dimanche 26 novembre 2017

EN RÉSUMÉ : LE CACANADIEN, «A TEAM WITHOUT COURAGE».


Hum... Par où commencer pour résumer le premier quart de saison du Cacanadien de MoronsRéal ?  Dans les deux derniers mois, nous avons eu droit à du Cacad'CHien typique et tout craché (crashé !).  Des performances pourries sur la patinoire, comme il fallait s'y attendre, à moins d'être un fefan fini.  En dehors de la patinoire : de l'hypocrisie, du vol, des mensonges, de la manipulation, des scandales, comme nous a habitués la direction du torCHon.  Nous avons aussi eu des réponses aux questions que nous nous posions avant le début de la présente campagne (lire mon premier billet).

Je dirais qu'il est possible de faire la synthèse des événements qui ont marqué ce début de calendrier 2017-18 en me rappelant d'une affiche que j'ai vue en photo dans un aréna d'un club de la LNH.  Je crois que c'était à Boston ou à Philadelphie, il y a quelques années, durant les séries éliminatoires opposant l'équipe de l'une de ces villes au CHaudrons de la métropauvre.  Parfois, un regard extérieur, à partir d'une perspective différente, s'avère plus éclairant pour décrire une réalité que nous avons souvent trop près de la face pour la voir dans toute sa vérité.  Sur cette pancarte, un partisan avait écrit un parfait résumé englobant en quelques mots ce qui décrit le mieux les CHieux de Mourial : «A TEAM WITHOUT COURAGE» !


Angela Price

Cette affiche m'avait frappé.  Oui, lorsque l'on cherche la définition du mot "courage" dans le dictionnaire, on trouve des expressions comme "avoir de la force morale" (la dureté du mental !), "avoir du coeur", "avoir de la fermeté devant le danger ou devant la souffrance", avoir de la volonté et de l'énergie.  Autrement dit, être courageux, c'est être brave, avoir du cran, avoir des couilles.  Tout ce que les joueurs et les membres de la direction du CHiendent n'ont pas !

On peut avoir recours aux statistiques pour montrer à quel point les Canailliens ont été pitoyables jusqu'ici.  Tout de suite, en débutant par la position clé de gardien de buts, avec le départ horrible de Scary Price, affublé des pires statistiques parmi tous les cerbères de la Ligue Nationale, ça commençait plutôt mal.  Tellement que la direction du CH a dû le sortir de son filet et lui inventer une blessure pour arrêter l'hémorragie de défaites qui tuait le club, en déroute.  Des rumeurs ont fait surface concernant une demande de divorce de la part de son épouse Angela.  Premièrement à cause de possibles infidélités de Scary et, secondo parce que madame Price n'en peut plus de vivre dans le bidonville infect de MortYial.  Ces problèmes hors glace ont-ils pu affecter le jeu du héros des fefans ?  Sans parler des huées que Scary a dû avaler au Centre PouBell lorsqu'ils a donné des buts faciles aux opposants.  

Son remplaçant, Charlie Lindgren, un gars du club ferme de la Ligue Américaine, a fait illusion quelques temps, avant que les autres équipes découvrent ses faiblesses, et avant que son exposition trop intense finisse par le brûler à son tour.  Au moins, il a permis à son club de broches à foin de tenir un petit bout de temps.


Charles Hudon

Mais le bilan de quart de saison est loin d'être reluisant !  Des neuf victoires de la CHnoutte (contre quinze revers, moyenne de 0,438 au 27e rang de la LNH), plus de la moitié ont été récoltées contre des formations aussi poches que le Caca (trois gains contre Buffalo -dont deux en prolongation ou en fusillade-, un gain contre les pauvres Panthers de la Floride, et un autre contre les Rangers de New York qui connaissaient alors un début de saison aussi affreux que celui de l'équipe de monsieur Patate, Claude Julien).  Vraiment pas de quoi se péter les bretelles !

La perte de la totalité du flanc gauche de la défensive CHicolore durant la saison morte (entre autres, Markov et Emelin) a laissé des traces sanglantes avec des remplaçants encore plus mauvais que ceux qui occupaient ces postes l'an dernier.  Manque de mobilité, revirements à la tonne, absence de robustesse, relance de l'attaque inexistante, bref, le portrait est très laid de ce côté-là aussi.  La sur-utilisation du seul défenseur potable, Shea Weber, obligé de servir également de gardien à cause d'un Price Passoire, l'a conduit directement à l'infirmerie...  Imaginez, pour remplacer Emelin, qui était le seul autre défenseur -à part Weber- qui frappait d'aplomb les adversaires, le trop jeune et inexpérimenté Victor Mete a distribué un grand total de une, je dis bien une, mise en échec en 23 parties jouées !!!  Pour un défenseur, c'est encore plus invraisemblable !  Du délire !



