lundi 23 décembre 2013
JOYEUSES FÊTES AUX ANTI-HABS ET UNE TRÈS MAUVAISE ANNÉE 2014 AUX CACANADIENS !
Ici l'Anti-Habs Hacksaw Reynolds, en mon nom, ainsi qu'au nom de toute ma famille, je souhaite de très joyeuses fêtes à tous les Anti-Habs du monde entier ! Comme vous j'ai dressé ma liste de souhaits et de cadeaux au Père Noël :
* Une saison de golf hâtive aux joueurs et aux membres de l'organisation du CanaCHien de Moronréal;
* Puisqu'il a déjà déclaré qu'il jouait comme une fillette, Tomas Plekanec devrait recevoir une poupée pour Noël;
* Plus de temps libre pour moi, afin de me moquer encore plus des CHieux;
* Plein de défaites pour le torCHon après avoir perdu des avances au pointage (ça énerve énormément les fefans);
* Amplement d'anti-dépresseurs pour les fefans, histoire de les calmer et de ménager leur conjointe qui mange trop souvent des volées quand les CHaudrons perdent fréquemment;
* Des dentiers tout neufs et assez grands pour la grande gueule de P.K. Subban, car il en aura bien besoin quand Milan Lucic lui aura péter le mâche-patates, un de ces quatre;
* Une extinction de voix d'au moins quatre mois pour Pierre Houde, le chauvin descripteur des matchs de la Sainte Guenille, au Réseau Bullshit (RBS);
* Quelqu'un de fiable pour faire l'épicerie du Hobbit Scary Price;
* Un "full face" pour George Parros;
* Un jackstrap facial pour tenir ensemble le visage de Michel "Éphrem" Therrien, qui se décomposera de plus en plus avec les défaites qui s'accumuleront bientôt pour ses vauriens;
* Que Marc "Symphorien" Bergevin continue le travail de destruction du Cacad'CHien en allant chercher encore des Brière, des Parros et des Murray;
* Que Daniel Brière persiste dans sa peur des commotions cérébrales en jouant aussi mal que depuis le début de la saison;
* Qu'un adversaire rentre son bâton dans le cul de P.K. Subban quand celui-ci tentera de lui appliquer sa fameuse ruade (mise en échec avec le dos et le derrière);
* Que Price et Subban ne soient pas choisis dans l'équipe olympique canadienne afin qu'ils ne fassent pas honte au peuple canadien;
* Que plein d'autres joueurs non canadiens de la Sainte Flanelle soient sélectionnés par les autres équipes olympiques, afin qu'ils se blessent ou reviennent épuisés des Jeux;
* Que le préfet de discipline de la LNH oublie la commandite de 375 millions de $ de Molson, afin qu'il suspende aussi des joueurs du Caca (ex. Pacioretty et Emelin) pour des gestes condamnables;
* Que 2014 soit l'année de l'annonce du retour des Nordiques de Québec, pour que nous ayons enfin une équipe et des partisans de hockey qui ne nous feront pas honte comme les Cannes à CHiens étouffeurs de scandales, et leurs fefans bipolaires émeutiers;
* Que Gallagher se fasse planter plus souvent quand il se place devant les gardiens adverses;
* Que Pacioretty retourne en Italie;
* Que la moumoune au genou de porcelaine (Markov) retourne en Russie ou...sur la liste des blessés...pour y rester;
* Que les joueurs de la CHiasse mangent beaucoup de pâtés à la viande...avariée, durant le temps des Fêtes;
* Que les journaliCHeux qui couvrent le Cacanadien attrapent tous une gastro en lunchant sur le bras de la direction du CHicolore au Centre PouBell;
* Que les fraudeurs associés aux Canailliens (Boutique de souvenirs du Centre Bell et Temple de la Renommée du CH) soient enfin reconnus coupables par la justice, afin que le club des Molson soit embarrassé;
* Mon dernier voeu est impossible à réaliser mais, qu'au moins je voie cela en rêve : les écussons du club de hockey Canadien remplacés par une tête de dinde tricolore sur le chandail des joueurs de la CHnoutte...
Si vous avez des suggestions de souhaits ou de cadeaux à offrir aux Cacanadiens, n'hésitez pas à nous en faire part dans la section des commentaires !
mardi 17 décembre 2013
N'OFFREZ PLUS DE LUTINS DE NOËL À MICHEL THERRIEN, IL EN A DÉJÀ PLEIN !
À une semaine de Noël, il est grand temps d'acheter les cadeaux pour vos êtres chers, si ce n'est pas déjà fait. Parmi les journalistes-guidounes vendus au Cacanadien de Moronréal, les nombreux lèche-cul de l'entraîneur Michel "t'es-rien" Therrien, se bruniront encore davantage la langue en lui offrant un beau présent bien emballé, histoire de s'attirer des grâces supplémentaires de la part du torCHon, ou, du moins, pour continuer à luncher gratuitement sur la galerie de la presse du Centre BéBell. Peut-être seront-ils tentés de lui donner en cadeau ces fameux lutins de Noël (photo ci-dessus) qui font fureur au Québec depuis une couple d'années... Ce serait une erreur et du gaspillage car, des lutins, Éphrem Therrien en a déjà plein dans son alignement ! Et puis, pour mettre la main sur ces filous, il faut, d'après la légende, partir à la chasse pour les capturer. Ce que Symphorien Bergevin, et son prédécesseur au poste de DG des CHieux, Bob "l'empaillé" Gainey, ont amplement fait ces dernières années. Point besoin d'en rajouter ! La cour est pleine ! Ces lutins sont des petits monstres renommés pour jouer de mauvais tours et faire des coups pendables durant la nuit. Et, ces temps-ci, en effet, ils font rien que de la "marde" dans l'uniforme CHicolore.
Certes, les Cannes à CHiens sont encore installés au second rang de leur division, même s'ils ont subi trois fois la défaite dans leur quatre derniers matchs. Certes, ils ont une fiche récente de 5-3, mais c'est presque par miracle, tellement ils ont mal joué durant cette séquence. S'ils se sont maintenus à flot après une mauvaise passe au début de novembre, ils ont réussi à le faire au prix d'immenses sacrifices, notamment en pratiquant un jeu de camisole de force, axé sur la défensive et l'obstruction, et en bloquant une tonne de lancers (393, soit 92 de plus que le club qui arrive 2e dans ce domaine). De tels efforts, dignes de hockey de séries éliminatoires, ne peuvent durer longtemps. Ils en paient le prix maintenant. Les "p'tits gars" sont épuisés, selon "Toto" Therrien. En particulier, la gent "trotte-nenue" (les petites souris du Cacad'CHien), qui n'en peut plus de se garrocher partout pour empêcher l'adversaire de marquer. Les parties du CHiendent sont pénibles à regarder parce qu'il n'y a pas plus d'action ou de buts que dans des matchs de soccer. C'est devenu une vraie risée. Non seulement les CHieux ne marquent plus, mais ils ont de la difficulté à lancer au but. Au cours de leur présente période de sécheresse offensive, ils ne réussissent pratiquement plus à cadrer au moins dix tirs au but par période. Le désert...
C'est bien beau le système défensif de Therrien, mais si vous ne lancez pas au filet adverse, vous avez peu de chances de compter des buts, même contre six équipes, (sur les huit dernières que le CH a affrontées) faibles qui jouent pour une moyenne inférieure à .500. La CHiasse n'a surpassé le nombre total de tirs de ses opposants qu'en 14 occasions cette saison. Imaginez maintenant quel aurait été ce nombre si les CHicolorés n'avaient pas bloqué autant de lancers ! Contre les Panthers de la Floride, dimanche passé, les Canailliens n'ont réussi que deux lancers au filet, en 3e période, après avoir rétréci le score à 2-1 dans la 3e minute de jeu de cet engagement. Une piètre performance malgré des chances en avantages numériques (dont un jeu de puissance à 5 contre 3). Difficile de faire pire ! Sans le secours de son jeu de puissance (un but à ses 19 derniers avantages numériques) le Caca est perdu !
