vendredi 30 décembre 2011
ALLO LE BEAU NONO : PRICE SE COUVRE DE RIDICULE EN NARGUANT UN PARTISAN DU LIGHTNING !
L'incident loufoque s'est déroulé pendant une pause en deuxième période du match d'hier à Tampa Bay. Les NioCHons de Mourial menaient alors 3-1 et l'arrogant Scary Price en profitait pour s'abreuver en attendant que l'action reprenne (photo ci-dessus). Un partisan du Lightning s'est mis à crier après lui, comme le font souvent de chauds partisans qui tentent de briser la concentration des gardiens adverses afin d'essayer d'aider l'équipe locale. Bien sûr, le gardien du club visiteur ne fait généralement pas de cas de ces fans qui les abreuvent de bêtises pour leur faire perdre le focus sur la partie. Mais Price n'est pas un gardien de buts ordinaire... L'an dernier, les fefans, et les gens de la direction du torCHon, vantaient la belle maturité acquise par le jeune cerbère du CHicolore durant les saisons précédentes. Certes, Scary s'était un peu calmé, mais il faisait quand même quelques conneries de temps à autres. Comme se garrocher en l'air avec Pété Subban quand la CHiasse gagnait. Hier, Price a montré encore une fois qu'il avait beaucoup de travail à accomplir s'il désire passer pour un athlète assagi, digne de mériter le titre de "professionnel". En fait, même des joueurs d'âge midget ou junior n'auraient pas fait la bourde qu'il a commise. Quelle niaiserie a-t-il fait ? Il a répliqué aux cris du bruyant fan de Tampa Bay en pointant du doigt et des yeux le tableau indicateur montrant l'avance de 3 à 1 des CHaudrons. Avec la débandade des CHieux en troisième période, devinez celui qui a ri le plus jusqu'à la fin de la partie ! Qu'est-ce qu'il a dû se taper sur les cuisses ce partisan du Lightning, en voyant Scary accorder trois mauvais buts après sa bravade ridicule de la deuxième période ! Qui sait ? Ce fan a peut-être atteint son but : Price a vraiment été dérangé par ses injures ! Cette histoire ne fait que refléter ce que l'on peut observer au sujet de Price quand il est sur la patinoire. Un comportement de plus en plus nonchalant à mesure que le Cacanadien voit s'éloigner la possibilité de participer aux séries éliminatoires du printemps prochain. Le 31 de la CHnoutte agit également de manière peu intelligente lorsqu'il essaie de manier le disque en sortant de sa cage. Il ne fait pas souvent le bon jeu dans ces circonstances. Bref, côté hockey, Scary, comme son tata P.K., semble régresser au lieu de s'améliorer. Vraiment pas de quoi se moquer des partisans des clubs opposés, mettons... Il devrait réellement se concentrer sur son job. Il en a déjà plein les bras et il n'est plus en état de voler des victoires à lui-seul. Tout ce qu'il a pour lui c'est sa grosseur et sa grandeur, des atouts physiques qui l'aident à boucher une bonne partie de son but. Quand il doit se déplacer pour couvrir ses angles, ça se gâte ! Il se laisse souvent déporter en dehors de son demi-cercle lorsqu'il glisse latéralement d'un côté à l'autre de l'embouchure du filet. Il a souvent l'air fou et...il n'en a pas seulement l'air, il est vraiment stupide quand il se comporte comme il l'a fait hier. Comme son pote Subban d'ailleurs. À un moment donné, on a vu ce dernier se retrouver au banc des pénalités après avoir répliqué à un coup d'un adversaire en le cinglant. Pas brillant de la part du défenseur raté (un flop) du CH, qui a encore joué les spectateurs sur une couple de buts du Lightning ! Subban et Price vont bien ensemble. Deux idiots, deux corniCHons ! Qui se ressemblent s'assemblent. C'est bien connu ! Et la déCHéance du Cacad'CHien, ils vont la vivre longtemps ensemble !
Le Lightning a arraché ce gain malgré une défensive assez poreuse, privée du pan de mur Victor Hedman (blessé). Les gars de Tampa ont tout de même travaillé fort, en bloquant pas moins de 24 tirs des Canailliens. J.T. Wyman peut remercier Price pour son premier but dans la LNH. Ça faisait longtemps qu'il l'attendait, et il l'aurait attendu encore longtemps si le gardien prétentieux de la CHarogne ne lui avait pas fait cadeau de ce but en laissant la rondelle filer lentement entre ses jambes... Ce n'est pas à tous les jours que l'on affronte un "goaler" poche et tout croche comme Price (quatre buts alloués sur 22 lancers hier). Wyman peut remercier sa bonne fortune ! L'entraîneur du CHoléra, Randy Cunnyworth, a commis une erreur d'amateur sur le but gagnant de LeCavalier en troisième période. Avec une mise au jeu importante à la droite de Price, il n'a pas prévu de se protéger en envoyant un deuxième joueur de centre sur la patinoire au cas où Lars Eller serait chassé du cercle des mises au jeu par l'arbitre. Or, c'est justement ce qui est arrivé. Eller a dû céder sa place à Erik Cole qui, non seulement a perdu la mise au jeu aux mains de LeCavalier, mais a aussi perdu ce dernier dans sa couverture devant le filet. Le grand no 4 du Lightning n'a pas été importuné et il a logé tranquillement la rondelle dans la cage de Price, qui venait de lui donner un retour de lancer bien juteux ! Ce but a fait la différence dans la joute et Cunneyworth doit porter une partie du blâme pour la défaite qui a fait glisser son club de broches à foin au 13e rang de la Conférence de l'Est. Quand les choses vont mal, les anglophones emploient l'expression "going south". Eh bien les CanaCHiens, en allant perdre dans le Sud, en Floride, s'en vont davantage dans le "Sud" (bas) du classement ! Comme le chantait Robert Charlebois : "j'ai été, au sud du sud, au soleil; mais ché pu où chu rendu" (Lindberg).
Il ne reste pas grand chose de positif du bord des misérables Habs. Oh ! Les fefans s'excitent en regardant Emelin faire de grosses mises en échec... Mais en se ruant littéralement sur ses adversaires, j'ai remarqué que Emelin se sort souvent du jeu puisqu'il est en déséquilibre ou étendu sur la patinoire après ses placages. Des joueurs ennemis peuvent profiter de la situation pour reprendre le disque et attaquer en surnombre. J'ai aussi noté que, après avoir envoyé Eller dans les estrades, durant la game contre les Jets, Cunneyworth est tombé en amour avec le grand Danois. Il joue maintenant quatre ou cinq minutes de plus que Plekanec, le meilleur pointeur du Caca. "Turtle neck" Plekanec joue également moins sur le jeu de puissance mais toujours autant en infériorité numérique. Excellent ! Ses chances de marquer en sont d'autant plus diminuées ! Parlez-moi d'un entraîneur qui fait moins jouer ses meilleurs joueurs ! C'est "too much" ! Ha ! Ha ! Ha ! Eller joue plus que Desharnais, Cole et Plekanec ! Wow ! Cunneyworth peut bien avoir un dossier de 1-5 jusqu'à maintenant ! Pour réussir à boucler la mi-saison avec une fiche de .500 les CHaudrons devront gagner leurs trois prochaines rencontres. Aussi bien demander à une poule de pondre des oeufs en chocolat ! Et on sait que les clubs qui n'atteignent même pas la barre des .500 à la mi-saison ne vont pas loin. Sauf dans le "sud du sud" du classement !
mercredi 28 décembre 2011
LES SCALPERS D'OTTAWA MÉCONTENTS : «LE CH, ÇA NE VAUT PLUS D'LA MARDE !»
