jeudi 31 octobre 2013

LE CH S'EN TIRE BIEN EN OCTOBRE MAIS...À VAINCRE SANS PÉRIL, ON TRIOMPHE SANS GLOIRE.


Malgré l'absence de blessés d'importance, en l'occurrence son meilleur buteur Pacioretty et son défenseur le plus robuste Emelin, le torCHon de Mourial s'en est bien tiré au mois d'octobre (fiche de 8-5).  Mais il faut dire que son calendrier était facile et parfait pour se mettre en selle en ce début de saison.  Huit parties à domicile et des adversaires en majorité faibles, traversant une mauvaise période, et eux-mêmes hypothéqués par des blessures à des joueurs clés.  Le calendrier favorable de début de campagne est une tradition établie pour les CHieux, gracieuseté de la complice Ligue NaCHionale.  Il est toutefois légitime de se demander ce qu'aurait pu faire les CHaudrons s'ils avaient eu à composer avec le calendrier des Sénateurs d'Ottawa, qui ont dû se taper les meilleurs clubs de la Conférence de l'Ouest (nettement plus forte que la Conférence de l'Est) pour débuter leur saison.



Des huit victoires du bleu, blanc, merde en octobre, deux seulement ont été acquises contre des clubs présentant un dossier gagnant (Vancouver et Anaheim).  La fiche combinée de ces opposants vaincus : 44-57 (moyenne de 0,436).  Pas de quoi se péter les bretelles !  Et pour arriver à arracher ces victoires, dont quelques-unes de justesse, il a fallu que le Cacad'CHien joue du hockey de séries éliminatoires.  Peu confiant, et avec raison, en son gardien Scary Price, l'entraîneur-chef Michel T'esRien a réussi à convaincre ses troupiers de se sacrifier en bloquant pas moins de 243 tirs ennemis, un sommet dans la NHL.  De plus, comme la saison dernière, le CHiendent a été un des clubs qui a obtenu le plus de jeux de puissance (53, 4e dans la Ligue à un A.N. du 2e rang).  La CHiasse en a profité pour marquer beaucoup de buts en supériorité numérique (7e rang avec un taux d'efficacité de 22,6 %) d'autant plus facilement contre des formations poches.  Il en va de même pour la performance de la CHnoutte en désavantage numérique (7e avec un taux de réussite de 84,3 %).  C'est moins difficile de tuer des punitions contre des attaques à cinq adverses qui sont anémiques.




Privés d'éléments robustes en Emelin, Prust, et Parros, le Caca s'est bien gardé de provoquer ou de réveiller ses opposants.  On voulait jouer du hockey de robots, du hockey scientifique, du hockey pépère.  Du jeu dénué de rudesse (les Canailliens sont 26e pour les mises en échec avec seulement 224) qui favorise les nombreux petits schtroumfs du CH.  Quand ça chauffe physiquement, les p'tits Habs prennent leur trou et perdent presque à tout coup.  On l'a vu contre les Sharks et les Maple Leafs.  Et quand les adversaires jouaient avec autant d'intensité que la CHiure, ou pratiquait un style défensif aussi étanche que les CHieux, ils donnaient beaucoup de fil à retorde aux protégés de Therrien.




Sur le plan individuel, on a pu se rendre compte, comme on l'avait prévu, que Desharnais (un point en 13 parties) est un joueur de la Ligue Américaine ou même de la East Coast League.  On a eu assez le temps de voir Daniel Brière avant la Xième commotion cérébrale qui l'a sorti de l'alignement -ça aussi on l'avait prédit- pour constater qu'il est un joueur fini.  Lorsque le seul trio productif des Cannes à CHiens (celui des jeunes pivoté par Eller) s'est éteint après la 10e partie, celui de Plekanec a pris la relève pour permettre de vaincre difficilement les faibles Rangers et les peu redoutables de Stars, cette semaine.  Michael Bournival (3-4-7) s'est aussi avéré une belle surprise pour les Habs.  Les simples d'esprit, qui commentent les matchs du Cacanadien au réseau RBS, ont vanté le début de saison de Subban et de Markov, mais les chiffres disent que P.K. est toujours aussi erratique dans ses tirs au but (efficacité de 5,6 % avec deux petits buts), qu'il joue toujours aussi mal en défensive, et qu'il prend toujours de mauvaises pénalités (16 minutes).  Dire que les journaliCHeux de la métropauvre lui concèdent déjà le prochain trophée Norris !  C'est du délire !  Quant à lui, Markov a commis pas moins de 18 revirements jusqu'à maintenant, un total astronomique comparé à celui de ses coéquipiers.  Il n'a qu'un maigre but et 5 petits points à son actif.  Pas si reluisant que ça, donc.


