mercredi 29 août 2012
IL NE FAUT PAS SE FIER AUX APPARENCES : LE CACANADIEN EST DIRIGÉ PAR DES UNILINGUES ANGLOPHONES.
Est-ce que les Mountriawl Canadians, l'équipe de l'establishment anglophone de la métropauvre, craignent le retour des Nordiques de Québec ? À voir tous les changements apportés cet été à l'organigramme de l'administration des CHieux, on peut le croire. On a engagé énormément de Québécois francophones pour renouveler le personnel d'entraîneurs et faire le ménage dans une organisation qui a lamentablement échoué et qui a perdu presque tout son lustre au cours des dernières années. Depuis près de deux décennies, comme la ridicule et incompétente administration municipale de Mourial, le Cacad'CHien a été couvert de honte et s'est attiré les railleries des anti-habs à cause de multiples scandales (joueurs impliqués dans des histoires de viols, d'agressions sexuelles, de détournements de mineures, d'escortes et de beuveries), de son mauvais management, et de son acoquinement avec des individus malhonnêtes (notamment des fraudeurs à la direction de la boutique des souvenirs, et du Temple de la Renommée du Centre PouBell, etc).
Sous les apparences du nouveau visage francophone du club des Molson se cache une autre réalité. Avec leur hypocrisie habituelle et l'habileté qu'ils ont dans l'art de tromper les gens, les propriétaires des CHaudrons n'ont rien fait pour augmenter la présence francophone au sein de leur formation, lorsqu'elle retournera sur la patinoire, on ne sait trop quand. Les Américains, et dans une moindre mesure les Européens, sont en surnombre dans l'alignement CHicolore. Et avec les jeunes que la CHiasse a repêché ces dernières années, il en sera encore ainsi pour longtemps. Et aux postes de commande, les anglophones unilingues détiennent le vrai pouvoir, reléguant les Québécois à des rôles de subalternes, de laquais ou de seconds violons. Quand, après avoir retourné toutes les pierres du chemin et fait l'inventaire de tous les candidats disponibles, le vieux sénateur Serge Savard a fait croire en la trouvaille du siècle en présentant à la presse Marc "Symphorien" Bergevin, le nouveau directeur-général du club, tout le monde s'est interrogé sur le bien-fondé de cette décision douteuse. À croire que personne ne voulait de cette tâche titanesque de redonner de la décence à cette organisation décrépite et en fond de cale. Savard et le torCHon misaient donc sur un "no name" sans expérience pour rebâtir leur département hockey, redevenu la risée de toute la Ligue Nationale.
En fait, Bergevin ne savait tellement pas comment s'y prendre pour commencer à remplir sa mission impossible, qu'il a lancé un S.O.S. désespéré à son ancien "boss" (avec les Blackhawks) et ami Rick Dudley (à gauche sur la photo sous le titre), qui était encore sous contrat avec les Maple Leafs de Toronto. Même si Brian Burke, le DG des Leafs, ne voulait pas le laisser partir, Dudley a fini par se retrouver à MortYial, à condition de ne pas révéler les secrets qu'il détenait en prévision du repêchage qui se tenait dans les jours qui allaient suivre. Bergevin était revenu plusieurs fois à la charge afin d'obtenir la libération de son mentor. Et ce n'était pas pour rien. Le pauvre Symphorien était paniqué à l'idée de conduire le bateau du CanaCHien sans avoir de gouvernail à sa disposition. Selon ce qu'on a appris entre les branches, il ne faut pas se leurrer : le vrai gérant général de la CHiure est bel et bien Dudley. Bergevin n'est que son porte-parole et son porte-valises. Il paraît que Savard est resté estomaqué. Selon certaines sources d'information, il n'a pas apprécié le choix de Bergevin.
En nommant Scott Mellanby, (2e photo à partir du haut) un autre de ses chums, à la tête du département du développement des joueurs, Marc Bergevin s'est aussi assuré que son homme de confiance veillerait à ce que des sous-fifres comme Patrice Brisebois et Martin Lapointe -- dont les postes n'existaient pas avant leur nomination -- ne nuisent pas plus qu'ils vont l'aider dans le redressement de la situation pitoyable dans laquelle l'incompétent Trevor Timmins (photo ci-dessus) a laissé cet important domaine, si crucial dans les succès de tout club de hockey. Si Timmins a été un des rares anciens cadres de l'organisation à conserver son emploi, il ne faut pas sauter aux conclusions et penser qu'on l'a retenu à cause de ses excellents états de service. En fait, le recruteur en chef n'est plus qu'un simple exécutant puisque la nouvelle direction l'a dépouillé d'à peu près toutes ses responsabilités. En effet, il ne s'occupe plus du développement des jeunes qu'il a repêchés et, puisque la spécialité de Rick Dudley est de savoir repérer et recruter de bons joueurs juniors, c'est sûrement lui qui va avoir le dernier mot quand Timmins lui fera des suggestions lors des encans amateurs. Pour être honnête, la direction des Canassons devrait dire que Timmins en est presque réduit à un rôle de simple dépisteur...
