homme de six millions Turtle Neck Plekanec; et la nonchalance affichée par le paresseux Scary Price.

Le problème pour moi, ici, c'est essayer de ne pas radoter toujours la même histoire à propos des CHieux.  Mais que voulez-vous, c'est invariablement du pareil au même avec le CHicolore.  Il débute la saison en lion, grâce à un calendrier facile, et il finit en mouton lorsque l'hiver devient plus rigoureux.  En fait, la mauvaise saison semble revenir plus tôt cette année pour la CHarogne.  Les canassons bleu, blanc, merde peinent déjà depuis quelques semaines à jouer pour la médiocre moyenne de .500 !


Dans la LNH, les saisons sont des marathons.  Et les Canailliens partent en sprint dès le commencement de la course.  En espérant distancer assez les autres coureurs pour ne pas finir dans les derniers, une fois qu'ils seront à bout de souffle vers le milieu de l'épreuve d'endurance.  À voir "crawler" lentement le gardien Scary Price devant son filet, on peut penser que lui, au moins, semble vouloir se ménager pour tenter de tenir le coup devant le long chemin de croix qu'il doit parcourir en transportant son club pourri sur ses épaules.  Que ce soit un préjugé ou non que de considérer les amérindiens comme des paresseux au travail, on peut dire que Price semble confirmer cette fidélité à la réputation des gens de son origine autochtone.

Un peu avant le voyage de son équipe dans l'ouest du continent américain, on a vu un Price nonchalant, reprenant ses anciennes habitudes de début de carrière, quand il accordait au moins un mauvais but par match.  Sauf qu'avant, lorsque ça se produisait, il pétait les plombs et faisait des crises de nerf.  Maintenant, il prend ça relaxe et il s'en fiche.  Il donne l'impression d'être déjà écoeuré d'avoir le club sur le dos.  Il va sans dire que si c'est vraiment le cas, les CHaudrons de la métropauvre sont complètement foutus.


Par ailleurs, sur un autre sujet, je voudrais aussi éviter de me répéter, mais le réputé magazine économique FORBES a confirmé ce que j'écrivais récemment sur mon blogue du TEMPLE DE LA HONTE DU CH (Habs Hall of Shame).  À savoir que le Cacad'CHien est l'équipe de la NHL qui exploite le plus ses pauvres invertébrés de fefans bipolaires.  Le bénéfice d'exploitation du gros siphon des frères Molson s'est élevé en effet à plus de 76,9 millions de dollars la saison dernière.  Et, par surcroît, la CHiasse a manqué les séries éliminatoires !  Ce qui est triste, c'est que la bande d'abrutis, qui remplissent les poches des Molson, se saignent à blanc pour le faire, en payant les prix exorbitants des billets, de la bière et du reste de la camelote CHicolore, et ce, aux détriments des besoins essentiels de leur famille.  Mentalité de B.S....et typiquement moronréalaid.

Au cours des deux dernières parties du CHiard, deux joueurs de centre ont été blessés : Galchenyuk et le nain de jardin Desharnais.  Évidemment, on sait que la seule profondeur que les CHieux possèdent est généralement la profondeur des bas fonds du classement.  Encore moins dangereux en attaque (leurs lamentables deux buts et moins par match), attendez-vous à des rencontres plus plates que jamais puisque les pions sans talent de la CHiure vont se replier à mort en défensive, comme des tortues sous leur carapace.  En fait, en ce qui concerne Galchenyuk, ce qui est surprenant c'est qu'il n'ait pas été estropié avant.  Rappelez-vous que quand il a été repêché par le torCHon, j'avais écrit ici que c'était une poupée fragile dont les genoux de CHiffon étaient déjà hypothéqués dans le junior.


Bref, le portrait du Caca se détériore.  Malgré ce qu'a affirmé le crétin de coach Michel Éphrem T'esRien, qui se disait très satisfait de sa bande de mollusques après la dernière défaite à St-Louis, ça regarde mal pour la Sainte Guenille.  Et ça aussi ce n'est rien de nouveau.  Mais pour un Anti-Habs, c'est toujours plaisant de le répéter !

lundi 7 novembre 2016

CACANADIEN : RECONSTRUIRE POUR MIEUX SE FAIRE DÉMOLIR...


«La connaissance s'acquiert par l'expérience, tout le reste n'est que de l'information.» - Albert Einstein

L'auteur de cette citation pleine de sagesse pourrait être le vénérable Red Fisher, 90 ans, ex-journaliste de la Montreal Gazette. Il a passé 58 années de sa longue vie à couvrir les activités du torCHon. Évidemment, il est celui qui avait le plus d'expérience parmi tous ceux et celles qui font le même métier que lui. Il a "pondu" pas moins de 6 000 articles sur la Guenille.

Avec un tel bagage d'expérience, il savait mettre en perspective bien des événements qui peuvent paraître plus gros ou plus importants qu'ils ne le sont en réalité aux yeux du commun des mortels. Lorsqu'on lui posait des questions sur tel ou tel sujet concernant les CHieux, le vieux Red mettait sa mémoire à "on" et pouvait comparer la situation actuelle à une foule d'autres qu'il avait connues. Il savait nuancer ses jugements et on ne lui racontait pas de mensonges ou de pseudo-vérités sans qu'il ne les détecte instinctivement.


Avec le temps, il avait développé un 6e sens qui l'aidait à démêler le vrai du faux...ou du "peut-être" ! Bref, il connaissait fondamentalement le CH et sa ferme d'élevage de couleuvres. Couleuvres que des joueurnalissssssses crédules et des fefans écervelés gobent sans trop se poser de questions...

M. Fisher a fait une entrée fracassante dans la profession de journaliste affecté à la couverture des Canailliens. Bang ! Le "jack pot" à son premier soir sur la job ! Une histoire en première page de son journal : l'émeute causée par la suspension de Maurice Richard ! À ses cinq premières années à côtoyer la Sainte Flanelle, elle a toujours gagné la Coupe. D'ailleurs, Red a pu décrire 17 des 24 conquêtes du trophée de Lord Stanley par la CHiasse. Il en a vu des formations canaCHiennes. Il pouvait se fier sur plusieurs points de repère et de comparaison lorsque venait le temps d'évaluer l'équipe.

