jeudi 22 mars 2018

LE CACANADIEN ENCORE ÉLIMINÉ : CÉLÉBRONS 25 ANS DE MÉDIOCRITÉ !


C'est maintenant fait !  Le torchon est officiellement éliminé !  Pour une 25e année consécutive, le CHicolore ne pourra s'approcher de la Coupe Stanley !  Oui, oui, vingt-cinq ans bien comptés sans même disputer une finale de la Coupe Stanley.  Ce qui place les CHieux parmi les concessions qui ont la plus longue disette à ce chapitre !  À la plus grande satisfaction de tous les Anti-Habs !  Un quart de siècle à voir les CHokeux de Mourial faire patate encore et encore, saison après saison !  Fameux !

Et on se souviendra avec délice de cette 25e année de déconvenues du Caca-de-CHiens.  Un véritable fiasco à tous points de vue !  Un cauchemar pour les fefans bipolaires !  Un rêve en couleurs, devenu réalité, pour les Anti-CHiure !  On ne pouvait guère espérer un plus beau cadeau de 25e anniversaire !  Quelle débandade des Cannes à CHiens !  Nous sommes comblés !


Du plus grand (direction, propriétaires) au plus petit (joueur minable), tous les membres de cette organisation sclérosée et pourrie se sont unis pour nous donner une des pires saisons de leur histoire plus que centenaire !  La honte est plus grande que jamais chez les fefans affligés !  Et les sacs de papier brun sont de retour sur les têtes d'eau de ces crétins !  D'ailleurs, cet hiver, je n'ai pas vu un seul fanion crotté du CH sur les bazous de ces partisans enragés de la Sainte Guenille !  Tant mieux pour le paysage !

Les déboires des Canailliens en 2017-2018 nous ont rappelés ceux de la pitoyable saison 2000-2001.  En connaissant leur pire début de campagne depuis celui de 1941-42, -sept défaites dans leurs huit premières parties- c'était déjà un gage du désastre qui allait suivre.  Le manque de talent, de courage et de caractère du club des Molson s'est révélé encore davantage quand il jouait sur les patinoires étrangères.  À la maison, au centre PouBell, on se forçait un peu plus pour éviter de se faire trop huer par les fefans.


Récemment, j'ai eu mal au ventre à force de rire des CHaudrons.  Même lorsqu'ils semblaient marquer un de leurs rares buts (blanchis douze fois cette saison, un record d'équipe) et que les fefans sautaient de joie, ce filet était souvent annulé par les arbitres, après contestation par les entraîneurs des clubs adverses !  Trop drôle de voir ensuite le désarroi, le découragement et le désespoir des fefans, des coachs du CH et de leurs joueurs poches !

L'autre jour à Toronto, vers la fin du match gagné 4-0 par les Leafs, que c'était jouissif d'entendre les partisans du club de la ville reine se moquer des fefans en chantant les "Olé, Olé, Olé" que ces abrutis ont coutume d'entonner pour célébrer les trop nombreuses victoires de leurs favoris contre les Bleus.  

C'est au tour des fefans d'être du mauvais bord.  Avec 36 défaites en temps régulier (matchs de 60 minutes) jusqu'à maintenant cette saison, le CHiendent menace son record historique de 40 revers établi en 2000-2001.  Le torchon a déjà éclipsé son record de 24 revers en temps régulier sur la route, y compris sept blanchissages subis lors de ces défaites humiliantes, un autre record peu enviable !

À leurs 21 dernières rencontres hors de leur domicile, la bande d'incapables du bonhomme Humpty Dumpty (le coach Claude Julien), les CHoux Blancs ont encaissé 19 échecs.  Ils ont compté un but et moins à onze reprises et ils ont été déclassés par un score combiné de 82 à 34 !  Pour l'ensemble de la saison, leur unité spéciale en désavantage numérique a été, et de loin, la pire de toute la Ligue Nationale quand ils étaient le club visiteur.  En pareilles circonstances, leur jeu en avantage numérique n'a guère fait mieux...