Bref, pendant que Symphorien Bergevin, le clown "conteur de jokes de mon oncle", s'occupera de relations publiques en amusant les journaliche-culs à l'occasion de rencontres impromptues ou de conférences de presse arrangées avec le gars des vues; pendant que la foule des Québécois de service, nouvellement embauchés aux échelons inférieurs, fera semblant de sauver la "face francophone" de l'organisation en portant les valises de leurs patrons anglais; ces derniers, Rick Dudley et Scott Mellanby, seront aux commandes de l'appareil qui survolera la populace des fefans. Ça ne garantit en rien que cette machine volera bien haut, mais ça signifiera encore que les proprios du torCHon agissent sous de fausses représentations "francophones" afin d'éviter des manifestations -- pas bonnes pour l'image -- comme celle du printemps dernier, quand des nationaleux ont protesté publiquement contre la nomination du pauvre bouche-trou Randy Cunneyworth (un bloke) comme "head coach" des Mountriawl Americans.
mardi 21 août 2012
NOMINATION DE THERRIEN AU POSTE D'ENTRAÎNEUR : LES FANS ANGLOPHONES DU CANADIEN SONT CHOQUÉS ET DÉCOURAGÉS...
Je n'ai pas fait de recherche à ce sujet, mais, même si les Cannes à CHiens de MortYial se sont transformés en un club de CHaudrons au cours des dernières décennies, ils demeurent encore fort populaires dans le reste du Canada. Tellement et si follement aimés d'ailleurs, que, au total, ces CHieux doivent compter plus de partisans anglophones que de fefans francophones. Et, comme dans tous les autres domaines, ces deux catégories de supporteurs de la Sainte Guenille ne se comprennent pas. Au hockey comme pour tout le reste, anglos et francos représentent deux solitudes. C'est ainsi que la nomination de Michel "Éphrem" Therrien comme entraîneur-chef du Cacanadien a été accueilli assez différemment dans les deux communautés. Du côté des fefans, la nouvelle du retour de Therrien, pour un second séjour derrière le banc du bleu blanc merde, n'a pas nécessairement soulevé beaucoup d'enthousiasme, mais les "frogs" mordus de la CHiure se sont dits généralement d'accord pour qu'on lui donne une deuxième chance à la barre de l'équipe des Molson.
Chez les têtes carrées du Canada entier, l'annonce de l'embauche de Therrien a été reçue avec incompréhension, incrédulité et découragement. Pourquoi ramener cet idiot qui a été un des seuls instructeurs du CH à avoir eu le déshonneur de compiler une fiche perdante dans la longue histoire du club ? On a vite rappelé les vieux souvenirs qui sont à l'origine de la réputation ridicule du gros plein de soupe de Therrien. D'abord, on s'est souvenu de sa façon de s'habiller comme un clown, avec son fameux veston jaune (photo ci-dessus) et ses cravates mal assorties. Et puis on s'est rappelé la célèbre séquence où on le voyait faire le geste du "coupe-gorge" durant un match, alors qu'il dirigeait les Penguins de Pittsburgh. Enfin, on a revisionné sa crise de malade (c'est sur YouTube) au cours de laquelle il avait descendu ses joueurs publiquement, en point de presse, après une défaite de ses Pingouins. Peu de temps après, on le mettait à la porte. Avant d'être réengagé par le CHiendent après trois ans de purgatoire, Therrien n'était même pas venu près ou loin d'être pris en considération pour un poste d'entraîneur dans la LNH. Guy Carbonneau connaît présentement le même sort. Aucune organisation ne veut l'embaucher parce qu'il a eu lui aussi le tort de critiquer ses joueurs publiquement quand il dirigeait les jambons de Mourial.