Comme douche froide, ça en a été une glaciale ! Les partisans des Sénateurs d'Ottawa ont vu leur équipe (en particulier leurs gardiens de buts et leur défenseurs, qui sont d'ailleurs parmi les plus faibles de la LNH) s'effondrer au compte de 6 à 2 devant les CHaudrons, représentant la capitale mondiale des morons, Mourial. Après avoir vu leurs favoris dominer les CHieux en début de match, ils n'en croyaient pas leurs yeux lorsque ceux-ci ont marqué trois buts sans réplique, sur leurs quatre premiers tirs au filet. Ayoye ! Mais malgré ce cinglant revers, les fans des Sens n'étaient pas les personnes les plus malheureuses dans les environs du domicile de leur club. Non ! Les plus découragés et les plus frustrés, sur la Place Banque Scotia, c'étaient les scalpers, qui ont fait chou blanc en tentant de revendre leurs billets sur le marché noir avant la partie. Eux qui, d'habitude, lors des visites du torCHon à Ottawa, peuvent obtenir jusqu'à $ 500 pour un billet valant $ 100, eh bien, ils ont été chanceux hier lorsqu'ils ont pu s'en défaire pour $ 125. Certains ont blâmé la menace d'une tempête de neige pour expliquer ce manque d'intérêt de la part des fefans moronréalaids, ordinairement présents en grand nombre et prêts à vendre leur mère pour se procurer de précieux billets leur permettant d'encourager follement leur CHicolore. D'autres revendeurs, plus réalistes, mettaient plutôt la faute sur les CanaCHiens eux-mêmes, un club poche, qui ne vaut plus de la marde, et ne fait donc plus monter les enchères pour les billets donnant le droit de les voir à l'oeuvre. Nous les anti-habs, ça fait près de vingt ans qu'on sait que le torCHon c'est un ramassis de restants en reconstruction perpétuelle... Que leur personnel assigné au recrutement est constitué de crétins. Que leur direction est pourrie. Cela a pris du temps pour que ça se vérifie sur le marché noir, mais c'est fait maintenant ! Le Caca n'attire plus que les pires bipolaires dans la masse des fefans hydrocéphales (têtes d'eau).
Oui, il fallait les voir ces cons dans les estrades, fous comme des balais car, non seulement leurs laissez-passer ne leur ont pas coûté chers, mais ils ont pu célébrer une rare victoire de leur bande de "losers". Un vrai cadeau de Noël en retard... Premier gain de leur "head coach" Cunneyworth et festin pour plusieurs joueurs des Habitants qui n'avaient pas marqué de but depuis belle lurette. Comme Cammalleri, un premier filet après dix matchs de famine. Comme Plekanec, qui n'a que trois buts à sa fiche dans les seize dernières rencontres. Comme Subban, qui déjoue le gardien adverse une fois à tous ses cent lancers à côté de la cible. Comme Lars Eller, qui a parti le bal pour la CHiasse en égalant le pointage 1 à 1 alors que sa gang était à court d'un homme (infériorité numérique). Sans doute, ses coéquipiers sur le banc se sont dits : si un nul comme Eller peut marquer, chacun de nous peut le faire aussi ! Ataboy ! C'était ça le plus amusant en écoutant la description du match d'hier à la télé. Chaque but était commenté en étant mis dans l'éclairage du contexte de la disette que traversait presque chaque marqueur du Caca. Fort révélateur de la saison de misère que connaissent les Canassons de MortYial !
La météo pouvait bien annoncer une tempête ! Pour que les Canailliens marquent six buts, une première cette saison, il fallait bien qu'il tombe de la marde. Et de la marde il y en a eu : pluie, neige, grésil, verglas... Une belle bouette ! Et il devait sûrement y avoir quelque chose d'anormal dans l'air pour qu'un joueur de la CHnoutte (Pacioretty, essayant de mettre un doigt dans l'oeil de Lee, photo ci-dessus) trouve le courage (ou la témérité) de se battre. On ne se souvenait même pas de la dernière fois où un CHieux avait jeté les gants autrement que pour feindre une blessure, se décrotter le nez ou se poignez le cul à deux mains. Dans le vestiaire après la joute, Pédé Subban avait la tête enflée comme une citrouille et il pavoisait parce qu'il avait enfin fait allumer la lumière rouge d'un autre but que le sien. Pourtant, en défensive, il a été à son égal coutumier : c'est-à-dire affreux. Notamment sur le but de Spezza, et sur bien d'autres jeux où il a donné le disque à l'adversaire. Dans ces cas-là, son tata Price ou un coéquipier ont sauvé les meubles, les Sens n'ont pu capitaliser sur l'erreur, ou Subban a été chanceux de s'en tirer sans mal. Pas de quoi s'afficher comme une super star en jouant le gars "cool" et au-dessus de ses affaires. Quel prétentieux ridicule !
Le plus drôle c'est qu'au début du troisième vingt, même avec une avance de trois buts pour le Cacad'CHien, les lèche-culs de RBS (le réseau de BS de la CHiure) avaient encore la chienne en songeant à la fâcheuse manie du club des Molson de s'effondrer en fin de partie. D'autant plus que les Sénateurs étaient revenus de l'arrière plusieurs fois cette saison durant le troisième engagement. La confiance était loin de régner chez les putes de la CHiasse... On peut le comprendre aisément ! Bon, mettons, les guenilloux en ont gagné une... Ça leur arrive parfois... La loi de la moyenne, sans doute (même si la "moyenne" n'est jamais forte chez les CHaudrons). Mais ça ne signifie pas qu'ils peuvent coller deux victoires de suite ! Ils l'ont fait très rarement durant la présente campagne. Ils peuvent très bien finir l'année 2011 en queue de poisson, en Floride, contre le Lightning et les Panthers ! Et en janvier, pas de chance : ils disputent huit de leur onze joutes au Centre PouBell. Là où ils jouent comme des pieds et gagnent un match sur trois... Le pire rendement à domicile de toute la Ligue Nationale... À ce train-là, le Caca sera éliminé à la fin du mois !
dimanche 25 décembre 2011
LE TEMPS DES DINDES PAS DE TÊTE EST ARRIVÉ : «HALTE-LÀ, HALTE-LÀ, HALTE-LÀ, LES CANADIENS, LES CANADIENS, HALTE-LÀ, HALTE-LÀ, HALTE-LÀ, LES CANADINDES SONT LÀ !
