Même s'ils n’ont pas été sages en 2014, les joueurs, les dirigeants et les fefans du Cacanadien de Moronréal auront des cadeaux sous leur sapin de Noël cette année (le sapin est une courtoisie du spécialiste dans le genre : Passoire Price). Les lèche-cul journalistes de la métropauvre n'ont pas été oubliés non plus par le Père Noël. Voici donc la liste des souhaits et des présents demandés par les CHicolorés. Je me suis permis d'ajouter également ceux des Anti-Habs.
- Geoff Molson : que Jean Béliveau revienne au monde et meure une deuxième fois pour redorer le blason de son organisation de broches à foin. Que l'on découvre et que l'on utilise un ingrédient magique pour mettre dans la bière (pisse de cheval vendue à prix d'or au Centre PouBell) Molson afin de droguer et de rendre encore plus dépendants -au Caca- la multitude des fefans bipolaires. Que la patente du fan-club 1909 devienne une sorte de banque de fétichismes pour les mordus du torchon.
- Journalistes qui «couvrent» les CHaudrons : de la crème fouettée pour mieux lécher le cul des joueurs et des dirigeants des CHieux. Des cadeaux pratiques, comme des limes pour polir les anus CHicolores, ou des pinces pour épiler les poils de cul des mêmes Guenilloux, seraient également très appréciées. De nouveaux pompons bleu, blanc, merde, garnis de paillettes, réjouiraient aussi au plus haut point les cheerleaders (pseudo-reporters) du Caca installés sur la galerie de la presse du Centre BéBelle.
- Anti-Habs : outre des avalanches de défaites humiliantes des Canailliens, et leur élimination avant la fin de la saison régulière, on aimerait recevoir des frondes en cadeaux, afin d'abattre les fefanions qui déguisent les bazous des fefans et qui polluent notre environnement.
- Les pires fefans des CHieux : qu'ils se donnent les oreillons au réveillon de Noël, en s'embrassant. Et puisque ces méchants malades sont des bipolaires invétérés et incurables, le gouvernement Couillard, par égard pour les Québécois normaux, et pour atteindre plus vite le déficit zéro, devrait décréter une taxe spéciale, applicable seulement aux mordus des CHaudrons, sur les tonnes d'anti-dépresseurs qu'ils consomment quand leur club de merde subit l'élimination ou des séries de défaites cuisantes. Comme cadeaux supplémentaires, on devrait leur fournir d'amples provisions de sacs de papier brun pour couvrir leur tête de linotte quand leurs CHieux -ou leurs propres comportements de vandales et de malades mentaux- leur font honte.
- Scary Price : tous les DVD de la série de films des HOBBITS (on se souvient qu'il y a deux ans, Price avait avoué qu'il se sentait comme un hobbit dans une caverne, parce qu'il avait peur de sortir pour aller faire son épicerie à Mourial). Comme autre cadeau : un beau petit coffret pour mettre des «sels à respirer», sur son filet. On a vu Price «sniffer» ce genre de «stuff» -à moins que ce soit une substance illicite- alors qu'il agissait comme substitut sur le banc, durant un récent match à l'étranger. Puisqu'il a tendance à s'endormir également quand il est d'office pendant les parties, ces sels, à portée de main, lui seraient fort utiles. Et pourquoi pas un autre Stetson, ces chapeaux de cow-boys dont raffole étrangement cet Amérindien de la Colombie-Britannique.
- Les quatre porteurs du «A» chez le Caca : un autre «A» sur le chandail de Plekanec, Pacioretty, Subban et Markov pour signifier leur appartenance au club des «AA» (Alcooliques Anonymes).
- Marc Symphorien Bergevin : un ou deux bons rasoirs pour qu'il se fasse la barbe et ressemble davantage à un directeur général qu'à un clochard quêteux et sans abri de Moronréal. Des cours de danse pour avoir moins l'air fou au cas où il aurait une autre opportunité (les probabilités sont très faibles) de célébrer une victoire de son club poche en séries éliminatoires. On se rappelle que le printemps dernier, après que sa bande de lâches aient éliminé par miracle les Bruins de Boston, il s'est rendu parfaitement ridicule en tentant d'exécuter quelques pas de danse dans une loge du Garden. Une vache espagnole arthritique, en pleine crise d'épilepsie, aurait fait mieux. Ses déhanchements maladroits semblaient ceux d’un gars au postérieur infesté de punaises de lit montréalaises, et qui se serait assis par inadvertance sur un porc-épic ou un tapis de clous.
- Michel «T’es Rien» Therrien : un abonnement privilège, cinq étoiles, carte platine, au plus gros sauna de MortYial pour faire fondre un peu sa grosse caboche de lard, suintante, dégoulinante et répugnante. Un porte-voix afin de rappeler aux arbitres qu’ils doivent être de son côté en vertu du droit d’aînesse des Habs, et de la commandite de 375 millions de dollars de Molson payée pour être la bière officielle de la NHL. Un jeu de pachisi pour lui apprendre à jongler avec ses trios tous aussi nuls les uns que les autres. Un dictionnaire anglais-français pour l'aider à parler une langue correcte (discuter des «breaks» de dame chance, pis des «calls des referees», nécessaires aux victoires de sa bande d'incapables) durant ses pénibles et lancinants points de presse. Ses valets de pied, des services de logistique du torchon, pourraient aussi l'accommoder en équipant la salle de presse de sièges éjectables reliés électroniquement à une série de boutons poussoirs installée sur le lutrin ou la tribune que Therrien utilise pour s'adresser aux barbouilleurs des médias tous à la solde de la CHarogne. Si tel ou tel scribe lui posait une question qu'il n’aime pas (ça arrive très rarement car ce sont presque tous des chiens domptés pour rester coucher à plat ventre devant lui, ou pour lui lécher les bottes), le coach des CHieux pourrait le faire «sauter». Enfin, si ça existe, le cadeau idéal pour la grosse face à claques qui dirige le Caca : du viagra pour son pauvre cerveau qui ne cesse de ramollir avec le temps...