Therrien affirme maintenant qu'il a eu sa leçon et qu'il a appris de ses erreurs. Il se présente comme un nouvel homme, un homme changé, plus sage, amélioré. Les anglos sont sceptiques. Ils croient que l'ancien Therrien, celui qui perd facilement la tête et le contrôle, quand ça va mal, reviendra rapidement sur le devant de la scène. Mais, d'autre part, il est assez stupéfiant de les entendre se demander pourquoi l'entraîneur-chef du Caca doit savoir s'exprimer dans la langue de Molière. Les canadiens anglais ne comprennent pas pourquoi le CHicolore se prive ainsi des meilleurs candidats au poste de coach. Faut-il rappeler que l'hiver passé, la nomination de l'unilingue anglophone Randy Cunneyworth, à la barre du club, a failli causé une émeute aux alentours du Centre PouBell ? Quand on parle des deux solitudes... Il est vrai que la longue association du torCHon avec les Molson en fait, dans les faits, le club de l'establishment anglais de Mountreal. D'où l'incompréhension des "red necks" de la métropauvre à l'endroit du fait français. Ils ont la certitude que le CHicolore leur appartient.
Chez les CHieux, plus ça change, plus c'est pareil. On se souvient qu'il y a deux ans, quand ils ont choisi Jacques "Dumbo" Martin pour mener les destinées de leur bande d'enfoirés, ils comptaient sur lui pour rétablir l'ordre et instaurer un régime disciplinaire, après la zizanie qui a marqué la fin du bref passage de Carbonneau derrière le banc. Un peu tout le monde disait que Martin était un entraîneur de transition, en attendant qu'un homme plus capable, comme Guy Boucher, prenne le club en charge. On a laissé filer ce dernier à Tampa Bay... Maintenant on dit la même chose de Therrien : il est là temporairement, en attendant d'être remplacé par Patrick Roy. Selon certaines sources d'information, Bob Hartley était l'homme que Symphorien Bergevin voulait comme pilote de sa formation. Mais Hartley a plutôt opté pour l'offre des Flames de Calgary. C'est ainsi que le gérant général des CHaudrons a dû se rabattre sur Therrien pour boucher le trou derrière le banc des joueurs et... oui, devinez quoi ? Pour rétablir la discipline autant sur la patinoire que dans le vestiaire.
À défaut d'améliorer leur groupe de vauriens par la voie des agents libres ou par celle du repêchage, les dirigeants des Canailliens ont donné le mandat à leur nouvel entraîneur de tirer le maximum du peu de talent qui est à sa disposition. Pour l'appuyer dans son rôle de "père fouettard" et de "presse-citrons", Therrien a choisi Gérard Gallant (ci-dessous, au milieu) comme entraîneur-adjoint. À eux deux, ils vont former le plus beau duo d'enragés et de "faces à claques" de la Ligue Nationale... Incidemment, le surnom de Gallant est "turkey" (dinde). Pas de farce, c'est vrai ! Dinde ! Quel beau surnom pour quelqu'un qui va entraîner un club de dindes !!! Ha ! Ha ! Ha !
Pour les analystes les mieux avisés, le style "tortionnaire" ou "coups-de-pied-au-cul" de Therrien et de Gallant est dépassé, dans la NHL d'aujourd'hui. Crier après les joueurs ou les humilier, c'est du "stuff de juniors" ou du fin fond des plus miteuses ligues mineures. En fait, les paris sont déjà ouverts en ce qui concerne la date à laquelle Therrien va être "remercié" une deuxième fois de ses services par la CHarogne. Certains gagent même qu'il ne durera même pas un an. Juste le temps de capoter et de perdre son vestiaire. Rappelons que les CHieux ont fait passer dix entraîneurs à l'abattoir au cours des dix-neuf dernières années. Pour les experts c'est clair : la nomination de Therrien signifie que les dirigeants du Cacanadien ont baissé les bras pour au moins deux autres saisons, en espérant qu'après la fin des gros contrats des joueurs engagés par le duo Gainey/Gauthier, les jeunes repêchés ces dernières années pourront prendre adéquatement la relève de cette bande de "losers".
Ce que les observateurs ont hâte de voir, c'est comment réagiront les joueurs quand on ressortira les vieux enregistrements des critiques de Therrien faites contre eux à l'émission l'Antichambre. Comment le nouveau pilote de la CHiasse pourra-t-il dire du bien de certains de ses poulains, après les avoir descendus publiquement sur les ondes du réseau Bull shit (RBS) ? Il va passer pour un hypocrite. Pour éviter cet écueil, on a vu Therrien préparer le terrain de la conciliation, en se faisant tout doux et tout miel à l'égard de ses anciens confrères journalistes, le jour de l'annonce de sa nomination. Il veut manifestement mettre les scribes de son côté en les flattant dans le sens du poil et en blaguant familièrement avec eux. On dit que Therrien déteste les joueurs qui sont paresseux ou/et qui ont la tête enflée. Beaux conflits à prévoir avec ceux qui ont ce profil parmi sa gang de deux de pique: Subban et Price en tête de liste ! On n'a pas fini de se marrer, chers amis anti-habs !
lundi 13 août 2012
LES FEFANS DU CH DEVRONT PAYER ENCORE PLUS CHER POUR VOIR PERDRE LEUR CLUB POCHE AU CENTRE BELL...
