mardi 18 mai 2021

SÉRIE MONTRÉAL VS TORONTO : LES LEAFS PEUVENT GAGNER DE TOUTES LES FAÇONS...

J'ai entendu un sage dire récemment : «dans la vie, je me méfie de deux genres de personnes : les ignorants qui ne savent rien, et les jos connaissant qui pensent tout savoir».  Dans tout le «bla-bla-bla» des pseudo-connaisseurs-joueurnalistes-lèche-cul-des-Canadiens-de-Montréal-et-autres-fefans-hydrocéphales qui précède actuellement le début de la série éliminatoire (jeudi) entre le CH et les Maple Leafs de Toronto, il y a beaucoup de ces genres de personnes dangereusement ridicules...

Bien sûr, histoire d'établir des records de cotes d'écoute pour la retransmission des matchs de ce «choc» entre les belligérants de la plus grande rivalité canadienne au hockey professionnel, les membres des médias électroniques y mettent toute la gomme pour constituer un «build up» irrésistible.

Et pour arriver à reconstituer ou à raviver cette rivalité guerrière entre ces rivaux et leur ville respective, il faut bien réussir à faire croire à tout le monde que le Cacanadien a de bonnes chances de gagner cette série, malgré l'inégalité des forces en présence.

Peu importe que les représentants de la Ville Reine aient eu beaucoup de succès cette année contre les Guenilloux de la métropauvre québécoise.  Pour les journaliCHieux, ça ne compte pas.  Les éliminatoires c'est totalement différent.  C'est une autre saison...

Peu importe l'avis de presque tous les connaisseurs le moindrement objectifs qui voient bien la supériorité des Maple Leafs à toutes les positions et qui favorisent largement ceux-ci pour l'emporter.

Il se trouve toujours des cancres (comme le mange-marde Jean-Charles Lajoie, de TVA-Porcs, photo ci-dessus) pour ramener des arguments creux comme : la super vieille histoire fanée (qui remonte aux calendres grecques alors qu'aucun des joueurs actuels des deux clubs était né) des séries précédentes dans lesquelles les «Glorieux» CHicolores avaient triomphé.

Ou bien on rappelle malicieusement que les Leafs, ont croulé sous la pression des matchs éliminatoires ces dernières années et qu'ils sont disparus rapidement de la circulation même s'ils étaient favoris pour s'approcher de la Coupe Stanley.

Ils souffriraient d'un complexe d'infériorité devant les Habs...  Ces derniers auraient leur numéro.

Les Leafs, trop confiants, vont les prendre à la légère comme les Penguins de Pittsburgh, l'été dernier.

Le CH n'a pas été chanceux cette saison avec les blessures à plusieurs joueurs-clés.  Ces derniers vont revenir en force et vont causer la surprise des séries 2021.

Carey Price est tellement supérieur à son vis-à-vis des Leafs Frederik Andersen.  Et patati, et patata...  Un paquet d'arguments baignant dans la foutaise !

D'abord, bande de poires, c'est Jack Campbell (extraordinaire fiche de 17 victoires, cinq défaites -dont deux en bris d'égalité-, moyenne de buts alloués par match à 2,15 et taux d'arrêts à .921) qui défendra le but des Bleus. Pas l'inconstant Andersen (13-8-3 et .895), qui, comme Scarey Price, a toujours l'habitude d'accorder de mauvais buts, aux mauvais moments.  On sait qu'en séries, la performance des gardiens est encore plus importante.  Elle est primordiale pour toute équipe aspirant aux plus grands honneurs.  Cette année, avec Campbell, les Torontois ont enfin un cerbère qui peut les amener loin...

Le coach des Maple Leafs, Sheldon Keefe, n'est pas un endormi comme son homologue Dumb Ducharme, du Caca.  Les performances sensationnelles de Campbell (photo ci-dessous) cette année, comparées aux faibles prestations de Andersen, avant qu'il soit blessé en mi-saison, démontraient un contraste trop évident entre les deux gardiens.

Keefe devait donner le filet à Campbell, même si celui-ci n'a aucune expérience en éliminatoires de la Coupe Stanley.  À 29 ans, il n'est quand même pas une verte recrue non plus.  Il est solide, calme, confiant, en contrôle.  Et ses coéquipiers ont également confiance en lui...  Ça fait toute une différence !