Le calendrier de novembre sera beaucoup moins aisé que celui d'octobre.  Ce ne sera pas de la p'tite bière Molson.  On verra si le torCHon pourra s'en tirer encore à bon compte, sans coup férir...     

mercredi 23 octobre 2013

FAUTE DE SE FAIRE DES "PROVISIONS" CET AUTOMNE, L'HIVER SERA DUR POUR LES HABS...


Le CacanaCHien de Mourial c'est comme un écureuil.  Il doit faire des provisions l'automne s'il veut réussir à survivre à l'hiver.  En effet, le torCHon nous a habitué à ce scénario : s'il arrive à amasser assez de victoires ou de points de BS en prolongation ou en fusillade, durant la première portion facile du calendrier (avant les fêtes), il peut espérer compter sur les défaillances des autres clubs pour se tailler de justesse une place en séries éliminatoires.  Par contre, les années pendant lesquelles les CHaudrons ne commencent pas la saison du bon pied, l'hiver devient rapidement cruel et fatal pour eux.  Même s'il est trop tôt pour dégager des tendances favorables pour les Anti-Habs, disons que ça regarde plutôt bien pour nous ces temps-ci.  Comme au cours de ses nombreuses campagnes perdantes des deux dernières décennies, le Caca semble prendre l'habitude de perdre des avances en deuxième moitié de match, -il a été chanceux de gagner contre Columbus la semaine passée après que les Blue Jackets aient comblé un déficit de 3 à 0- et il a une fiche déficitaire (2-3) à domicile jusqu'ici.  Une recette infaillible pour un désastre...



Cet ordre des choses est idéal pour les Anti-CH.  Nous voyons d'abord les fefans s'exciter comme des souris sur un bloc de fromage, -quand leurs CHieux prennent les devants-, pour les voir ensuite se prendre la tête à deux mains, -lorsque la balloune de leurs idoles se dégonfle en seconde demie de partie-.  Comme dans des montagnes russes, ils passent de l'euphorie dans les montées, au désarroi lors des descentes.  Super ! Après le 3e but inutile des Canailliens hier soir -à deux secondes de la fin du match- les caméras de RBS nous ont fait voir la niaiseuse de fefan qui sautait de joie dans les estrades en brandissant son écusson du Caca sur son torCHon de chandail.  Quelle conne !  On aurait dit qu'elle fêtait une Coupe Stanley !  Même chose du côté des journaliCHe-culs qui couvrent les CHaudrons.  Lors des points de presse de Michel "Éphrem" Therrien, le flattage de poils et la complaisance sont de mise chez les scribes francophones après les triomphes de la CHiasse.  Mais quand la grosse face rouge de T'esRien se présente devant ces lèche-cul après une couple de mauvaises défaites, les petits scribouilleurs prennent leur trou et n'osent pas prendre le risque de se faire planter s'ils posent une question trop difficile pour le pilote au front de beu.  Seuls les journalistes anglophones ne semblent pas craindre le bouillant coach de la CHiure.



Outre le plaisir d'admirer les CHaudrons s'écraser en fin de rencontre, outre la face déconfite des journalistes pro-CH, des fefans et des dirigeants du Caca quand leur club s'effondre, outre la jouissance de voir l'incapable Scary Price s'effouarer toujours lamentablement sous la pression, les Anti-Habs se délectent souvent des déclarations stupides des joueurs CHicolores.  Hier c'était au tour de la tête de linotte à Lars Eller de motiver les Oilers avant le match en les comparant à une équipe junior.  L'autre jour, dans l'Ouest canadien, c'était l'insignifiant Piqué des vers Subban qui imputait à une mauvaise pratique la défaite gênante à Calgary.  Un commentaire que n'a pas dû apprécier T'EsRien, celui qui dirige justement les séances d'entraînement !





