mardi 29 avril 2014
VIENS VOIR LES MAGICIENS, VOIR LES COMÉDIENS, VOIR LES CANACHIENS, QUIIIIIIIIIII ARRIVENT...
À quoi faut-il s'attendre de la série éliminatoire de 2e tour entre le Cacanadien de Mourial et les Bruins de Boston ? Cet affrontement, qui débutera en fin de semaine -la date n'est pas encore fixée au moment où j'écris ce billet- devrait offrir du jeu serré. Il n'y aura pas beaucoup d'espace de manoeuvre sur la patinoire. On se surveillera de près et lorsque les Bruins attaqueront en zone CHieuse, attendez-vous à ce que les cinq joueurs du Caca se transforment tous en gardiens de buts pour bloquer les lancers. Avec le fragile Scary Price devant le filet, pas de chances à prendre : mieux vaut arrêter le plus de rondelles possibles pour ne pas qu'elles le déjouent. Encore une fois, d'ailleurs, les anti-habs ont eu raison de ramener sur terre les fefans et les mange-marde de journalistes moronréalaids qui crient depuis longtemps que Price est le meilleur gardien au monde. Or, il n'est même pas finaliste pour gagner le trophée Vézina. Sur-estimé disions-nous ? Pas par les membres du jury qui attribuent les trophées dans la NHL, semble-t-il... Même chose du côté de Pédé Subban qui, lui aussi, brille par son absence à la course au trophée Norris cette année. Son demi-Norris de l'an passé était une supercherie, une erreur grossière, -un tour de magie ?- que l'on a heureusement pas répétée en 2014.
La 34e guerre éliminatoire de l'histoire entre Boston et MortYial risque de faire des morts et de nombreux blessés. Surtout du bord du torCHon. Mais rassurez-vous, ce ne seront pas des vrais morts et des vrais blessés. Depuis une couple de semaines, je fredonne la chanson "les Comédiens" de Charles Aznavour. Cet ancien succès du célèbre chanteur français s'applique tellement bien aux CanaCHiens ! Tout ce qui entoure le phénomène et la religion qu'est le Cacad'CHien fait penser à un cirque ou à une grande pièce de théâtre. Dans sa toune, Aznavour parle de magiciens. Et on songe alors aux arbitres qui transforment par magie des buts qui n'en sont pas ou font, au contraire, apparaître des buts qui n'auraient pas dû compter. Le plus souvent à la faveur des Canailliens. De même, des hors-jeu disparaissent, des pénalités au Caca partent en fumée ou passent de cinq ou quatre minutes (méritées) à seulement deux minutes. Même Ginette Reno devient une magicienne spectaculaire en beuglant l'hymne national et en touchant à Bourque et à Brière pour les transformer en scoreurs.
On voit aussi dans ces grandes mises en scène au Centre PouBell, des clowns (Subban, Gallagher), des musiciens (journalistes lèche-cul qui jouent du violon en chantant les louanges des Therrien, Bergevin et autres porte-couleurs de la CHite), des avaleurs d'épée (Markov, Gorges, Pacioretty) ou de couleuvres (les fefans). On a même répété la pièce de théâtre hier, parce que les Canayins sont inactifs depuis trop longtemps, après avoir balayé le Lightning en première ronde. On voit des choses prodigieuses quand le Caca joue dans la métropauvre (ne dit-on pas aussi que l'on "joue" au théâtre). On voit des morts rescussiter, comme la fois où Chara a exécuté Pacioretty mais que ce dernier a été vu deux jours plus tard au cinéma. Combien de fois n'a-t-on pas vu retraiter au vestiaire un CHicolore se tordant de douleur et semblant souffrir le martyre ? Cinq minutes plus tard il revenait au jeu, frais comme une rose.