Bonjour c’est moi Monsieur Gauthier, (Bis) Est-ce que ça vous tente d’être choqués? (Bis) Est-ce que vous êtes des loosers? (Bis) Est-ce que vous êtes des fefans? (Bis) On vient d’en perdre 5 d’affilées! (Bis) Pis v’la Ottawa pis Tampa Bay (Bis) On se fait battre par n’importe qui Pis mes amis c’est pas fini! PK Sulbanc (Bis) – Martin Dehors (Bis) – Price sur le banc (Bis) – Tout l’monde dehors! Pis les journalistes qui disent: “C’t’un club de din-des din-des din-des, Tiens vl’a Gomez prend aussi Kaberle, Un club de din-des, din-des, din-des, Les Saintes dindes bleu-blanc-roug’, Oui je les emmerd’rai encor’ longtemps!” (BIS) La métropole est en émoi (Bis) Et à Québec, nous on festoie (Bis) Le club végète dans le sous-sol (Bis) Jacques-e Martin lui y ri-i-gole (Bis) Les défaites s’accumuuuuuuuulent Pis à chaque partie on nous encuuuule! PK Sulbanc (Bis) – Martin Dehors (Bis) – Price sur le banc (Bis) – Tout l’monde dehors! Et pis Randy lui qui nous dit: It’s turkey club-e, club-e, club-e shit Gauthier give me some forwards, It’s turkey club-e, club-e, club-e God damn turkeys of Montreal When the fuck will I win a game, When the fuck will I win a game, Plus tard on sera éliminé (Bis) Quelque part vers la mi-février (Bis) Nos partisans sont en joualvert (Bis) Pour oublier, y boivent d’la bière (Bis) La Molson passe de travers, pis le Centre Bell sera désert! PK Sulbanc (Bis) – Martin Dehors (Bis) – Price sur le banc (Bis) – Tout l’monde dehors! Pis les journalistes qui disent: “C’t’un club de din-des din-des din-des, Tiens vl’a Gomez prend aussi Kaberle, un club de din-des, din-des, din-des, les Saintes dindes bleu-blanc-roug’ “C’t’un club de din-des din-des din-des, Tiens vl’a Gomez prend aussi Kaberle, un club de din-des, din-des, din-des, les Saintes dindes bleu-blanc-roug’, oui je les emmerd’rai encor’ longtemps!” Oui je les emmerd’rai encor’ longteeeeeeemps! |
vendredi 23 décembre 2011
À PART DE LA HONTE IL N'Y A RIEN DANS LE BAS DE NOËL DES FEFANS DU CH
Le Cacanadien est en pleine débandade. À ses pauvres partisans cocus, comme présent pour Noël, le club des Molson a offert son pire match de l'année en s'inclinant 4-0 devant les Jets à Winnipeg. Hormis la honte, il n'y a rien dans le bas de Noël des fefans ! Les cadeaux ce sont plutôt les anti-habs qui les accumulent ces temps-ci au pied du sapin. Si Scary Price et ses coéquipiers ont fait des cadeaux dernièrement, c'est aux équipes adverses. Hier, le 3e but des Jets en était tout un. Sur le jeu, notre vieux chameau Hal Gill a pris toute une tasse de café dans sa zone pendant que deux autres CHieux étaient aux premières loges pour voir leur gardien se faire passer un sapin sous le bras droit. Une magnifique offrande du temps des fêtes enveloppées dans de papier luisant avec un ruban CHicolore dessus. Mathieu Darche a résumé la situation de son équipe de broches à foin en déclarant après la partie : «c'en est rendu une joke». Nous ici, ça fait longtemps qu'on le dit. C'est même la raison d'être de ce blogue. On aime s'amuser. Et quelle meilleure façon de le faire que de rire des CHaudrons de Mourial, les prêtres de la rondelle du "peuple à genoux" de la métropauvre ! Et ce n'est pas fini, le plus drôle est probablement à venir lorsque l'état-major du Caca démantèlera ce club de pique-pique, au cours des prochaines semaines. Se débarrasser de leur bois mort ? Les boss des bécosses CHicolores auront bien du mal à le faire. Aucun club ne voudra ramasser leurs deux de pique qui sous-performent tout en étant sur-payés... D'habitude, c'est la spécialité du torCHon de fouiller dans les poubelles pour ramasser les restants de tables des autres. Pas l'inverse... Les fefans vont se désâmer encore longtemps... Et nous, les anti-habs, on va se payer leur tête d'hydrocéphales dans tous les partys du temps des fêtes, cette année ! Qu'est-ce qu'on va se marrer de les voir boire comme des trous pour oublier les déboires de leur équipe de merde ! C'est le temps des Canadindes ! Dans les histoires qui se conteront pour rire autour du sapin de Noël cette année, ce ne sont pas des farces de newfies que l'on entendra, ce sont des jokes au sujet de Mourial et de ses vauriens de Cannes à CHiens. Quel bon temps nous aurons en trinquant aux insuccès de la CHiasse. Le paradis bien avant la fin de nos jours ! Le paradis maintenant ! Ha ! Ha ! Ha ! Et à Québec, lorsque nous récupérerons les Nordiques, notre SEULE ÉQUIPE NATIONALE FRANCOPHONE, l'ambiance dans notre nouvel amphithéâtre sera du tonnerre comme celle qui prévaut à Winnipeg. Ce sera à notre tour d'humilier Mourial et son minable club de pousseux de puck.
Au début de la présente saison, je me demandais quelles nouvelles façons les Habitants inventeraient pour perdre et nous faire rigoler. On en a vu une hier alors que la CHiasse a passé la moitié de la deuxième période en avantage numérique sans même menacer le filet des Jets. Durant un jeu de puissance de quatre minutes, ils ont lancé une fois au but (un tir de 103 pieds de Campoli !) alors que leurs opposants ont tiré trois fois sur Price en profitant de descentes à trois contre deux ou à deux contre un, même s'ils étaient à cours d'un homme ! Inimaginable ! Du jamais vu ! C'est vous dire à quel point les CHieux sont démoralisés, désorganisés, confus, dépourvus de talent et indifférents au sort de leur équipe. Une bande de perdants sans détermination, sans fierté, sans leaders. Aucun sentiment d'urgence face à leur situation périlleuse. Toute la planète Mourial était sans dessus dessous après l'annonce que Subban et Eller seraient relégués dans les estrades et ne seraient pas habillés pour la partie d'hier. Mais qu'est-ce que les fefans leur trouvent à ces deux joueurs inférieurs à la moyenne ? La propagande et le lavage de cerveaux qu'ils subissent année après année est-il si terrible que ça pour les aveugler à ce point ? Faut croire qu'ils sont des victimes consentantes des "mentalistes", des hypnotiseurs et des illusionnistes de l'organisation du Cacad'CHien. Vous croyez que Eller et P.K. étaient malheureux d'être punis et de ne pas jouer ? On les a aperçus en train de rire durant la rencontre. Scary Price, lui, ne se bidonnait pas. Livré à lui-même, se débattant comme il le pouvait pour éviter que le score monte à 7 ou 8 à zéro, il s'est précipité vers la sortie alors que s'égrenaient les dernières secondes au cadran. Il n'a même pas attendu la sirène finale ! Faut-il qu'il soit écoeuré ! Ha ! Ha ! Ha !
Une autre chose que les anti-habs avaient prévu, c'est que Tomas Kaberle ferait patate avec la CHnoutte. Gauthier est allé le chercher pour remettre en marche le jeu d'impuissance de ses canassons. Résultat : avant l'arrivée de Kaberle, l'attaque massive du CH était au 28e rang de la LNH avec un taux de réussite de 12,5 %. Après l'arrivée du sauveur portant le dossard no 22 : le power play est 29e avec un pourcentage de 12,3%. Et vous ne savez pas encore la meilleure ! Il paraît que la direction du torCHon songerait à ramener Bob Gainey dans un rôle plus actif (directeur général ou entraîneur, ou les deux !) au sein de l'équipe. Ce n'est pas une farce ! La rumeur court. S'il fallait... Mais rien n'est impossible avec le CH ! Qui vivra verra ! En attendant, je souhaite à tous mes lecteurs, un très joyeux Noël ! Les anti-habs sont garantis d'en avoir tout un ! Prenez un verre à ma santé ! Je ferai de même ! Yeahhhhhh !
jeudi 22 décembre 2011
APRÈS LE PRINTEMPS ARABE, L'HIVER FEFANS ?