Bref, tranquillement pas vite, les étoiles semblent s'aligner pour les Anti-Habs.  Nous rions de plus en plus.  C'est bon signe !  Évidemment, les fefans, les CHieux et les joueursnalissssses moronréalaids invoquent l'habituelle excuse des blessures pour expliquer la déconfiture de leurs protégés contre des adversaires faibles.  Ils oublient de mentionner que ces mêmes opposants devaient se débrouiller eux-mêmes sans quelques joueurs-clés.  Mais il ne faut pas demander à ces êtres bornés de comprendre ce genre d'argument.  Ce serait trop leur demander...  Au tour des puissants Ducks d'Anaheim et des fantastiques Sharks de San Jose de s'amener jeudi et samedi au Centre PouBell.  Les CHieux vont sans doute essayer de contrer ces excellents clubs en jouant la trappe à outrance.  Oh ! Parlant du Centre PouBell, en terminant, Dan Pou l'animateur du FM-93, faisait remarquer cette semaine, que le verre de bière, aux matchs des Cannes à CHiens, était rendu à $ 11 l'unité, et que la petite bouteille d'eau se vendait $ 5,25 !  Poulin disait, en riant, qu'avec des articles vendus comme ça à des prix exorbitants, le Cacanadien pouvait facilement se payer deux P.K. Subban !  En passant, les bouteilles d'eau sont à 4 pour une piastre au Dollorama...          

mercredi 16 octobre 2013

LE CALENDRIER FAVORABLE DU DÉBUT DE LA SAISON CONTINUE LA TRADITION D'AVANTAGES INJUSTES DU CACANADIEN.


J'ai lu un article fort instructif de Shawn Reznik (Hockey Writers) cet été.  Il en venait à la conclusion que si le Cacanadien de Mourial ne pouvait pas être désigné comme l'équipe la plus sur-évaluée de l'histoire de notre sport national, elle avait indubitablement joui d'avantages injustes, dans ses périodes de gloire, par rapport aux autres clubs de la LNH.  Bien que ces atouts favorables aient diminué avec le temps, ils sont encore présents de nos jours.  Ainsi, en vertu de son droit d'aînesse (ancienneté) et de la commandite de 375 millions de dollars qui fait de Molson la bière officielle de la Ligue, le torCHon bénéficie encore cette saison d'un début de calendrier facile facile, payant payant.  Le mois d'octobre brille aux couleurs CHicolores avec huit parties sur treize disputées à domicile.  Des dix premiers adversaires des CHaudrons, sept ne se sont pas classés en séries éliminatoires le printemps dernier.  Bref, un beau petit mois relaxe, à affronter des formations poches qui se forcent encore moins au commencement d'un long et éreintant calendrier.  Dans les six premières rencontres, les CHieux ont perdu deux fois face à des clubs (Tor., Calgary) qui ont joué avec intensité et qui les ont bousculés et rudoyés -la façon infaillible pour les battre-.  Dans ses quatre victoires, le bleu, blanc, merde a joué de chance (les Canucks qui marquent dans leur propre filet) ou il a vaincu des équipes faibles et peu inspirées (Phil., Edmonton, Winnipeg).