Même si, comme le prétendent certains observateurs biaisés -et plus ou moins aveugles- Scarey Price pourrait relever son niveau de jeu en séries, comme l'été passé dans la ronde de qualification contre les Penguins, le mieux qu'il puisse faire, c'est d'égaler le brio de Campbell.  Peu importe l'opinion de ses admirateurs, qui l'ont toujours surévalué, Price n'apporte pas un avantage aux CHaudrons devant les buts, par rapport à son opposant des Maple Leafs.

L'autre grande différence du côté de Toronto, comparée aux années passées, c'est leur solide défensive (7e dans la Ligue cette saison, comparée à 25e l'an dernier).  Leurs défenseurs sont gros, physiques, tout en étant assez mobiles pour s'intégrer dans un système défensif global qui protège l'enclave en forçant les attaquants adverses à se tenir en périphérie, là où ils sont moins menaçants.  Ce qui facilite la tâche à leur gardien de buts.

Ils peuvent aussi relancer la contre-attaque en donnant la rondelle à des joueurs offensifs rapides et nettement plus talentueux que ceux des Cannes à CHiens.  Les Leafs ont ajouté de la profondeur et de l'expérience à cette machine offensive en faisant l'acquisition de Nick Foligno et de Riley Nash (qui fera ses débuts avec les Leafs après avoir guéri une blessure) durant la période des échanges.

En Auston Matthews (photo ci-dessous), Toronto peut compter sur le meilleur marqueur de la LNH.  Un luxe que les CHieux n'ont pas.  Matthews et son excellent compagnon de trio, Mitch Marner, vont célébrer le retour au jeu de Zach Hyman (photo ci-dessus), l'autre membre régulier de leur ligne d'attaque.  Hyman a raté les treize dernières parties de son équipe à cause d'une blessure au genou.  Le jeu de puissance des siens est tombé en panne en son absence.

L'entraîneur Sheldon Keefe a d'ailleurs révélé qu'en supériorité numérique, il pourrait utiliser deux unités formées de quatre attaquants et un défenseur.  Une formule qui avait été payante en première moitié de campagne.  Une puissance de frappe qui risque d'étourdir les pauvres Canailliens.

Dans leurs prévisions, certains analystes ignorants, ont avancé que le torCHon aurait l'avantage en ce qui concerne les unités spéciales.  Or, en séries, les arbitres ménagent leur sifflet et laissent passer beaucoup d'infractions.  C'est d'ailleurs sur ce point que les CHieux se fient pour accrocher et faire de l'obstruction.  C'est leur seule façon d'espérer neutraliser leurs opposants.  

Couper les lignes de passes et de lancers, bloquer des tirs, jouer la trappe, et attendre les erreurs ou les ouvertures que leur donneront peut-être leurs adversaires.  Autrement dit, un verrou défensif privant les Leafs de temps et d'espace pour profiter de leur supériorité offensive.  Si les CHaudrons ajoutent à ça un peu d'opportunisme en attaque et sur le jeu de puissance, ils pourraient peut-être gagner une ou deux parties dans cette série.  Si, bien entendu, les Leafs n'arrivent pas à se libérer de cette «camisole de force» CHicolore.

Mais c'est très improbable.  Cette année, avec les changements apportés à leur alignement par des dirigeants compétents (contrairement à ceux du CH); avec leur savant mélange de jeunes joueurs dynamiques, de vétérans aguerris (dont plusieurs en sont probablement à leur dernière chance de gagner une première Coupe Stanley -Thornton, Spezza, Simmonds-) et de talents offensifs et défensifs, les Torontois peuvent gagner des matchs de toutes les façons.

Que ce soit quand le jeu est serré comme en éliminatoires. Que ce soit en pratiquant un jeu défensif étanche.  Que ce soit en marquant beaucoup de buts quand le jeu est plus ouvert.  Que ce soit quand le jeu devient plus robuste, etc.

Pour profiter des rares occasions de marquer que pourraient leur offrir les Leafs, ça prend des joueurs talentueux capables de la «mettre dedans».  Les Habs n'en comptent pas tant, eux qui sont la pire équipe à participer aux séries depuis l'ère du plafond salarial en 2005, en ayant gagné seulement 42% de leurs matchs en saison régulière !  Même en échappées, ils ratent le filet !