Une autre émeute de fefans avec ça ? Pourtant, au début des années 2000, quand le Bleu, Blanc, Merde avait été vendu à un Américain (George Gillett), pas un mordu de la CHiasse n'avait été choqué. À la grande surprise de l'ancien président du torCHon Pierre Boivin, qui a confié plus tard, que c'est lors de cette vente du CH à un Yankee qu'il a été le plus stressé durant son long séjour à la tête de l'administration de l'équipe... Il craignait la réaction des médias et des partisans francophones des CHaudrons... Il est vrai que Gillett (un gars sans le sou qui avait fait faillite quelques années auparavant) s'était payé les Habs avec l'argent des contribuables, un prêt avantageux pour lui, consenti par le gouvernement provincial. Les fefans n'ont pas bronché non plus lorsqu'ils ont su que le DG de leurs ex-glorieux, Pierre Gauthier, est un fier résident du Vermont. Démontrant un manque de solidarité exemplaire envers son pays d'origine, Peter préfère payer moins de taxes et d'impôt en demeurant chez l'Oncle Sam. Les partisans de la Sainte Guenille n'ont pas non plus déclencher de tempête, ne serait-ce qu'une petite tempêtette dans un verre d'eau, en entendant Gauthier affirmer sans gêne, qu'à talent égal il ne se sentait pas obligé de choisir un joueur québécois plutôt qu'un étranger. Parmi les revendications du Mouvement Québec Français, on note aussi la demande faite aux autorités du CH de cesser de faire jouer de la musique d'ambiance anglophone durant les matchs au Centre PouBell. Diffuser des rigodons ou des chansons francophones pendant les parties ? Encore un moyen de décourager encore davantage les joueurs presque tous anglophones du Cacanadien d'accepter d'évoluer devant les fans bipolaires de la CHiasse, même en étant sur-payés...
Au plan hockey, rien de nouveau à signaler. Vous pouvez relire mon billet d'hier. C'est du pareil au même. Hier à Chicago, un effondrement en deuxième moitié de partie et P.K. Subban qui s'illustre encore par son jeu pathétique. Faut-il s'étonner de voir le torCHon ne jouer réellement que la moitié des matchs ? Non ! Parce que les CHaudrons n'ont que la moitié d'une équipe ! Au moins la moitié des défenseurs ne sont pas du calibre de la LNH. Et la moitié des joueurs d'avant ne sont pas assez grands, forts ou talentueux pour compétionner parmi les hommes du circuit Bettman... De moitié en moitié, si vous soustrayez les blessés (et ceux qui jouent blessés comme Cole) et ceux qui se poignent le beigne en attendant de changer d'organisation, il ne vous reste que le quart du quart d'un club normal et...beaucoup de bois mort ! Pauvres fefans ! Pauvre Cunneyworth ! L'hiver va leur paraître une éternité ! De toute façon, qui croyait vraiment que le torCHon gagnerait à Boston ou à Chicago ? Personne, même si les Hawks avaient joué une partie épuisante, la veille, à Pittsburgh. Ils n'ont eu besoin que de deux buts en 21 secondes en 2e période, pour écarter les CHieux de leur chemin. En 3e, la bande d'incapables de Mourial n'était plus là. Trois lancers au filet des Blackhawks défendu par le montréalais Crawford. Au sommaire de la joute, des 21 tirs de la CHnoutte, huit appartiennent à Pacioretty, dont un seul a été vraiment menaçant. Toujours rien de dangereux non plus venant du bâton de Mike Cammalleri. C'est pas des farces, on commence à le comparer à Scott Gomez !!! Ayoye ! Quant au peu fiable Chris Campoli, on a appris que la direction du Cacad'CHien chercherait déjà désespérément à l'échanger à un club dont les hommes de hockey sont aussi incompétents que ceux de Mourial. Pas facile à trouver, croyez-moi ! Si le club poCHe des Molson perd au moins trois des quatre derniers matchs à l'étranger lors de la période des fêtes, ça va brasser encore plus lors de la manif du 7 janvier dans la métropauvre moronréalaise.
Ce soir contre Winnipeg, ce ne sera pas de la tarte pour les CHieux. Les Jets se souviennent de leur défaite humiliante (5-1) contre le CHicolore lors de leur ouverture locale au mois d'octobre. Ils voudront se reprendre. Ils ont une excellente fiche de 6-1-1 chez eux en décembre (11-5-1 au total en 2011). Leur dossier au cours de leurs dix dernières parties et également fort reluisant : 6-3-1 contre 3-4-3 pour la CHarogne. Scary Price protégera la cage du bleu, blanc, merde. Ce qui n'est guère rassurant pour Cunneyworth et les fefans puisqu'il a perdu ses trois derniers matchs en allouant une moyenne de 4,08 buts par partie. En regardant un peu plus loin, vers la fin du voyage, les CHaudrons affronteront les Panthers de la Floride, qui ne sont plus une proie facile comme avant. Même de prochains rivaux comme les Sénateurs d'Ottawa jouent assez souvent du bon hockey par les temps qui courent. Peu importe l'adversaire ces jours-ci, les faibles Canailliens ne peuvent se permettre de le prendre à la légère... Avec la moitié du club qui est constitué de simples passagers qui rêvent d'aller voir ailleurs s'ils y sont, «y en aura pas de facile» comme disait Claude Ruel, un ancien entraîneur francophone du CH, dont la langue devenait bleue quand il enguirlandait ses joueurs après de mauvaises soirées...
mardi 20 décembre 2011
IL JOUE COMME UN TOTON : P.K. SUBBAN L'IDOLE DES ANTI-HABS !
On ne peut même plus compter le nombre de ses erreurs, de ses gaffes, de ses cafouillages, de ses bévues, de ses clowneries insignifiantes, de ses déclarations stupides, de ses conneries... Combien de défaites a-t-il coûtées aux CHaudrons de l'Île aux génies moronréalaise (la plus grande concentration mondiale de ti-jos connaissants au kilomètre carré) ? Combien de précieux points perdus au classement à cause de la machine à revirements no 76 du Caca ? Une quantité innombrable... Il y a deux ans et demie, l'organisation CHicolore claironnait que notre homme, le flamboyant et l'intarissable pie, P.K. Subban, était un joueur de franchise, un futur récipiendaire du trophée Norris, la 8e merveille du monde... Au lieu de ce Bobby Orr version 2.0, on nous a livré un joueur poche qui régresse de match en match, de saison en saison, de chutes en rechutes... Les anti-habs ont la chance extraordinaire de l'avoir pour pouvoir rire encore plus des échecs et des revers du torCHon. Cette chance est d'autant plus formidable que P.K. est adoré par les fefans puisqu'il est un des rares porte-couleurs de la CHiasse qui leur donne un spectacle, c'est-à-dire un certain "retour" sur le fort prix de leurs billets qui, sinon, seraient payés en pure perte... Cette énorme popularité de Subban empêche peut-être la direction de l'équipe de le retourner dans la Ligue Américaine ou de le recycler en placier, dans les gradins; ou en essuyeur de café renversé, sur la galerie de la presse... Oui, Piqué des vers Subban joue comme un toton. Pour cette raison, il mérite toute notre reconnaissance et peut-être même le titre de L'HOMME DE L'ANNÉE du site CH COMME DANS CHAUDRONS. Encore hier, à Boston, l'idole des anti-habs a été un des principaux artisans de la défaite du bleu, blanc, merde. Grippé, a-t-on appris avant la partie, il était encore plus faible que d'habitude. Faible de corps, et faible d'esprit (simplet)... Voulant mettre un peu trop de moutarde en levant une patte pour faire une passe par en-dessous à un coéquipier qui ne l'attendait pas, notre "hot-dog" national (-2) a plutôt passé le disque à l'ennemi, sur le but de Krejci. Des bévues semblables, il en commet à la tonne, sans mentionner les dizaines de fois où il perd l'homme qu'il doit couvrir, ou encore toutes les occasions où il se retrouve sur la glace, sur son gros cul... Il est vrai que, dans ces derniers cas, c'est souvent voulu de sa part ("diving" comme dirait monsieur l'unilingue anglophone Randy Cunneyworth). Bref, s'il n'y avait pas de Pitou Subban, il faudrait l'inventer ! Pour le plaisir des anti-habs ! C'est drôle, les journaliCHe-culs, à la solde de la CHarogne, ont arrêté de dire et d'écrire que Subban était un dieu sur patins... Maintenant, ils le critiquent parfois avec virulence. Nous ici, on a pas attendu aux calendes grecques pour voir clair et dénoncer cet autre prospect sur-évalué du Cacad'CHien. On l'a fait dès sa première saison sous la grande tente des brasseurs de pisse de Molson.
