jeudi 18 avril 2024



AUTRE SAISON DE MERDE POUR LE CANADIEN : HUGHES ET GORTON SATISFAITS MAIS PRUDENTS POUR LA PROCHAINE CAMPAGNE.


C'est un euphémisme de dire que la saison 2023-24 du Canadien de Montréal a été mauvaise et ennuyante.  Pourtant la direction bicéphale des CHaudrons pourris s'est dite satisfaite de cette autre campagne de plus de 50 défaites (52).  Seuls les pitoyables Sharks de San Jose (14) et les pauvres Blackhawks de Chicago (17) ont remporté moins de parties que les CHieux (20, au 30e rang) en temps réglementaire.

Comme l'an passé, les Canailliens finissent au 28e rang du classement général, et à la même position (28e) en ce qui a trait au différentiel de "buts pour" vs "buts contre" (-53), ainsi qu'en ce qui concerne leur faible efficacité en supériorité numérique (12,7 %).

Dans leur bilan de fin de saison, les directeurs-généraux Gorton et Hughes se disent encouragés par la progression de leurs jeunes joueurs et de l'équipe en général.  Ils ont aussi accordé l'extension prévue au contrat de leur coach Martin "pee wee" St-Louis (+ deux ans), qui fait partie, on le sait, de leur trio d'amis très proche.



Pour la campagne 2024-25, dans la logique de l'an "3" de leur plan de reconstruction de cinq ans, ils ne sont guère allés plus loin que de prédire que leur club de broches à foin devrait lutter pour une place en séries éliminatoires.  Sans rien garantir.  Loin de là...

S'ils sont satisfaits de la dernière saison, on doit constater qu'ils se contentent de bien peu.  Huit points de plus au classement attribuables à davantage de défaites en bris d'égalité.

Quelques rares points positifs avec une bonne saison offensive du capitaine Nick Suzuki (mais un dossier défensif de -14 et 63 revirements), et la progression de Juraj Slafkovsky, le tout premier choix du repêchage de 2022.  Le défenseur Mike Matheson a connu la saison de sa vie avec 62 points, mais son jeu défensif a été atroce, avec un différentiel de -24, et pas moins de 76 revirements commis.



Les déceptions ont été bien plus nombreuses.  Caufield n'a marqué que 28 fois, lui qui était vu comme un buteur d'au moins 40 filets par saison.  Il a au moins amélioré un peu sa défensive (-4 et 41 revirements).

Le premier trio Slafkovsky-Suzuki-Caufield a marqué 81 buts, c'est-à-dire 34,3 % des filets de leur club de tire-pois.  Seulement trois autres attaquants ont enregistré plus de dix buts (à part Monahan qui a été échangé) : Armia (17), Gallagher (16 buts mais un retentissant -24 dans les +/-) et Newhook (15).  Manque de profondeur criant en offensive !

On se fie sur le retour au jeu de Kirby Dach la saison prochaine pour obtenir du renfort, mais ce dernier ne fera pas assez de "miracles" (attendus de façon trop optimiste par la direction et les crétins de fefans) en offensive pour renverser la situation déplorable de l'attaque du Cacanadien.



Les prix citron 🍋 de l'année : Josh Anderson (neuf petits buts et un différentiel de -18 pour son salaire annuel de 5½ millions de $), Rafael Harvey-Pinard (2-8-10), Christian Dvorak (5-4-9) et Jesse Ylönen (4-4-8).  Les autres marginaux à l'attaque n'ont guère surpris par leur médiocrité, mais on s'y attendait.

Chez les gardiens, on a trop tardé à expédier Jake Allen sous d'autres cieux.  Il a eu le temps de tout gâcher pendant les 21 parties qu'il a passé devant la cage CHicolore : six victoires, quinze défaites, moyenne de 3,65 buts alloués par match, pourcentage d'arrêt de 89,2 %.

Son coéquipier Samuel Montembeault, gardien no 1 par défaut, a connu des hauts et des bas en gagnant seulement seize des 40 rencontres qu'il a commencées.  Sa moyenne de 3,14 et son pourcentage d'arrêts de .903 ne sont guère reluisants, mais la faiblesse du jeu défensif de ses coéquipiers peuvent expliquer partiellement ce rendement peu impressionnant.