Ces dernières années, le club des Molson ne l'impressionnait pas tellement. Il ne comprenait pas du tout pourquoi les fefans capotaient tellement sur le CH.  Lui qui a connu la période glorieuse des CHaudrons : «Je ne comprends pas comment l'équipe est devenue si populaire. Elle est dans un programme de reconstruction depuis 20 ans». Savoureuse, cette évaluation succincte, mais tellement juste, de la situation du torCHon depuis sa dernière Coupe en 1993. Le bonhomme avait encore bon pied bon oeil ! 

"En reconstruction" perpétuelle, elle est bien bonne celle-là ! Quoi que, moi, j'aurais peut-être plutôt dit "en démolition continuelle" depuis plus de deux décennies... Les fefans affirmeront peut-être, qu'au contraire, le vieux journaliste de la Gazette était sénile et qu'il aurait dû prendre sa retraite avant, plutôt que de répandre de telles opinions... Mais entre leur jugement de bipolaires et celui de M. Fisher, je me fierais plus sur ce dernier...

C'est drôle à mourir de voir qu'à chaque nouvelle saison, les dirigeants du Caca répètent les mêmes erreurs en tentant de reconstruire leur club de deux de pique.  S'il n'y a que les fous qui répètent sans cesse les mêmes erreurs, on peut dire que les patrons des CHaudrons devraient tous être enfermés dans un asile depuis belle lurette !  Mais soyons un peu indulgents.  Étant donné la situation de MoronsRéal, la Sibérie du hockey, où aucun joueur de qualité ne veut se retrouver, il est pratiquement impossible d'y bâtir une équipe décente.

Alors, après des saisons de misère, comme celle de l'an passé, l'état-major du torCHon tente de recoller les pots cassés et de remplacer les pièces "scrap".  En désespoir de cause, on fera monter des joueurs du club école de la Ligue Américaine.  Pour redécouvrir ensuite qu'ils sont aussi pourris qu'ils l'étaient...dans les mineures !


On ramassera les restants de table des autres équipes de la NHL par la voie du marché des agents libres ou des joueurs soumis au ballottage, mais on tombera sur des caves sans talent comme Andrew Shaw (photo ci-dessus).  Un sans génie dangereux qui, sur la patinoire, est nul, sauf pour blesser des adversaires.  Ce qui aurait dû lui valoir une suspension en début de saison, n'eut été de la gênante complicité de Stéphane Quintal, le préfet de discipline (ou police) de la NHL et ex-Canadien de Mourial, qui, comme la tour de Pise, penche toujours du même bord, celui de son ancienne équipe.  Quintal devrait jouer dans les commerciaux télévisés de la compagnie "Intact Assurance" : «la police qui pardonne»...aux porte-couleurs des CHieux seulement, bien entendu !


Autre erreur répétitive des incompétents qui dirigent les Cannes à CHiens : le recrutement de petits schtroumfs européens.  Ainsi, cette année, pour boucher un trou béant à l'aile gauche, le DG des CHaudrons, Marc "Symphorien" Bergevin a intégré dans sa formation l'échalote Artturi Lehkonen, (photo ci-dessus) qui, à force de se faire revirer à l'envers dans ses shorts par les gros défenseurs adverses, vient d'aboutir à l'infirmerie, samedi passé.  D'ailleurs, sur le plan de la grosseur et de la robustesse, la tradition continue chez le CHicolore, qui forme encore un des clubs les plus légers et les plus minuscules de la Ligue, cette saison.  Un gage d'échec quand le jeu se corse en deuxième moitié de calendrier.  On sait que les petits hockeyeurs européens sont des poules mouillées et sont allergiques au jeu "pour hommes" qui est disputé à l'approche du printemps...


Comme d'habitude, après un départ canon, les CanaCHiens ont montré leurs faiblesses endémiques la semaine dernière.  Ils ont été sauvés partiellement par leur gardien Scary Price.  Mais à force d'être bombardé de plus de 40 lancers par match, à force d'être mal protégé par ses vauriens de coéquipiers, à force d'accorder de nombreux retours de lancers, à force de pratiquer à outrance ce style papillon qui lui ruine les genoux, à force de porter constamment tout le poids de son club de merde, Price le sauveur finira bien par se retrouver sur le carreau comme par les années passées. 

C'est hallucinant de le voir se jeter à genoux inutilement, et balayer la façade de sa cage avec ses jambières, quand ses défenseurs contournent son filet par l'arrière.  Faut croire qu'il ne les trouve pas fiables et qu'il a peur qu'ils marquent dans leur propre but !  Ce sur quoi il n'a pas tout à fait tort !  

À chaque commencement de saison, le Cacanadien c'est comme un individu qui pète le feu et qui ignore qu'il porte en lui les germes d'un cancer qui l'emportera dans quelques mois...

samedi 24 septembre 2016

LE POUVOIR INTIMIDATEUR DU CACANADIEN DE MORTYIAL...


Intimidation.  Un phénomène dont on parle de plus en plus.  Un mal terrible que l'on ose maintenant dénoncer mais qu'il est difficile d'enrayer.  Car il est présent un peu partout : dans nos écoles, dans nos milieux de travail, dans nos rues, dans des foules hostiles, et même dans l'intimité de nos logis à travers certaines relations de couple.  Ce peut être de l'intimidation physique ou psychologique qui se manifeste par des menaces, du chantage, des coups bas, de la violence, voire même du terrorisme.  Elle engendre la peur, l'angoisse, et même le suicide.  Rappelons-nous le suicide de l'adolescente Marjorie Raymond, 15 ans, intimidée à son école, en Gaspésie, en novembre 2011.

De l'intimidation, ou des tentatives d'intimidation, j'en vis depuis que j'ai commencé à écrire des chroniques anti-habs, en 2009.  Mon premier blogue anti-CH (CH comme dans torCHon) a été l'objet de censure à la suite de plaintes de fefans à l'entreprise qui héberge mon site internet.  Peut-être que ces plaintes venaient des gens de l'organisation du Cacanadien de Moronréal.  Je ne sais pas.  Mais ça ne me surprendrait pas.  Car dans notre société où le Cacad'CHien est une véritable religion, vous ne pouvez pas attaquer la Sainte-Guenille.  Elle est sacrée, intouchable, irréprochable, infaillible.  Comme tout ce qui est saint.