Comme la saison dernière, on remarque que le torCHon a évité le pire jusqu'ici en enregistrant la moitié de ses victoires contre les clubs de la division Metropolitan, la section la plus faible de la LNH. Contre les formations de leur propre division, les bull-CHitteux n'ont joué que huit fois et ils ont compilé une fiche modeste de 4-3-1. Ça ne regarde pas bien pour les vauriens de Therrien car leurs ennemis se sont ajustés à eux. Ils savent que les moteurs de l'attaque du Caca sont Subban et Markov, (surtout en supériorité numérique), et ils s'arrangent désormais pour les neutraliser. En décembre, Subban a deux aides. Depuis le 27 novembre, Markov, le général d'opérette, revendique aussi deux assistances seulement. Au cours des sept dernières rencontres, ces deux-là n'ont qu'un point chacun... En fait, plus rien ne fonctionne à l'attaque, à part Galchenyuk. Ses jeunes jambes de 19 ans semblent les seules qui ne sont pas fatiguées chez les CHaudrons de Haïti Nord. Il faut dire qu'il y a beaucoup de vieux pitons parmi ses coéquipiers. Ils n'arrivent plus à avancer et Therrien ne peut les fouetter davantage. Remarquez que ce calendrier compressé, à cause des Jeux Olympiques, est le même pour tous les clubs de la Ligue Nationale. Therrien affirme qu'il ne peut plus presser davantage le citron. Dire que son club est un citron, voilà qui est un résumé parfait de ce qu'est sa formation composée de deux de pique !
Les plus récentes acquisitions de Bergevin sont des fiascos. On songe maintenant à sortir le lutin Daniel Brière de l'alignement parce qu'il nuit plus qu'il n'aide à son équipe, lui que les Flyers ont racheté parce qu'ils savaient qu'il était fini. Bergevin lui a consenti 4 millions de $ par saison parce qu'il s'attendait à ce qu'il produise en supériorité numérique. Or, Brière a trois points cette année, sur le jeu de puissance du Caca. Et, en défensive, c'est une hypothèque. Il est -2 au chapitre des plus et des moins, et Therrien le relègue sur le 4e trio quand les CHieux doivent protéger une faible avance (le CH gagne d'ailleurs rarement plus que par un maigre but). Le coach le remplace alors par Moen sur sa ligne offensive. Le lutin Brière affiche un dossier peu reluisant de...un point dans ses huit dernières parties. Ayoye ! La petite peste Brendan Gallagher est encore plus pourri puisqu'il n'a qu'une aide à ses dix derniers matchs. Cet autre lutin est maintenant mieux surveillé par ses adversaires lorsqu'il essaie de se planter devant la cage ennemie (2e photo ci-dessus). Encore là, les autres équipes se sont ajustées. Et on a vu un Gallagher très frustré quand il a attaqué le gardien des Flyers l'autre jour, au son de la sirène qui annonçait la défaite de son groupe de pousseux de puck, à Philadelphie. Il n'arrive plus à être la bougie d'allumage qu'il était à son année recrue, l'hiver passé.
Même si le Cacanadien n'accorde pas beaucoup de buts à ses adversaires, tout n'est pas rose en défensive. Therrien ne fait plus jouer Bouillon. Celui-ci était rendu à -12 dans le département des plus et des moins. On l'a remplacé par une autre mauvaise acquisition de Bergevin, le très lent Douglas Murray... Faut vraiment être mal pris... Le désespoir... Au moins Murray frappe ses adversaires, ce que ne font pas ni Mark"sof", ni Diaz. Ce dernier (voir 3e photo) semble jouer avec un vase de porcelaine sur la tête... Sensible à l'oeil, fragile au vent... Quant à Gorges et à Emelin, ils peinent souvent à sortir le disque de leur territoire. Parlant de Emelin, les pseudo-experts de l'Ostie de CHambre, à RBS, étaient convaincus qu'il serait suspendu deux ou trois matchs après son coup de coude à Downie l'autre jour à Philadelphie. Avec images à l'appui, on en était venu à cette conclusion après avoir comparé son geste dangereux à des infractions semblables survenue à travers la Ligue. C'était sans compter les bénéfices marginaux de la commandite de 375 millions de $ unissant la LNH à Molson. Emelin n'a pas été inquiété, tout comme Pacioretty qui a récemment commis des atrocités encore plus graves, et qui n'a même pas été invité à s'expliquer devant les autorités complices de la Ligue.
Therrien a beau multiplier les combinaisons de trio, il ne parvient pas à stimuler l'offensive anémique de sa troupe de tire-pois. Même son seul véritable franc-tireur, Pacioretty, ne fait rien qui vaille. Quand je le vois arriver sur la patinoire avec les lutins Desharnais et Gallagher, je ris, tellement Max Pac ressemble a un grand poteau auquel sont attachés deux minuscules poulains. Pacioretty ressemble de plus en plus à Michael Ryder. Il donne un coup de collier de temps à autre. Cette saison, il a disputé 22 parties (il a raté 13 rencontres en raison d'une blessure). Lors de ses quatre premiers matchs, il a marqué deux buts. Du match 5 jusqu'au match no 12 : zéro but. Du match 13 au match no 21 : 9 buts. Du match 22 au match 26 : un petit but. Avec douze filets aussi mal distribués, il est tout de même le meilleur buteur des siens... Et comme bien d'autres CHieux, il est bien frileux quand il joue à l'étranger. Bien que le torCHon n'ait disputé que 15 de ses 35 parties loin du Centre PouBell, Pacioretty n'a accumulé que 4 de ses 15 points sur les patinoires ennemies. Dans le cas de la fillette à Plekanec, c'est 6 sur 22. Le lutin Gionta ne fait guère mieux avec un 6 sur 17, tout comme le lâche Lars Eller. Gallagher en arrache également à l'extérieur, avec un 6 sur 16. Ça augure mal pour le prochain périple de six parties sur la route, qui commence jeudi.
Si la présente disette de buts du Caca fait souffrir les fefans, les malheurs du prétendu dur à cuir George Parros les affectent tout autant. C'est une vraie farce. Cette autre mauvaise acquisition de Bergevin est pathétique, tellement il fait pitié. Il accumule les K.O. et les commotions cérébrales. Si c'était un cheval, il faudrait l'achever, pour abréger ses souffrances. Après son dernier supplice contre Boulton, des Islanders (photo ci-dessus), le pauvre Parros ne savait plus où il était. Bergevin non plus...d'ailleurs ! Parros ressemblait à un gros punching bag, ou à un Obélix qui, enfant, serait tombé dans la merde plutôt que dans la potion magique ! Ça ressemble de plus en plus à l'histoire de Big Georges Laraque, un matamore qui devait faire trembler les adversaires des CHaudrons mais qui s'est plutôt révélé un flop monumental ! Chers amis anti-habs, attachez bien vos ceintures, on est parti pour un méchant party au cours des prochains mois ! Ha ! Ha ! Ha !
mercredi 11 décembre 2013
ÉCRASÉS ET LESSIVÉS 6-0 PAR LES KINGS, ON A PU MESURER L'ÉCART QUI SÉPARE LES CANADIENS DES BONNES ÉQUIPES.