Cayden Primeau a mieux fait que l'an passé mais il a subi la défaite dans treize des vingt-et-un match qu'il a débutés.  Mais, comme ses homologues du CH, il a dû faire face à beaucoup trop de lancers (moyenne de 33,4 par joute, le 3e plus haut total dans la LNH, derrière San Jose - 35,1 - et Columbus - 34,4 -).

Les gardiens du Gros CHiard ont très souvent été laissés à eux-mêmes, pour défendre le fort, sans aucune aide, ou avec la maladresse de leurs coéquipiers, poules pas de tête dans leur territoire. 

Je persiste à dire, (contrairement aux fefans du Caca qui voient plein de positif du côté des jeunes défenseurs de leur club pourri), que le torCHon n'est guère bien nanti à la ligne bleue.  Il faut porter des lunettes roses pour affirmer que les Kaiden Guhle, Jordan Harris, Justin Barron, Jonathan Kovacevic, ou Jayden Struble, sont ou seront des arrières fiables et très valables dans la grande Ligue.



Pour les autres, comme Lane Hutson et Logan Mailloux, que les fefans voient très gros dans leur soupe, on devra attendre pour savoir s'ils seront aussi bons qu'on semble déjà le prédire.

Les supporteurs de la Sainte Guenille fondent encore de grands espoirs pour obtenir des choix de repêchage fabuleux en juin prochain.  Et ils espèrent aussi que les dirigeants iront chercher au moins un bon attaquant, sur le marché des joueurs autonomes, ou en échangeant un des défenseurs en surplus dans leur alignement actuel (Harris ?), ou dont le contrat doit se terminer à la fin de la prochaine campagne (Savard, Kovacevic).

On le sait, avec des "si" on mettrait Paris en bouteille", mais en ce qui concerne le Caca d'CHien on est encore très loin de la Coupe (Stanley) aux lèvres, même dans les plus beaux rêves des fefans "avaleurs de couleuvres roses".

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vendredi 5 avril 2024


LE  CANADIEN  ÉLIMINÉ : LA  BALLOUNE  DE  CAUFIELD  DÉGONFLÉE... 


Les Anti-Habs sont en joie !  Pour la 31e année consécutive, le Cacanadien de MortYial ne pourra pas gagner la Coupe Stanley.  Et la 25e conquête de ce précieux trophée par ces minables CHaudrons risque d'attendre encore pour l'éternité !

Défaits et démolis 7 à 4 par le Lightning de Tampa Bay hier, au Centre PouBell, les CHieux ont été mathématiquement éliminés de la «course» aux séries éliminatoires puisque les Capitals de Washington vont affronter les Red Wings de Détroit d'ici la fin de la saison et qu'une des deux équipes est donc assurée d'amasser au moins 84 points.  Ces deux clubs ont également l'avantage sur les Canadindes au niveau du bris d'égalité.  Donc le CHiard est capout !



C'est donc à nouveau «échec et mat» pour la pitoyable troupe de l'entraîneur de pee wee Tintin St-Louis.  Cette élimination n'était qu'une formalité.  Je l'avais prédite après seulement le premier mois de la saison 2023-24 (https://chcommedanschaudrons.blogspot.com/2023/11/ch-deja-casse-apres-un-mois-prix-citron.html).

«Ce ne sont pas des funérailles, mais une célébration de la vie», a déclaré St-Louis après l'enterrement de ses faibles ouailles, hier.  Encore une déclaration farfelue de la part de l'improvisé coach des la CHnoutte.  Ça ne fait que s'ajouter à ses ridicules histoires de «chaises», de «boîtes», de la «différence entre un bébé et un enfant», «d'amener ta game dans la game», de «c' pas qu'est-ce que t'es capable de faire.  T'es-tu prête à faire les affaires là pour aller chercher qu'est-ce que t'é capable de faire, tsé».  Ayoye !  Quel triste clown !