Et c'est bien là le dilemme pour les Bruins. Ils peuvent battre les CHaudrons en jouant avec robustesse. Mais ils ne doivent pas non plus y aller trop fort. Ils risquent de perdre leur concentration en courant après les poules mouillées du Caca, ils risquent de pécher par indiscipline et de se mettre les arbitres à dos -si ce n'est pas déjà fait-. Avertissement au rude Milan Lucic : pas la peine de viser l'entrejambe des CHieux, ils n'ont pas de couilles. Ce sont des lâches et des eunuques. Des acteurs de théâtre, des champions du plongeon volontaire et des blessures simulées. Comme c'est frustrant et dommage que les Bruins, et leur excellent gardien Tuuka Rask, semblent perdre une partie de leurs moyens quand ils rencontrent la CHiasse !
Cette impuissance, ce genre de complexe, est toujours un mystère et une source d'étonnement. Et on se demande également si ce n'est pas cette année que la commandite de 375 millions de dollars, qui a fait de Molson la bière officielle de la NHL, propulsera, comme par magie, les CHicolores en finale de la Coupe Stanley. De longues séries, à cinq ou six millions de revenus à chaque match au Centre BéBell, ça serait un beau retour sur l'investissement pour les frères Molson, propriétaires des CHaudrons. Comme si c'était arrangé avec le gars des vues... Et j'entends chanter Aznavour :
«Si vous voulez voir confondus les coquins
Dans une histoire un peu triste
Où tout s'arrange à la fin
Si vous aimez voir trembler les amoureux
Vous lamenter sur Baptiste
Ou rire avec les heureux
Poussez la toile et entrez donc vous installer
Sous les étoiles le rideau va se lever
Quand les trois coups retentiront dans la nuit
Ils vont renaître à la vie, les comédiens
Viens voir les comédiens
Voir les musiciens
Voir les magiciens
Qui arrivent
Viens...»
mercredi 23 avril 2014
LE LIGHTNING BALAYÉ PAR LE CACANADIEN ET...LES ARBITRES !
Ce n'est pas nouveau. C'est même une vieille histoire qui remonte à plusieurs décennies. Les arbitres québécois, qui sont d'office aux matchs à domicile du Cacanadien de Mourial, favorisent le club local en rendant des décisions controversées. On en a eu encore de parfaits exemples dans les parties no 3 et no 4 de la série que le torCHon vient de remporter contre le Lightning de Tampa Bay. Dimanche, un but, que tout le monde croyait bon, a été refusé aux Bolts par l'arbitre François Charron. Le coach de ces derniers a prétendu que cette décision erronée avait coûté la victoire à son équipe. L'ancien entraîneur Michel Bergeron, maintenant analyste au réseau TVA, croit également que ce but était valable et qu'il aurait dû être accordé. C'était loin d'être le premier filet refusé illégitimement aux adversaires des CHieux cette année au Centre PouBell. Cet état de fait soulève des questions lourdes de sens. En lien avec ce jeu, Bergeron soulignait un point intéressant en faisant remarquer que Carey Price -qui a fait bien des "sparages" en se garrochant de gauche à droite dans son demi-cercle- connaît toutes les subtilités du règlement au sujet de l'interférence des gardiens de but dans la NHL. De là à dire que le no 31 de la CHnoutte jouait souvent la comédie en exagérant les effets des contacts qu'il subit -ou qu'il provoque volontairement- devant sa cage, il n'y a qu'un pas, qui est facile à faire. Price n'est qu'un des nombreux plongeurs et "fakeux" qui font partie de l'alignement de la CHiasse. Additionnez ça à la complicité d'arbitres locaux dévoués à la cause du CHicolore, et vous avez un beau portrait de la situation.