On ne sait pas si les CHaudrons de Moronréal étaient encore dans les vapeurs de leur party de "bureau" du temps des fêtes, mais s'ils étaient encore étourdis, après quelques abus de boissons alcoolisées, avant d'affronter les Kings de Los Angeles, hier, au Centre BéééééBelle, ils se sont fait littéralement assommés par des adversaires plus robustes et plus rapides qu'eux. Les petits lutins du torCHon ont été déclassés dans toutes les phases du jeu et ils n'ont pu déjouer une seule fois le gardien inconnu des Kings, Martin Jones, qui en était seulement à son troisième départ chez les professionnels. On aurait pu croire que sa présence était un autre coup de chance pour les CHieux, sans doute contents, avant le match, d'apprendre qu'ils n'auraient pas à se frotter au brillant gardien numéro 1 des Kings, Jonathan Quick, blessé. Mais voilà, même en son absence, les pousseux de puck de Michel "tête de lard" Therrien n'ont pas fait le poids contre la solide défensive des Kings, et ils n'ont pu contenir les assauts répétés des attaquants vedettes du club californien. Déjoué à répétitions par ses opposants, le gardien Scary Price ressemblait à une porte tournante ou à un gros plein de tourtières. Il était drôlement empâté devant sa cage. Il accordait des retours de lancers succulents pour les Kings qui se pressaient autour de lui en dominant facilement les défenseurs des CHieux, qui, d'ailleurs ne les défiaient guère en corps à corps. Abandonné par les siens, réduit à ne se battre que par ses faibles moyens, Price n'a pas veillé tard... Pour une fois, ses coéquipiers avaient décidé de ne pas se sacrifier pour lui. Ils ne bloquaient plus les tirs dangereux à sa place. Peter Budaj, son remplaçant, semblait également plein comme un boudin, et aussi balourd que le numéro 31 du CHicolore.
Les Anti-Habs attendaient cette dégelée royale depuis longtemps. Et qui mieux qu'une équipe de l'Ouest pour nous la servir à point, comme un bon gros festin de Noël...avant le temps. Contre les formations de la Conférence de l'Ouest, que nous ne voyons pas assez souvent, hélas, les nioCHons de Moronréal ont une fiche perdante, (6-8) cette saison. Il était grandement temps que les petits Canailliens se fassent remettre à leur place. Depuis deux semaines, l'enflure verbale qui caractérisait leurs propos, de même que ceux des fefans et des journaliCHeux cheerleaders de la métropauvre, était rendue loufoque et disproportionnée. Un fefan a même eu l'audace de faire un commentaire sur ce blogue, événement qui ne s'était pas produit depuis des lunes. C'est vrai que son équipe de merde ne connaît pas souvent de séries victorieuses depuis 20 ans. Il n'avait pas souvent eu la chance de se réjouir et de venir nous baver ici. Outre les louanges habituelles adressées au super héros Price et au nouveau Bobby Orr (P.K. Subban), voilà qu'on qualifiait les joueurs du quatrième trio de "champions" et que l'on saluait Andrei "too soft" Markov à titre de véritable général de la ligne bleue. Pourtant, même après les récents succès de la CHiure, on ne voit toujours pas le moindre CHieux parmi les 50 premiers marqueurs de la Ligue. Par contre on constate que Markov est au 5e rang du circuit Bettman pour le plus grand nombre de revirements commis (36, et Subban n'est pas loin derrière avec 32) et que ce nombre est presque deux fois supérieur à celui de ses mises en échec (19). Pour un général, c'est pas trop fort !
Le CHien sale à Pacioretty a encore fait des siennes, en première période, quand il a tenté de blesser Kopitar avec une mise en échec illégale, près de la bande, en territoire des Kings. Les arbitres l'ont encore absolu en fermant les yeux sur son infraction dangereuse. Kopitar, lui, a dit sa façon de penser à son agresseur. Il était mécontent. On le comprend. Il aurait pu subir le même sort que Boychuk et McDonagh, qui se sont retrouvés au rancart après avoir encaissé un coup vicieux de Max Pac. Il faudrait que quelqu'un le ramène à l'ordre celui-là. Pourquoi pas lors du prochain match des Habs-Not, à Philadelphie, demain ? Malheureusement, le Caca va se mesurer à des clubs faibles de l'Est au cours des prochains jours. Des équipes plus à sa mesure, contrairement à celles de l'Ouest. Mais consolons-nous avec la partie d'hier. Qu'elle serve de provision face à la perspective de voir du jeu décousu, dans des matchs défensifs plates, contre des formations sans envergure de la conférence de l'Est. La visite des Kings nous aura au moins permis de voir la vraie valeur des CHieux, c'est-à-dire...0-6. On ne sait jamais, peut-être que les Kings ont assez assommé les nioCHons pour qu'ils soient encore ébranlés au cours des prochains jours. Les Flyers pourraient en bénéficier jeudi.
Libellés :
Andrei Markov,
Anze Kopitar,
Carey Price,
Jonathan Quick,
Los Angeles Kings,
Martin Jones,
Max Pacioretty,
Michel Therrien,
Montreal Canadiens,
Peter Budaj
mardi 3 décembre 2013
LE CH OU LA "GUEURNOUILLE" QUI VEUT SE FAIRE AUSSI GROSSE QUE LE BOEUF...
«Une grenouille vit un boeuf,
Qui lui sembla de belle taille,
Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeuf,
Envieuse, s'étend, et s'enfle et se travaille,
Pour égaler l'animal en grosseur,
(...) la chétive pécore
S'enfla si bien qu'elle creva.»
Les Fables de Lafontaine.
De multiples images, proverbes et maximes me sont venus à l'esprit afin de m'aider à rassurer une partie des Anti-Habs qui me semblent trop affectés par la présente série victorieuse du torCHon de Moronréal. Je dois confesser que, moi aussi, j'ai "pogné" une couple de fois les nerfs en regardant les CHieux en mener un peu trop large à mon goût, au cours des dernières semaines. Et puis, évidemment, il y a toujours quelques fefans qui profitent de cet heureux temps PASSAGER de leur club de merde pour me tirer la pipe et pour tenter de me pomper l'air. Cela m'a rappelé une fable de Lafontaine, celle de LA GRENOUILLE QUI VEUT SE FAIRE AUSSI GROSSE QUE LE BOEUF. On peut tirer plusieurs leçons de ce chef-d'oeuvre de la littérature française qui a bercé notre enfance, à la petite école, et qui est toujours d'une sagesse remarquable. Ce récit, c'est ce qui arrive aux CHaudrons de Haïti Nord et à leurs partisans bipolaires à chaque année. Le petit club de petits joueurs du Caca (les petites "gueurnouilles nouilles"), ainsi que la foule innombrable de leurs petits partisans dotés de petites cervelles d'oiseau, gonflent leurs illusions et leurs prétentions, en début de saison, grâce à quelques victoires consécutives contre des équipes fatiguées, pas assez motivées ou insuffisamment talentueuses, jusqu'à se croire aussi forts et aussi gros que les meilleures formations de la LNH (le boeuf, et surtout le boeuf de l'Ouest !). Quand l'automne se termine et que l'hiver arrive, ils pètent au frette ou sous la pression ! Car, comme on le sait, ce n'est pas comment on commence la saison qui est important, c'est comment on la finit. Et, je le rappelle aux Anti-Habs, les Cannes à CHiens s'écroulent 99% du temps en seconde moitié de calendrier, quand ça compte vraiment, et quand les autres clubs se mettent enfin à jouer pour gagner. Les saisons sont longues dans la Ligue Nationale. C'est un marathon. Vous devez ménagez vos forces pour tenir le coup et vous rendre à la ligne d'arrivée. Vous ne partez pas en fou ou en sprintant, sinon vous allez vous vous épuiser et vous allez "manquer de gaz".
