samedi 26 juin 2021

LE CH EN FINALE : QUAND LES ZOMBIS PRENNENT LE DESSUS...



On les croyait morts mais ils sont revenus en zombis !  Des morts vivants semant la terreur et la désolation sur leur passage !

Oui on ne donnait pas cher de la peau des Canadiens de Montréal avant le début des présentes séries de la Coupe Stanley.  Entrés en éliminatoires par charité et grâce aux changements de divisions apportés par le COVID-19, ils ont exécuté à la perfection le plan de match des entraîneurs de l'équipe, et les voilà en finale pour la première fois en 28 ans.

Le plan en question n'était pas un secret.  Les adversaires du CH n'avaient pas besoin d'envoyer des espions aux sessions d'entraînement du tricolore pour le découvrir.  L'entraîneur en chef des Habs Dominique Ducharme s'en était ouvert d'entrée de jeu : réinventer le mythique système de la trappe (version 2.0) afin de priver de temps et d'espace des adversaires plus talentueux qu'eux.  En somme, enfermer les meilleurs joueurs adverses dans des camisoles de force.  Avec la complicité d'arbitres complaisants...


Il y a quelques années, craignant pour la popularité et le rendement de leur «produit hockey», les dirigeants de la Ligue Nationale avaient changé les règlements du jeu et les règles de l'arbitrage afin de libérer les joueurs de talent des entraves de ce malheureux et ennuyant système de la trappe, qui avait été copié par toutes les équipes à l'époque où il avait tant fait le succès des Devils du New Jersey de Lou Lamoriello (photo ci-dessus - trois Coupes Stanley).

Ces changements visaient, entre autres, à enrayer les composantes de la trappe : accrochages, obstructions, gestes pour retenir, cinglages, entraves en zone neutre, etc.  On a partiellement réglé le problème dans les matchs de saison régulière, mais, pour une raison inconnue, toutes ces belles améliorations s'éteignent en séries éliminatoires.  L'anti-hockey, les chasseurs trappeurs, les empêcheurs de tourner en rond, l'asphyxie générale, l'étouffoir collectif, la camisole de force, le patinage dans le ciment, reprennent le dessus.

Ce qui fait qu'un club poche comme le Canadien peut battre des clubs qui lui sont pourtant supérieurs sur papier ou durant la saison régulière.

Le bon hockey est déjà assez rare de nos jours avec le talent supérieur dilué à travers 31 clubs (bientôt 32 avec Seattle la saison prochaine).  On a du mal à former un bon trio offensif par équipe.  Lorsque l'on réussit à rassembler un ou deux de ces bonnes lignes d'attaque, les chances de réussites sont considérablement augmentées.  L'exemple parfait ce sont les champions actuels : le Lightning de Tampa Bay.  Bien sûr, pour gagner la Coupe il faut que ces attaquants talentueux obtiennent la coopération de bons joueurs de soutien, d'une défensive étanche et d'un gardien de but d'élite.

Mais comme on sait, il est relativement facile d'enseigner à des hockeyeurs comment bien jouer défensivement.  Le talent offensif, lui, ne s'enseigne pas.

Peut-on donner le crédit aux dirigeants du CH d'avoir bien préparé leurs joueurs à profiter des failles de l'arbitrage en séries, et en implantant cette efficace robotisation de la trappe version 2.0 ?  Non !  C'est trop triste pour les amateurs de beau hockey.  C'est tuer notre sport nationale avec cet endormant et sinistre spectacle.


Ils ne sont déjà pas si nombreux ces joueurs qui nous enchantent par leurs tours de force sur la patinoire : les McDavid, MacKinnon, Matthews, Marchand, Crosby, Pastrnak, Kucherov (photo ci-dessus), Stamkos, Barzal...  Laissez-les jouer !  Ne leur passer pas les menottes !  Puisqu'il le faut, agrandissez les patinoires aux dimensions de celles des jeux olympiques pour leur donner de l'espace pour exprimer leur talent.

Ce sont ces surdoués que l'on veut voir élever la qualité du jeu.  Pas des mornes geôliers comme Philip Danault ou Ben Chiarot qui mettent leurs adversaires dans les fers.