Cette injustice a également été dénoncée par le très respecté reporter Ron MacLean, de CBC Hockey Night In Canada. Il s'y connaît pas mal en arbitrage puisqu'il a déjà officié dans ce rôle au niveau du hockey mineur. Ce n'est pas un polémiste comme Don Cherry, son compagnon de travail. MacLean est un homme pausé et honnête, qui cherche toujours à faire la part des choses quand Cherry charrie trop. Quiconque a un peu de jugement, et des yeux pour voir, dira qu'il a raison quand il affirme que les autorités de la Ligue Nationale devraient interdire aux officiels québécois d'arbitrer des rencontres impliquant les Canailliens, à Moronréal. MacLean fait référence aux matchs internationaux pour soutenir sa pensée. Dans ce genre d'affrontements entre pays, ce sont des officiels neutres qui sont en charge. Ainsi, normalement, un arbitre canadien n'arbitre pas une partie impliquant son pays. Les propos de MacLean ont soulevé la colère des fefans du Caca, partout au pays. Si bien qu'il a dû s'excuser. Toute vérité n'est pas bonne à dire... Et, on le sait, la vérité choque. On sait aussi que les partisans cinglés de la CHite peuvent être très violents. Hier, La police locale leur avait d'ailleurs lancé un avertissement afin qu'ils ne fassent pas d'émeute ou de casse, advenant un triomphe de leurs favoris. Qui parmi les zèbres de la LNH aurait le courage de braver les fefans en rendant une décision controversée qui risquerait de provoquer leur folie et leur rage ? Ces gars-là n'ont pas le goût d'hypothéquer leur sécurité et de se faire sacrer une volée, en ressortant du zoo du Centre BéBell. Cela vaut encore plus pour les officiels québécois qui vivent et demeurent à Mourial ou aux alentours, à longueur d'année... Ils ne veulent pas être stigmatisés par le troupeau des imbéciles qui ne jurent que par le torCHon, et qui sont presque prêts à tuer pour les voir gagner, surtout en séries de la Coupe Stanley.
MacLean n'a pas été le seul à déplorer la malchance qu'a eu le Lightning d'avoir à battre les arbitres en plus du torCHon. Par la voix de ses représentants, qui ont assisté à la série, un journal de la Floride a relevé aussi le parti pris des officiels envers le CHicolore. Sur NBC Sports, les journalistes ont qualifié de «highly questionable power play» cette punition à Cédric Paquette qui a permis aux CHieux de l'emporter en toute fin de match hier. C'était tellement évident et cousu de fil blanc que j'en ai ri un bon coup quand ça s'est produit ! Typique de l'arbitrage pro-Caca dans la métropauvre ! NBC Sports poursuit en ajoutant que quelques minutes avant la pénalité déterminante à Paquette, les arbitres avaient fermé les yeux sur une obstruction évidente de Rene Bourque contre le gardien du Lightning Kristers Gudlevskis. Et puis, les scribes du réseau américain concluaient, désabusés, «à quoi pouvait-on s'attendre d'autre après le but refusé au Lightning dans le match no 3 ?». En effet ! Ce n'était que la suite logique à ce genre de "crosse".
Entendons-nous bien, même si les arbitres n'avaient pas été vendus au CH, Tampa Bay n'aurait pas gagné cette série. Privé de son coeur, son super gardien Ben Bishop -blessé-, avec un entraîneur et une bonne partie de ses joueurs manquant d'expérience en séries, avec un leadership affaibli après l'échange qui a envoyé Martin St-Louis à New York, les Bolts auraient dû compenser ces carences par un effort beaucoup plus grand afin d'espérer sortir vainqueurs de cet affrontement de première ronde. Anders Lindback, le substitut de Bishop, s'est fait passer plusieurs sapins et il a été envoyé prématurément aux douches à deux reprises en quatre joutes. Faut le faire ! Ce genre de contre-performance a le don de scier les jambes des autres membres du club. Si vous ne pouvez pas vous fier à celui qui garde votre fort, autant abdiquer. Dans ces circonstances, le Lightning était le plus faible des clubs qui se sont qualifiés en séries. Et c'est le Cacanadien qui en a profité. Il n'aura pas cette chance en 2e ronde quand il devra se mesurer aux Red Wings de Détroit ou aux Bruins de Boston... Le "jupon tricolore" des arbitres aura beau dépasser de leur uniforme, ça ne sera pas suffisant pour sauver les CHieux du triste sort qui les attend...