L'article de Reznik est intéressant parce qu'en expliquant pourquoi les Canailliens ont eu tant de succès dans les années '50, '60 et '70, il met en lumière les raisons qui font que le CH est en déclin depuis vingt ans.  Si la Sainte Guenille a gagné autant de Coupes Stanley dans ces décennies, c'est qu'elle possédait le "know how" avec des dirigeants compétents, rusés, sachant comment "rouler" leurs homologues des autres concessions.  Ils étaient également en mesure d'exploiter les autres avantages dont le club disposait.  Un de ces pouvoirs importants était certes l'argent.  Pleins aux as, les Habitants pouvaient presque s'acheter des championnats en étant capables de mettre la main sur les meilleurs hockeyeurs.  Eux seuls pouvaient se payer un Jean Béliveau (un contrat de $ 100 000 pour cinq ans, une véritable fortune en 1953).  Ils avaient aussi les moyens de se doter d'un système de filiales pour former les prospects qu'ils recrutaient.  Ils furent des pionniers dans ce domaine, ce qui leur donnait plusieurs longueurs d'avance sur les autres clubs.  Par contraste, depuis 20 ans, la CHnoutte n'a pratiquement eu que des incompétents à la direction et au poste de recruteur en chef (Timmins).  Le plafond salarial est le même pour toutes les équipes, ce qui empêche le CHiendent de se payer des Coupes grâce à ses considérables ressources financières.

Mais ce qui faisait vraiment pencher la balance en faveur des Cannes à CHiens dans les temps anciens, c'était avant tout les joueurs qui portaient leur uniforme.  Déjà, en étant les premiers à instaurer un club école, ils attiraient bien des jeunes désireux de parfaire leur formation.  Et, par-dessus le marché, la formule des contrats (appelée "C form") mise de l'avant par la Ligue en ce temps-là, permettait au Caca de signer des joueurs amateurs de 18 ans évoluant partout en Amérique du Nord.  En avance sur son temps et parce qu'il avait de l'argent pour se payer pas mal de recruteurs (scouts), le torCHon pouvait damer le pion à ses adversaires.  Mais le pire c'était la règle des 50 milles qui garantissait l'exclusivité des joueurs amateurs dans un rayon de 50 milles autour de chaque ville ayant une franchise de la NHL.  Cette règle assurait au CanaCHien l'exclusivité des droits sur l'immense bassin de joueurs francophones qui peuplaient alors les alentours de Mourial.  Que vouliez-vous que les Rangers de New York fassent avec un tel règlement ?  Dans les années 50, dans un rayon de 50 milles autour de la Grosse Pomme, les joueurs amateurs capables d'évoluer chez les professionnels étaient tout simplement inexistants !  Ce système de recrutement injuste a perduré jusqu'en 1969.  Dans le hockey moderne, le Caca est sur le même pied que les 29 autres concessions de la LNH.  Et ça paraît.  Les ex-glorieux n'ont plus les mêmes succès à armes égales, que ce soit en matières d'argent, de qualité de recrutement et de capacité à attirer les meilleurs hockeyeurs.  Le système d'impôt, la folie des fefans et des journaliCHieux harceleurs, et la laideur de Montréal jouent même contre les CHieux, maintenant.


L'élément nationaliste jadis accolé au CH n'est plus là pour les aider non plus.  Autrefois, l'alignement du Cacanadien était composé à 75% de Québécois.  Porter l'uniforme du CH c'était une grande fierté pour eux.  En séries éliminatoires, ils étaient prêt à souffrir, presque à y laisser leur peau, pour gagner.  Dans une Ligue à six équipes, et compte tenu de leurs avantages injustes, les Canadiens avaient bien plus qu'une chance sur six (17%) de remporter la Coupe.  Même après la première expansion de la Ligue Nationale en 1967, les CHieux avaient beau jeu lorsqu'ils affrontaient les clubs de l'Ouest (nettement inférieurs) en finale.  Aujourd'hui, avec des règles moins faites sur mesures pour eux, le torCHon n'est plus qu'un club ordinaire parmi tant d'autres et ses chances de gagner la Coupe sont de une sur trente (3%).  Les CHieux n'ont plus les valeureux et courageux soldats prêts à se sacrifier pour gagner le gros trophée.  Le Canadien n'a de canadien que le nom puisque ses joueurs sont américains ou européens, à part quelques francophones marginaux qui sont là pour boucher les trous et contenter les fefans et les journalissssssses.  Elle est bien loin la belle époque des Habs invincibles...  Une époque révolue...à tout jamais !

mardi 8 octobre 2013

LE CACANADIEN ÉCHOUE GÉNÉRALEMENT LE TEST DU "TEMPS"...