Je reviendrai avec d'autres billets pour décortiquer davantage cette saison mémorable.  Je me prononcerai également sur les sombres perspectives d'avenir de ce club en décomposition et en putréfaction déjà avancée !  D'ici là, comme vous tous, chers amis Anti-Caca, je vais encore rire et fêter ce 25e anniversaire de merde, sans Coupe, des CHieux de MoronsRéal !  Festoyons, moquons-nous des fefans, levons nos verres et buvons le délicieux champagne de l'équivalant de NOTRE Coupe Stanley !  Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

samedi 3 mars 2018

SYMPHORIEN BERGEVIN DANS LES SABLES MOUVANTS DU CACANADIEN...


Pauvre Symvaurien Bergevin !  Infortuné gérant général du Cacanadien de MoronsRéal.  Il ne sait plus quoi faire pour sortir son club poche de la merde.  Sous pression à l'approche de la fin de la période des transactions, ou bien il ne faisait rien et il demeurait dans la merde, ou bien il bougeait et il s'enfonçait encore plus profondément dans les sables mouvants remplis de...merde !  Au moins il s'est débarrassé de l'odieux contrat de six millions de dollars de "Turtle Neck" Plekanec...

Mais, d'abord, bonne nouvelle pour les Anti-Habs, Symphorien demeurera en poste, parole d'honneur de son président et patron Geoff Molson, un ignare total du hockey, mais très heureux des 92 millions de dollars de profit qu'il a empochés l'an passé.  Le proprio de la Guenille sale est devenu le Harold Ballard de MortYial.  Bon, bien, réjouissons-nous, Bergevin continuera donc d'exercer son incompétence crasse à Ville La Sale.  Au grand malheur de plusieurs fefans du torCHon qui espéraient son congédiement.  Bien plus que cela ! Quasi impensable dénouement !  On chuchote maintenant que l'ère Bergevin fait de plus en plus penser à celle de Réjean "Peanut" Houle, au tournant du siècle dernier !  Déchéance suprême et historique !  La désolation de l'abomination !  Digne du coulage du Titanic !  Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Le coup de pied de l'âne !

D'ailleurs, j'en profite pour renseigner des centaines d'internautes de tous les pays, où le hockey est populaire, et qui me demandent souvent, par l'intermédiaire de la section "commentaires" de mes blogues anti-CH : «Qu'est-ce qu'un fefan ?»  Veuillez cliquer sur le lien ci-dessous pour le découvrir :

http://lantihabsillimite.blogspot.ca/2009/08/quest-quun-fefan.html

Un indice : c'est un genre de bibitte bipolaire assez inclassable, mais pas mal déconcertante et risible...  Depuis décembre, sachant que leur équipe de deux de pique est éliminée des séries de fin de saison, ils ne veulent plus regarder les matchs de leurs favoris.  Les cotes d'audience sont à la baisse sur les réseaux de télédiffusion des matchs des CHaudrons.  Ils désirent que les pousseux de puck CHicolores perdent le plus de parties possibles afin que la direction du club se fasse mettre dehors.  Et pour que les recruteurs de leur formation en déroute héritent d'un rang élevé au prochain repêchage de la LNH.  Ils ne leur pardonnent pas la liquidation des Subban, Markov et Radulov...


D'ailleurs, au chapitre du recrutement, Symvaurien Bergevin a également indiqué qu'il avait toujours confiance en son recruteur en chef, Trevor Timmins, pour aider son club présentement dans la dèche, à se renforcer grâce au repêchage.  Pourtant, malgré des millions de dollars disponibles sous le plafond salarial, le DG des CHieux a été incapable de convaincre les agents libres de qualité de venir dans le bidonville mourialaid.  Oubliez Tavares, il ne jouera pas pour le bleu, blanc, merde la saison prochaine !

Et re-pourtant il n'y a aucune relève chez les jeunes joueurs recrutés par Timmins au cours des dernières années.  Il faut vraiment que Bergevin soit convaincu que les fefans sont de sacrés avaleurs de couleuvres pour croire encore à ses promesses d'un avenir brillant pour le CHiendent...