Par son prestige, surtout relié à son passé "glorieux" (mais quelque peu terni par ses insuccès des deux dernières décennies), par l'arrogance de ses dirigeants manipulateurs, et à cause du fanatisme de ses partisans bipolaires, le CanaCHien en impose.  Il a un pouvoir intimidateur considérable.  Ceux qui, comme moi, osent s'en moquer ou rapporter certaines vérités "déplaisantes" à son sujet, s'exposent à en payer le prix.




Parlez-en au journaliste Michel Villeneuve (photo ci-dessus) qui vient de subir les foudres de son employeur (qui -drôle de hasard- a obtenu dernièrement un contrat du Caca pour la radio-diffusion des matchs de son club école) en se faisant congédier parce qu'il a simplement rapporté les paroles du coach des CHaudrons, Michel "Éphrem" Therrien qui a récemment qualifié Max Pacioretty de «pire capitaine de l'histoire du Canadien».  Villeneuve a commis la très grave erreur de ne pas "s'aplat-ventrir" pour lécher les bottines de tous les porte-couleurs de la Sainte-Guenille, comme le font si bien tous les autres journaliCHeux de la métropauvre.  Comme tous ceux qui "couvrent" (c'est le cas de le dire) le CanaCHien, il aurait dû obéir aux commandements de la Sainte Bible CHicolore.  Il aurait dû s'auto-censurer pour ne pas révéler une vérité qui fait mal paraître l'organisation présidée par le bienheureux et futur canonisé Geoff Molson.


Encore une fois, dans cette affaire, un dirigeant baveux du torCHon, a péché par son arrogance.  Croyant, hors de tout doute, que la meute des scribouilleux de Mourial était bien domptée et docile, T'esRien a exprimé le fond de sa pensée au sujet de MaxPac, en se disant que c'était "under the cover" et que les témoins ne le dénonceraient pas.  Il aurait dû savoir que toute vérité n'est pas bonne à dire.  Plus tôt dans sa carrière, il avait perdu son poste d'entraîneur à Pittsburgh parce qu'il avait planté et descendu ses joueurs devant les caméras de télévision et les micros des journalistes.  Cette fois-ci, rien n'a été enregistré, et Therrien a pu jurer qu'il n'avait jamais prononcé les mots cités par Villeneuve concernant le capitaine du CHiendent.  L'entraîneur du Caca ne se gêne pas pour tenter d'intimider les journalistes qui lui posent des questions qu'il n'aime pas ou qui mettent en doute son autorité et ses décisions.  Avec la face de "beu" qu'il leur fait et les réponses méprisantes qu'il leur donne, il ne leur donne pas envie de recommencer...



Après avoir été mis à la porte de la station de radio qui l'employait, Villeneuve avait promis qu'au début du mois d'octobre, il aurait d'autres révélations embarrassantes à faire au sujet des Canailliens.  Puis, curieusement, peu de temps après, il a renoncé à honorer sa promesse en affirmant qu'il n'en rajouterait pas et que l'histoire était classée.  A-t-il subi les pressions de l'état-major du bleu, blanc, merde ?  A-t-il été intimidé ?  A-t-on acheté son silence ?  Comme il y a quelques années quand le journal LA PRESSE avait refusé à la dernière minute de publier un scandale à propos de joueurs du Cacanadien mêlés à un viol, des agressions sexuelles, et des détournements de mineures.


À l'école, dans mon jeune âge, j'ai été la cible d'intimidateurs.  Ce n'était pas une situation facile, mais j'ai réagi avec force et je me suis fait des amis pour faire face à mes tourmenteurs.  Ils m'ont rapidement laissé tranquille.  Même chose ici, avec mes blogues anti-CHieux.  Je n'ai pas cédé à la censure et aux menaces.  J'ai persévéré, sans avoir peur, fort du soutien de mes amis anti-Caca.  Personne ne nous empêchera d'avoir du fun en ridiculisant le "Super" Canayin de Montréal.  Nous sommes dans un pays libre...  Nous avons droit à la libre expression.  Vivent les Anti-Habs !  Honte aux intimidateurs CHicolores !

mercredi 29 juin 2016

SUBBAN ÉCHANGÉ : LES FEFANS FURIEUX !


C'était dans l'air depuis déjà un certain temps.  Avec une clause de non échange qui entrait en vigueur le 1er juillet dans son contrat, la direction du Cacanadien de MortYial devait décider rapidement de l'avenir de l'indésirable P.K. Subban.  Puisque plus personne ne voulait et ne pouvait plus le sentir dans le vestiaire, parce qu'il était devenu un cancer pourrissant l'atmosphère du club, le gangreneux défenseur no 76 du torCHon devait être expédié loin de Morons-ville.  Que Symphorien Bergevin, le gérant général des CHieux, ait obtenu Shea Weber, en échange de cet enfant de chienne, tient presque du miracle.  À moins que l'on nous cache quelque chose au sujet de l'as défenseur obtenu des Predators de Nashville.  À 31 ans, il ne reste plus que deux ou trois saisons d'excellence possible à Weber.  Il a même démontré quelques signes avant-coureurs de déclin lors des dernières séries éliminatoires.  Mais entre lui, et garder la charogne à Subban à Fefans Land, le choix était facile pour l'état-major de la CHiasse ainsi que pour la quasi-totalité des joueurs encore avec la formation de Michel T'esRien.

On ne voulait tellement plus rien savoir de P.K. qu'on l'avait écarté de la formation pour le reste de la saison après sa petite blessure au cou qui n'aurait nécessité qu'un match ou deux d'absence en temps normal.


Évidemment c'est tout le contraire pour la masse des imbéciles bipolaires des fefans du Caca.  Surpris, sous le choc, inconsolables, furieux, ils se déchaînent comme jamais sur les réseaux sociaux.  Ils adoraient autant Subban que ses coéquipiers pouvaient le détester.  Pourquoi l'aimaient-ils autant ?  Parce qu'ils sont comme P.K. !  Les Montréalais ont la tête enflée et se prennent pour le nombril du monde, ou le centre de l'univers.  Ils se croient meilleurs et plus beaux que tout le monde...comme Subban !

Du temps où les Habs étaient encore surnommés les "Glorieux", leur ancien directeur général Sam Pollock avait l'habitude de dire qu'il menait le CH en pensant exactement le contraire des amateurs de hockey de la métropauvre, ces gérants d'estrades complètement dans le champ en matière de connaissance de notre sport national.