Dans son hymne à la beauté du monde, Luc Plamondon écrivait : «Ne tuons pas la beauté du monde».  Si le pitoyable Canadien de Montréal gagne la Coupe Stanley contre le talentueux club du Lightning de Tampa Bay, il aura tué à nouveau la beauté fragile du hockey qui tentait tant bien que mal de renaître ces dernières années.  Sa misérable version 2.0 de la trappe fera école et sera reprise par toutes les équipes de la Ligue qui vont espérer suivre leurs traces vers le succès. 

Parlant de beauté, j'ai entamé depuis quelques semaines un blogue sur ce sujet.  C'est assez étonnant ce que la beauté peut faire dans la vie.

https://wordpress.com/view/bellesetdominantes.wordpress.com   

jeudi 10 juin 2021

CANADIEN DE MONTRÉAL : ROI DE RIEN...

La seule Coupe que le CH peut gagner

Ça ne prend pas grand chose pour faire capoter les fefans arriérés mentaux du Cacanadien de Mouryial.  Même constat hallucinant chez les journaliCHieux moronsRéalaids, rongeux de balustre CHicolore.  Les titres des médias de la métropauvre d'Haïti Nord étaient dithyrambiques, lundi dernier, après que les CHaudrons aient éliminé les faibles Jets de Winnipeg : «Le Canadien roi du Nord», ou encore : «Le Canadien dans le carré d'as» et j'en passe.

Quant aux fefans euphoriques et fous comme des balais, c'est clair dans leur tête d'écervelé : c'est 1993 «all over again», faisant référence au miracle de Ste-Anne-de-Beaupré qui valut leur dernière Coupe Stanley à leurs "glorieux".

Rappelons que, comme cette année, le torCHon de cette époque lointaine n'avait rien d'un club champion.  C'était des «pousseux de puck», des pioCHeux, des pitons, mais des spécialistes de la trappe ou du hockey étouffoir (somnifère).

Affrontant les Nordiques de Québec, un club qui leur était bien supérieur, du moins sur papier, les CHaudrons avaient mal commencé la série.  Ils semblaient destinés à une élimination rapide.


Voyant venir la catastrophe, Jacques "popositif" Demers, l'entraîneur en chef des CHieux, se rendit compte que seule une intervention divine pouvait sauver sa bande d'incapables.

À Québec, où était rendue la série, le pieux Demers fit un détour par la basilique de Ste-Anne-de-Beaupré pour prier la grand-mère de Jésus de faire un miracle pour lui et ses joueurs.  On connaît la suite : ses jambons se transformèrent en champions, établissant au passage un miraculeux record de dix victoires consécutives en périodes de prolongation dans les séries de la Coupe Stanley.  Le record tient toujours...

Comble de chance ou de miracles, ce printemps-là, les meilleures équipes de la LNH s'étaient éliminées entre elles, laissant le chemin libre aux Canailliens vers le championnat.  Merci encore bonne Sainte-Anne !


Comme les choses peuvent vite changer.  Il y a quelques semaines à peine, alors que leur club de losers descendait en enfer, les fefans dépressifs, et les joueurnalistes mourialaids mécontents, demandaient unanimement la tête du directeur général Symphorien Bergevin et celle de l'insignifiant coach par intérim Dumb Ducharme.

Maintenant, après une participation non méritée à des séries éliminatoires «arrangées à la mode COVID-19», et après avoir franchi deux rondes éliminatoires, Bergevin et Ducharme sont passés de zéros pestilentiels à génies absolus !  Bipolaires les fous du CH, dites-vous ?

Après le balayage des impotents Jets, et les scènes «moronesques» et disgracieuses qui ont suivies dans les rues de Ville-la-Sale (voir mon récent article sur L'Anti-Habs Illimité : https://lantihabsillimite.blogspot.com/2021/06/la-police-anti-emeute-arrete-les-fefans.html ) on a vu Bergevin sauter de joie, et féliciter ses «ex-bons-à-rien-devenus-fabuleux» à grands coups de «High Five» (photo ci-dessus où Symphorien ressemble à un Père Noël avec son veston rouge et son masque faisant office de barbe blanche du bon vieillard).