Des stupidités et des incongruités dignes de son prédécesseur, l'incompétent, et «cerveau en omelette», Dominique "Dumb" Ducharme.  Tintin a insisté pour prétendre que son club pourri s'était amélioré cette saison.  Encore une «éclipse» de jugement de sa part.

Et une grossière fausseté dans le cas du supposé franc tireur du torCHon, le nain infirme Cole "Cold" Caufield, une amère déception pour les fefans, et les dirigeants des Habs-Not, qui l'ont payé $ 7 850 000 (première année d'un contrat de huit ans et $ 62 800 000) pour remplir les filets adverses, mais qui contemplent avec désarroi sa maigre fiche de 22 buts après 75 matchs.



Ce prétendu «top gun» qui devait scorer un minimum de 40 buts -certains disaient 50- par saison vient au 97e rang des buteurs de la LNH cette année.  Son pourcentage de succès par nombre de tirs au filet ?  Un anémique 7,8 %, «bon» pour la 446e position dans le circuit Bettman.  Wow !

Avant son but contre les Panthers de la Floride mardi passé (il n'avait pas marqué depuis le 16 mars), Cold était sur une vilaine séquence d'un but à ses dix-neuf dernières parties.  Depuis le match des étoiles au début de février, le «pocket rocket» revendiquait seulement quatre filets en 25 joutes.  Quel marqueur prolifique !



À force égale, Caufield n'avait fait secouer les cordages des cages adverses qu'à treize reprises.  Seulement une fois de plus que le dangereux Joel Armia...  Ce dernier l'a rattrapé hier avec ses deux buts contre les Bolts (les deux joueurs en ont maintenant quatorze).

Avec son épaule démolie l'an dernier -et la crainte qu'il se fasse démolir l'autre cette saison-, Caufield n'a tout simplement pas la force physique et le courage requis pour se placer dans l'enclave, ou près des filets ennemis, là où se compte la plupart des buts au hockey.

Et Caufield ne voit pas seulement sa saison foirer cette année.  Des témoins l'ont aussi vu foirer et se saouler dans des bars moronréalaids au cours de la présente campagne.  C'est sa nature, ou bien est-il en dépression ?!  Pathétique...

Pour prouver son assertion que son club de broches à foin s'est amélioré en 2022-23, Pee Wee St-Louis dit que ses pousseux de puck jouent mieux «sans la rondelle».  Revoilà donc le retour du langage des anciens coachs -et losers- Michel "t'es Rien" Therrien, et Claude "Nestor" Julien, pour défendre leurs nigauds «d'incapables offensifs».

Si c'est vrai, cela ne change pas les résultats sur le plan des victoires.  L'an passé, le Caca a fini avant-dernier dans la Conférence de l'Est, devant les Blue Jackets de Columbus, avec 31 victoires.  Cette saison il est à la même position, avec 29 gains.

C'est la désolation de l'abomination...  Et les fefans ont recommencé à huer leurs «p'tits gars». De la musique symphonique aux oreilles des Anti-Caca !  Comme disait Lucien Bouchard, en se faisant couper la jambe : «que l'on continue»...  

vendredi 29 mars 2024



UN HISTORIQUE DE REPÊCHAGE CATASTROPHIQUE POUR LE CANADIEN DE MONTRÉAL.


On l'a maintes fois répété ici, puisque le Canadien de Montréal ne peut attirer de bons joueurs autonomes pour raffistoler son alignement déficient, il doit se tourner vers le repêchage amateur pour espérer sélectionner de bons prospects afin de combler les faiblesses de sa formation.

Or, à travers les années, depuis l'instauration des repêchages amateurs de la Ligue Nationale de Hockey, en 1963, les CHaudrons se sont fourvoyés deux fois sur trois avec leurs choix de première ronde.  En effet, sur 80 joueurs repêchés aux tous premiers rangs, 52 ont été des "flops".  Ce qui est incroyablement mauvais comme taux d'échec !