C'est le propre des imbéciles qui ne connaissent rien, des fefans bipolaires du CanaCHien de MortYial -et des journaliCHe-culs qui le supporte- de sauter rapidement aux conclusions.  Après seulement deux parties du calendrier de 82 matchs des CHieux, ces sans génie montent aux cieux le trio de Lars Eller et descendent aux enfers celui de David Desharnais.  Les gens sensées savent pourtant qu'avant de se faire une idée sur un sujet -que ce soit un phénomène social, scientifique, économique, sportif ou artistique- il faut une constance et du temps pour dégager les tendances ou les modes.  Daniel Brière finira bien par marquer quelques buts.  Et Lars Eller va tôt ou tard frapper un mur et voir sa production offensive stoppée.  Seul le temps nous dira s'ils connaîtront une bonne saison.  Ils doivent passer le test du temps, comme leur équipe.  Disons que depuis vingt ans, les CHaudrons de Moronréal ont échoué cet examen.  Deux décennies, c'est suffisant pour affirmer que le torCHon est un club poche et que ses dirigeants sont des "losers".  La tendance est confirmée.  Le verdict est validé par une tonne de preuves.  À court terme, pour voir de quel bois se chauffe la présente formation de la CHnoutte, le test du prochain voyage dans l'Ouest du Canada nous en dira peut-être davantage, quoi que cette épreuve ne sera pas encore concluante.  Il faut au moins attendre entre 15 et 20 joutes pour évaluer le CH et essayer de se faire un jugement qui confirmera fort probablement celui qui est établi depuis 20 ans.

Samedi dernier, les CHieux ont profité de la désorganisation des Flyers de Philadelphie pour gagner.  Les Flyers ont passé la soirée au cachot.  Le torCHon a bénéficié de pas moins de neuf avantages numériques.  Difficile de prendre son élan et de retrouver sa cohésion quand le jeu est toujours interrompu et que vous devez vous défendre à court d'un ou deux hommes.  La qualité du jeu a été pourrie.  Cela a donné un match terne au possible.  À la télé de CBC, les commentateurs se demandaient s'il y aurait enfin de l'action quand la 3e période s'est entamée.  Jusque là, avec un score de 1-0 CHiasse, il ne se passait rien d'intéressant.  Du jeu à la fois décousu, sinon cousu de pénalités et de tentatives d'attaque avortées.  Les Flyers semblaient ne pas avoir assez de TEMPS pour organiser quelque chose de cohérent.  Mais ce surplus de temps en avantage numérique du Canadien, par rapport à celui passé en désavantage numérique -du deux pour un- est bien une constante pour le club des Molson, comme on l'a souligné maintes fois ici depuis la saison dernière.  Et les difficultés des Flyers datent également d'un certain temps déjà.  Tellement que l'on a congédié l'entraîneur Peter Laviolette, qui ne parvenait pas à remettre son équipe sur le droit chemin après le cafouillage de la saison passée.  Les dirigeants des Flyers avaient eu assez de temps pour tirer leurs conclusions par rapport au travail de Laviolette.  Ils ne reconnaissaient plus leur club, traditionnellement déterminé et combatif. 


Chose plus certaine, il y a une autre tendance qui apparaît clairement.  Celle qui montre à quel point les fefans sont cons depuis longtemps.  Ils ont hué copieusement Vincent LeCavalier samedi.  C'est toujours le cas quand un Québécois refuse de porter les couleurs de leur équipe de merde en préférant un club où ils pourront évoluer sans se faire lancer la pierre à la première occasion, quand ils n'offriront pas une performance extraordinaire.  Le manque de classe des fefans avait aussi été relevé par Erik Cole il y a deux ans.  Alors que les fefans huaient leurs propres porte-couleurs, Cole avait sarcastiquement fait remarquer que ce n'était pas la bonne façon d'encourager les hockeyeurs du CH à bien jouer.  Il y a très peu de certitudes dans la vie à part la mort et les taxes.  Mais il y a la certitude que l'on peut taxer les fefans de cons à mort !     

jeudi 3 octobre 2013

PARROS ET LE CACANADIEN RATENT LEUR RENTRÉE AU MATCH INAUGURAL DE LA NOUVELLE SAISON DE LA LNH.