Les Canailliens de Mourial, la seule équipe de sports dont le logo épouse la forme d'un siège de bécosses, n'ont pas cette mentalité ou le "luxe" de ménager leur énergie afin de finir forts. Leurs fefans cinglés et les journalistes cheerleaders, qui scrutent chacun de leur coup de patin, de même que leur incapacité à aller à la guerre quand le jeu se corse après les fêtes, ne leur donnent pas le choix de mettre toute la gomme -et de jouer un style de jeu étouffoir, comme celui des séries éliminatoires- durant les trois premiers mois de la campagne. Disputer des rencontres serrées, suivre à la lettre le plan de match archi-défensif du coach, profiter d'un calendrier favorable en affrontant souvent des gardiens de buts substituts, bloquer des tonnes de lancers pour parer aux faiblesses de leur propre gardien (Scary Price), se fendre le cul pour donner l'illusion à leurs fefans qu'ils forment un bon club, tout ça finit pas être épuisant pour un ramassis de schtroumfs comme les Cacad'CHiens. Leur espoir ultime : amasser assez de victoires avant les fêtes pour donner des illusions aux fefans avaleurs de couleuvres (à la suite des belles promesses d'avant-saison) et pour survivre à une deuxième demie de saison désastreuse. Ainsi, parfois, dans le tout dernier droit du calendrier, en donnant un dernier coup de collier, on réussira, in extremis, à entrer en séries par la porte d'en arrière ou la porte de cave. Au grand soulagement des fefans morts de peur, qui, grâce à ce sauvetage "héroïque" d'une saison qui s'en allait chez le diable, pardonneront à leurs vauriens CHicolores de les avoir amenés avec eux jusqu'au bord du précipice. Et si, par miracle, on accède au tournoi de la Coupe Stanley, pour faire encore rêver les fefans à la conquête du précieux trophée, on ne fera pas de vieux os, mais l'honneur sera sauf. On aura évité le pire, c'est-à-dire, se retrouver en compagnie des équipes qui se situent dans les bas fonds du classement de la Ligue.
La récente série victorieuse du Caca n'est pas si impressionnante que ça. Ce n'est pas comme s'il dominait ses adversaires. Plus souvent qu'autrement, il remporte, par la faible marge d'un but, -et avec la complicité des arbitres- des matchs qui auraient pu aller d'un bord comme de l'autre. Par exemple, contre des équipes faibles comme Columbus, Buffalo ou New Jersey, la CHnoutte s'abaisse jusqu'au niveau de jeu peu élevé de ses opposants, et ne gagne que par la peau des dents. J'explique aussi la frustration actuelle des Anti-Habs par ce qui s'est passé au cours des dernières années. La saison dernière, les données ont été faussées par le calendrier -intra-conférence- écourté après le lock-out. Oui, les CHaudrons se sont écroulés comme d'habitude après le 40e match, sauf qu'il s'agissait d'une saison de...48 parties. Le Caca a ainsi pu terminer au premier rang, au grand dam des Anti-Habs. Il faut aussi souligner que la saison précédente avait été un "grand cru" pour nous (voir le montage ci-dessus), le torCHon finissant dans la cave du classement de la Conférence de l'Est, au grand désespoir des fefans, que nous avons écoeurés toute l'année (y compris dans les partys du temps des fêtes), et qui se sont retrouvés sur les anti-dépresseurs après avoir battu leur conjointe plus souvent que de coutume. Nous avions été gâtés pas à peu près, car le Caca avait flanché dès le début de la saison, contrairement à leurs habitudes. Comme le chantent encore les Rolling Stones : "You can't always get what you want". Ça ne peut pas être toujours Noël à longueur d'année pour les Anti-CHieux ! Mais certains anti-habs purs et durs semblent pourtant le croire, à en juger par leurs commentaires qui frisent parfois le désarroi. Dites-vous bien, les amis, que nous ne perdons rien pour attendre. La CHiasse finira bien par prendre le chemin des égouts. En attendant, restons calmes et prenons ça "cool". Ne donnons pas trop d'importance aux succès éphémères des CHieux. Car le Caca, après tout, ne mérite pas autant d'attention. Nous ne sommes pas des caves. Gardons-nous d'imiter les fefans bipolaires qui capotent sur le CH et qui pensent que ce médiocre club de pousseux de puck est la fin du monde !
mardi 26 novembre 2013
P.K. SUBBAN N'EST PAS FIABLE, NI POUR THERRIEN, NI POUR AIDER LE CANADA AU TOURNOI DE HOCKEY DES OLYMPIQUES.
Ce n'est jamais facile de nager à contre-courant. Ces dernières années, j'ai eu souvent le sentiment de prêcher dans le désert quand je soulignais les nombreuses carences dans le jeu défensif de P.K. Subban. Les fefans du Cacad'CHien de Moronréal me tombaient toujours dessus en m'accusant de ne rien connaître au hockey et de n'être qu'un anti-habs sans crédibilité. Le demi-trophée Norris de Subban, décerné en bonne partie par des rédacteurs sportifs de l'Ouest qui n'ont pas vu jouer P.K. la saison passé (les clubs de l'Est n'ont pas affronté les clubs de l'Ouest en raison du calendrier écourté par le lock out), était la preuve, hors de tout doute, selon les fefans, que mon évaluation du gros no 76 était erronée. Mais soudainement, ces temps-ci, j'ai de la compagnie chez les détracteurs du défenseur flamboyant du torCHon (noter sur la photo ci-dessus, outre la grosse tête enflée de P.K., la camelote à gauche sur laquelle est écrit "FAN CAVE"; je sais bien que le mot "cave" est ici utilisé en anglais et qu'il n'a pas la même signification qu'en français, mais j'aime le jeu de mots quand même; "Fan Cave" comme dans fefans caves ! Ha ! Ha ! Ha !). Le dernier en lice, et pas le moindre, c'est Mike Babcock, un des entraîneurs de l'équipe de hockey olympique du Canada, qui essaiera de décrocher encore la médaille d'or aux prochains Jeux Olympiques qui se tiendront en Russie au mois de février.
Babcock, qui est aussi le coach émérite des Red Wings de Détroit, a laissé planer des doutes sur la fiabilité de Subban en défensive. Si on lit entre les lignes de sa déclaration d'hier, P.K. n'a pas ce qu'il faut pour faire partie de TEAM CANADA. C'est pas nous qui allons le contredire ! Ni même Michel "Toto" Therrien ! Aux jeux olympiques, comme durant les séries éliminatoires de la LNH, l'entraîneur d'un club de hockey doit baser son plan de match sur du solide. Surtout en défensive, pas de chance à prendre. Des joueurs qui, comme Subban, effectuent des manoeuvres trop risquées, juste pour être spectaculaires, font énormément suer les coachs. C'est un non sens pour eux. Des choses à ne pas faire...à aucun prix, justement parce que ça peut coûter très cher. Et être la différence entre un podium olympique et une élimination honteuse pour tout le pays. Therrien a perdu patience avec P.K.. Il a diminué son temps de glace en désavantage numérique et dans les situations critiques en fin de match, quand le pointage est serré. Une preuve de non confiance envers son défenseur "étoile" (?). Certains fefans expliquent cette attitude de Therrien en prétendant que c'est une tactique de négociation en vue du prochain contrat de Subban. On voudrait, selon eux, déprécier un peu P.K. pour que lui et son agent ne demandent pas la lune au Cacanadien. De la foutaise. Tout comme les propos de certains analystes qui affirment qu'on ne peut pas être à la fois un excellent défenseur offensif et un as du jeu défensif. C'est plus un sentiment d'urgence qui anime Therrien. Comme ce fut le cas au commencement de la saison passée quand Lars Eller a été laissé de côté par Therrien. "Pas le temps de niaiser" avait dit le coach des CHaudrons. La préoccupation de Therrien est de gagner le plus de matchs possibles en début de calendrier, quand c'est plus facile, pour espérer survivre à l'hiver... Pas le temps de niaiser avec Subban, qui par ses crampes au cerveau, son jeu égoïste souvent stupide dans sa zone, et ses mauvaises pénalités, peut coûter des défaites que le Caca n'a pas le luxe de s'offrir à l'automne.
