mercredi 31 octobre 2018

LE CANADIEN À L'IMAGE DU FRILEUX "TURTLE NECK" PLEKANEC...


Tout le monde a bien rien l'été dernier quand la seule prise du DG des CHaudrons, Symphorien Bergevin, sur le marché des agents libres, a été le revenant Tomas "Turtle Neck" Plekanec.  Évidemment, tous les agents libres de qualité n'ont même pas daigné regarder du côté de Mourial pour se trouver une place où aller jouer.  Tellement la mauvaise réputation de cette concession merdique est maintenant faite et refaite depuis un bon bout de temps.  Il n'y a que les hockeyeurs qui n'ont pas le choix, comme les joueurs recrues, les rejets des autres clubs, les canards boiteux finis et ceux qui ne sont bons qu'à remplir un chandail de nécessiteux, qui se bouchent le nez et acceptent à contre-coeur de se traîner les patins devant les foules de fefans de la métropauvre-bidonville-moronsréalaide.

Des foules de moins en moins nombreuses d'ailleurs, a-t-on fini par apprendre de la part de la direction des CHieux.  On ne joue plus à guichets fermés au Centre PouBell.  Ça on le savait déjà depuis belle lurette puisqu'on savait également que les gens de la CHiasse nous mentaient au sujet de la suite ininterrompue de salles combles dans leur repère de voleurs et d'exploiteurs.  Les fefans hydrocéphales sont durs de comprenure, mais auraient-ils enfin commencé à réaliser que les dirigeants de leur pitoyable club les prend pour des valises avec une grosse poignée dans le dos ?  Ou bien les pauvres fefans n'ont tout simplement plus les moyens de se payer un match du Caca au Centre PouBell à cause des prix exorbitants des billets, du stationnement, de la bière et autre camelote redondante.

Dire qu'autrefois, les grosses compagnies de la métropauvre, les politiciens véreux ou les gens de la mafia récompensaient les gens qu'ils voulaient remercier, corrompre ou acheter en leur donnant des billets pour assister aux parties du CanaCHien.  J'imagine que le truc ne fonctionne plus maintenant.  Le spectacle désolant offert par les lâches de Claude Julien intéresse de moins en moins le monde désabusé du bidonville de la mairesse Plante.

Oui, il y avait de quoi rire du retour de Plekanec avec les Cannes à CHiens.  Un geste désespéré, typique de l'organisation CHicolore qui doit se contenter de ramasser des vidanges pour boucher les trous de leur alignement pourri.  Avant d'être blessé, et après avoir été laissé de côté lors des premières rencontres de la saison, (pas assez bon pour percer le médiocre alignement des CHieux) Pleky a célébré son millième match dans la LNH, presque tous disputés avec le Caca, sauf un bref séjour l'an passé avec les Maple Leafs de Toronto.



À cette grandiose occasion, où cours d'une cérémonie d'avant-match pour honorer le 14 du CHiendent pour son exploit d'avoir été si longtemps dans la Ligue grâce à un club qui ne pouvait pas trouver mieux tout en le surpayant grassement (52 millions de $ durant son illustre carrière), tonton Geoff Molson et Symphorien Bergevin étaient présents au centre de la patinoire, revêtant ironiquement le col roulé orné du logo du CH, pour faire un clin d'oeil à la marque de commerce dérisoire de leur frileux joueur de centre hommagé...

Celui qui avait déjà déclaré, après un de ses innombrables matchs pitoyables, qu'il avait joué «comme une fillette», aura évolué dans une équipe à son image : médiocre, terne, frileuse, sur-évaluée...

Et c'est encore le cas cette année malgré les fefans excités qui sont dans l'allégresse à cause d'un assez bon début de campagne de leurs dieux en octobre.  Comme si la Coupe Stanley se gagnait en ce précoce mois d'automne...  Il faudrait qu'ils se calment.  Le torCHon n'est qu'en milieu de classement et il a déjà démontré les mêmes faiblesses qui l'ont souvent fait  régresser par le passé et qui causeront encore sa chute dans les prochaines semaines.

C'est toujours la même histoire.  Le seul espoir des Canailliens de ne pas connaître une saison lamentable c'est de se défoncer en début de campagne pour surprendre des clubs somnolents, qui n'ont pas encore pris leur élan au commencement du marathon qu'est le long calendrier de la LNH.



Mais déjà, même en si peu de temps et avec des succès relatifs, on a pu voir les carences et les fêlures des CHaudrons.  D'accord, les nouveaux venus ont assez bien fait.  Max Domi, Tomas Tatar et même Jonathan Drouin ont revigoré l'attaque mourialaise.  Mais c'est parce qu'ils n'ont pas encore eu le temps d'être éteints par l'atmosphère malsaine et étouffante qui règne dans la Sibérie du hockey.  Un bled sordide où les fefans sont cinglés et où les journaleux taches à marde vous emmerdent royalement !  Ce n'est qu'une question de temps avant que ces joueurs temporairement fringants étouffent, baissent les bras et capitulent comme le reste de leur gang d'enfoirés sur patins.

Pour battre les Canailliens, c'est toujours la même recette.  Soit qu'ils soient facilement surclassés au niveau talent (défaite au premier match, à Toronto); soit que leur faible attaque -y compris l'avantage numérique anémique- se bute à une bonne performance des gardiens adverses (défaites contre les Kings, les Sabres et les Stars); soit qu'ils affrontent un club affamé, qui travaille plus fort qu'eux (défaite à Buffalo); soit qu'ils soient impuissants contre des clubs formés de joueurs imposants physiquement (le torCHon est l'équipe la plus légère et la plus petite de toute la Ligue Nationale).

C'était particulièrement drôle de les voir s'effondrer lors de leur premier match à domicile contre Los Angeles (blanchis 3-0).  Les Kings sont à l'autre bout du spectre en étant la formation la plus grosse de la Ligue en ce qui a trait à la taille et au poids.  Il fallait voir les ridicules petits sCHtroumfs bleu, blanc, merde revoler ou se river le nez sur leurs rivaux californiens en tentant de les mettre en échec ou de leur enlever la rondelle.  Il fallait les voir tomber comme des fillettes lorsque leurs adversaires soufflaient un peu sur eux ou les effleuraient !  C'était d'un comique burlesque !  Et lorsqu'ils se faisaient prendre en sandwich dans les attroupements de joueurs devant le filet ou dans les coins de patinoire, c'était hilarant comme c'est pas possible !



Quelle jubilation hier de voir l'excellent Alexander Radulov se moquer des fefans et lever le nez sur les journalicheux frustrés de MortYial.  Un peu plus et Radu baissait ses culottes et montrait son cul pour manifester son mépris à cette bande de mange-marde.  La saison est encore bien jeune mais les Anti-Habs se bidonnent déjà jusqu'à en perdre le souffle et à s'en endolorir les côtes !