mardi 14 février 2017

LE CACANADIEN ENCORE EN DÉROUTE : LE CHÂTEAU DE CARTES S'ÉCROULE !


Les jeux électroniques sont immensément populaires.  La révolution du "virtuel" est déjà à nos portes, et les casques qui permettent d'y accéder seront des objets très courus chez des marchands comme Canadian Tire, dans les prochaines années.  Avec ces moyens technologiques, derniers cris de la mode, de ce qui est ultra-"in", on peut simuler des «réalités» qui n'existent pas.  D'autres parlent de «faits alternatifs» depuis l'avènement de la «Trumpomanie».  Depuis deux ans, des jeux de simulation (comme EA Sports), basés sur des projections faites par ordinateurs, prédisent une participation du Cacanadien de Mourial à la finale de la Coupe Stanley.  Rien de moins.  Rien de plus ridicule aussi !  La preuve que ces "robots" ne connaissent rien au hockey.  Un peu beaucoup comme les fefans qui idolâtrent le Saint TorCHon.



Au début de chaque saison de hockey, ces crétins libidineux, ainsi que toute la bande des pseudo-journalistes qui lèchent le cul de tout ce qui est CHicolore, se pâment et bandent sur les débuts de saison fabuleux des CHieux.  Ils sont baveux et ils ne tardent pas à croire en leurs chimères.  «Ça sent la Coupe», clament-ils niaiseusement, du plus profond de leur sottisier, toujours débordant de stupidité et de CHauvinisme.  Ils se bâtissent des châteaux en Espagne, avec le Saint Graal dedans (Stanley Cup).  Mais quand la mi-saison arrive et que les autres clubs de la LNH se mettent en marche pour jouer du vrai hockey, pas du hockey virtuel, ces pauvres nigauds réalisent, en voyant leurs CHaudrons subir défaite après défaite, que leurs châteaux en Espagne n'étaient que des châteaux de cartes (des deux de pique) qui s'écroulent sous le souffle de la moindre brise (provenant même des équipes les plus faibles).  Alors, le navire des Cannes à CHiens coulent à pic, et les rats (fefans et pseudo-experts prostitués) remontent précipitamment de la cale pour se lancer à l'eau.




Si les porte-couleurs de la Sainte Guenille sont encore au premier rang de leur division, c'est parce que celle-ci est faible, et parce qu'ils ont ramassé quelques points de BS par-ci par-là.  Depuis leur départ canon (13-1-1) qui s'est terminé le 13 novembre, les CHieux n'ont connu qu'une seule série de victoires consécutives (trois, dont deux arrachées en prolongation).  Ils ont perdu dix de leurs quatorze derniers matchs (six de leurs sept derniers), souvent par blanchissage (synonyme de leur nullité).  Pour neutraliser leur attaque de tire-pois, les clubs adverses n'ont qu'à pratiquer un bon échec-avant, à bien couvrir Pacioretty et Radulov et...voilà !  Le tour est joué !  Quand votre joueur de centre no 1 est Phillip Danault (dix buts en 58 matchs), vous êtes sérieusement dans le trouble !!! Les misérables Canailliens n'arrivent même plus à pratiquer leur traditionnel anti-hockey, la trappe à outrance, faite d'obstruction et d'accrochage.  Un système défensif ennuyant mais qui les a souvent sauvés de la catastrophe par le passé.  Jadis une rare force pouvant leur éviter le pire, leur jeu en désavantage numérique est tout simplement affreux depuis le mois de décembre.  Au cours des dix dernières parties, ils ont donné huit buts en pareilles situations.



Résultats de ces déboires : le bleu, blanc, merde n'a plus que six points d'avance sur Ottawa (qui ont cinq matchs en mains) et Boston.  Toronto est à neuf points mais a joué quatre rencontres de moins.  Au rythme où vont les choses, les Leafs (qui comme les Sénateurs ont subi moins de défaites que le torCHon en temps régulier) ont des chances de dépasser le Caca.  Avec les Islanders qui jouent très bien depuis le congédiement de leur coach (Capuano), ce n'est même pas certain que les CHieux pourraient finir la saison parmi les huit premiers rangs dans l'Est et participer ainsi aux éliminatoires. Les deux équipes repêchées proviendront de l'autre division de la Conférence, beaucoup plus forte que celle des CHaudrons.


Dans cette descente aux enfers de la CHiasse, le gardien Scary Price tient une place de choix.  Il est dans les premières loges.  Même de petits enfants peuvent le déjouer facilement ces temps-ci (photo ci-dessus).  Le 9 décembre, j'ai été le premier à annoncer sa déchéance, ici même.  Depuis la période des Fêtes, ses statistiques sont éloquentes et elles ne mentent pas : fiche de 6-8-3; moyenne de 3,15 avec un pourcentage d'arrêts de seulement .897.  Minable !  Comme celle de son club, sa réputation est surfaite.  Je n'ai pas vérifié, mais il doit s'approcher du record de défaites en carrière, pour un gardien du Cacanadien.  En plus de sa désastreuse fiche en séries de la Coupe Stanley.  Il multiplie les maladresses et les abandons devant son filet.  Piteux pitou !  Il aime manifestement plus s'amuser avec son enfant que de jouer pour la CHiure...  J'imagine que, comme tous ses coéquipiers, il rêve d'être échangé, pour quitter à tout jamais l'asile de la métropauvre.


La question de l'heure à MoronRéal est sans doute celle de l'éventuel congédiement de l'incompétent entraîneur Michel T'EsRien.  D'ailleurs, ces derniers temps, il a plus de tics nerveux que d'habitude.  Il se passe souvent le doigt entre le collet de sa chemise et son cou.  Un cou de plus en plus irrité et rouge, comme si la corde qui va le pendre le serre déjà.  Bof !  La question de son congédiement n'est pas pertinente car, à observer ce qui se passe derrière le banc des CHieux durant les matchs, on constate que c'est son adjoint Kirk Muller qui mène l'équipe.  Ça fait longtemps que Therrien a perdu son vestiaire et que ses joueurs ne l'écoutent plus...  Une réalité plus que virtuelle...