En séries éliminatoires de la Coupe Stanley et durant les Olympiques, il est impératif de maîtriser ses nerfs et d'être un bon coéquipier. Deux choses que Subban n'arrive pas à faire. P.K. est plutôt du genre "one man show". Tout ce qu'il veut c'est "flasher", épater, se vanter. Pas du tout du genre "un pour tous, tous pour un". Il veut voler la vedette. Être LA vedette. Pas pour rien qu'il est détesté encore plus par ses coéquipiers que par ses adversaires. Lors des grandes occasions, dans les matchs cruciaux, quand il faut faire la guerre, il faut être discipliné et savoir se sacrifier pour ses coéquipiers et son pays. Il faut faire preuve d'un bon jugement dans les situations importantes. Trop souvent, Subban ressemble à une poule pas de tête qui court partout dans sa zone. Non seulement il se retrouve hors position en voulant tout faire tout seul ou en effectuant une de ses ruades préférées, mais il sème la pagaille dans les rangs CHicolores en brouillant le schéma défensif de son équipe. En étant pas à sa place, il mêle et déboussole les autres CHieux sur la patinoire. On lui reproche également son manque de communication en pareilles circonstances. Au lieu de laisser ou de passer le disque à un coéquipier mieux placé, Subban va plutôt manger la rondelle pour tenter une de ses montées en l'emporte-pièces.
D'ailleurs, en faisant justement ces poussées offensives risquées (qui font presque toujours patates), il me semble que Subban est non seulement hors normes, mais qu'il est aussi "hors la loi". À chaque joute, on le voit transporter la "noire" avec l'aide d'un bâton tenu par une seule main (photo ci-dessus), alors qu'il retient le bâton ou le bras d'un adversaire en se servant de sa main libre. Si la manoeuvre est interdite en défensive, je ne comprends pas pourquoi elle devrait être permise en offensive... C'est le côté "tricheur" de "Piqué des vers" Subban. Comme quand il se fait saigner lui-même pour que l'arbitre donne un quatre ou un cinq minutes de punition à un opposant. Comme quand P.K. joue la comédie ou se cache derrière les officiels après avoir bavé un adversaire qui veut jeter les gants pour lui faire ravaler ses insultes ou ses provocations. L'honneur est de rigueur aux Olympiques. Subban n'est pas digne d'y participer. On ne peut se fier sur lui que pour attirer sur sa grosse personne les projecteurs et les acclamations des fefans bipolaires, ou pour foutre le bordel et semer la zizanie dans le vestiaire d'une équipe. Le Canada n'a pas besoin d'un individualiste comme lui aux J.O.. On parle ici de la crème de la crème, pas de "stuff" de juniors. Subban se prend pour un pays à lui seul, si ce n'est pas pour le nombril du monde. Et un nombril, ça peut être sale quand ça ne se fait pas lessiver de temps à autres... Tellement imbu de lui-même, P.K. est comme une bière imbuvable, genre Molson, mettons ! Tout le contraire de l'esprit olympique...
mercredi 20 novembre 2013
LE CACANADIEN DE MOURIAL MÉDIOCRE.
Après avoir entendu la "crasse" du Centre PouBell huer son club de merde samedi soir dernier (défaite de 1-0 contre les Rangers), le piteux gardien de buts Scary Price ne pouvait que conclure que la fiche du torCHon était médiocre, après le premier quart de la saison 2013-14. On le comprend sans peine, jouer pour .500 après la portion la plus facile du calendrier, était de nature à soulever les inquiétudes du cerbère numéro 1 des CHieux qui, en employant le mot "médiocre", se trouvait à résumer les deux dernières décennies de l'histoire du CHiendent. D'autant plus qu'à titre personnel, Price ne peut offrir mieux que le rendement qu'il a donné jusqu'à maintenant. L'attaque du CHicolore était en panne sèche avant le déblocage de mardi contre le Wild du Minnesota. Dans l'avenir, elle devra faire mieux, sur une base régulière, sinon Price, réputé pour se décourager facilement, va ouvrir les écluses et jeter la serviette rapidement. Il est vrai que Scary a de quoi se plaindre des attaquants qui ne lui donnent jamais de coussin pour lui faciliter la tâche devant le filet (ce qu'il adore car, on le sait, il est nonchalant et lâche). Il y en a un méchant paquet de nuls, du côté offensif, qui ne font pas le travail pour lequel ils sont grassement payés.
À commencer par le couillon à Max "noodle" Pacioretty, de qui je disais pourtant, avant le début de la campagne, qu'il était la seule valeur sure en attaque chez le Caca. Avant d'exploser pour trois buts hier, en profitant d'une rare mauvaise soirée de Josh Harding, le gardien du Wild, Max Pac ne foutait rien de bon tout en encaissant son énorme salaire de 4,5 millions de $ par année. Les seules fois que je l'ai remarqué cette saison c'est derrière le jeu, quand il frappait lâchement et sournoisement un adversaire quand ce dernier avait le dos tourné. C'est un des joueurs les plus salauds du circuit Bettman. Un des plus hypocrites aussi ! Il fallait le voir pontifier encore cette semaine, en essayant d'expliquer les insuccès du Cacad'CHien. Il ne s'incluait jamais dans les raisons des problèmes de la CHnoutte (cinq victoires dans les 14 derniers matchs avant celui d'hier). Faillait également l'entendre prendre la défense de son pote David Desharnais, penaude victime du nouveau maire de Moronréal Denis "codinde" Coderre, (lisez ce que je pense de Coderre sur mon site MOURIAL MÉTROPAUVRE VS QUÉBEC CAPITALE (http://mourialmetropauvrevsquebeccapitale.blogspot.ca) qui désirait voir le petit joueur de centre du CHiard être expédié à Hamilton avec un billet d'autobus "aller" seulement. Pendant que Pacioretty défendait son ami, il n'avait pas à expliquer ses propres déboires personnels. Quelle couardise !
Pacioretty n'est pas le seul coupable que l'on peut pointer du doigt pour la "médiocrité" des CHieux cet automne. Sauf que pour les autres, comme le capitaine yankee raté Brian Gionta (salaire de 5 millions de $ cette saison; zéro point en cinq parties avant la joute d'hier), ou l'impuissant et inoffensif Rene Bourque (3,34 millions de $ en 2013-14), ce n'est que la continuité de ce qu'ils font depuis un bon bout de temps. Ils sont bien assis sur leur lucratif contrat. En fait, c'est le monde à l'envers chez les "Habs-Not" : les gros salariés ne produisent pas (Desharnais 3,5 M. de $ par an; Brière 4 M. de $ par an; Prust 2,5 M. de $ par an; Markov 5,75 M. de $ par an; Gorges 3,9 M. de $ par an; Moen 1,85 M. de $ par an) alors que ce sont les moins rémunérés qui portent le club sur leur dos (Galchenyuk $ 925 000; Gallagher $ 685 000). À cinq contre cinq, les CHieux sont lamentables. Avant hier, depuis le début de novembre, ils n'avaient enregistré que sept petits buts (en huit matchs) en pareille situation. Ils formaient une des pires équipes de la LNH au chapitre de la précision des tirs au buts (faible pourcentage de 5,8 % de réussite). Leur échec-avant se situait au 4e pire échelon de la Ligue, si on se base sur le nombre de fois qu'ils ont réussi à subtiliser le disque à l'adversaire. S'ils comptent le plus grand nombre de lancers bloqués, c'est parce qu'ils passent trop souvent leur temps à se défendre dans leur propre zone. Si vous n'avez pas longtemps la rondelle et que, lorsque vous l'avez, vous la lancer à côté du but adverse, vous ne pouvez pas scorer souvent. C'est l'évidence ! Le plan de match de Alain Vigneault pour blanchir la CHiasse était fort simple samedi passé : envoyer trois joueurs au-devant des CHaudrons pour leur bloquer le passage, et les repousser vers les bandes pour profiter de leur manque de robustesse. De cette façon vous pouvez les neutraliser et les vaincre, même avec votre gardien auxiliaire (Talbot). D'ailleurs, en passant, le Caca a souvent affronté des "seconds violons" cette année, puisque ses opposants en étaient souvent à une deuxième partie en autant de soirs.