Les autorités de la Ligue NaCHionale de hockey ont-elles voulu faire une autre faveur au torCHon de Moronréal en leur permettant d'inaugurer à domicile la nouvelle saison de hockey du circuit Bettman ?  S'il voulait projeter une belle image de leur ligue sur les marchés canadiens, américains ou même mondiaux, il est facile de comprendre que les bonzes du hockey professionnel ont raté leur coup.  Oui, d'accord, il y avait foule aux abords du Centre Poubell longtemps avant que la partie commence.  Mais cette grosse assemblée de mottés arborant leurs chandails CHicolores tout en faisant les caves et en éructant les relents de leur "Molson Canadian" qui, rappelons-le, est la bière officielle de la NHL (moyennant un contrat de 375 millions de dollars), n'ont encore réussi qu'à faire honte à leur ville corrompue et à l'ensemble des Québécois.  Comble de la honte et du dérisoire, on a vu Biz, un des trois stooges du groupe LOTO LOTCA$H, accorder une entrevue au réseau des soudoyés (RDS), histoire de remplir son mandat de pute du Cacad'CHien, tout en tentant de mousser les ventes de sa chanson LE BUT.  Comme le dit si bien la chanson folklorique bien connue, "Pour boire" -et payer sa drogue- "il faut vendre".  Il  faut vendre et il faut être un vendu.  Et quoi de plus vendeur que le CHicolore, l'opium du peuple.  Dans un discours propagandiste de politicien (synonyme de croche, de têtteux, de menteur et de corrompu) le "rappeur-râpeur-nationaleux-nouveau-nègre-blanc-d'Amérique" a poussé un peu trop la note en faisant allusion aux récentes divisions du peuple québécois autour du projet de Charte des Valeurs Québécoises (lire mon article à ce sujet sur mon site L'ANTI-HABS ILLIMITÉ).  Dans une envolée tout sauf lyrique, le maigrichon barragouineux de paroles saccadées pseudo-pouétiques, a essayé de nous faire croire que la force du torCHon mourialaid balayait toutes les divisions en unissant tous les Québécois.  Du même souffle il rotait sa haine de Toronto (qui a déclassé MortYial comme métropole du Canada depuis les années 1950) en invitant tous ses semblables à faire comme lui.  Biz se met le doigt dans l'oeil jusqu'au trognon s'il croit que tous les amateurs de hockey du Québec sont des mordus des CHieux.  Et il se goure résolument en dénigrant Toronto, une ville forte, dynamique et prospère comme jamais plus Mourial ne pourra l'être.  Les Maple Leafs ont un bon club cette année, et les fefans ne pourront plus se moquer de lui comme il le font depuis si longtemps.  Il y a des milliers de gens raisonnables qui ne s'abaisseront jamais à appuyer une organisation pourrie comme celle des Canailliens.  C'est pas tout le monde qui est dupe et aveugle au point de se faire fourrer avec plaisir par de tels exploiteurs sans vergogne.


Après l'intervention du chantre et fidèle porteur de valises du CH, qui milite pour le mouvement Québec Français, c'était très drôle d'entendre les fefans chanter à pleins poumons la dernière partie de l'hymne national en...anglais, juste avant que le match inaugural du Caca se mette en branle !  Belle bande de poires de plus en plus assimilées !  Et lorsque la joute a débuté, on s'est tout de suite rendu compte que les belles promesses de "club amélioré" faites ces derniers temps par les dirigeants hypocrites de la CHiure -et leurs valets journaliCHeux du bidonville moronréalaid- n'étaient que des paroles en l'air, de la poudre aux yeux et des couleuvres à avaler...encore une fois.  Rien n'a changé.  Les analystes et les commentateurs de RDS sont toujours aussi chauvins.  Il fallait entendre Marc Denis présenter les gardiens de vue en présence en mentionnant seulement les onze victoires à vie de Price contre les Leafs.  Il a sciemment caché les...treize défaites en carrière de Scary contre Toronto.  Il faut donner l'information COMPLÈTE cher suceux de jack-strap des CHieux.  Même chauvinisme de vendu du côté de son compagnon d'antenne Pierre Houde attribuant à une petite goutte de sang la double mineure de Plekanec pour un bâton élevé qui a coupé au visage un joueur des Maple Leafs.  Cette infraction -non mérité d'après Houde- a conduit au premier but de la rencontre marqué par les Torontois.