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samedi 19 avril 2014
LE LIGHTNING EST-IL AU COURANT QUE LA SÉRIE CONTRE LE CACANADIEN EST COMMENCÉE ?
À les voir aller, on pourrait jurer que les entraîneurs et les joueurs du Lightning de Tampa Bay ne sont pas au courant que leur série de premier tour éliminatoire contre les CHaudrons de Mourial est commencée. On pourrait croire qu'ils ne savent pas ce que c'est les séries éliminatoires. Ils ne savent pas que le jeu est intense et serré en pareilles circonstances. Qu'il faut qu'ils jouent dur et qu'ils soient concentrés et ne laissent pas un pouce à l'adversaire. Bref, ils ne savent pas qu'ils sont en guerre et doivent se battre pour gagner !
Dès le premier match, mercredi passé, ils ont raté une occasion en or de s'imposer dans cette série. Avec un Scary Price faible sous la pression, offrant sa mauvaise performance habituelle en éliminatoires en accordant quatre buts sur les 14 premiers lancers auxquels il a fait face, les Bolts n'avaient qu'à jouer potablement en défensive pour l'emporter et prendre les commandes de la série devant leurs partisans. Au lieu de cela, ils ont commis des erreurs et des revirements à profusion. Après avoir marqué le premier filet, ils se sont fait scorer quatorze secondes plus tard : un mauvais but donné par leur gardien substitut Anders Lindback à "Turtle Neck" Plekanec. Le cerbère du Lightning n'a pas bien couvert ses angles sur le jeu, et, semblant nerveux à son premier départ à vie en séries, il s'est battu avec le disque pendant toute la soirée. Il faut dire que ses défenseurs ont joué mollement devant lui, et que les avants ne les ont guère aidés. Le but en désavantage numérique de Brian Gionta fut aussi un péché capital.
Dans le match de vendredi, ce fut encore pire. C'est certain que les Bolts manquent cruellement leur gardien numéro un Ben Bishop. Il fait une grosse différence pour eux, et on sait qu'un gardien de ce calibre, c'est presque 50% de l'équipe, surtout en séries. Ondrej Palat, un attaquant important, manquait aussi à l'appel en raison d'une blessure, mais cela n'excuse pas la piètre performance des hommes du coach Jon Cooper dans cette deuxième rencontre. Ils auraient dû sortir beaucoup plus forts, le couteau entre les dents, pour faire un maître chez eux et faire tourner le vent. Ce fut loin d'être le cas. Ils n'ont pas bien réagi, se laissant pousser, se faisant ralentir, se faisant neutraliser et endormir par les CHieux. Frustrés, ils se sont vite découragés après les deux premiers filets de leurs opposants. Un manque de combativité et de caractère. Aucune étincelle. Incapables de compétitionner. Leur entraîneur n'a pas réussi à apporter les ajustements nécessaires. Il n'avait pas de réponse ou de solution au système de jeu du torCHon.
C'est comme si le Lightning ne sait pas qu'il y a une énorme différence dans l'arbitrage en séries de la Coupe Stanley. Les officiels laissent souvent passer beaucoup d'infractions. Alors, non seulement vous pouvez, mais vous devez finir vos mises en échec avec force, même si votre vis-à-vis n'a plus la rondelle depuis trois secondes. Les arbitres vont fermer les yeux. On sait que les petits CHieux sont peureux et craignent la rudesse. Si vous les frapper sans relâche et d'aplomb, ils vont se débarrasser plus vite du disque et commettre des revirements et des erreurs, surtout dans leur territoire.