En attaque c'est encore pire, si c'est possible !  À part Gallagher et Weber, qui ont des statistiques qui se rapprochent de leur normales, le reste des joueurs de la CHiure montrent des chiffres ridicules.  Avec ses trois petits buts, Drouin ne livre pas la marchandise et il est loin de faire oublier Radulov, qu'il était sensé remplacer comme moteur de l'offensive CHicolore.  Pacioretty est pathétique avec ses douze points en 24 matchs.  On pourrait l'appeler monsieur périphérie tellement il est rare de le voir aller dans l'enclave devant les filets ennemis.  Avec son différentiel de - 12, il est encore plus mauvais en défensive.  On parlait de courage, -du courage qu'un capitaine comme lui devrait pourtant démontrer-, eh bien c'est tout le contraire dans son cas.  Plus lâche que ça, tu meurs !


Drouin devra mettre ses culottes

Les opinions divergent au sujet de la pertinence des statistiques avancées.  Mais l'une d'elles, le nombre de tirs à partir de l'enclave, est quand même révélatrice, justement au point de vue du courage.  C'est certain qu'il faut payer le prix quand vous allez dans cette zone.  Vous vous exposez à des coups de bâton et à des mises en échec de la part des adversaires.  Mais c'est la zone la plus payante pour marquer des buts.  Les bonnes équipes vont décocher au moins sept ou huit lancers précis, directement de l'enclave., durant une partie.  Les CHieux ont du mal à en réussir trois, en moyenne, par match...  Et le meilleur dans ce département, est le Lilliputien Paul Byron...  Il est comique de constater que Byron et le minuscule Charles Hudon sont les deux joueurs d'avant des Cannes à CHiens qui ont enregistré le plus de mises en échec.  À la grosseur qu'ils ont, on devine qu'ils doivent faire vraiment mal à leurs "victimes" !!!


Galchenyuk

D'autres stats qui en disent long sur le manque de courage des minables Habs : le nombre de revirements (vous préférez vous débarrasser de la rondelle pour éviter de vous faire frapper) indique le troisième rang pour le plus grand nombre (322 revirements).  Ça prend aussi du guts pour aller voler ou reprendre le disque aux adversaires : le Caca est 25e avec seulement 145 larcins aux dépens des rivaux.  Dans la colonne des buts marqués, le CH se classe avant-dernier avec une moyenne de 2,33 filets par rencontre.  Notons qu'il serait dernier n'eut été cette aberrante victoire de 8-3 contre Ottawa, le 30 octobre.  En défense ce n'est guère mieux : 26e avec une affligeante moyenne de 3,29.  Pourtant, on disait que monsieur Humpty Dumpty, le coach Claude Julien, était réputé pour son excellence en système défensif...  Faut croire qu'il n'a pas le personnel pour réussir à implanter un tel système...  

Autre phénomène très rare : le nombre de fois (9) que les CHieux ont accordé deux buts consécutifs en moins d'une minute.  Généralement, même un club au moral fragile n'en donne pas autant en une saison entière !  Hallucinant !  Quelle bande de broCHets !

Parmi les pires déceptions chez les Habs Not, Galchenyuk figure un bonne position avec ses cinq buts et cinq aides.  On a appris qu'il a eu recours deux fois plutôt qu'une au programme de désintoxication de la NHL.  La direction des CHaudrons nous l'avait caché, bien entendu, bande d'hypocrites !  À le voir jouer et rater des filets ouverts, on dirait que Galchenyuk, un ado délinquant attardé, est toujours sous "influence" (saoul ou drogué).  D'ailleurs, il n'est pas le seul à manquer d'efficacité sur ses lancers, son club est le pire de la Ligue à ce chapitre (anémique 6,6% des tirs aboutissent à des buts).  Le jeu d'impuissance est 29e avec 15,3 % de succès, et l'unité pour tuer les pénalités est 27e avec un faible 75,9 %. 


Geoff Molson (gauche)

Pour mettre le glaçage sur le gâteau des anti-habs, on apprenait que les crosseurs qui possèdent le Cacanadien, la famille Molson, se retrouvaient dans le scandale des "Paradise Papers".  Non seulement ils exploitent à outrance leurs fefans, en leur chargeant le prix le plus élevé dans la LNH pour les billets qu'ils leur vendent pour voir évoluer leur club de merde et pour acheter la camelote (chandails, bière, souvenirs) qui va avec, mais ils cachent leurs profits dans des paradis fiscaux (Bermudes) pour éviter de payer leurs impôts (du vol, un manque à gagner, contre les contribuables honnêtes du Québec et du Canada)...  Bande de croches dégueullasses !  Une autre forme de lâcheté et de manque de courage de la part de cette organisation honteuse...

À bas les CHieux !  À bas le torCHon !