On s'entend que ces sélections d'entrée initiales sont primordiales pour assurer un bon avenir, ou un bon renouvellement des forces, pour un club de hockey professionnel.  Sur 80 "prises" de ce genre par les CHieux, seulement cinq (6¼ %) ont connu du succès dans la grande Ligue avec le Caca : Guy Lafleur (premier choix au total, obtenu des Golden Seals de la Californie, en 1971, -le CH a quand même gâché la fin de sa carrière en le forçant à se retirer prématurément-); Steve Shutt (choix no 4 en 1972); Saku Koivu (choix no 21 en 1993); Carey Price (choix no 5 en 2005); et Max Pacioretty (choix no 22 en 2007).



À cette maigre récolte, on pourrait ajouter éventuellement Cole Caufield (choix no 15 en 2019) et Juraj Slafkovsky (choix no 1 en 2022, photo ci-dessus), mais le jury n'est pas encore décidé à savoir si ce seront de bons joueurs ou seulement des hockeyeurs "moyens".  Ils sont jeunes et ils doivent encore faire leurs preuves.

La sélection de Slafkovsky, au tout premier rang du repêchage d'il y a deux ans, a ramené de vieux -et douloureux- souvenirs de la dernière fois que les Habs-Not avaient pu parler en premier dans un encan amateur.  C'était en 1980 quand ils avaient jeté leur dévolu sur Doug Wickenheiser, à qui tous les recruteurs de la LNH prédisaient une carrière à la "Wayne Gretzky".

On connaît la suite, les dirigeants des Canailliens ont ruiné la carrière de Wickenheiser (photo ci-dessous) en le "cassant" comme ils le faisaient avec la grande majorité de leurs recrues, soit en les envoyant longtemps dans les mineures, soit en les faisant poirotter dans les estrades ("healthy scratch") comme ce fut le cas pour le jeune "Wick".



Si le prometteur prospect originaire de Régina a été un "flop" avec le CH, ce n'est pas de sa faute.  Ses patrons ont mis trop de pression sur lui et ils ont anéanti sa confiance en ne le faisant pas jouer la moitié du temps, à sa première saison sous la grande tente.  Je raconte cette histoire malheureuse sur mon site «Temple de la Honte du CH» (https://templedelahonteduch.blogspot.com/2024/03/doug-wickenheiser-au-tdlhdch-la-honte.html).

Le Gros CHiard a repêché six fois au premier rang.  Outre Lafleur, Slafkovsky et Wickenheiser, les directeurs généraux de la CHiasse ont sélectionné Garry Monahan (en 1963, un flop, zéro point en 14 parties), le gardien Michel Plasse (en 1968, un sybstitut médiocre qui n'a joué que 32 matchs avec la Sainte Guenille), et Réjean Houle (en 1969, surnommé "peanut" et renommé pour scorer seulement en rentrant dans le filet avec la rondelle !).

Plus grave, -ou loufoque !- onze (13 ¾ %) des premiers élus des repêchages des Cannes à CHiens n'ont même pas été assez bons pour jouer professionnel.  Quatorze autres (17 ½ %) n'ont été que quelques matchs en uniforme bleu, blanc, merde avant que l'organisation "démissionne" à leur sujet (comme Terry Ryan, photo ci-dessous).


Une vingtaine de recrues de première ronde (25 %) ont offert un rendement moyen aux Canailliens, ou leur ont rendus de bons services, sans être pour autant devenues les joueurs étoiles que leur haut rang de sélection laissait présager.

Des noms comme Pierre Bouchard, Marc Tardif (qui a plus tard fait défection en faveur des Nordiques de Québec), Mario Tremblay, Pierre Mondou, Bob Gainey, Mark Napier, Chris Higgins, Petr Svoboda, Shayne Corson, Andrei Kostitsyn, et Alex Galchenyuk n'ont pas été si vilains sur la glace, mais certains d'entre eux étaient des têtes folles qui ont eu des problèmes de comportement, ce qui a forcé le CH à s'en débarrasser...

Une demi-douzaine de jeunes recrues du Cacanadien ont épuisé rapidement la patience des dirigeants CHicolores et ont été échangées à d'autres clubs de la NHL.  Wickenheiser est du nombre (troqué aux Blues de St-Louis en 1983-84).  Mentionnons aussi le défenseur John Van Boxmeer, qui a connu de meilleurs jours avec les Sabres de Buffalo; tout comme Dave Gardner (Californie, Cleveland), et Tom Chorske (Devils, Senators, Islanders).