Les temps n'ont pas changé, les idiots de fefans sont toujours autant, sinon plus, en dehors de la track, quand vient le moment de porter un bon jugement sur la façon dont devrait être conduit leur club de broches à foin.  Je n'épiloguerai pas davantage sur ce sujet.  Depuis le premier jour du commencement de la carrière de Subban à Mourial, je me suis prononcé maintes fois sur son attitude inacceptable comme joueur de hockey, ainsi que sur les carences de son jeu.  Vous n'avez qu'à "googler" «P.K. Subban et Hacksaw Reynolds» pour lire la quantité appréciable d'articles peu flatteurs que je lui ai consacrés sur l'ensemble de mes blogues de hockey.


Les Predators avaient peut-être besoin d'un clown pour animer le spectacle à Nashville.  C'est la seule raison qui justifierait la venue de P.K. en retour de leur capitaine Weber. Ce sont les joueurs des Preds qui doivent être déçus, voire, révoltés, de voir arriver ce bouffon dans leur vestiaire.  Ils vont s'ennuyer de Weber !  La zizanie ne va pas tarder à s'installer chez eux.  Qui sera le premier Predator à mettre son poing dans la face du prétentieux et détestable Piqué au stéroïdes Subban ?

Weber va s'amener à Haïti-Nord avec un autre nouveau coéquipier en la personne de Andrew Shaw, un plombier de luxe, obtenu des Blackhawks de Chicago, et à qui Bergevin a accordé un contrat de super star.  Shaw serait une bougie d'allumage à la Brendan Gallagher selon le DG des CHaudrons.  On en a vu bien d'autres qui étaient tout feu tout flamme avant d'arriver dans la métropauvre.  Après une dose initiale de fefans capotés, de journaliCHeux harceleurs et de montréalite aiguë, ils ont vite déchanté et se sont vitement éteints...  Parlez-en à Lars Eller, tellement soulagé d'avoir été échangé récemment à Washington !  Quoique, dans le cas de l'amorphe Danois, il n'a pas pu s'éteindre à MortYial puisqu'il n'a jamais été allumé avant d'y mettre les patins ! 

mardi 12 avril 2016

REFOULEMENTS D'ÉGOUT ET DE DÉGOÛT CHEZ LE CACANADIEN DE MORTYIAL...


Le Cacanadien de MortYial représente très bien sa ville.  Il est à son image : un club de merde dans une ville de merde !  Et chaque printemps, particulièrement au mois d'avril, la mauvaise saison revient pour ce bidonville infect et cette équipe de rebuts.  En effet, lors du dégel qui suit un hiver de misère, les bris d'aqueduc et d'égout se multiplient dans la cité-dépotoir du maire Codinde Coderre.  Les tuyaux se bouchent de merde et les refoulements d'égout (et les rats) remontent jusque dans les toilettes des pauvres moronréalaids.  Idem pour le torCHon qui, au terme d'une dégelée générale, se bouche en fin de saison et provoque des refoulements de dégoût chez ses partisans fefans.  Mais sachant que ces mordus de la Sainte Guenille sont des bouchés des deux bouts, les dirigeants des CHieux les débouchent temporairement en se trouvant des excuses pour le rendement désastreux du club, et en leur faisant de belles promesses d'avenir lors du bilan de fin de campagne.  Après avoir enfin appris que sa bande de pousseux de puck est éliminée depuis belle lurette, le capitaine Max Pacioretty était content, comme le reste de ses mauviettes de coéquipiers, de ramasser ses petits dans le vestiaire, pour fuir au plus vite Mourial et sa gang de dégénérés...


Même s'ils ont fait un semblant de mea-culpa hier en conférence de post-mortem, les membres de l'état major du Caca ont essentiellement eu recours à la même excuse que les fefans CHicolores pour expliquer la débandade de leur formation cette année: l'absence prolongée de l'éternel blessé Scary Price.  Sauf que ces incompétents bouCHonnés ont oublié de mentionner qu'ils avaient très mal géré ce dossier, comme tous les autres, d'ailleurs...  Comme je l'ai souvent souligné ici, la blessure au genou droit de Price est récurrente depuis plusieurs années et elle le restera tant et aussi longtemps qu'il ne tentera pas de régler le problème en se faisant opérer.  C'est comme un égout bouché.  On peut le déboucher temporairement, mais s'il est brisé, il va se reboucher immanquablement.  Il faut le remplacer.  Même chose pour le personnel de direction des Canailliens.  Ce sont des incapables et ils devraient être remplacés, tout particulièrement l'entraîneur Michel T'esRien, que 90% des personnes sondées récemment à Mourial ont souhaité voir prendre la porte.  Mais voilà, contrairement à leurs souhaits, Geoff Molson, le copropriétaire et président des CHaudrons, a encore pris une mauvaise décision cet hiver en prolongeant le contrat de ses hommes de hockey.  Nous les Anti-CHieux, nous sommes pleinement satisfaits et ravis que les mêmes chefs pourris restent en place.  C'est une garantie d'insuccès pour les Habs car, comme on le sait, «ça va comme c'est mené», c'est-à-dire : tout croche dans le bateau ivre du club des fefans bipolaires.


Pourtant, lors de ce point de presse de fin des émissions CHicolores, le directeur général Symphorien Bergevin a encore une fois renouvelé son aveu d'impuissance face à la situation bouchée du Cacad'CHien.  Pris dans le bourbier qui a vu son club connaître les pires mois de la longue histoire plus que centenaire de la CHnoutte, il a été incapable de réaliser la moindre transaction qui aurait pu aider sa bande de perdants.  Aucun gérant général à travers les clubs de la LNH ne voulait des joueurs de la CHiasse, et surtout pas du dégueulasse "Piqué des vers" Subban, un cancer aux métastases purulentes qui aurait tôt fait de détruire leur équipe.  Oui, Bergevin était disposé à envoyer promener presque n'importe qui de sa troupe de gaffeurs, mais il n'a pas trouvé preneurs.  Êtes-vous surpris ?