Plus souvent pour les huer que pour les acclamer, les fefans des CHaudrons de Moronréal devront débourser encore plus d'argent pour se payer des billets afin d'aller voir perdre le Bleu Blanc Merde au Centre PouBell au cours de la saison 2012-13. Si saison il y a, bien entendu, puisque le renouvellement de la convention collective, à temps pour octobre, est loin d'être une chose acquise présentement... Mais, d'un autre côté, (positif celui-là !) si saison il y a, les fefans pourraient bénéficier de billets gratuits, comme en fin de campagne le printemps passé. On se rappellera en effet qu'avec la fiche honteuse du torCHon en 2011-12, pas mal de détenteurs de billets ne se donnaient même plus la peine d'assister aux défaites des CHieux au repère de voleurs des Molson. Et même en offrant gratuitement leurs laissez-passer à des gens de leur famille ou à des amis, ils ne trouvaient pas preneurs. On appelle ça la misère ou...la déchéance totale ! Ne reculant devant aucun scrupule, la direction du Caca a donc décrété une hausse de 2,5 % du prix des billets pour la prochaine année de débandade de son club de dernière place, un club pourri bien installé dans la cave du classement des équipes de l'Est.
Évidemment, si les Molson avaient été obligés d'ajuster le prix des billets en fonction du rendement récent de leur équipe de poires, ils auraient dû manger leurs bas en 2012-13. Car l'an passé le torCHon a dégringolé à tous points de vue : une baisse de 19 % au chapitre des points au classement; une débarque de 30 % au niveau des victoires; un affaissement encore plus catastrophique de 33 % du côté des victoires à domicile; 2 % de moins en ce qui a trait à la production de buts, de la part d'une offensive qui était déjà anémique (avec un jeu de puissance parmi les plus faibles de la LNH); 8 % de plus de buts alloués (gracieuseté de Scary Price, le nouvel homme de 39 millions de dollars de la CHiure). La plus belle "crosse" dans cette augmentation des droits d'entrée aux matchs de la CHnoutte, c'est peut-être le fait troublant que rien n'est prévu, aucun remboursement, en cas de grève ou de lock-out dans la NHL, cet automne.
Il faut comprendre que les Molson et leurs associés ont besoin de revenus accrus après avoir dépensé sans compter au cours de la saison morte. Des contrats aux montants faramineux ont été consentis à des joueurs poches ou de second ordre. On a aussi engagé un méchant paquet d'entraîneurs et d'adjoints aux compétences plus ou moins douteuses. Sans oublier qu'il faut payer encore pendant un an ceux que l'on a congédiés et qui sont toujours sous contrat : Gauthier, Martin, Cunneyworth, Ladouceur, Pearn. Considérant leur clientèle comme une clientèle "captive", les Molson ne craignent pas de la perdre même en la "saignant" toujours davantage à chaque année. Nous ne sommes probablement pas loin du petit verre de bière Molson vendu $ 12 l'unité aux fefans. Le principal projet des propriétaires du CH, un club payé beaucoup trop cher il y a une couple d'années, n'est pas d'améliorer le produit sur la patinoire mais de bâtir au plus vite la tour de 48 étages de condos luxueux (534 unités entre 250 000 et 800 000 $ l'unité) sur la Place (ou, plutôt, à la place) du Centenaire, juste à côté du Centre PouBell. Les pauvres fefans qui avaient acheté les fameuses briques de cet espace public agrémenté de quatre statues de grands joueurs du passé (Béliveau, Lafleur, Richard et Morenz, si je ne me trompe pas) devront essayer de les retrouver dans l'immensité de cette tour enlaidie du logo du Caca à son sommet. Un logo que l'on devrait recolorer en vert, la couleur de l'argent, le vrai symbole des entreprises des Molson.
En attendant, pour la prochaine saison, le défi des CHaudrons sera de devenir possiblement la première équipe à défoncer le plafond salarial de 70 millions de dollars tout en finissant dans la cave du classement. Qu'est-ce que ce serait tordant ! Mais les Molson ne craignent nullement ce scénario puisque les idiots de fefans seront toujours là pour payer pour les pots cassés !