Repêché par les CHaudrons (choix no 22 en 2007), le défenseur Ryan McDonagh (photo ci-dessus) n'a jamais eu sa chance avec les ex-Glorieux.  Il a été échangé aux Rangers de New York durant la saison 2010-11 et il est devenu un des bons arrières de la Ligue Nationale.  

Même chose en ce qui concerne Mikhail Sergachev (choix no 9 en 2016) qui n'a disputé que quatre rencontres avec la CHiure avant d'aller gagner des Coupes Stanley avec le Lightning de Tampa Bay.  Les Bolts l'avaient obtenu en échange de Jonathan Drouin, ce qui a été une des pires transactions des CHieux, ces dernières années.

Andrew Cassels (choix no 17 en 1987) est un autre exemple parfait du niaisage que les Habs-Not font subir à leurs recrues.  Après l'avoir renvoyé à son club junior (67's d'Ottawa) en 1988-89, on lui a fait jouer six parties avec le grand club la saison suivante, avant de le rétrograder au club école du CH à Sherbrooke.


L'année d'après, il a été employé dans 55 matchs du Caca avant d'être expédié à Hartford, en 1992-93.  Il a ensuite eu une belle carrière avec les Wahlers, les Flames de Calgary, les Canucks de Vancouver et les Blue Jackets de Columbus.

Parmi les 52 flops ou échecs épouvantables des repêchages du Caca d'CHiens, voici quelques noms notables (et pas tout à fait inconnu) : 
  • Gord McTavish (choix no 15 en 1974), 
  • Norm Dupont (choix no 18 en 1977), 
  • Danny Geoffrion (choix no 8 en 1978), 
  • José Charbonneau (choix no 12 en 1985), 
  • Éric Charron (choix no 20 en 1988), 
  • Lindsay Vallis (choix no 13 en 1989), 
  • David Wilkie (choix no 20 en 1992), 
  • Brad Brown (choix no 18 en 1994), 
  • Terry Ryan (choix no 8 en 1995), 
  • Matt Higgins (choix no 18 en 1996), 
  • Jason Ward (choix no 11 en 1997), 
  • Éric Chouinard (choix no 16 en 1998), 
  • Marcel Hossa (choix no 16 en 2000, photo ci-dessous), 
  • Kyle Chipchura (choix no 18 en 2004), 
  • David Fischer (choix no 20 en 2006), 
  • Louis Leblanc (choix no 18 en 2009), 
  • Nikita Scherbak (choix no 26 en 2014), 
  • Noah Juulsen (choix no 26 en 2015) 
et j'en passe !!!



La période la plus noire pour les recruteurs du CHicolore s'est étendue de 1975 à 2001.  Pas moins de 28 choix de première ronde sur un total de 36 (78 %) ont été des échecs cuisants.  La décennie 2009-2019 n'a guère été meilleure avec des premières sélections navrantes comme Leblanc, Jarred Tinordi (choix no 22 en 2010, Nathan Beaulieu (choix no 17 en 2011), Michael McCarron (choix no 25 en 2013), Scherbak, Juulsen, Ryan Poehling (choix no 25 en 2017), et Jesperi Kotkaniemi (choix no 3 en 2018).

Les Canailliens ont aussi repêché des têtes folles ou des délinquants.  Le dernier en date : Logan Mailloux (choix no 31 en 2021).  Parmi les autres : Nathan Beaulieu, Alex Galchenyuk, Andrei Kostitsyn, Chris Higgins, et Shayne Corson, qui ont été mêlés à des histoires sordides, de boissons alcoolisées, de partys bordéliques, de drogues, ou d'inconduites sexuelles.

De quoi saper pour la peine le supposé (faux) prestige de cette organisation de broches à foin.  Pas surprenant, étant donné ce sombre bilan, que les CHaudrons aient sombré dans la dèche, dans les profondeurs abyssales du classement des clubs de la Ligue Nationale, depuis 30 ans...
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