Détesté par ses coéquipiers autant que par ses adversaires et leurs fans qui le conspuent partout où il va, Subban est une lourde hypothèque pour le CHiendent.  Nous ici, on l'a su dès qu'il s'est amené la première fois avec les Habs, au tout début de sa désolante carrière d'enfant de CHienne.  Molson et ses acolytes sont pris avec ce dégoûtant trou de cul pour longtemps et à un prix astronomique (huit ans, 72 millions de dollars).  En plus, une clause de non-échange entre en vigueur le 1er juillet dans ce contrat que les dirigeants de la Guenille doivent regretter amèrement.  Les joueurs et le coach du Caca ne pouvaient tellement plus sentir ce gros plein de merde, qu'ils ne voulaient plus le voir dans l'alignement.  Ce qui explique sa mise à l'écart au cours de la dernière portion du calendrier.  On a camouflé son absence par une blessure qui ne l'empêchait nullement de jouer.


Quant au DG Bergevaurien, les Anti-Habs ont encore eu raison de se moquer dès le départ de ses décisions ridicules.  On a pu rire en masse lorsqu'il a engagé des deux de pique comme le tout croche Zack Kassian, des joueurs finis comme Alexander Semin et Tomas Fleischmann, les gardiens peu fiables Mike Condon et Ben Scrivens.  La nomination de Max Pacioretty au poste de capitaine s'est également révélée un fiasco.  Le principal intéressé l'a lui-même avoué.  Il a lamentablement failli à la tâche, affichant autant de leadership qu'une poule mouillée.

Les blessures ont finalement rattrapé les CHieux.  Ils avaient été épargnés ces dernières saisons.  Ça nous a permis de confirmer que la relève du CanaCHien est merdique.  Non seulement Bergevin n'est pas en mesure d'aligner deux trios offensifs potables (top 6) mais les 3e et 4e ligne ne valent pas de la merde non plus.  On savait déjà qu'aucun joueur de qualité ne voulait jouer dans la métropauvre, mais quand tu n'attires même plus de bons plombiers pour les deux derniers trios, c'est le bout de la merde !


Les Jacob De La Rose, Daniel Carr, Sven Andrighetto, Michael McCarron (deux photos plus haut, ce balourd est tellement mauvais qu'il a du mal à patiner en rond dans les réchauffements d'avant-match), Phillip Danault, Brian Flynn, Lars Eller, Dale Weise, Torrey Mitchell, et Paul Byron n'ont ni le talent, ni la robustesse nécessaire pour bien remplir leur rôle.  Restants de table des autres équipes ou mauvais choix de repêchage du crétin Trevor Timmins, ils sont tous à mettre dans le bac à ordures du CH.  Dans le bac à recyclage on pourrait déposer David Desharnais, recyclable en nain de jardin; Max Pacioretty, recyclable en pâte molle, en capitaine CrouCH ou en marqueur de 30 buts (dont quatre dans des filets déserts) au lieu de 40 comme c'était supposé; Alex Galchenyuk, recyclable en "punching bag" pour sa blonde Chanel Leszczynski (photo ci-dessous, le torCHon devrait l'engager pour se donner plus de punch en attaque) qui l'a réveillé en lui flanquant une volée cet hiver;  l'indolent Tomas Plekanec, recyclable en...joueur de son pays évoluant dans une ligue de garage ou de "old timers"; Brendan Gallagher, recyclable en mouchoir de poche puisque c'est un petit morveux; le vieux sénile Andrei Markov, recyclable en...bac à ordures...


Le dernier match des Cannes à CHiens nous a aussi permis de constater que rien n'a changé et rien ne changera en ce qui concerne la protection dont ce club chouchouté jouit de la part des autorités de la Ligue Nationale et des journaliCHes-culs de la presse moronréalaise.  Contre le Lightning de Tampa Bay, le défenseur Greg Pateryn a projeté dangereusement Tyler Johnson (photo ci-dessous) contre la bande et celui-ci a été blessé.  Silence radio au sujet de ce geste salaud dans la confrérie des médias de la métropauvre, malgré la forte dénonciation de cette faute insensée de Pateryn par l'entraîneur Jon Cooper des Bolts.  Silence éloquent également de la part du préfet de discipline de la LNH : l'ancien CHieux Stéphane Quintal.  Êtes-vous surpris ?


Partout ailleurs, dans la LNH, les responsables des équipes qui ont raté les séries éliminatoires ont déclaré, ces jours-ci, que des changements s'imposaient pour remettre leur formation sur le droit chemin.  Ce n'est pas le cas à Mourial.  Avec une clientèle captive, -les fefans sont faciles à berner et à boucher-, les gens qui mènent la barque CHicolore garde le cap, même s'il conduit sur des récifs.  On débouche temporairement le tuyau d'égout éventré même en sachant qu'on va encore se retrouver éventuellement dans la merde avec des refoulements d'excréments du genre Subban...  Il faut dire que la situation de la CHarogne (ville de merde, impôts repoussants, direction incompétente, fefans aCHalants, journalistes taches à marde) n'offre guère d'issue pour que les choses changent pour le mieux à Fefans Land...  On devra continuer à supporter les refoulements de dégoût pour encore un maudit bout !  Mais nous, les Anti-Caca, on va pouvoir se marrer à l'infini !

Peut-être trouvez-vous que j'ai employé trop fréquemment le mot "merde" dans cet article ?  Je ne m'en excuse point.  C'est parce qu'il décrit et résume tellement à merveille ce qu'est l'organisation et l'équipe du Cacanadien de MortYial...    

vendredi 25 mars 2016

LE CACANADIEN À L'AGONIE : LE CERCUEIL EST OUVERT, LA FOSSE EST CREUSÉE...


La saison pourrie 2015-16 du Cacanadien de Mourial achève.  Il ne reste que sept matchs et seize jours avant l'enterrement du CHicolore.  D'ici là, les Anti-Habs auront continué de célébrer les funérailles de ce club poche qui agonise depuis le 3 décembre dernier.  La bande de CHieux de Michel T'esRien montre le pire dossier de toute la Ligue Nationale depuis cette date.  On le savait que le slogan "Pas d'excuses / No Excuses" qui trône au-dessus du vestiaire de la CHiasse était totalement vide de sens.  Les vauriens du Cacad'CHien étaient bien trop contents d'avoir l'excuse de la blessure de Scary Price pour pouvoir se poigner le cul pour la balance de la campagne.  Ajoutez l'absence de Gallagher pour de nombreux matchs et c'était le glaçage sur le gâteau de l'abandon.  C'est la définition même du mot "CHieux" : des gars sans talent et sans caractère qui abandonnent à la première occasion.