En désavantage numérique, les pseudo-experts favorisant les CHieux, oublient également que les Leafs ont beaucoup amélioré leur sort récemment en faisant l'acquisition de Foligno et de Nash, deux spécialistes qui excellent dans ce rôle de «tueurs» de punitions.

Du bord du Cacanadien, on fait grand cas du retour au jeu de Brendan Gallagher, le coeur et l'âme de leur club de merde.  Mais il semble que la petite peste du CH ne serait pas remis à 100% de ses blessures.  Il pourrait tomber rapidement au combat...

À cause du genre de série que l'on prévoit, du jeu défensif à outrance, il est probable que Kotkaniemi et Caufield, très faibles dans cet aspect du jeu, ne seront pas «habillés» pour le premier match, jeudi.

En offensive, on sait aussi que Drouin est «out» pour cette saison.  Son apport offensif pourrait manquer aux siens.  Il avait développé une certaine chimie avec Suzuki, l'été passé, surtout dans la série contre Philadelphie.  Mais bof...

C'est certain que, comme l'an dernier, le Cacanadien voudra faire oublier sa saison de misère en surprenant un club adverse qui les prendrait à la légère.  Mais les Leafs ont vu ce qui était arrivé aux Penguins à l'été 2020.  Ils ne feront pas la même gaffe.  Seul un faux pas dans le premier match pourrait peut-être les faire douter et ébranler leur confiance.  Mais avec les nombreux vétérans qui sont dans leur formation, ils ne paniqueraient pas, en étant conscients des défis qui les attendent le long de leur difficile périple vers la Coupe Stanley.

Ils seront motivés, disciplinés et bien concentrés.  L'absence de spectateurs dans les estrades pourraient même les aider en ce sens.  On sait que les cinglés de fefans peuvent être intimidants dans leurs folles manifestations frisant l'hystérie.

Il ne faut pas négliger non plus l'avantage des Leafs derrière le banc.  Keefe est un as pour changer ses trios, ou ses combinaisons de joueurs, en s'adaptant au genre de match qu'il voit devant lui.  C'est tout le contraire pour son vis-à-vis Dumb Ducharme...

Les Maple Leafs sont prêts pour la guerre, si la rivalité avec les CHaudrons devient féroce à ce point-là.  Ils ont les guerriers pour la gagner.

L'esprit de frères d'armes les habitera pour s'unir aux vétérans (Joe Thornton, en particulier, un grand joueur qui, à 41 ans, a quitté San Jose pour Toronto, dans l'espoir d'aller enfin jusqu'au bout en séries) qui n'ont jamais bu dans la Coupe Stanley et pour qui c'est peut-être la dernière chance d'y arriver.  Les plus vieux vont tout donner sur la patinoire, et dans le vestiaire -leadership & expérience- afin d'atteindre leur but ultime.

Chacun de leur coéquipiers voudra les aider à réaliser ce que Raymond Bourque a réussi avec l'Avalanche du Colorado en 2001, à sa 22e saison dans la LNH : gagner enfin ce précieux trophée, le plus difficile à gagner de tous les trophées...

Bon, trêve de paroles et de prédictions !  Que la série commence !  Et que les meilleurs (Leafs) gagnent !

jeudi 13 mai 2021

SAISON 2021 DU CH : K.O. MAIS SAUVÉS PAR LA CLOCHE !

2021...  Une autre saison de hockey...  Une seconde saison de hockey marquée par le COVID-19, mais, ce qui n'a vraiment pas changé, c'est une autre saison de misère pour le Canadien de Montréal !

Si le Canadien de Montréal était un boxeur, et que sa saison 2021 équivalait à un combat de boxe, on pourrait affirmer qu'il était au tapis, K.O., au dernier round, mais que la cloche l'a sauvé, à la dernière seconde...

Oui, ils participeront aux séries éliminatoires (c'est toujours le but de la direction des CHieux avant chaque saison) mais de justesse, par la peau des fesses, par la porte du sous-sol, par défaut, par charité, par hasard...

Ce qui n'a pas changé, encore cette année, on le constate par la courbe du rendement du torCHon sur le graphique des statistiques avancées de la Ligue Nationale.  Une montée assez forte en début de campagne.  Une légère descente ensuite.  Une stabilisation.  Puis un effondrement total (sous zéro !) dans le dernier mois et demie...  Une chute vertigineuse et profonde !