Avec les huées des fefans qui se sont faites entendre samedi, c'était le signal de panique pour l'état-major des Canailliens. Ayant à "dealer" avec de redoutables adversaires cette semaine (Wild, Capitals, Penguins) Michel "Toto" Therrien devait brasser sa bande d'endormis afin d'essayer de les réveiller, et pour qu'ils justifient un peu leur gros chèque de paye. Pacioretty et Desharnais se sont surement fait crier un retentissant "WAKE UP" dans les oreilles par un T'éRien rouge comme une tomate, tandis qu'il bottait quelques poubelles dans le vestiaire. Car à travers les "booooooo" et les "chouuuuu" du public, Therrien a probablement entendu des fefans réclamer son congédiement (déjà !). Il a dû passer quelques nuits blanches à jongler avec des changements de trios. Toutes ces heures d'insomnie se sont réduites à une seule solution pour tenter de relancer Pacioretty et Desharnais : les faire jouer avec le dynamique Gallagher. C'est ce qui est arrivé mardi dans la victoire de 6-2 du Caca. Mais ça ne veut pas dire que ça va marcher à tous les coups. Quoi qu'en pensent les fefans bipolaires...
mercredi 13 novembre 2013
LA LNH A PITIÉ DU CACANADIEN DE MORTYIAL...
Le Cacanadien de MortYial fait dur. Il fait vraiment pitié. Et la Ligue Nationale les prend aussi en pitié. À moins que les cadeaux qu'elle lui fait ne soit qu'un retour sur investissement ! Si les CHieux dirigés par Michel "T'es Rien" Therrien réussissent à se maintenir la tête hors de l'eau après le premier quart de la saison, en jouant de peine et de misère pour .500, ils le doivent encore à la chance, à la tricherie et à la complicité des autorités de la LNH. Croyez-moi, la fameuse commandite de 375 millions de dollars, qui a fait de la bière "Molson Canadian" la bière officielle de la Ligue, produit toujours de très bons dividendes pour le torCHon. Comment expliquer autrement le but refusé au Lightning en fin de 2e période hier soir au Centre PouBell ? Tout le monde, y compris les très partiaux analystes et commentateurs du réseau de télé des CHaudrons (RDS), a pu constater, à la lumière de la reprise vidéo, que la rondelle avait pénétré dans la cage de Scary Price. Sur la séquence (ci-dessous) on voit également qu'on ne peut justifier l'annulation du but en prétextant que Tyler Johnson fait de l'obstruction sur le gardien de la CHnoutte. En effet, Johnson tente d'éviter le contact avec Scary mais le défenseur Douglas Murray du Caca l'en empêche en le poussant. Dans pareil cas, le règlement est clair : il n'y a pas d'obstruction et le but aurait dû être accordé. Même Therrien paraît surpris en apprenant la décision.
Le Lightning s'est encore fait voler sur le seul filet du CHiard marqué par Daniel Brière. Incapables de déjouer le gardien Ben Bishop, comme quand il s'alignait pour les Sénateurs d'Ottawa, les joueurs de la CHiasse ont tout simplement poussé la rondelle de force dans le but en rentrant directement dans le gardien du Lightning. Sur son but, qui n'était pas bon, Brière fonce délibérément, à la fois dans le gardien et dans le disque, alors qu'il est nettement dans le demi-cercle de Bishop. Il fait exactement le contraire de ce que Tyler Johnson avait fait sur le but refusé à Tampa Bay. De plus, dans l'extrait vidéo du but refusé à T.B., on voit que le jeu se poursuit et que les Cannes à CHiens ont failli marquer parce qu'au moins deux porte-couleurs du Lightning avaient arrêté de jouer, croyant qu'il y avait eu but en faveur de leur club. Le pire de cette histoire c'est que les gens du bureau des révisions ou des reprises de la LNH ne peuvent pas se prononcer sur les punitions d'obstruction. Ce n'est pas révisable. C'est aux arbitres sur la patinoire à décerner ce genre d'infraction. Ils ne l'ont pas fait sur le jeu en question. Les juges des reprises vidéos à Toronto ne pouvaient que vérifier si la rondelle avait bel et bien traversé la ligne des buts. Ils n'avaient pas le droit de refuser le but à cause d'une obstruction qui n'a pas été appelée sur la patinoire par les officiels en charge. Faut croire que, comme dans le bon vieux temps des fantômes du forum de Moronréal, il y a un livre des règlements spécial pour le Cacanadien et un autre livre pour le reste des équipes de la LNH... C'est de la bull shit !
Il est aussi arrivé récemment que des buts aient été "donnés" aux CHieux alors que les reprises montraient que les joueurs du Caca avaient poussé la rondelle dans le filet avec leur patin. Merci encore à la commandite de 375 M. de $$$ ! Les CHaudrons ont aussi été chanceux plusieurs fois cette saison. Ils ont gagné quelques matchs en affrontant des clubs fatigués comme les Islanders, dimanche passé, qui en étaient à une troisième partie en quatre soirs sur la route. Ou bien ils rencontraient des équipes affaiblis par la perte d'un de leurs meilleurs marqueurs qui s'était blessé juste avant une joute contre le torCHon (Gaborik, Vanek, Stamkos, pour ne nommer que ceux-là).
Mais quand les Canailliens se retrouvent en fusillade, ils ne peuvent guère avoir le secours de la Ligue pour gagner, quoi que je me rappelle d'un but de Lars "tête de lard" Eller (lors de sa fameuse soirée de trois buts) qui avait clairement fait de l'obstruction sur le gardien en rentrant dedans pour compléter un spectaculaire spinorama (tourniquet de 360°). Une manoeuvre pour le moins douteuse, qui n'aurait pas dû être permise. Les tirs de barrage permettent de juger des habiletés des joueurs impliqués. Et, comme les Anti-Habs le savent fort bien, le Cacad'CHien est pas mal dépourvu de talent pour espérer l'emporter en pareilles circonstances. C'est très révélateur. Ça ne trompe pas. Hier soir, Scary Price en était à une 19e défaite en carrière au Centre PouBell, en tirs de barrage. Il ne compte que dix victoires à sa fiche lors de ces occasions où il se mesure à un contre un face aux tireurs adverses. Son pourcentage d'arrêt est faible à .663. Ce n'est pas surprenant. On sait qu'il flanche toujours sous la pression, en pareilles situations, comme il CHoke aussi en séries éliminatoires.
À sa défense, ses coéquipiers tire-pois ne l'aident guère non plus. Ils sont pourris en fusillade comme ils le sont également à 5 contre cinq. Si les officiels ne les avantageaient pas en leur consentant plus que leur part d'avantages numériques, les CHieux seraient près de la cave du classement. En tirs de barrage, les meilleurs du Caca sont Brian Gionta avec 20 buts en 54 occasions (37% de succès) et David Desharnais avec 8 en 18 (44 %). Mais voilà, Gionta vieillit et il est en déclin (tout comme Brière qui a des statistiques semblables), tandis que Desharnais vient d'être relégué aux gradins, dernièrement. Les autres ne valent pas de la merde : Pacioretty est 3 en 16 (19 %); Plekanec est 4 en 25 (16 %); Markov est 4 en 12 (33 %); Subban est 0 en 3; Bourque est 8 en 26 (31 %, mais c'était surtout quand ça allait bien pour lui avant d'être échangé au CHiendent); Galchenyuk et Eller sont 2 en 7; Gallagher est 1 en 4. Pas forts !!! Les directeurs généraux de la NHL viennent de se réunir et ils ont discuté de la possibilité de prolonger les périodes de sur-temps, (certains voudraient que l'on joue à 3 contre 3 après la 5e minute de prolongation). Probablement que Symphorien Bergevin est d'accord avec ça, étant donné que sa bande de nioCHons a les mains pleines de pouces et que Price est affreux en fusillade. Imaginez si Scary était choisi pour les Jeux Olympiques et qu'il devait affronter une telle situation... Ça pourrait coûter la victoire à Équipe Canada...
mercredi 6 novembre 2013
PRICE FAIT UNE INDIGESTION APRÈS ENCORE UNE AUTRE DÉFAITE CONTRE SON RIVAL HALAK !
