J'ai créé un blogue anti-habs il y a quatre ans afin de combattre le mythe de supériorité et de gloire du Cacad'CHien de Moronréal. J'en avais plein le dos de la vantardise, de l'arrogance et de l'attitude impériale qui sont l'apanage de ce club de merde et de la secte de ses partisans fanatiques. Je suis encore plus écoeuré de cette insolence, aujourd'hui, après avoir décrit les scandales et les déboires qui ont miné cette organisation pourrie depuis que j'ai commencé à la scruter de plus près sur l'ancêtre de ce site (CH comme dans torCHon, court-circuité il y a deux ans par des plaintes de fefans drapés dans leur suffisance ridicule et incapables de supporter de se faire dire leurs quatre vérités). Je sais que l'innombrable foule des timbrés du CHicolore ne le réalisera ou ne l'admettra jamais, mais je n'arrêterai pas de le proclamer haut et fort : "le Cacanadien de Mourial n'est pas la plus grande équipe sportive de tous les temps". Elle carbure sur ses vieilles Coupes Stanley pour occulter sa débandade des deux dernières décennies. Sa machine à propagande (marketing, RDS, réseaux sociaux, journalistes "associés") ressuscite et recycle inlassablement le vieux stock (on s'est fait particulièrement inondé de "souvenirs" lors de l'année du centenaire du CH) pour redorer le blason d'une organisation qui n'a plus rien d'extraordinaire ou de prestigieux. Quant aux fefans, ils se sont assez déshonorés (et nous avec, malheureusement) -par des comportements stupides et des émeutes dont les images ont fait le tour du monde-, pour que l'on comprenne facilement qu'ils sont une cause perdue, comme l'avenir de leur club sur la patinoire, d'ailleurs...
Frères Kostitsyn |
Faut-il s'étonner que le club de hockey Canadien soit à l'image de Moronréal, une ville décrépite, corrompue, toute croche, sale, défectueuse, paradis des gangs de rues et des punaises de lit, royaume des enveloppes brunes et de la vermine ? La direction de la CHnoutte est experte en illusionnisme ainsi que dans l'art de jeter de la poudre de perlimpinpin aux yeux de ses partisans niais, qui se font remplir comme les cruches qu'ils sont. Elle cultive l'hypocrisie, la fourberie et les faux-semblants mais elle a l'immense chance d'exploiter une clientèle captive qui chiâle parfois mais qui continue à sur-payer pour de la marchandise avariée. Et ces idiots avaleurs de couleuvres en redemandent ! Saisons après saisons, les patrons des CHieux bouchent les trous dans leur alignement de joueurs médiocres, comme les incompétents employés de la voirie municipale bouchent les milliers de trous dans les rues "scrap" de MortYial. Dans les deux cas, la réparation ne dure pas longtemps et le travail est toujours à recommencer...
Ces dernières années, c'est drôle, les joueurs sur qui planaient des rumeurs persistantes et malsaines pour la Sale Flanelle, ont tout simplement été échangés ou largués par les patrons du club de hockey de la métropauvre. On a alors vu partir, entre autres, les Chris Higgins, Ryan O'Byrne, Roman Hamrlik, et les frères Kostitsyn (clients d'un gars de la pègre qui leur refilait des "escortes" et de la vodka...). Mais même quand ils se font pincer par la police et qu'on les arrête, les membres de la grande famille du Canaillien sont presque toujours acquittés par des juges complaisants (achetés ?) ou bien ils écopent de sentences bonbons. Et si l'état-major du CH ne peut pas camoufler ces affaires gênantes, on s'arrange au moins pour minimiser cette mauvaise publicité en faisant en sorte que les mauvaises nouvelles soient révélées durant la saison morte du hockey, quand tout le monde est en vacances. Comme ce fut d'ailleurs le cas, cet été, avec le jugement pour assaut, du défenseur Nathan Beaulieu (photo ci-dessus) et l'histoire de conduite automobile avec facultés affaiblies de Mario Tremblay.
Rappelons aussi qu'après la fin de leur dernière campagne, qui s'est encore terminée en queue de poisson, la direction de la CHarogne a échangé une autre pomme pourrie, Danny Kristo (photographié ci-dessus avec le chef recruteur du CH, Trevor Timmins), aux Rangers de New York. Ce prospect, soi-disant voué à une belle carrière mais qui est en fait une autre erreur de recrutement de l'incompétent Trevor Timmins, s'avère être une tête folle et un bum qui traîne un dossier alourdi par des comportements condamnables et par des histoires d'abus d'alcool qui lui ont attiré les foudres des autorités de l'Université de North Dakota, où il vient de compléter quatre années de formation (?). Devenu un indésirable parce qu'il se retrouvait toujours dans de mauvais draps et qu'il nuisait à la sacro-sainte image des Habs-Not, Kristo s'est fait botter le derrière par le management du club des Molson, trop content de lui faire prendre la porte en obtenant au moins un joueur en échange.