Certaines statistiques confirment encore davantage le manque de détermination et de courage des CHaudrons de la métropauvre moronréalaide.  Imaginez !  La défaite d'hier soir à Détroit était la 19e dans les 25 dernières parties à l'étranger des CanaCHiens !  19 échecs en 25 tentatives !!!  Faut le faire !  Le but (cadeau du gardien des Wings) du multi-millionnaire Tomas Plekanec était son premier depuis le 9 février !  Ce joueur-là était supposé être un des piliers de la CHnoutte cette année.  Il s'est lamentablement écroulé comme les autres...


On pourrait dire qu'il radote, mais Guy Lafleur a encore répété récemment que les Canailliens avaient quatre 4e ligne à l'attaque, ou, si vous voulez, quatre trios numéro 4.  Il peut le répéter, c'est vrai !  Au cours des dernières semaines, le plus comique c'était d'entendre les porteurs de valises de la CHiure (les commentateurs des réseaux de télé vendus au Caca, en particulier) ne parler que de l'heureuse séquence de buts de Galchenyuk, alors que le reste de la formation de T'esRien faisait honte à ses fefans par son rendement affreux.

Cette période de l'année aura été plus qu'intéressante pour les Anti-Habs.  À cause de la situation précaire du torCHon, j'ai regardé des parties des autres équipes de l'Est qui bataillent pour les dernières places disponibles pour participer aux séries de la Coupe Stanley.  Plus elles gagnaient, plus les CHaudrons perdaient, et plus je me réjouissais !

La saga de la pseudo-blessure de Picouille Subban n'aura ajouté que du sarcasme à cette fin de saison aux mille délices pour les Anti-Habs.


Au principal cimetière du bidonville du maire Codinde Coderre, la fosse est creusée, prête à recevoir la dépouille purulente du Cacanadien.  Quel bon débarras !  Qu'il ne repose pas en paix !  Nous y veillerons !

Les fefans sont en deuil !  Que vont-ils faire de leurs dix doigts ce printemps, sans leurs Glorieux adorés !  Chers amis Anti-TorCHon, ne manquez surtout pas toutes les occasions de leur tourner le fer dans la plaie !  Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !  Au dépotoir les CHieux !!!  Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

mardi 1 mars 2016

ÉCHANGES DU CACANADIEN : UN DALOT ET MOINS QUE RIEN POUR BERGEVIN...


Encore une fois le patron hockey du Cacanadien, le revenant Symphorien Bergevin, est revenu bredouille de sa chasse de la période des échanges dans la LNH.  Il faut dire qu'il n'avait aucune munition dans son fusil et que son apparence d'homme des cavernes avait de quoi faire fuir le moindre gibier.  On l'entendait venir de loin dans la forêt car, comme son club de merde, il traînait la patte et il sentait très fort le fond de tonneau.  Que voulez-vous, quand on a rien à offrir en échange, on reçoit moins que rien.  Et c'est ce qui est arrivé au Cacad'CHien.


On s'est vite débarrassé de Dale Weise pendant que son début de saison miraculeux pouvait lui donner l'ombre d'une valeur, et avant qu'il continue à trop s'aplatir pour ainsi retourner au naturel...c'est-à-dire, au neutre !  Idem pour Tomas Fleischmann, qui lui aussi, après un départ anormalement bon, dans son cas, avait vu ses espoirs de connaître une saison potable fondre comme la margarine dans une poêle bouillante.  Quant à Devante Smith-Pelly, Bergevin a eu beaucoup de veine en trouvant preneur pour ce membre inutile faisant partie de plusieurs cordes de bois mort qui encombrent l'arrière-boutique du DG du torCHon.


Évidemment, l'impuissant gérant général des CHieux a obtenu bien peu en retour de ces deux de pique.  Pour faire une analogie avec les quilles, en faisant l'acquisition de Phillip Danault (photo ci-dessus), Bergevin a lancé sa boule dans le dalot, ou, pire encore, il se l'est envoyée sur la tête en manquant son élan.

En mettant la main sur Stefan Matteau, c'est comme s'il agissait comme un hockeyeur maladroit qui rate un lancer sur réception et culbute en frappant de l'air.  Avec l'addition de Mike Brown, Symphorien ressemble à ce frappeur au baseball qui y va d'un quatrième retrait sur des prises dans la même partie !


Des comparaisons illustrant la piètre performance de Bergevin comme DG du Caca, on pourrait en faire à l'infini...  Songeons à ce coureur de sprint qui ne pourrait faire que du "sur place".  Pensons à ce skieur alpin qui resterait figé en bas de la piste, parce qu'il a peur des hauteurs.  Ou bien à ce pauvre Don Juan, ou à un gigolo, qui ne serait plus capable de bander devant une jolie femme nue...


Non, avec ses transactions bidons, Bergevin n'est pas près de sortir sa médiocre formation du trou.  Comme un marcheur dans le désert, se calant encore davantage en tentant de se débattre dans des sables mouvants...  Comme une cause perdue d'avance, celle des CHaudrons du bidonville de Moronréal...  

dimanche 14 février 2016

MÊME LES FEFANS N'AVALENT PLUS LES COULEUVRES DES MEMBRES DE LA DIRECTION DU CACANADIEN...


Ouais, ça va vraiment mal pour les Cannes à CHiens de Haïti Nord...  Non seulement ils sont arCHi-poCHes sur la glace, mais même leur service de marketing, normalement très performant, en arrache présentement.  C'est que le petit jeu de ces stratégistes, très importants pour remplir les poches des propriétaires du Caca, a été déjoué cette semaine.  Une source interne, visiblement fiable même si anonyme, a révélé au journaliste Richard Labbé, de La PRESSE, que les gens de la direction du torCHon essaie de créer un écran de fumée dans la saga de la mystérieuse blessure du gardien Scary Price.  La saison de celui-ci serait terminée mais, pour des raisons de marketing, la direction des CHieux ne voudrait pas le confirmer, histoire de donner encore quelques espoirs aux fefans concernant un possible retour d'un Jesus Price ressuscité, venant sauver la Sainte Guenille en leur permettant de participer aux lucratives séries éliminatoires de la Coupe Stanley.