Frustré après s'être encore incliné devant son éternel rival Jaroslav Halak, le gardien Scary Price a lancé un gros juron dans le vestiaire du Cacanadien après la défaite des siens 3-2 hier soir en fusillade contre les Blues de St-Louis. Jaloux de son ex-coéquipier qui le battait pour la 3e fois en autant de rencontres, Price a admis que "celle-là était dure à avaler". En effet ! En première période, les Blues dominaient outrageusement le jeu, et pour ne pas que Scary soit humilié en perdant par un gros score, les CHieux ont dû tous se transformer en gardiens pour l'aider à éviter le pire. Ils ont établi un record de la Ligue Nationale en bloquant un total astronomique de 38 tirs ! Mais en fusillade, ils ne pouvaient plus secourir Price, et celui-ci a dû s'avouer vaincu pendant qu'à l'autre bout de la patinoire, Halak arrêtait tout, même un lancer de punition à la toute fin du temps régulier. On a encore vu et vérifié qui était le meilleur cerbère entre les deux. D'accord, les Blues ont une bien meilleure équipe que les CHaudrons de Moronréal, mais dans les "un contre un" comme les échappées, les lancers de punition ou les tirs de barrage, c'est le talent brut des gardiens qui ressort. Et dans ce département, c'est un "no contest" en faveur de Halak.
Le défenseur Andrei Markov a bien essayé de faire pencher la balance du bord de Price. Ça faisait 133 minutes que Halak blanchissait le torCHon. Incapables de le déjouer, les joueurs du Caca ont décidé de forcer la forteresse du portier des Blues en...fonçant sur lui. Markov a frappé Halak à la tête en s'amenant en diagonale dans son demi-cercle. Il aurait dû être puni pour ce geste qui a ébranlé Halak (le soigneur s'est d'ailleurs rendu auprès de lui pour vérifier son état). Au lieu de cela, les officiels sont restés les bras croisés alors que le but de Rene Bourque, qui a suivi cette collision qui a sorti Halak de son filet, aurait dû être refusé pour obstruction contre le gardien. Le lancer de punition en fin de partie était également douteux et contestable. Quand les zèbres ont fait connaître leur décison, on a vu l'entraîneur des Blues, Ken Hitchcock pousser un "wow" derrière le banc de son club. Il était sûrement ébahi par cet autre moyen extrême trouvé par les arbitres pour tenter encore de favoriser le torCHon. Mais, même avec l'aide des officiels, Price n'a pu vaincre son opposant, trop fort pour lui.
Par ailleurs, après ce 3e échec consécutif du CHiendent, la marmite semble commencer à bouillir pas mal dans l'entourage du club poche de Haïti Nord. Les récentes décisions de l'entraîneur Michel "Éphrem" T'esRien ont fait grimacer plusieurs partisans du bleu, blanc, merde. Un des rares Québécois francophones du club, le diminutif David Desharnain, a été relégué aux estrades, et le chien savant P.K. Subban a vu son temps de glace diminuer assez considérablement. Depuis la défaite contre les Sharks de San Jose, le 26 octobre, le gros tas de fumier no 76 ne joue pratiquement plus lors des désavantages numériques de son club de merde. Et contre Dallas et St-Louis, son jeu mou et ses faiblesses criantes en défensive ont incité TéRien à ne pas l'employer dans les dernières trois ou quatre minutes des matchs à pointage serré. Un désaveu et un manque de confiance évidents du coach à l'endroit de son cabochon de défenseur hot-dog. Mais voilà, s'il est détesté par ses coéquipiers (trois accrochages notoires avec des coéquipiers, durant les pratiques du CH, au cours des dernières années) Subban a beaucoup de supporteurs dans le public et chez les journliCHeux qui couvrent le Cacad'CHien. Ils adorent ses pirouettes de saltimbanque et ses sparages de comédien sur la patinoire.
Tellement, qu'il ne faudrait pas que Therrien continue à vexer P.K., même si l'attitude égocentrique de super vedette de ce dernier, qui se permet d'être distrait et de faire le clown durant les pratiques, est condamnable. De plus, comme je le rapportais dans un article précédent, Therrien a dû avaler sa gomme de travers quand, devant les caméras de la télé anglophone, Piqué des vers Subbanane a mis la défaite à Calgary sur le compte d'un mauvais entraînement. P.K. insinuait ainsi que Therrien avait mal préparé son équipe. Si jamais Subban continuait de pourrir l'atmosphère dans le vestiaire; qu'il demandait à être échangé; ou qu'il profitait de son statut d'agent libre, après la présente saison, pour fuir Mourial; les fefans et les joueursnalisssses moronréalaids ne pardonneraient jamais ça à Therrien et ils exigeraient sa tête... Rappelons également que lorsque Lars Eller a fait ses commentaires d'épais au sujet du club "Junior" des Oilers d'Edmonton, Therrien, loin de le défendre, a plutôt condamné les propos de l'insignifiant Danois. Depuis ce temps, L'Harceleur ne fait plus rien qui vaille après un début de saison pourtant foudroyant. Au regard de ces développements très intéressants pour les Anti-Habs, les risques de psycho drame et de dérapage sérieux sont présentement en augmentation chez les CHieux, et ils ne feront qu'augmenter encore si les CHieux continuent à glisser au classement dans les prochaines semaines. C'est à surveiller...pour notre plus grand plaisir !
jeudi 31 octobre 2013
LE CH S'EN TIRE BIEN EN OCTOBRE MAIS...À VAINCRE SANS PÉRIL, ON TRIOMPHE SANS GLOIRE.
Malgré l'absence de blessés d'importance, en l'occurrence son meilleur buteur Pacioretty et son défenseur le plus robuste Emelin, le torCHon de Mourial s'en est bien tiré au mois d'octobre (fiche de 8-5). Mais il faut dire que son calendrier était facile et parfait pour se mettre en selle en ce début de saison. Huit parties à domicile et des adversaires en majorité faibles, traversant une mauvaise période, et eux-mêmes hypothéqués par des blessures à des joueurs clés. Le calendrier favorable de début de campagne est une tradition établie pour les CHieux, gracieuseté de la complice Ligue NaCHionale. Il est toutefois légitime de se demander ce qu'aurait pu faire les CHaudrons s'ils avaient eu à composer avec le calendrier des Sénateurs d'Ottawa, qui ont dû se taper les meilleurs clubs de la Conférence de l'Ouest (nettement plus forte que la Conférence de l'Est) pour débuter leur saison.
Des huit victoires du bleu, blanc, merde en octobre, deux seulement ont été acquises contre des clubs présentant un dossier gagnant (Vancouver et Anaheim). La fiche combinée de ces opposants vaincus : 44-57 (moyenne de 0,436). Pas de quoi se péter les bretelles ! Et pour arriver à arracher ces victoires, dont quelques-unes de justesse, il a fallu que le Cacad'CHien joue du hockey de séries éliminatoires. Peu confiant, et avec raison, en son gardien Scary Price, l'entraîneur-chef Michel T'esRien a réussi à convaincre ses troupiers de se sacrifier en bloquant pas moins de 243 tirs ennemis, un sommet dans la NHL. De plus, comme la saison dernière, le CHiendent a été un des clubs qui a obtenu le plus de jeux de puissance (53, 4e dans la Ligue à un A.N. du 2e rang). La CHiasse en a profité pour marquer beaucoup de buts en supériorité numérique (7e rang avec un taux d'efficacité de 22,6 %) d'autant plus facilement contre des formations poches. Il en va de même pour la performance de la CHnoutte en désavantage numérique (7e avec un taux de réussite de 84,3 %). C'est moins difficile de tuer des punitions contre des attaques à cinq adverses qui sont anémiques.