Le bonheur de Bergevin s'explique.  Avec ces deux séries victorieuses inespérées, il vient de sauver son job et il peut déjà voir son contrat prolongé avec prime en surplus.  Même chose pour Ducharme qui a vu disparaître son étiquette de coach «par intérim», ce qui signifie qu'il n'a pas fini d'afficher sa face tordue par les grimaces, les tics nerveux, et les rictus (syndrome Gilles de la Tourette ?) lors de ses points de presse inintelligibles.

Évidemment, cette soudaine double rédemption des dirigeants du Cacad'CHien est une excellente nouvelle pour les Anti-Habs.  Leur incompétence est un gage d'échec pour leur formation de canards boiteux, dans un avenir prévisible.  Une situation de médiocrité qui promet pour les Anti-Habs moqueurs.

En attendant ces futures réjouissances anti-Caca, revenons au titre : «Le Canadien roi du Nord».  La division «Nord», l'inférieure nouvelle division canadienne à la sauce artificielle COVID-19, va vraisemblablement disparaître l'automne prochain.  La vaccination avancée va permettre à la LNH de revenir aux divisions pré-pandémie.


Des divisions normales qui auraient empêché le torCHon et les faibles Jets de Winnipeg de participer aux séries d'après saison.  Rappelons que l'équipe manitobaine a connu une saison aussi atroce que le CHiendent.  Ils ont failli terminer derrière le bleu, blanc, merde au classement de cette saison «irrégulière» marquée au fer rouge du coronavirus.

L'historique des Jets de Winnipeg dans la LNH est pitoyable : zéro championnat de division, zéro championnat de conférence, zéro Coupe Stanley, pas beaucoup de participations aux séries éliminatoires...  Alors, les Canailliens et leurs cinglés de fefans ont-ils raison de célébrer aussi euphoriquement leur victoire contre ces losers perpétuels ?  Non !  Absolument pas !  Leurs losers CHicolores ont simplement et stupidement gagné contre des losers encore pires qu'eux !

C'est du pareil au même en ce qui concerne leur réussite en première ronde contre les Maple Leafs de Toronto.  Ces derniers n'ont pas approché la Coupe Stanley depuis 54 ans.  Au fil des six dernières décennies, ils ont acquis une solide réputation de «chokers» même si ils ont eu de bonnes formations durant cette interminable disette.


Même les années où ils avaient un club prometteur et talentueux, les représentants de la Ville Reine ont toujours trouvé le moyen de s'effondrer en séries Stanley.  Ils en ont encore donné un exemple frappant ce printemps en laissant le torCHon revenir d'un déficit de 1-3 pour gagner la série 4-3.  De l'avis des porte-parole des infortunés Leafs, parmi les éliminations les plus douloureuses de l'équipe à travers sa longue histoire, c'est la plus cruelle et la pire.  Mais elle s'inscrit dans leur  tradition perdante des 54 dernières années.

D'autre part, c'est révélateur qu'aucune équipe canadienne n'a gagné la Coupe Stanley depuis les miraculés Cannes à CHiens de 1993.  Les clubs du «True North» ne font tout simplement pas le poids contre les formations américaines, et ce, depuis belle lurette.  Alors, le CH roi du Nord ?  Roi d'une contrée hockey médiocre ? Vraisemblablement...  Roi de pas grand chose en fait ?  Sûrement...  Roi de rien.  

Roi d'une faible division éphémère qui n'existe plus et qui n'aurait jamais existé sans le COVID-19.  Une division «infirme» et artificielle qui a permis au pire club depuis 2005 (le CH) d'obtenir un ticket spécial pour entrer dans le grand bal éliminatoire de ce printemps pandémique.

Et puis, «Le CH dans le carré d'as» ?  Dans le cas des Canailliens on devrait plutôt parler de «deux de pique» que d'as !  Dans leur carré de sable de pioCHeux, ce sont plutôt des «ass holes» !