- David Desharnais : si Therrien a besoin de viagra pour le cerveau, pour le nain de jardin qu'est Desharnais, c’est plutôt Vitagro qu’il lui faut... David aurait aussi avantage à disposer d'une ligne directe avec le gargantuesque codinde Denis «grosse poche sale» Coderre pour que le maire corrompu de la métropauvre lui dise quand il devrait être retourné dans les mineures...
- Max Pacioretty : du clearasil pour soigner son visage boutonneux et afin qu'il ne devienne pas semblable à celui des lépreux. Ajouter à cela de la potion magique pour aider le grand cave no 67 à disparaître complètement (comme il en rêve) quand le jeu devient plus rude, lors des matchs à l’étranger, et durant les séries éliminatoires. Comme dans le cas de P.K. Subban et de plusieurs autres CHieux, un Oscar serait un beau présent pour Max Pac, étant donné son talent remarquable, autant pour jouer la comédie que pour son habileté à simuler un drame (par exemple, sa fausse mise à mort lors de son accident avec Zdeno Chara, de même que la fois où il criait au meurtre parce qu’il avait mis ses doigts dans la bouche d’un adversaire -Grabovski, je crois- qui avait fini par le mordre pour se défendre).
- Nathan Beaulieu : des liens solides et de beaux gants de caoutchouc pour l'aider à mieux retenir les prochains individus que son père et lui voudront passer à tabac (comme c'est arrivé il y a deux ans, chez eux, en Ontario).
- Sergei Gonchar : une carte de l'âge d'or, une chaise berçante et une canne, pour ce sénile pépère de 40 ans.
- Andrei Markov : un fan motorisé d’aéroglisseur, attaché à son dos, pour lui permettre de rattraper les joueurs adverses qui s'échappent après l'avoir contourné facilement. Un 53e cours d’anglais et des «speeds» pour qu'il arrive à s’exprimer intelligiblement et à une vitesse presque normale...
- P.K. Subban : pour le héros poilu de la planète des singes, pas de cadeau, juste le papier d'emballage cadeau; et du ruban gommé pour lui boucher la gueule et le rectum. Ainsi il ne pourra plus polluer l’air par ses conneries et ses pets nauséabonds. Si ça existe, on pourrait tout de même lui faire cadeau de l'anti-sudorifique miracle qui l’empêcherait de puer davantage qu’une mouffette, un gros tas de merde ou un cadavre en putréfaction. À l'émission TOUT LE MONDE EN PARLE, il y a quelques semaines -et malheureusement en rediffusion ces jours-ci-, Pédé a confié qu'il mangeait beaucoup d’oeufs. Pour satisfaire ses besoins, on pourrait lui offrir plusieurs poules mouillées, qui, c'est évident, vont tellement bien avec sa personnalité. Un costume d'arbitre serait aussi un cadeau très pratique pour lui. Il pourrait l'enfiler pour se confondre avec les officiels -et se cacher derrière eux- quand les joueurs adverses, qu'il a couillonnés, courent après lui pour lui régler son compte. Pour un sale comme P.K., une carte cadeau, chez un nettoyeur au jet de sable, ça se prend aussi très bien...
- Alexei Emelin : une carte chouchou dans tous les hôpitaux d’Amérique du Nord. Et une belle grande photo encadrée de Milan Lucic !
- Tomas Plekanec : un ensemble de gilets à col roulé et, surtout, être échangé à une autre équipe, lui qui en rêve depuis si longtemps, à force de jouer avec des deux de pique...
- Alex Galchenyuk : une paire de béquilles de la meilleure qualité, en prévision des futures opérations à ses genoux de porcelaine...
- Brandon Prust : un dentier tout neuf. Il en aura besoin quand il se fera casser la gueule lors d’un prochain combat... Un bon avocat quand sa blonde ne pourra plus voir sa face de Frankenstein, couverte de cicatrices et de purulentes gales infectées...
- Brendan Gallagher : une bonne police d'assurance-vie pour payer les dégâts à son fragile «frame de poulet», une fois qu'un gardien de buts adverse l'aura passé à la moulinette avec son bâton et ses patins, parce qu'il sera écoeuré de l'avoir dans les jambes...
DESHARNAIN |
- Manny Malhotra : des billets de loterie «Mise-O-Jeu».
- Lars Eller : des gants neufs bien lubrifiés, pour mieux dissimuler ses mains de ciment.
- Jarred Tinordi : un emploi de déménageur plutôt qu’un rappel improbable avec le Caca. Il est habitué de transporter un piano sur ses épaules quand il essaye de patiner.