Hier, les Bruins se sont contentés de faire leur ouvrage. Pas besoin de trop se forcer pour se débarrasser des mouCHerons de MORTyal. On était loin du massacre de 6-0 de la saison passée. Un match où les éventuels champions de la Coupe Stanley s'étaient défaits de leurs complexes face à la CHiasse, en les écrasant aux points et avec leurs poings. Le match de l'année pour les anti-CH ! On s'en souviendra longtemps ! Un rêve ! Dommage que Lucic ait été suspendu pour la joute d'hier. Ce broyeur d'os de CHieux aurait ajouté au spectacle avec ses placages percutants et ses empoignades faisant sortir les ouïes de la tête de ses adversaires. À leur 22 dernières sorties, les Bostonnais ont mis en banque 39 points sur une possibilité de 44. Phénoménal ! Pendant ce temps, les CHaudrons ont chuté à neuf reprises, à leurs douze dernières stations sur leur épineux chemin de croix... Un vrai calvaire ! Et on en redemande de la torture de martyrs de la Sainte Guenille ! Surtout demain soir avec Peter Budaj dans les buts, contre les redoutables guerriers armés de tomahawks, des Blackhawks de Chicago. Avec les défaites qui s'accumulent comme la neige en hiver, la ferveur des jusqu'auboutistes fefans du Caca semble baisser à petit feu. Hier, au lieu d'être des milliers à polluer le TD Garden de Boston, ils n'étaient qu'une poignée (100 ou 150 colons, selon les calculs de certains observateurs) à faire rire d'eux par les braves partisans des Bruins. On ne sait toutefois pas si, comme les Bostonnais, ils ont hué Subban et se sont moqués eux aussi de Price en criant : "Caaaaaaarey, Caaaaaaarey, Caaaaaaarey" quand le gardien du torCHon a imité les maladresses de son chum P.K.. J'aurais aimé que le club de Claude Julien enfile une couple de buts pour décourager les Habitants et ainsi ouvrir possiblement les écluses, pendant l'avantage numérique de quatre minutes obtenu grâce à la punition décernée à Leblanc. Ce dernier avait coupé Patrice Bergeron au menton, avec un bâton trop élevé. En passant, le Québécois portant le no 37 pour les Bruins, a encore joué tout un match en défensive. Le meilleur attaquant défensif de la LNH, sans aucun doute...
Parlant de Québécois, David Desharnais a connu une soirée difficile. Notamment dans les cercles de mise au jeu où il a compilé une fiche atroce de 2 en 15 (13%). Il faut dire que Pacioretty, son compagnon de trio, ne l'aide pas (il a toujours aussi peur de Chara, voir photo ci-dessous). Il en arrache énormément depuis qu'il est revenu au jeu après sa suspension de trois matchs pour avoir cassé le nez de Kris Letang. Il se cherche. Comme si c'était lui qui avait subi une commotion cérébrale ! Erik Cole, l'autre membre du trio, n'a pas été efficace non plus, avant son but en toute fin de rencontre. C'est surtout parce qu'il a été très ralenti en première période quand Dennis Seidenberg l'a pincé d'aplomb. Un jour ou l'autre, Cole va tomber au combat... Il joue dangereusement... S'il faut que les CHieux le perde... Cunneyworth a continué de faire du trio de Plekanec son trio numéro 1. Le temps de glace du trio de Desharnais a donc été réduit. Le résultat est le même : le CHicolore marque entre zéro et deux buts par partie. Andrei Kostitsyn est entré dans le "dog house" du nouvel instructeur en chef de la CHiure. Il ne s'est traîné les patins que pendant onze minutes et demie sur la surface glacée du TD Garden. Lars Eller l'autre prodige annoncé par Pierre Gauthier, n'a pas impressionné Cunneyworth hier. Lui et le grand espoir des fefans, Louis Leblanc, n'ont presque pas joué en troisième période... À cause du but qu'il a marqué contre son ancienne gang, et à cause de la crise qui vire à l'envers la planète hockey de Mourial, vous pensez bien que l'ex-CHieux Benoît Pouliot avait le sourire facile après la joute. Disant se sentir bien, Pouliot a affirmé ne pas en revenir encore d'avoir la chance incroyable de jouer pour un club champion. Ce qui ne lui était encore jamais arrivé... Quel supplice aurait-il eu à endurer s'il était demeuré dans la métropauvre... Il peut bien rire !
L'histoire de la nomination d'un entraîneur unilingue anglophone chez les Mountreawl Americans (j'ai déjà écrit un article au sujet du fait que le CH n'est pas notre équipe nationale, c'est sur mon blogue JOURNAL INTIME D'UN ANTI-HABS EN FEU -voir ma liste de blogues à droite-, voir le lien de l'article dans la section des billets les plus lus, dans la marge de droite du site), a pris une tournure politique et raciale. Quelle bouffonnerie ! Qu'est-ce qu'on s'amuse à voir tout le monde s'empêtrer dans ce vaudeville ! Et Geoff Molson qui vient de condamner Cunneyworth à échouer en écrivant dans un communiqué qu'il était important que le "coach" des Habs sache s'exprimer en français. Ça signifie que Cunneyworth est là en attendant de lever les pieds à la fin de la saison (peut-être avant !). Quel message est-ce que ça envoie aux joueurs ? Pourquoi écouteraient-ils leur nouvel entraîneur ? Pourquoi se fendraient-ils en quatre pour lui, sachant qu'il n'est qu'un bouche-trou ? Ceux qui sont déjà paresseux de nature, vont dormir encore plus au gaz... Les gros salariés, qui ont des contrats à long terme, vont patiner sur des oeufs en ayant seulement pour but de ne faire que le minimum et, surtout, de protéger leur santé en évitant les blessures. Comme des rats, ils vont quitter le navire avant qu'il coule. Que restera-t-il de la formation du torCHon, pour tirer la charrette ? Quels joueurs auront pitié de l'infortuné Cunneyworth ? Une poignée de bouche-trous comme lui ! Ceux qui veulent sauver leur job. Ceux qui ne se fichent pas d'être échangés dans une vente de feu advenant une spirale descendante de plusieurs défaites consécutives qui va mettre les fefans en crise bipolaire...