Face à la folie CHicolore qui déferle sur le bidonville infect de MortYial, un homme a tenté de ramener sur terre cette foule de bipolaires exaltés.  C'est le capitaine des CHieux, CHié Weber, qui, pour la première fois dans sa longue carrière, accède au troisième tour des séries de la Coupe Stanley.  C'est dire que le vétéran en a vu d'autres.


Dans son commentaire d'après match, lundi, il a déclaré : «Pour être honnête, nous n'avons rien prouvé encore.  Ça ne signifie pas grand chose.  C'est un pas dans la bonne direction et nous allons de l'avant.  C'est un pas de plus vers notre but final, mais nous ne pouvons certainement pas être satisfaits.»

Voilà, ça "vient directement de la bouche du cheval".

Par ailleurs, si vous n'aimez pas les choses ternes et endormantes comme l'anti-hockey du CH, je vous suggère de lire l'histoire de la super actrice Cameron Diaz, une hyperactive au parcours formidable qui était à son mieux quand, avant chaque scène de film qu'elle tournait, le réalisateur criait : «5-4-3-2-1- Action !»

C'est sur mon blogue CHEERLEADERS ET STARS : https://cheerleadersetstars.blogspot.com/2021/06/lhyperactive-cameron-diaz-du.html    

mardi 1 juin 2021

SÉRIE MONTRÉAL VS WINNIPEG : LE CH VA GOÛTER À SA PROPRE MÉDECINE DU MARTEAU ATTENDRISSEUR...

Comme le dit si bien le légendaire coach des Patriots de la Nouvelle-Angleterre, Bill Belichick : «Ce n'est pas la meilleure équipe qui gagne, c'est celle qui joue le mieux».  Jouer mieux, ou jouer de la bonne façon pour vaincre l'adversaire : c'est le tour de force qu'a réussi le torCHon de Mourial, en première ronde des éliminatoires de la Coupe Stanley, contre les Maple Leafs de Toronto.  Il faut dire que ces derniers leur ont facilité la tâche en ne jouant pas leur meilleur hockey, et en ne sachant pas s'ajuster pour contrer la stratégie adverse.

En général, Toronto a eu le dessus sur les CHieux.  Quelques erreurs leur ont toutefois coûté la série.  Le deux contre zéro (but de Suzuki avec l'aide de Caufield), en prolongation, dans le match 5, est impardonnable.  Le manque d'opportunisme en prolongation, dans le match 6, alors qu'ils ont dominé totalement le jeu, fut également un fait saillant.  Le duo Marner-Matthews n'a pas livré la marchandise.

En examinant les statistiques de la série, aucune ne révèle la supériorité du torCHon, sauf une.  Devant les filets, Campbell a maintenu une moyenne de buts alloués de 1,81 contre 2,24 pour Price.  Le pourcentage d'arrêt est presque identique (.934 pour Campbell et .932 pour Scarey).  Au classement des gardiens en éliminatoires, Campbell est 4e et Scarey 8e.

Non.  La seule catégorie où le Caca a dominé c'est celle qui normalement cause leur perte : les mises en échec (294 contre 204 = + 44% en faveur des Canailliens).  C'était la clef du succès pour Mourial, comme le coach CHicolore Dumb Ducharme l'avait dit avant la série.  Être dans la face des Leafs.  Les frapper, les ralentir, les priver de temps et d'espace pour les empêcher de profiter leur supériorité en talent.

Un peu comme l'été passé.  Les CHieux ont vaincu Pittsburgh et leur talentueux duo Crosby-Malkin.  Les Penguins pensaient peut-être que leur supériorité en attaque les conduirait facilement vers la victoire.  Ils se sont fait surprendre par l'acharnement défensif du Caca.

Mais les Cannes à CHiens  n'ont pas eu la même chance contre Philadelphie dans la série suivante.  Les Flyers ont eu le meilleur avec la stratégie du marteau attendrisseur de viande.  Les CHieux ont été martelés de toutes parts.  Ainsi "attendris" comme de juteux steaks, ils ont été plus faciles à cuire, pour être ensuite dévorés à belles dents par leurs coriaces dépeceurs.