C'est que les frères Molson ont bien vu qu'il commençait à y avoir des sièges vides aux matchs locaux de leur club de deux de pique.  C'est pour cela que le gérant Symphorien Bergevin et ses acolytes forceraient le pauvre Scary à se traîner de peine et de misère sur la patinoire durant des "faux" entraînements qui ont pour but de faire croire aux crédules fefans que leur idole est sur le chemin d'un retour au jeu salvateur.  Trop de fefans faisant défection, ce n'est pas bon pour les trésoriers des CHaudrons.  Mais voilà, quelqu'un à l'interne s'est ouvert la trappe au journaliste Labbé, et l'hypocrisie des dirigeants de la CHarogne est ainsi révélée au grand jour...  Cette fois, les fefans ne pourront pas dire que ça vient des Anti-Habs.  Même si nous avions évoqué cette supercherie ici, depuis le tout début de cette histoire à dormir debout.  Nous connaissons trop bien le style de gestion des Canailliens, axé sur leur facilité à faire avaler des couleuvres géantes aux fefans...

En janvier dernier, quand Bergevin avait essayé en vain de faire passer tous les malheurs des siens sur son dos, il avait informé les journalistes, et le public, que Price pourrait être de retour au jeu dans un mois.  Il mentait.  On le sait maintenant.  Le fait est que le personnel médical du Cacanadien a erré dans ce dossier.  Ou que les dirigeants des CHieux ont ignoré leur recommandation de soumettre Price à une opération pour réparer des ligaments endommagés dans son genou droit.  On a opté pour une réhabilitation au lieu d'une opération, et on s'est trompé.  Plutôt que de l'avouer on tente encore de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.  Un récent sondage sur les ondes de RDS démontre que seulement 21% des gens croient toujours à un retour au jeu de Carey Price dans les prochaines semaines.  Même les fefans purs et durs commencent à perdre la foi en leur club de broches à foin.


Mais les dirigeants du Caca font toujours face au même dilemme quand le club s'enfonce profondément au classement.  Si on baisse les bras et qu'on laisse l'équipe perdre presque tout le temps d'ici la fin de la saison, les fefans vont déserter le Centre PouBell et les propriétaires du club vont perdre de l'argent (peut-être pas tant sur les billets -sauf les scalpers- mais sur la vente de la camelote CHicolore).  Si on force pour gagner quand même une part des rencontres prévues au calendrier, on risque de rater quand même les séries et de se retrouver en plus avec un moins bon premier choix au prochain repêchage.  Une situation perdante dans les deux cas.

Pendant ce temps, Bergevin trouve tout de même les moyens de faire le clown dans des shows de télévision.  On l'a vu cette semaine faire des farces au Ti-Mé Show et à l'émission d'Éric Salvail.  À cette dernière il a déclaré, sans rire, qu'il prendra sa retraite lorsque le Cacanadien gagnera la Coupe Stanley.  Heureusement que j'étais bien assis quand j'ai entendu cette sottise, sinon je serais tombé de ma chaise.  Un pince sans rire que ce Bergevin !  Pourquoi ne pas faire cette promesse insensée s'il gagne le gros lot du 6/49 tant qu'à y être ?  Les chances que sa promesse se réalise sont aussi bonnes dans un cas comme dans l'autre !


Parlant de clown, on a assisté encore à un précédent quand le gros épais à Pédé Subban a grimpé dans les rideaux après le but dans un filet désert qui confirmait la dernière défaite des siens contre les faibles Sabres à Buffalo.  Sa danse de St-Guy n'a pas impressionné l'arbitre.  Ce dernier l'a expulsé prestement de la partie et Subban a encore passé pour un idiot et un gros tas de merde, ce qu'il est pour vrai, entendons-nous bien !  Dehors le bouffon !  Va manger tes cacahuètes le primate !  Je n'avais jamais vu un spectacle aussi ridicule en pareille situation.  Oui, le 76 se distingue encore...mais pour le pire !

La "croisière" des CHaudrons achève.  Le bateau est en train de couler !  S.O.S. !  Bergevin, Therrien et Molson à la mer !  Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

mercredi 27 janvier 2016

LE CACANADIEN DE MOURIAL : UN CLUB DE DEUX DE PIQUE...


Le timing était bon.  Juste avant la longue pause du match des étoiles, le directeur général du CH, Marc "Symphorien" Bergevin, se disait sans doute qu'il ne risquait rien en descendant dans le vestiaire pour rencontrer ses joueurs, avant de convoquer la presse et de prendre tout le blâme pour les insuccès de son équipe.  Le calendrier était plus que favorable : trois matchs contre les deux pires clubs de la NHL, Toronto et Columbus (2 fois).  En gagnant ces trois parties faciles, Bergevin devait penser qu'on lui attribuerait le mérite d'avoir réveillé ses troupes, et il passerait pour un As.  Il redonnerait ainsi le sourire et de l'espoir aux fefans.  


De plus, en se crucifiant lui-même sur la place publique pour la descente aux enfers de ses vauriens, Symphorien (photo ci-dessus, dans sa personnification de clochard barbu, symbole du bidonville de Morons-Réal) détournait l'attention et il appliquait le dicton : «Faute avouée est à moitié pardonnée».  Sauf que le scénario de l'incompétent DG des CHieux ne s'est pas concrétisé.  Son club de dindes a gagné de peine et de misère à Toronto (après n'avoir disputé qu'une seule bonne période), avant de perdre les deux rencontres suivantes contre les misérables Blue Jackets de Columbus (privés de joueurs blessés importants, dont leurs deux gardiens de buts) par un pointage combiné de 10 à 4 !!!  Résultat : Bergevin, au lieu de passer pour un As, passe pour un deux de pique...  Comme le reste des membres de son personnel, d'ailleurs...