Ils me font bien rigoler les fefans qui appellent au boycott de la camelote du CH pour punir Molson de son manque de respect à leur égard (c.f. instructeur unilingue anglophone). Comme si dans les vingt dernières années, ils n'avaient pas déjà promis cent fois de passer aux actes en buvant autre chose que de la bière Molson, et en déchirant leurs billets de saison... Des promesses d'ivrognes oui ! Il y a une liste d'attente (elle-même payante) de cinq ans pour les billets de saison. Comme les fefans ont la mémoire courte, et que le temps finit toujours par arranger les choses, Geoff Molson peut bien se cacher dans son bureau en attendant que la tempête passe. Il y a bien les joueursnalisssssssses qui s'énervent et qui crachent dans la soupe, trop contents d'avoir enfin de la copie après avoir souffert pendant plus de deux ans avec l'ennuyant Jacques Martin comme seule maigre denrée à se mettre sous la dent. Voyant tout ce déchaînement médiatique et cette folie collective; voyant ce guêpier et cet environnement malsain, est-ce que Patrick Roy sera vraiment intéressé à se retrouver comme aubergiste en chef dans cette auberge à cochons ?
dimanche 18 décembre 2011
LES CANAILLIENS ÉTOURDIS PAR LES DEVILS ET HUÉS PAR LES FEFANS: OUF ! CUNNEYWORTH PAS SORTI DU BOIS !
Avant la partie du torCHon contre les Devils hier soir, j'étais pompé pas à peu près. Pendant toute la journée, j'avais entendu à peu près tout le monde "blaster" Pierre Gauthier et descendre l'organisation des CHaudrons de Mourial. Même unanimité dans les écrits des analystes et des journalistes, un peu partout sur le web. C'était presque trop de "nourriture" et de jouissance pour les anti-habs. Toute la propagande CHieuse et tous les mensonges de ses dirigeants semblaient leur revenir en pleine face. Bref, ça faisait de l'eau au moulin pour les anti-CH. Du pep et de l'énergie à revendre ! Tout au long de ce match qui était crucial pour la CHiasse, j'étais super excité comme un fefan qui verrait (en rêve seulement, bien entendu) son club de nouilles remporter la Coupe Stanley. Ordinairement, je m'efforce d'être plus "cool" que ça. J'essaie de ne pas m'emporter comme les fefans bipolaires. Mais là, c'était plus fort que moi ! À lire et à entendre les commentaires de plusieurs autres anti-habs, je n'étais pas le seul à exulter en voyant le Caca se faire étourdir et battre par des Devils pratiquant un échec-avant superbe. Des Devils qui avaient des ailes et qui paraissaient plus frais et dispos que les pauvres Cannes à CHiens, même s'ils avaient joué la veille contre Dallas. Encore le CHicolore qui s'écroule en 3e période ! Scénario parfait et attendu ! Et la nouvelle de la réunion à huis clos entre les joueurs de la Guenille, après cette autre défaite humiliante, n'était pas de nature à me faire perdre ma bonne humeur. Au contraire ! Même que Randy Cunneyworth, le nouveau mentor du club des Molson, s'est quelque peu échappé en parlant d'un meeting pour régler certains conflits inter-personnels entre divers individus dans le vestiaire. Difficile de se prononcer à savoir si cette courte séance de lavage de linge sale en famille améliorera les choses ou si elle les empirera... Tout ce qu'on sait c'est que ça va encore plus mal qu'on le pensait.
Dès le début de la joute d'hier, le successeur de Jacques Martin a montré ses couleurs en envoyant dans la mêlée le trio de Plekanec au lieu de celui de Desharnais. Cunneyworth, en donnant plus de temps de glace aux mécontents (surtout Cammalleri et Plekanec), espérait sans doute qu'ils le récompenseraient en sortant de leur torpeur et de leur léthargie des dernières semaines. Les 3e et 4e trio ont aussi été plus utilisés, et les défenseurs ont davantage contribué à l'attaque. Mais c'est en défense que toute l'équipe a failli à la tâche. Durant la conférence de presse annonçant le congédiement de Martin et la nomination de Cunneyworth, Gauthier, et son nouvel homme de confiance derrière le banc, ont affirmé que le système de jeu du club ne changerait pas. Pour remettre l'équipe sur le chemin du succès, il suffisait seulement d'apporter les bons ajustements, de mieux transmettre les instructions aux joueurs, de mieux les préparer, de les responsabiliser, et de les motiver afin qu'ils exécutent correctement le plan de match. En travaillant comme il faut, en groupe; en se soutenant les uns les autres, on arriverait à relever le défi. Wow ! C'est ti-pas-beau ça ! Tout un programme ! C'est tellement simple ! Cunneyworth a avoué d'emblée, qu'il n'avait pas une grosse équipe et qu'il devait miser sur sa principale force qui est , selon lui, la vitesse (Allo Hal Gill !). En travaillant plus fort et en n'abandonnant jamais, il est possible de réussir, d'après lui. Ce n'est pas ce qu'on a vu hier contre New Jersey.
Si c'est vrai que Cunneyworth est un "players' coach", qu'il prend le parti des joueurs davantage que Martin le faisait, cela peut aussi bien se retourner contre lui. À vouloir faire plaisir à tout le monde en répartissant plus également le temps de glace, il risque aussi de leur laisser plus de "corde" pour se lancer à l'offensive. Or les porte-couleurs du torCHon n'ont pas le talent offensif pour rivaliser avec beaucoup d'équipes dans ce genre de fusillade en temps régulier. Le jeu ouvert, les montées à l'emporte pièce, c'est pas pour eux. Ils vont se faire brûler par l'adversaire, en contre-attaque. Les surnombres vont se multiplier contre eux. Depuis longtemps, la seule façon de s'en tirer pas trop mal chez les CHieux, c'est de pratiquer rigoureusement un anti-hockey qui étouffe les élans offensifs des clubs adverses. Un système défensif hermétique qui aide beaucoup le gardien Scary Price. Cette façon de jouer implique que les avants se replient et couvrent bien leurs opposants. Le problème c'est que le Caca n'a plus le personnel pour faire fonctionner cette trappe géante. Les défenseurs sont inexpérimentés (Subban, Diaz, Emelin, Weber), trop petits ou trop mous (Campoli, Kaberle) ou surtaxés (Gill, Gorges). Dans la métropauvre on s'ennuie beaucoup de la constance et de la fiabilité de Hamrlik, que Gauthier a laissé partir durant la saison morte. Les avants sont aussi trop petits ou trop lâches (Cammalleri, Kostitsyn) pour barrer efficacement le chemin des attaquants ennemis. Alors, peu importe, que l'on soit plus offensif ou plus défensif, on a pas les "chevaux" qu'il faut pour gagner assez de "courses". Un constat d'échec qui résume bien le travail mal fait du tandem Gauthier/Gainey... D'ailleurs, durant sa conférence de presse, le DG du CH et fier habitant du Vermont, n'a visiblement pas apprécié que le journaliste François Gagnon (La Presse) lui demande, à deux ou trois reprises, quelle part de responsabilité il s'attribuait dans les déboires actuels de l'équipe. Plus que ses réponses évasives à ce sujet, c'est l'air bête et les regards de travers de Gauthier qui ont exprimé ce qu'il pensait des questions de Gagnon.