Un peu aussi comme les Buccaneers de Tampa Bay dans le dernier Super Bowl.  Les Chiefs de Kansas City, et leur super quart-arrière Patrick Mahomes, étaient supérieurs en attaque, mais la défensive des Bucs a gagné la guerre des tranchées pour renverser les champions de l'année précédente, qui étaient largement favoris pour répéter leurs exploits.  Après la partie, Mahomes, le corps meurtris par l'avalanche de coups qu'il avait reçus, a avoué qu'il n'avait jamais mangé une telle volée.   

Ce fut presque du copier-coller pour les CHaudrons contre le super trio de Auston Matthews, presque complètement neutralisé.  Même les petits schtroumfs de la CHiasse ont appliqué le plan de match anti-hockey de leur entraîneur en frappant rondement les porte-couleurs de la Ville-Reine.  

Mais ce qui saute aux yeux c'est surtout le nombre de "hits" donnés par les défenseurs du bleu, blanc, merde, comparé à celui des défenseurs des Leafs.  C'est un facteur-clé en zone défensive pour maîtriser les attaquants adverses, les fatiguer, les frustrer, les empêcher de saisir les retours de lancers; et pour protéger votre gardien des buts.

On ne comptabilise pas toutes les mises en échec.  Ce ne sont pas toujours de francs coups sur les opposants qui peuvent compter pour un "body check".  Un coup de bâton, un coup de poing, un "face wash", un coup de pied, ne se retrouvera pas dans les statistiques des mises en échec.  Mais c'est un coup quand même et ça "magane" l'ennemi.

Petry (26 hits, le même nombre que Josh Anderson, et deux de plus que Armia), Edmundson (21), Weber (21), Chiarot (19) ont fait mal aux joueurs de Toronto.  Voyez la différence chez les défenseurs des Leafs : Muzzin (16), Rielly (7), Bogosian (7), Brodie (5), Sandin (2).  C'est le cas de le dire : une différence frappante !  Dans une guerre d'usure, comme c'est souvent le cas en éliminatoires, c'est important !

On parle beaucoup du coup de genou (accidentel) de Corey Perry, qui a sorti de la série le capitaine John Tavares, dès le début du premier match.  Mais c'est la rude mise en échec de Chiarot qui a renversé Tavares et qui a provoqué l'accident avec Perry.  La perte de Tavares a été très coûteuse pour son équipe.  Dans des affrontements aussi serrés, il aurait pu faire la différence en faveur des siens.  C'est dire comment une grosse mise en échec peut parfois changer le cours de toute une série...

Les CHieux n'auront pas le même loisir contre leurs prochains rivaux : les Jets de Winnipeg.  Ceux-ci n'ont fait qu'une bouchée de la dangereuse attaque des Oilers d'Edmonton (menée par un certain Connor McDavid) qu'ils ont balayés en quatre matchs.  Les Jets ont un club plus lourd que Toronto.  Ils adorent frapper leurs rivaux.

Au chapitre des mises en échec, dans ces quatre affrontements contre les Oilers, les joueurs d'avant Adam Lowry (24), Mathieu Perreault (18), Trevor Lewis (17), et Blake Wheeler (15) se sont distingués.  Les défenseurs non plus n'ont pas donné leur place dans ce domaine : Neal Pionk (17), Josh Morrissey (16), Derek Forbort (14) et Logan Stanley (13) n'ont pas ménagé leurs adversaires.

Les Canailliens sont épuisés après leur dure série de sept parties contre Toronto.  Il n'auront aucun repos d'ici le début de leur série, demain, à Winnipeg.  Les Jets seront en santé, frais et dispos puisqu'ils n'ont pas joué depuis le 24 mai.  Et ils peuvent compter sur le meilleur gardien de buts en séries éliminatoires : Connor Hellebuyck (% d'arrêts de .950 et moyenne de buts alloués de 1,60).

C'est important que les Jets gagnent la première rencontre, tout en achevant physiquement les CHieux, déjà hypothéqués par leur longue et épuisante série contre les Leafs.