Ça devait être ce genre de profondeur, vers les bas-fonds du classement, dont parlait Symphorien Bergevin, l'architecte en chef du Caca, après les changements qu'il avait fièrement apportés durant la saison morte, l'an passé...  Il disait avoir enfin ajouté ce qui manquait à son club : de la profondeur, en expérience.  Des gagnants qui avaient eu du succès ailleurs...  

Ouf !  Qu'est-ce qu'il s'est gouré (ça se voit avec son look de chien battu, sur la photo ci-dessus)!  Encore une autre promesse d'ivrogne !  De nouvelles couleuvres CHicolores à faire avaler aux infortunés fefans, après plus de huit ans à mentir comme boss des CHaudrons...  

Et la bonne nouvelle pour les Anti-Habs, c'est que le président incompétent des CHieux, Geoff "Off" Molson s'apprêterait à prolonger le contrat de Bergevaurien.  Et, par-dessus le marché, la rumeur veut que Symphorien garderait le cave Dumb Ducharme comme coach, sans intérim, cette fois.  Wow !  Super !  De quoi se réjouir pour beaucoup d'autres saisons de merde du CH !

En temps normal, sans COVID-19, les Canailliens auraient encore raté les séries de la Coupe Stanley.  Dans leur division d'avant-pandémie, ils auraient fait face à plus de compétition et ils auraient encore échoué lamentablement.  Ils ne doivent leur salut qu'à leur place dans la faible division Nord, composée uniquement de clubs canadiens, et ne comptant que sept formations (contre huit pour les autres sections).

De plus, le calendrier écourté de 56 matchs, au lieu des 82 habituels, a stoppé leur chute vertigineuse vers la cave du classement.  Les CHieux ont terminé la saison à genoux, avec cinq défaites d'affilée (quinze revers à leurs vingt-trois dernières parties).

S'ils seront du grand bal du printemps dans la LNH, les Guenilloux du bidonville montréalais doivent surtout remercier les Canucks de Vancouver, contre qui ils ont pu récolter quinze de leurs cinquante-neuf points au classement (six victoires, + trois points dans des défaites en bris d'égalité).

Les "Nucks" ont été l'une des pires déceptions en 2021 dans la NHL, en plus d'être très affectés par le coronavirus.  De plus, les Cannes à CHiens les ont affrontés souvent en début de campagne, quand ils jouaient comme des champions, et que les Canucks semblaient encore dans les boules à mites, au début de leur camp d'entraînement.

À part les Oilers d'Edmonton (fiche de 5-2-2 contre eux) le CHiendent a obtenu moins de succès contre les autres clubs de leur division.  Ils ont vraiment mal parus contre Calgary (3-6); Toronto (3-6-1); Winnipeg (3-3-3) et même Ottawa (4-4-2 avec 24 buts marqués contre 31 pour les Sens).  N'eut été du mauvais début de saison de ces derniers, ils auraient devancé les CHaudrons au classement.

Le fait saillant de cette autre saison poche du Caca, c'est leur dossier misérable dans leurs matchs en prolongation : onze défaites en quinze occasions.  En surtemps, à trois contre trois (avec beaucoup d'espace favorisant l'offensive), ou en tirs de barrage (favorisant les bons marqueurs), on a pu constater le manque de talent flagrant des CHieux, autant lorsqu'ils avaient la rondelle que lorsqu'ils ne l'avaient pas.  Ils ont été pitoyables.  Et c'est là qu'ils ont surtout fait mentir Bergevin au sujet de la supposée profondeur...

Le seul joueur du CHicolore qui peut se regarder dans le miroir sans rougir après cette saison de merde c'est le nouveau venu Tyler Toffoli (28-16-44).  Il a été l'unique porte-couleurs des CHaudrons à noircir régulièrement la feuille de pointage.  Remarquez que, comme c'est arrivé à d'autres avant lui, il pourrait bien avoir disputé sa seule bonne saison avec le club poche de la métropauvre.  Il pourrait vite "prendre le pli" de la culture perdante des CHieux, et s'éteindre pour de bon, dès la saison prochaine.