La cerise sur le sundae dans cet affaissement collectif des CHaudrons, c'est la rage des fefans à propos de la nomination d'un entraîneur unilingue anglophone pour diriger leurs héros redevenus zéros. Ça n'empêchera pas Cunneyworth d'occuper son poste, mais ça risque de devenir la première cause de son congédiement éventuel si la CHiasse ne gagne pas. Gauthier a balayé cet argument du revers de la main en répliquant sèchement qu'une "langue ça s'apprend". Une autre belle couleuvre donnée à bouffer aux fefans. Si vous pensez que Cunneyworth va avoir le temps et la volonté de prendre des leçons de français, avec la grosse ouvrage qu'il a sur les bras, vous rêvez en technicolor. S'il avait eu besoin d'apprendre la langue de vipère, Cammalleri, le visage à deux faces qu'aucun club ne voulait à part le CH de Bob Gainey, aurait pu la lui enseigner un un rien de temps. Sans surprise et comme c'était le cas quand il s'alignait avec les Kings et les Flames ensuite, Cammy, la pomme pourrie, est au coeur du cancer qui mine l'atmosphère du vestiaire des CHieux. Comme capricieux, égoïste et langue sale, il ne se fait pas pire. Il va encore s'en brasser de la merde avec lui aux alentours ! À notre plus grand plaisir !
Par ailleurs, Brendan Shanahan, le préfet de discipline de la LNH, a annoncé que Erik Cole ne serait pas réprimandé pour son coup de coude à la tête de Larsson hier soir. Selon lui, le joueur des Devils se serait penché avant de se faire assommer. Ridicule ! Bof ! Passons sur cet autre jugement bizarre de Shanahan... Ce qui compte, c'est que le Caca connaisse un voyage désastreux à partir de lundi à Boston (dans des articles précédents, j'écrivais "mardi", c'est mon erreur, pardonnez-moi). Les CHieux ne retourneront pas au Centre BéBell avant le 4 janvier. De la façon qu'ils jouent à domicile, ça doit être un soulagement ! Et, comme c'est là, les fefans ne seront pas choqués de ne plus assister en direct à leurs défaites gênantes, et ce, pour un bon bout de temps. Des vacances quoi ! Mais ça ne dure jamais longtemps. Les drogués de la CHiasse iront la voir jouer partout où elle se produira au cours de ce périple de six parties à l'étranger, y compris en Floride, après Noël. Les matchs se succéderont assez rapidement et Cunneyworth n'aura pas beaucoup de temps de pratique pour apporter des changements et redresser la barque des CHaudrons. Une barque qui prend l'eau et qui donne sérieusement de la bande présentement... Elle risque de couler bientôt, sous les applaudissements et les cris de joie des anti-habs. On souhaite une agonie, lente, longue et pénible aux espoirs des fefans moronréalaids... "The agony of defeat" comme dirait l'instructeur unilingue anglophone des Mountreal Americans...
samedi 17 décembre 2011
CUNNEYWORTH REMPLACE MARTIN : SON MANDAT EST DE SAUVER LA SAISON ($$$) DU CH...
Le bonhomme 7 heures (Jacques Martin) avait fait son temps et il ne faisait plus peur à personne. Il a été remercié de ses services pour faire place à son adjoint Randy Cunneyworth à la barre des CHaudrons. Martin se sera acquitté de son mandat : rétablir l'ordre alors que les scandales rôdaient autour de plusieurs joueurs du torCHon. Il y a deux ans, lorsqu'il a été nommé entraîneur en chef du CHicolore, des histoires de viol, d'agressions sexuelles, de relations de joueurs avec des gens de la pègre, de beuveries, entachaient l'image de l'équipe. Avec un coach, Carbonneau, qui ne cessait de varloper publiquement sa bande de flancs mous et de sans coeur, ça prenait un air bête (Martin) qui parlait sans rien dire (du moins aux médias), afin de changer la situation et mettre un terme à cette indiscipline et à ce cirque cacophonique. Martin a fait le job en conduisant sa bande médiocre en séries éliminatoires durant son court règne à Mourial. Il a eu la bonne fortune de voir un Halak jouer au-dessus de sa tête en séries Stanley, il y a deux ans, pour mener son club à des résultats inespérés. Ça lui donnait une autre année de sursis comme pilote de la barque de la CHiasse. Une année qui s'est assez bien déroulée dans les circonstances. Mais le pire début de saison du CH depuis 1938 le condamnait à perdre son emploi cette année.
Comme le Caca faiblit toujours en seconde moitié de calendrier, et qu'il sauve habituellement sa peau grâce aux points de surplus accumulés avant le mois de janvier, la direction du club des Molson, voyait sa marge de manoeuvre diminuer considérablement à mesure que les insuccès se prolongeaient sur la patinoire. À l'approche du stade de la mi-saison on constatait qu'il n'y avait aucun coussin sur lequel s'asseoir dans l'espoir de participer aux séries éliminatoires. Objectif qu'il est essentiel d'atteindre pour engranger de meilleurs profits aux guichets. Martin ne faisait plus peur à personne dans le vestiaire, et des gars comme Cammalleri et Kostitsyn avaient hâte qu'il disparaisse. Kirk Muller parti, il n'était plus là pour agir comme agent de communication entre le coach et les joueurs. En plus, Martin a vraiment pris de mauvaises décisions depuis le début de la campagne 2011-12. Le club se dirigeait dans la mauvaise direction.
Bien entendu, Martin devait se débrouiller avec les joueurs que Gauthier et Gainey lui avaient fournis. Ses deux supérieurs sont ceux qui sont responsables des déboires sur la glace. Pourtant ils sont encore en place. Gauthier au 2e étage et Gainey, pas loin, dans l'ombre, dans son obscure rôle de conseiller spécial. Geoff Molson, le président et propriétaire majoritaire du club, a peut-être le nombril un peu vert pour oser faire le grand ménage au 2e étage. Il est encore en période d'apprentissage de ses nouvelles responsabilités administratives. Mais si les changements récents n'apportent pas les résultats escomptés, il n'aura pas le choix de sacrer dehors ses hommes de hockey, au terme de la saison. Comme dans n'importe laquelle "binerie" le client a toujours raison. Lorsque Molson entend les fefans huer au Centre PouBell, lorsqu'il voit des sièges vides, c'est le temps de réagir et de poser des gestes pour corriger la situation...
À court terme, Cunneyworth peut apporter de l'énergie, du leadership, de l'émotion afin de rassembler les joueurs et de les amener à fournir de meilleures performances. Les joueurs respectent souvent plus un entraîneur qui a déjà joué dans la LNH. Ancien capitaine des Sénateurs d'Ottawa, Cunneyworth est un "players' coach" dit-on. Il ne parle pas français, mais est-ce un problème si grave quand on sait que Montréal s'anglicise à une vitesse folle ? "Who cares ?" diront les fefans moronréalaids. Ils sont tellement drogués du torCHon, que tout ce qui compte pour eux c'est que leurs p'tits gars gagnent. Du reste, il y a longtemps qu'il n'y a pratiquement plus aucun francophone dans l'équipe. Maurice Richard peut bien se retourner dans sa tombe, personne n'en fera de cas... C'est peut-être triste, mais c'est comme ça... Du moins jusqu'au retour des Nordiques. À ce moment-là, le siège des patrons du CH pourrait devenir inconfortable...
vendredi 16 décembre 2011
LES CANACHIENS BATTUS À COUPS DE BÂTON PAR LES FLYERS : LEURS "BRAS MEURTRIS" ONT ÉCHAPPÉ LE FLAMBEAU !