Tout indique que le DG des CHieux, Symphorien Bergevin, devra aussi inviter Nathan Beaulieu, un autre grand espoir de la Flanelle flétrie, à faire ses valises et à quitter l'organisation de broches à foin de Mourial. En effet, le jeune défenseur ontarien de 20 ans, repêché par Timmins, en première ronde (17e rang) au printemps 2011, a plaidé coupable à des accusations d'assaut portées contre lui et son père Jacques par David VanGeffen et Wesley Vanderwal, deux beaux-frères de Strathroy, Ontario. Les faits incriminants se sont produits dans une rue de cette localité, il y a quelques mois, après une partie de hockey bottines assez copieusement "arrosée"...d'alcool. Pour une raison quelconque, les Beaulieu, vraisemblablement saouls, se sont mis à endommager l'équipement de hockey des enfants du gars à qui ils rendaient visite. Vanderwal s'est interposé et leur a dit d'arrêter leur saccage. Enragé par cette intervention, Jacques Beaulieu, qui, à ce moment-là, était toujours directeur-général et entraîneur du Sting de Sarnia (Ligue de hockey junior de l'Ontario), a crié "pour qui te prends-tu ?" à Vanderwal. Il a ensuite arraché une manche du gilet de Vanderwal en plus de le frapper violemment au visage à huit reprises. La victime a réussi à se sauver en se réfugiant dans son pick-up. Le voyant prendre la fuite avec son véhicule, les Beaulieu ont alors agressé son beau-frère (VanGeffen) parce que celui-ci refusait de leur donner l'adresse de Vanderwal. Jacques Beaulieu lui a déchiré sa chemise sur le dos pendant que son fils Nathan lui donnait un coup de poing au-dessus de l'oeil droit (bel acte de lâcheté digne du Canadien de Montréal). Malgré la gravité de ces attaques sauvages, les Beaulieu ont été acquittés en cour même s'ils ont reconnu leur culpabilité. Ils sont sous probation et ils doivent respecter certaines conditions, mais ils n'auront aucun dossier criminel. Autrement, une pareille tache à leur nom aurait grandement été nuisible à leur carrière au hockey puisqu'ils auraient été interdits de séjour aux États-Unis. Le père Beaulieu a néanmoins été congédié par le Sting de Sarnia, sous les applaudissements de beaucoup d'amateurs de hockey qui souhaitent ardemment que ce vil individu n'ait plus jamais l'opportunité de diriger de jeunes hockeyeurs. Jacques Beaulieu ne doit plus avoir la chance d'exercer sur eux le même genre de mauvaise influence qu'il exerce sur son fils Nathan.
Le jugement a été accueilli avec stupéfaction par beaucoup d'observateurs de la scène judiciaire en Ontario et au Québec. On n'en revient pas de la clémence du juge. Si vous ou moi avions commis un tel crime, nous nous serions retrouvés derrière les barreaux d'une prison. Il faut croire que les membres de la grande "familia" du torCHon sont des intouchables et qu'ils jouissent d'un traitement de faveur. On les blanchit aisément. Souvent, d'ailleurs, on invoque le fait qu'ils sont des célébrités ou des gens connues et que, à cause de ce statut, la mauvaise publicité qu'on leur fait dans les médias en rapportant leurs méfaits, est une punition suffisante pour ces "pauvres hommes".
Jacques Beaulieu est loin d'être le premier homme de hockey à ne pas donner le bon exemple à son garçon. Guy Lafleur, l'ancienne légende du CHiard, n'a guère eu plus de succès dans l'éducation de son fiston Mark (photo ci-dessus). Celui-ci, fort de la renommée de son paternel, semble avoir un sentiment d'invulnérabilité. Fantasque, on dirait qu'il se plait à défier et à violer les lois et les règlements. Sa dernière folie a été de se faire prendre les culottes à terre, dans un endroit public, en pleine relation sexuelle avec sa partenaire. Une femme et son enfant ont porté plainte après avoir été témoins des ébats des deux individus sans scrupule. On ne sait pas trop si les deux tourtereaux en avaient fumer du bon... Dans sa jeunesse, Flower n'a pas été toujours sage non plus. La gloire et la richesse lui ont enflées la tête au point où ti-Guy ne se préoccupait pas tellement des règles, en particulier celles du code de conduite automobile. On se rappelle qu'il avait failli se faire tuer dans un accident alors qu'il conduisait une voiture sport. Une longue tige de métal lui était passée à quelques centimètres de la tête en transperçant l'habitacle de son bolide d'avant en arrière. Les circonstances de cet accident sont demeurées nébuleuses... La dirigeants du CanaCHien ont probablement contribué à épaissir le mystère autour de cette mésaventure de leur as marqueur du temps. Même dans sa maturité l'ancien numéro 10 des CHieux semble penser qu'il est au-dessus des lois et des règlements parce qu'il est célèbre et que le hockey est une religion au pays. André Arthur, l'ancien roi des ondes radiophoniques de Québec et aussi chauffeur occasionnel d'autobus, a raconté à quelques reprises qu'il avait été menacé par Guy Lafleur quand il lui a demandé d'arrêter de fumer dans l'autobus qu'il conduisait durant une tournée de matchs d'exhibition d'anciens joueurs de la CHnoutte. En plus d'envoyer promener Arthur, Lafleur lui a dit qu'il lui ferait perdre son "job" s'il continuait à l'embêter. Plus tard, Flower a eu d'autres démêlées avec la justice quand il a été accusé de parjure pour aider son fils Mark à se sortir du pétrin.