Les deux supposées vedettes du Caca, Max Pacioretty -hué dernièrement par les fefans au Centre PouBell-, et Scary Price, voudraient tellement se retrouver sous d'autres cieux qu'ils en font pitié.  Quant à Shea Weber, on se demande si sa réputation n'était pas surfaite, étant donné qu'il pouvait bien paraître en profitant du soutien de la meilleure brigade de défenseurs de la Ligue, à Nashville.

Forcé de faire bonne mine à contre-coeur, on a même vu Max Pac tenter quelques incursions dans l'enclave lors de récentes rencontres.  Monsieur Périphérie en a étonné plus d'un par cette intrépidité soudaine.  Lors d'un rare moment de bravoure, un journaliste lui avait demandé, au début de l'année ou vers la fin de 2017, pourquoi il n'allait pas dans la zone payante, devant le but adverse.  Pacioretty avait répondu sans le moindre malaise que ce n'était pas son genre ou son style de jeu, pas plus que celui de Jonathan Drouin, qui était son joueur de centre à ce moment-là.


Après une disette de quinze matchs sans marquer, lui qui est supposé être le franc marqueur du CH, et après avoir enduré les huées des fefans, le capitaine des CHieux a bien été obligé de se forcer pour aller dans la zone dangereuse et enfiler enfin un but, de peine et de misère !  Même Julien n'ose plus l'envoyer en pâture aux fefans lors des séances de tirs de barrage !  Dieu que Max Pac était consterné, la semaine dernière, parce que les rumeurs d'échange dont il était l'objet ne se soient pas concrétisées !

Le cas de Price est encore plus pathétique.  Avant la supposée commotion cérébrale qui l'a sorti de l'alignement, sans doute à son grand soulagement, Scary traînait de plus en plus péniblement son lourd équipement sur la patinoire.  Mais cette autre blessure, comme celle au début du calendrier l'automne dernier, semble elle aussi douteuse.  Pourquoi, lors de ce match qu'il a complété même après avoir reçu une rondelle sur le masque, le coach Claude Julien avait-il affirmé que Price n'avait pas subi de commotion ?  Lui a-t-on encore inventé une blessure pour arrêter de le voir faire le pantin désarticulé devant sa cage ?

En effet, écrasé par le manque de soutien offensif de sa bande de tire-pois, Scary se décourageait vite et il affichait encore davantage sa nonchalance caractéristique des mauvais jours.  Sur certains buts faciles qu'il accordait régulièrement, on pouvait constater son ras-le-bol de cette organisation de broches à foin et de "losers".  Dans une ville de "losers" où rien ne semble fonctionner et où toutes les équipes sportives se spécialisent dans la défaite...  Il s'ennuyait de l'époque où ses défenseurs lui sauvaient le derrière en bloquant la majorité des tirs dangereux dirigés vers lui.

D'ailleurs, Price, utilisant son imposant physique devant le filet, a toujours bien plus "bloqué" des lancers plutôt que de les arrêter.  Tant que ses coéquipiers s'occupaient plus souvent qu'autrement des juteux retours qu'il accordait en se contentant de bloquer les tirs, Scary pouvait s'en tirer pas si mal.  Mais Bergevin ayant fini par détruire la brigade défensive de sa troupe, Price n'a plus de roue de secours quand il fait des "flats" devant ses buts.

Sans compter que sa chère épouse en a tout autant soupé que lui de côtoyer tous ces morons qui peuplent la métropauvre, un dépotoir nauséabond où elle et son mari se font royalement chier.  Mais, en dépit de tout -y compris un contrat de 84 millions de $$$ commençant la saison prochaine-, les Cannes à CHiens demeurent le club de Price...  Même s'il voudrait sans doute aller voir ailleurs s'il y est, et même si, en attendant, il va s'asseoir sur son steak et son indécent contrat !