Privés d'éléments robustes en Emelin, Prust, et Parros, le Caca s'est bien gardé de provoquer ou de réveiller ses opposants. On voulait jouer du hockey de robots, du hockey scientifique, du hockey pépère. Du jeu dénué de rudesse (les Canailliens sont 26e pour les mises en échec avec seulement 224) qui favorise les nombreux petits schtroumfs du CH. Quand ça chauffe physiquement, les p'tits Habs prennent leur trou et perdent presque à tout coup. On l'a vu contre les Sharks et les Maple Leafs. Et quand les adversaires jouaient avec autant d'intensité que la CHiure, ou pratiquait un style défensif aussi étanche que les CHieux, ils donnaient beaucoup de fil à retorde aux protégés de Therrien.
Sur le plan individuel, on a pu se rendre compte, comme on l'avait prévu, que Desharnais (un point en 13 parties) est un joueur de la Ligue Américaine ou même de la East Coast League. On a eu assez le temps de voir Daniel Brière avant la Xième commotion cérébrale qui l'a sorti de l'alignement -ça aussi on l'avait prédit- pour constater qu'il est un joueur fini. Lorsque le seul trio productif des Cannes à CHiens (celui des jeunes pivoté par Eller) s'est éteint après la 10e partie, celui de Plekanec a pris la relève pour permettre de vaincre difficilement les faibles Rangers et les peu redoutables de Stars, cette semaine. Michael Bournival (3-4-7) s'est aussi avéré une belle surprise pour les Habs. Les simples d'esprit, qui commentent les matchs du Cacanadien au réseau RBS, ont vanté le début de saison de Subban et de Markov, mais les chiffres disent que P.K. est toujours aussi erratique dans ses tirs au but (efficacité de 5,6 % avec deux petits buts), qu'il joue toujours aussi mal en défensive, et qu'il prend toujours de mauvaises pénalités (16 minutes). Dire que les journaliCHeux de la métropauvre lui concèdent déjà le prochain trophée Norris ! C'est du délire ! Quant à lui, Markov a commis pas moins de 18 revirements jusqu'à maintenant, un total astronomique comparé à celui de ses coéquipiers. Il n'a qu'un maigre but et 5 petits points à son actif. Pas si reluisant que ça, donc.
Le calendrier de novembre sera beaucoup moins aisé que celui d'octobre. Ce ne sera pas de la p'tite bière Molson. On verra si le torCHon pourra s'en tirer encore à bon compte, sans coup férir...
mercredi 23 octobre 2013
FAUTE DE SE FAIRE DES "PROVISIONS" CET AUTOMNE, L'HIVER SERA DUR POUR LES HABS...
Le CacanaCHien de Mourial c'est comme un écureuil. Il doit faire des provisions l'automne s'il veut réussir à survivre à l'hiver. En effet, le torCHon nous a habitué à ce scénario : s'il arrive à amasser assez de victoires ou de points de BS en prolongation ou en fusillade, durant la première portion facile du calendrier (avant les fêtes), il peut espérer compter sur les défaillances des autres clubs pour se tailler de justesse une place en séries éliminatoires. Par contre, les années pendant lesquelles les CHaudrons ne commencent pas la saison du bon pied, l'hiver devient rapidement cruel et fatal pour eux. Même s'il est trop tôt pour dégager des tendances favorables pour les Anti-Habs, disons que ça regarde plutôt bien pour nous ces temps-ci. Comme au cours de ses nombreuses campagnes perdantes des deux dernières décennies, le Caca semble prendre l'habitude de perdre des avances en deuxième moitié de match, -il a été chanceux de gagner contre Columbus la semaine passée après que les Blue Jackets aient comblé un déficit de 3 à 0- et il a une fiche déficitaire (2-3) à domicile jusqu'ici. Une recette infaillible pour un désastre...
Cet ordre des choses est idéal pour les Anti-CH. Nous voyons d'abord les fefans s'exciter comme des souris sur un bloc de fromage, -quand leurs CHieux prennent les devants-, pour les voir ensuite se prendre la tête à deux mains, -lorsque la balloune de leurs idoles se dégonfle en seconde demie de partie-. Comme dans des montagnes russes, ils passent de l'euphorie dans les montées, au désarroi lors des descentes. Super ! Après le 3e but inutile des Canailliens hier soir -à deux secondes de la fin du match- les caméras de RBS nous ont fait voir la niaiseuse de fefan qui sautait de joie dans les estrades en brandissant son écusson du Caca sur son torCHon de chandail. Quelle conne ! On aurait dit qu'elle fêtait une Coupe Stanley ! Même chose du côté des journaliCHe-culs qui couvrent les CHaudrons. Lors des points de presse de Michel "Éphrem" Therrien, le flattage de poils et la complaisance sont de mise chez les scribes francophones après les triomphes de la CHiasse. Mais quand la grosse face rouge de T'esRien se présente devant ces lèche-cul après une couple de mauvaises défaites, les petits scribouilleurs prennent leur trou et n'osent pas prendre le risque de se faire planter s'ils posent une question trop difficile pour le pilote au front de beu. Seuls les journalistes anglophones ne semblent pas craindre le bouillant coach de la CHiure.
Outre le plaisir d'admirer les CHaudrons s'écraser en fin de rencontre, outre la face déconfite des journalistes pro-CH, des fefans et des dirigeants du Caca quand leur club s'effondre, outre la jouissance de voir l'incapable Scary Price s'effouarer toujours lamentablement sous la pression, les Anti-Habs se délectent souvent des déclarations stupides des joueurs CHicolores. Hier c'était au tour de la tête de linotte à Lars Eller de motiver les Oilers avant le match en les comparant à une équipe junior. L'autre jour, dans l'Ouest canadien, c'était l'insignifiant Piqué des vers Subban qui imputait à une mauvaise pratique la défaite gênante à Calgary. Un commentaire que n'a pas dû apprécier T'EsRien, celui qui dirige justement les séances d'entraînement !
Bref, tranquillement pas vite, les étoiles semblent s'aligner pour les Anti-Habs. Nous rions de plus en plus. C'est bon signe ! Évidemment, les fefans, les CHieux et les joueursnalissssses moronréalaids invoquent l'habituelle excuse des blessures pour expliquer la déconfiture de leurs protégés contre des adversaires faibles. Ils oublient de mentionner que ces mêmes opposants devaient se débrouiller eux-mêmes sans quelques joueurs-clés. Mais il ne faut pas demander à ces êtres bornés de comprendre ce genre d'argument. Ce serait trop leur demander... Au tour des puissants Ducks d'Anaheim et des fantastiques Sharks de San Jose de s'amener jeudi et samedi au Centre PouBell. Les CHieux vont sans doute essayer de contrer ces excellents clubs en jouant la trappe à outrance. Oh ! Parlant du Centre PouBell, en terminant, Dan Pou l'animateur du FM-93, faisait remarquer cette semaine, que le verre de bière, aux matchs des Cannes à CHiens, était rendu à $ 11 l'unité, et que la petite bouteille d'eau se vendait $ 5,25 ! Poulin disait, en riant, qu'avec des articles vendus comme ça à des prix exorbitants, le Cacanadien pouvait facilement se payer deux P.K. Subban ! En passant, les bouteilles d'eau sont à 4 pour une piastre au Dollorama...
Inscription à :
Articles (Atom)