On apprenait également cet été qu'une bague de la Coupe Stanley 1986 des Canadiens, ayant appartenu au dur à cuire Chris Nilan (photo ci-dessus), a fait l'objet d'un débat en cour de justice. Sans qu'on sache trop comment et pourquoi, ce bijou de l'ex-taupin du Caca s'est retrouvé dans les mains d'un important chef de la pègre de Boston. Ce criminel accusé de treize meurtres a enfin été capturé récemment par la police après seize ans de cavale à travers les USA. Ce dangereux assassin est un proche parent de l'ex-conjointe de Nilan. Ce dernier a nié avoir donner la bague à cette crapule qui, en passant, a eu gain de cause devant le tribunal et pourra donc conserver ce précieux souvenir. La poursuite voulait que le bijou soit confisqué afin de le vendre pour éponger une petite partie des immenses dettes que l'accusé a contractées. Nilan a toujours soutenu qu'il avait donné la bague à son père et que le Canayin avait consenti à lui en faire fabriquer une autre. Sans doute que Nilan éprouve des problèmes de mémoire à cause des nombreux coups qu'il a reçus à la tête durant ses années de pugilat avec le torCHon...
Dans la même veine déshonorante, et, bizarrement, pendant que nous étions partis en voyage de vacances d'été ou que nous étions tous dans la piscine ou près du barbecue, nous avons quand même appris que l'ancienne cervelle brûlée du CH, Mario Tremblay, avait été arrêté par la police à Mascouche en...janvier dernier. L'ex-joueur et ex-coach de la Sainte Guenille, maintenant animateur de radio et commentateur à RDS, doit faire face à des accusations d'avoir conduit sa Toyota Venza 2013 alors qu'il était ivre. Le bleuet bionique a refusé de se soumettre au test de l'ivressomètre. Il a plaidé non coupable en cour, le 18 juin, en croyant probablement lui aussi que les cinq Coupes Stanley qu'il a gagnées avec les CHieux l'immunisent contre les poursuites judiciaires. Les journaliches-culs de Mourial étaient-ils au courant de cette sale affaire survenue au début de l'année ? Ont-ils été encore complices du torCHon pour ne pas ébruiter ce délit embarrassant avant la période plus favorable de la saison estivale, alors que Tremblay n'est pas à l'antenne ? Ce ne serait pas surprenant que la réponse soit affirmative. Ce ne serait pas la première fois, ni la dernière fois, que ces mange-marde et ces suceux de jack straps CHicolores agissent ainsi.
Néanmoins, cet autre écart de conduite de Tremblay le rappelle à notre doux souvenir. Les anti-habs seront éternellement reconnaissants envers lui. Sa querelle avec Patrick Roy (qui a aussi eu affaire à la justice à cause d'une histoire de violence conjugale) a en effet été l'élément déclencheur de l'actuelle période de sécheresse du bleu, blanc, merde. Entraîneur du CH et voulant établir son autorité dans la chambre des joueurs, où Roy en menait trop large à son goût, Mario avait voulu donner une leçon à "casseau" en le laissant se faire bafouer par les Red Wings de Détroit, un soir où le 33 ne l'avait pas du tout. Les spectateurs crétins de Moronréal avaient ridiculisé Patrick en l'acclamant après un arrêt facile. Le gardien, blessé dans son orgueil, avait répliqué à leurs cris en levant les bras en l'air en signe de triomphe. Lorsque Tremblay a enfin rappelé Roy au banc, il était trop tard. Celui qui a été le grand responsable des deux dernières Coupes Stanley du CH avait déjà décidé qu'il ne jouerait plus jamais pour ces imbéciles de fefans et l'état-major de la CHiure. En revenant au banc des joueurs, Roy fit part de sa décision à Tremblay et au président du Caca Ronald Corey. On connaît la suite, l'échange de Roy à l'Avalanche du Colorado fut catastrophique pour les CHieux. Ils ne s'en sont jamais remis pendant que casseau allait gagner deux Coupes Stanley à Denver. Depuis cet épisode désastreux, aucune autre grande vedette québécoise n'a fait partie de ce club en déchéance perpétuelle.
Depuis vingt ans, le Cacanadien paye la rançon de la gloire de ses belles années. Il est loin d'avoir fini de payer... Il traverse une longue période de honte et de déshonneur. À la plus grande joie des anti-habs. Même l'été !!!