Rien n'a changé non plus en ce qui concerne le manque de courage de la troupe de Michel "vaurien" Therrien.  Le Caca perd quand les matchs dans lesquels il est impliqué présentent du jeu rude.  Les deux derniers adversaires des CHaudrons -Ottawa et Toronto- ont concocté la même recette gagnante, celle de l'intimidation.  On a vu les schtroumfs Brière, Desharnain, Diaz, Markov et autres Gionta chercher à éviter les contacts avec les joueurs adverses.  Belles poules mouillées !  On a vu le poltron de Subban se cacher encore derrière l'arbitre et tourner le dos à Colton Orr qui voulait le confronter en 3e période.  Même Brandon Prust a refusé un combat lors du dernier engagement.  Lui aussi semble hypothéqué physiquement.  Et quand ils ne pouvaient éviter les mises en échec de leurs opposants, les frileux porte-couleurs de la CHiasse faisaient de beaux vols planés -comme Galchenyuk plaqué solidement par Mark Fraser au milieu de la 3e période-.  Du bonbon et du gâteau pour les Anti-Habs !  On a vu des petits CHieux se ramasser sur le cul pendant toute la soirée.  Une de ces chutes, celle de Markov, était un plongeon volontaire et il a été puni pour son "fake" de mauvais acteur.  Markov n'a pas changé lui non plus.  Toujours aussi mou et peu mobile, en plus d'être une véritable porte tournante en défensive.  Il a été coupable de quatre revirements dont un qui a coûté le but qui a coulé son club minable.  De plus, Price a encore été bousculé dans son demi-cercle.  Quand t'es même pas capable de protéger ton gardien de buts, tu fais dur...  Malgré son changement d'instructeur des gardiens de buts, Price aussi est toujours le même, avec les mêmes défauts : souvent lent à réagir devant son filet, accorde de mauvais retours de lancers, se jette trop souvent à genoux sur la patinoire, est fréquemment trop enfoncé dans son demi-cercle, se laisse trop déporter d'un côté ou de l'autre sur ses déplacements latéraux, couvre mal ses angles (but de Phaneuf).


Le gros George Parros a fait un Georges Laraque de lui en se pétant la gueule sur la glace et en se retrouvant au rancart après avoir subi une commotion cérébrale.  Pas fort le gros punching bag fini...  C'est pas lui qui va faire la police pour la gang d'andouilles du CHiendent.  Pacioretty s'est blessé itou.  S'il faut que le seul marqueur dangereux des Cannes à CHiens soit handicapé par ses petits bobos lui aussi, on ne donne pas cher de la peau des idoles des fefans.  Son trio, ainsi que celui de Plekanec, ont été au neutre toute la soirée.  Chez les Leafs, j'ai été déçu par l'absence du solide David Clarkson, suspendu pour dix matchs.  Il se serait fait plaisir -et à nous aussi- en étampant dans les bandes plusieurs feluettes de la Sainte Guenille.  Ce n'est que partie remise dans son cas.  Les Leafs ont manqué plusieurs filets ouverts, dont trois dans la 16e minute de jeu en période finale.  Sinon le score aurait été plus élevé en leur faveur.  On espère un plan de match similaire de la part des Flyers de Philadelphie qui s'amène au Centre PouBell samedi.  Si leurs gardiens Ray Emery et Steve Mason font du bon boulot en protégeant les buts cette saison, les Flyers pourraient bien rivaliser avec les meilleurs clubs de la Conférence de l'Est, cette saison.  À surveiller, le passage de LeCavalier qui va probablement se faire huer par les fefans bipolaires.  Il faut aussi garder un oeil sur le robuste Scott Hartnell qui aime bien brasser les CHieux et foncer sur Scary Price.  Ha ! Ha ! Ha !  Je sens que les Anti-Habs vont bien se marrer en cette saison qui a si bien commencé mardi !