Quelle belle équipe ! De la profondeur à revendre avec les Jagr (10 buts), Hartnell (15), Brière (9), Read (11), Voracek (5), van Riemsdyk (8), Talbot (9) et le solide Simmonds (9). Sans parler de leur excellente brigade défensive qui a limité les dégâts durant les nombreuses infériorités numériques, y compris un 3 contre 5 qui a duré près de deux minutes. Impressionnant ! Du sang froid, du talent, du savoir-faire, de la détermination : exemplaire ! Le vieux Jagr a beaucoup ralenti mais on apprécie le fait qu'il continue de tenter des jeux lorsqu'il est en possession de la rondelle, au lieu de la "dumper" tout le temps profondément derrière le filet adverse, comme presque tous les autres joueurs le font. Les Flyers pénétraient facilement en territoire moronréalaid et mettaient de la pression sur les Emelin (qui se fait contourner facilement quand il joue à droite), Kaberle (qui ne s'implique tellement pas physiquement qu'il pourrait jouer avec des oeufs dans ses culottes sans les casser), et Subban (simplement pourri dans toutes les phases du jeu) qui ont tous connu beaucoup d'ennuis. Souvent paniqués ils remettaient sans cesse le disque au "Orange Crush". C'était trop de politesse et de générosité. Les Flyers n'en demandaient pas tant. Les deux super héros des fefans, Subban et Price, ont d'ailleurs uni leurs efforts pour donner le but vainqueur aux visiteurs. Price a vu son dégagement être intercepté (comme ça lui arrive souvent) et P.K. a piqué du nez en cafouillant (comme il en a l'habitude) et en commettant lui aussi une bévue pour singer sur son tata Scary. Pour sa part, Michael "encule" Cammalleri (payé 6 millions de $ par saison et qui a toujours zéro but sur le power play) a enfin retrouvé le fond du filet (photo ci-dessus) mais aucun de ses sept lancers au but n'a fait de même ! Comme c'est le cas depuis une éternité, seul le trio de Desharnais a fonctionné. Mais les trois buts de la CHiasse ont été merdiques. Sur le filet de Desharnais, Bobrovsky n'a rien pu faire puisqu'il était empêtré dans pas moins de cinq joueurs cordés dans son demi-cercle. Sur celui de Leblanc, la rondelle a dévié sur un joueur avant de se retrouver directement sur la palette du jeune blanc bec des CHaudrons. Enfin, Cole a marqué avec sa jambe ou son patin et on cherche encore le disque resté coincé on ne sait où... Il s'agissait d'une 7e victoire consécutive pour Philadelphie, une 9e à leurs dix derniers matchs, et une 12e en 16 parties à l'étranger. Les CHieux peuvent seulement rêver à de telles séries victorieuses, eux qui ont toutes les misères du monde à coller deux gains d'affilée et qui n'ont gagné que cinq de leurs 17 joutes à domicile cette saison. Ils ne doivent leur salut (temporaire) qu'à des points de BS récoltés en perdant en prolongation ou en fusillade.
Ça criait fort chez les schizophréniques fefans à cause du but refusé à Plekanec en première période. Ils juraient tous durs comme fer que Cole n'avait pas pu nuire au gardien des Flyers sur ce jeu puisqu'il ne lui avait pas touché. La vidéo ci-dessus leur donne tort, comme d'habitude ! On voit que Cole recule dans Bobrovsky au point d'en perdre quasiment l'équilibre ! Non seulement il touche au gardien mais il gêne son travail à deux, sinon trois reprises, en entrant en contact avec lui avec son patin et sa main. La photo ci-dessous trahit aussi Cole. On le voit plaidant sa cause à l'arbitre...presque à cheval sur Bobrovsky ! Le but ne devait pas être accordé même si souvent on n'applique pas le règlement. Scary Price aurait bien voulu que le but de Zolnierczyk soit refusé pour les mêmes raisons, sauf que dans le cas du joueur des Flyers qui a gêné un peu le portier des CHieux, il a été poussé par un porte-couleur du bleu, blanc, merde (contrairement à Cole, sur le but refusé à Plekanec). Le degré de frustration de Price grandit à mesure que les défaites s'empilent à son dossier. On le voit fréquemment chiâler après les officiels après avoir été victimisé sur des buts pour lesquels il a pourtant une bonne part de responsabilité. La nouvelle maturité de Scary, disent en choeur ses coachs et les journalicheux de la métropauvre ? Laissez-moi rire ! Avant le début de la saison, j'écrivais ici que le sort du Cacanadien reposait surtout sur les épaules de Price. Pas très original, et facile de déduire cette vérité. L'an passé il a joué au-dessus de sa tête. Jusqu'à maintenant, en 2011-12, il est pas mal retourné à ses performances très ordinaires d'il y a deux ans. Que ça continue de la sorte et le torCHon va sombrer...
Entre les branches, des rumeurs se font de plus en plus persistantes concernant Scott Gomez. On chuchote qu'il serait en mesure de jouer mais que plus personne, du côté de la direction du CH ne veut le voir continuer à jeter le discrédit sur l'organisation de la Sainte Guenille en se traînant les patins sur la patinoire durant les matchs. Subban en est un autre qui devrait bientôt (si ce n'est déjà fait) exaspérer l'état-major CHicolore. On a beau lui répéter autant comme autant de ne pas lever son bâton jusqu'au plafond dans son élan arrière pour décocher des tirs frappés, il s'entête à faire constamment le contraire. Ses lancers revolent partout, sauf sur le but. Quelqu'un a même prédit qu'il finira par tuer une mouette à force de rater la cible par des kilomètres ! À moins que ce soit un coéquipier qui subisse une commotion cérébrale en recevant un de ses boulets dans le front ! Après chaque revers de leurs favoris, les fefans demandent le congédiement de Jacques Martin ! Moi, j'aimerais plutôt qu'il cesse de faire des points de presse ! Il répète toujours les mêmes âneries et cherche à se défiler quand des journalistes anglophones posent des questions pertinentes. D'ailleurs, hier, dans un article de la Montreal Gazette, on reprochait à la direction du torCHon de toujours essayer de cacher de l'information et de dissimuler la vérité (notamment dans le dossier Markov). À part Martin, qui ne dirait rien et ce serait pareil, seul Pierre Gauthier est autorisé à parler aux médias, et il le fait rarement. Les autres personnes dont les noms apparaissent dans l'organigramme de la CHnoutte, ont l'ordre de se fermer la gueule et de ne pas parler aux journalistes. Par exemple, seul Marc Denis, durant les matchs diffusés sur le réseau bull shit (ou RBS), semble avoir le droit de parler à l'assistant-entraîneur Randy Ladouceur. Ce dernier n'est pas accessible aux autres scribes, que ce soit avant, pendant et après les parties. Les têteux scribouilleurs francophones qui couvrent (littéralement) le CanaCHien acceptent cette situation sans rechigner. Ils sont bien domptés. Ils savent à quoi s'en tenir (c'est-à-dire vanter le CH quand il gagne; parler tout bas et poser des questions mielleuses quand il perd).
Le Caca accueille les Devils samedi soir au Centre PouBell. Les représentants du New Jersey auront joué la veille et seront donc plus fatigués que les Guenilloux. Qu'à cela ne tienne, ça ne veut pas dire que le torCHon va gagner ! Il est bien capable d'inventer une nouvelle façon de perdre ! Mais avec six matchs sur la route qui s'en viennent dans le temps des fêtes, à partir de mardi prochain à Boston, les Canailliens ont tout intérêt à tout faire pour engranger les deux points à l'enjeu samedi soir contre les Devils. C'est vrai que les citrons moronréalaids sont moins pitoyables lorsqu'ils évoluent à l'étranger, mais il s'agit néanmoins d'un voyage éreintant au cours duquel pourrait bien se jouer le sort de leur saison de misère...