En tout cas, on ne peut pas reprocher aux CHaudrons leur manque de constance.  Leur entraîneur Michel "Éphrem" T'esRien en demande à ses pousseux de puck depuis deux mois, et ils lui en donnent.  Ils sont constants dans la défaite !  Après avoir gagné trois matchs en décembre, ils en ont fait autant en janvier avec trois courtes victoires (huit revers) !  Au cumulatif, le torCHon revendique donc 18 défaites dans ses 23 dernières parties (dont 7 à ses 8 plus récentes), et il s'est incliné huit fois dans ses dix derniers matchs devant ses fefans, au Centre PouBell.  AUCUN club de la LNH n'est pire qu'eux depuis deux mois.  Hier, le but de Galchenyuk, était le premier du Cacad'CHien en 3e période depuis le...3 décembre 2015 !  Wow !  C'est vous dire comment cette bande de deux de pique est pourrie !  Therrien aura-t-il la grâce d'être congédié avant de perdre les rares cheveux qui lui restent (photo ci-dessus) ?  Au train où vont les choses, le Caca a plus de chances de finir la saison sous la cave du classement général, que de participer aux séries éliminatoires !


Dans les circonstances, pas étonnant qu'il y avait au-dessus de mille sièges vides hier pour le dernier match aller-retour contre Columbus.  C'était un 480e match consécutif à guichets fermés pour la CHiasse, mais, même s'ils avaient payé leur billet, ces mille clients dépités avaient choisi d'être ailleurs plutôt que d'assister à une autre prestation gênante de leur équipe de pic-pic et de deux de pique.  Tant qu'à se présenter dans la caverne d'Ali Baba des Molson, avec un sac de papier brun sur la tête pour huer leurs héros devenus des zéros...  Quand on est un farouche partisan de la Sainte Guenille, il faut être masochiste pour assister au spectacle navrant de ces attaquants dont les faibles lancers n'arriveraient pas à faire tomber des cannes de beans géantes, à cinq pieds d'eux.  Il faut aimer souffrir quand vous voyez les défenseurs du club faire la charité à profusion en ne cessant pas de donner le disque à des adversaires ravis, qui n'ont qu'à le pousser dans la cage CHicolore très mal défendue par le Condon percé, ou le cerbère de la Ligue mineure qu'est Ben "l'écartelé" Scrivens...


C'est pas des farces, même aidés par leurs amis les arbitres, qui leur donnent injustement des buts qui ne sont pas bons, ou des jeux de puissance à répétitions; alors qu'ils refusent des buts valables aux opposants; les Canailliens ne sont pas capables de gagner !  Les joueurs semblent avoir abdiqués, ou ils attendent le retour au jeu du sauveur Jésus Price (photo ci-dessus).  Celui-là, ces temps-ci, il doit être content de patiner en solitaire avant les entraînements, ou de demeurer chez lui, ou bien caché dans l'infirmerie.  Contrairement à ses coéquipiers, il n'a pas à trouver des excuses ou des paroles creuses pour expliquer leur calvaire.  Il tarde tellement à revenir dans l'alignement, que quand il le fera, les Cannes à CHiens risquent d'être déjà éliminés.  À moins que les dirigeants du club décident que, la saison étant fichue, il vaut mieux que Price subisse maintenant l'opération au genou qui s'impose de toute façon...


Ces derniers temps, le deux de pique le plus drôle à voir jouer chez les maudites CHarognes est sans contredit Pédé Subban.  Hier c'était vraiment comique de le voir encore tenter ses pirouettes de chimpanzé de cirque alors qu'il se trouvait derrière son filet.  Une fois, alors qu'il s'exécutait pour plaire à la galerie, il a eu la mauvaise surprise d'être pris en sandwich entre deux porte-couleurs des Blue Jackets.  Le crétin no 76 a perdu la rondelle, qui s'est vite retrouvé dans le but, derrière son gardien !  Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !  Quel jeu de stupide !  Le gros Caca a été directement responsable d'un autre but de Columbus, plus tard dans la partie.  Et que dire de sa célébration de bouffon après qu'il eut marqué un but chanceux dans le match précédent à Columbus.  Dubinski l'a rabroué, et Pédé, mécontent, l'a poussé et a écopé d'une punition !  Quel con !  Il faut l'être au centuple pour porter sa propre image (regardez sur sa casquette, photo ci-dessus) sur tous ses vêtements !  Ses coéquipiers peuvent bien le détester !  Plus cave, plus vain et plus imbu de toi-même, tu t'appelles Denis Codinde Coderre !


En plus, hier, grâce à un de ses fameux tirs tout croche, Subbanane a atteint Pacioretty (photo ci-dessus) en pleine face !  Bingo !  La plaie va enlaidir encore davantage le boutonneux "capitaine à la noix" du Caca !  Ce sera tordant de voir la nouvelle "pucker face" de MaxPac, le prince nu (totalement dépourvu de la moindre graine de leadership) !  Le plus grave c'est l'affligeante nouvelle qui nous a appris que le franc tireur Daniel Carr, lui aussi blessé, est fini pour le reste de la saison catastrophique des CHieux !  Sur qui donc pourront se fier les CHaudrons pour réussir à atteindre leur production habituelle de zéro à deux buts par match ?

Après les cuisantes défaites de la CHnoutte, comme c'est désopilant d'entendre toutes les sornettes des fefans ou des journalèCHe-culs, vendus à leur cause ! Tous se désâment pour trouver la solution aux problèmes de leurs CHéris.  S'ils lisaient mes chroniques et les commentaires de mes lecteurs, ils sauraient bien que la maladie, qui tue leurs favoris, est incurable.  Et ce, en raison d'un paquet de facteurs que nous expliquons fréquemment ici.  Pour une foule d'autres fefans, c'est simplement le retour de Price qui représente LA solution à tous les maux des Habs.  Pauvres cancres, ils seront bien vite désillusionnés, une fois de plus !


Ceux et celles, qui croient que les CanaCHiens ont atteint le fond du baril, se trompent royalement.  Il y a encore de la place dans les bas-fonds du classement !  Célébrons, mes amis, cette merveilleuse saison qui en est encore une de rêve pour les clairvoyants Anti-Habs !  Dans le jeu de patience des fefans, il n'y a que des deux de pique.  Et les jokers (les Anti-Habs) ne sont pas admis.

Autre signe du profond désespoir des habitants de Fefan-Land, j'ai recommencé à recevoir des messages remplis de menaces et d'insultes.  Je les publierais bien, pour que tous les Anti-CH puissent en rire et constater la faiblesse du cerveau de ces abrutis, mais le vocabulaire qu'ils emploient est beaucoup trop sous le standard de la décence que je veux respecter ici...