Tous les autres moins pires pointeurs des CHieux ont connu de longues disettes en attaque, que ce soit Jeff "dans le pétrin" Petry (constipé en seconde moitié de saison après un départ canon, et à qui les journaliche-culs et les fefans donnaient d'avance le trophée Norris) champion des revirements (75), Nick "le mini ado" Suzuki (invisible en milieu de saison), Josh Anderson (séquence de onze matchs sans marquer, fiche +/- de -10) ou Tomas Tatar, le meilleur pointeur de l'an passé, qui avait aussi de l'eau dans le gaz par grands bouts...

Et ces déconfitures n'étaient rien à côté de celles de Philip "dans le daleau" Danault (5 buts), Yes-Pourri Kotkaniemi (5 buts), et le démoralisé Jonathan "zouinzouin" Drouin (no 92 ci-dessus, 2 buts, pour un salaire de 5½ millions U.S. $, ça fait cher du but !).  Des désastres sur patins !  Pour ce qui est des déboires de Drouin, je les avais prédits dès son arrivée avec le Caca : https://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com/2017/06/jonathan-drouin-dans-leteignoir.html   

Les supposés piliers des Habs-Not, les Gallagher, Price, et Weber se sont également effondrés en 2021.  CHié Weber (6-13-19 avec fiche +/- de -4 et 53 revirements) a fini la campagne sur la liste des blessés (il est disparu curieusement après avoir rabroué un journaliste qui questionnait ses mauvaises performances).  Souvent pris à contre-pied (les patins dans le ciment), fréquemment en retard sur les jeux ou hors position, le capitaine des CHokeux est visiblement au bout du rouleau comme je l'expliquais déjà l'an dernier : https://chcommedanschaudrons.blogspot.com/2020/01/letoile-palissante-de-shea-weber.html   

Un de ses amis a même confié que Weber songeait sérieusement à prendre sa retraite cet été.

Scarey "Jesus" Price, le sauveur, le gardien imbattable de la forteresse CHicolore, a lui aussi failli à la tâche en 2021.  Comme c'est son habitude depuis un bon bout de temps.  Fragile, autant physiquement (il a encore été blessé) que mentalement, le 31 a prouvé qu'il y a deux gardiens substituts chez les Canailliens.  Lui et Jake Allen !

Les deux ont des statistiques aussi merdiques l'un que l'autre (moyenne de buts alloués par match de 2,64 pour Price -23e rang chez les portiers de la LNH-; 2,68 pour Allen -26e rang-; Pourcentage d'arrêts : Price au 43e rang avec .901; Allen est 32e avec .907).  Disons que les CHieux sont mal servis à la position la plus importante au hockey.

Enfin, en attaque, l'autre pilier du Caca, Brendan Gallagher, a raté les 21 derniers matchs des siens en raison d'une fracture à un pouce.  Rien d'étonnant avec le style de jeu qu'il préconise.  Condamné à un abonnement régulier à l'infirmerie...  Sans lui dans l'alignement, les Canadindes marquent généralement deux buts ou moins par match...

Les fefans et les vierges folles de journalistes de Morons-Ville se sont bien excités avec l'apparition du prodige «Tôle» Caufield (le Tom Pouce photographié ci-dessous).  La nouvelle souris-mini de la gent trotte-menu survivra-t-il en se frottant aux vrais hommes de la grande Ligue ?  Chaque collision avec un gros joueur adverse risque d'expédier ce poids plume dans les gradins ou... à l'hôpital !

Incapable de jouer en défensive (ne peut couvrir un joueur adverse avec ses 100 livres mouillées), ce nain de jardin coûtera plus de buts à sa bande de brochets qu'il pourra en marquer lui-même...

Rare point positif pour les CHaudrons cette année : il n'y avait pas de fefans au Centre PouBell pour les voir perdre et les huer !

Avant le début de la campagne 2021 du CH, de nombreux experts et journalistes-tartes de Montréal-le-dépotoir leur ont prédit le championnat de la division Nord.  Désillusionnés, maintenant, ils ne donnent pas cher de la peau des CHokeux en première ronde des séries Stanley contre les vrais champions de division, les Maple Leafs de Toronto.  Ils ont moins de chances de se tromper cette fois.

Seuls les plus cinglés fefanatiques du CH croient encore qu'il n'y a pas loin de la Coupe aux lèvres pour les Guenilloux ce printemps...