Pour vaincre les Canailliens en séries, c'est un atout primordial de les haïr. Les Bolts respectent trop la CHiasse. Ils auraient avantage à visionner la série Ottawa-Montréal de l'an passé. Ils verraient Chris Neil couché sur Pacioretty, devant la cage des Sens, et tentant de lui enfoncer la face dans la glace. Ils le verraient passer son gant au visage de P.K. Subban. Ils verraient que les Sénateurs ont tellement terrorisé et intimidé les CHieux -des coups de hockey, des coups de coude, et des coups de poign font l'affaire-, que ces derniers avaient peur de transporter la rondelle.
Par exemple, vendredi, quand le match était perdu en 3e période, il aurait fallu que le Lightning prépare la partie suivante en abusant physiquement des CHicolores. On a plutôt baissé les bras et...fait un petit meeting dans le vestiaire après la défaite. Pas très viril ou habile... Ça prend plus que ça pour gagner en séries... Dans l'histoire, c'est arrivé seulement quinze fois qu'une équipe remporte une série après avoir perdu les deux premiers matchs à domicile. Privés de Bishop, la mission des Bolts semblent impossible.
Le danger c'est que le torCHon gagne en quatre parties et soit reposé pour affronter ensuite des Wings ou des Bruins qui, eux, pourraient être fatigués après une longue série...
lundi 14 avril 2014
UNE SAISON PLUS LONGUE QUE PRÉVU POUR L'HIVER ET LE CACANADIEN : MAIS C'EST MAINTENANT LE TEMPS DE FAIRE LE GRAND MÉNAGE ET DE SORTIR LES GROSSES VIDANGES !
Mercredi,au Québec,on annonce encore des températures froides, sous le point de congélation, pendant la journée. L'hiver se prolonge et ne veut pas mourir. Un peu comme le Cacad'CHien de Mourial qui, plus souvent qu'autrement, est déjà fini à cette période-ci de l'année, mais qui amorcera, ce même mercredi, sa série éliminatoire de premier tour contre le Lightning, à Tampa Bay, là où il fait chaud en permanence et où nos genres d'hiver seraient considérés comme un enfer polaire. Il y a plusieurs autres similitudes entre le torCHon et la saison hivernale qui s'achève. En jetant un coup d'oeil dehors, on voit que nos rues et nos terrains sont sales et jonchés de résidus dégueulasses, après la fonte des neiges. Ce n'est pas beau à voir, un peu comme la face repoussante de Max Pacioretty ! Il y a également cette couleur jaunâtre de nos pelouses qui nous fait penser aux CHieux, qui sont eux-mêmes des jaunes et des lâches. On peut aussi facilement imaginer que, comme nos cours, le Cacanadien va bientôt se faire laver, ou se faire ramasser comme les détritus sur nos terrains. Ce sera bientôt le temps de mettre nos grosses vidanges sur le bord du chemin..., des monstres embarrassants comme les Canailliens. En parlant de saleté et de crasse, on ne peut pas oublier non plus les fefans moronréalaids. Souvenez-vous des propos de l'ex-entraîneur des gardiens de buts, Roland Melanson, qui, il y a quelques années, avait révélé qu'à l'interne, dans l'organisation du Caca, c'est par le mot "crasse" que l'on désignait les partisans cinglés de la zone Molson Ex du Centre PouBell... Melanson avait été congédié quelques heures après cette déclaration qui trahissait un secret d'équipe et le peu de respect que ses membres ont de leurs fefans fêlés du CHaudron. Des partisans polluants et taches à marde, comme les journalistes-parasites-sangsues qui sont toujours pendus à leurs basques tout au long de la saison de hockey et...même durant la saison morte ! Parlez-en à Scary Price qui, le printemps passé, pleurnichait devant les journaliCHe-culs en se plaignant qu'il ne pouvait même pas sortir de son trou de "hobbit" pour aller faire son épicerie. Ha ! Ha ! Ha !
Le Lightning a battu la CHiotte trois fois en quatre tentatives en saison régulière. Les probabilités sont bonnes pour que les Bolts s'imposent de la même manière dans la prochaine série. Toutefois, la situation des blessés importants, qu'ils ont présentement, représente un point d'interrogation. Leurs deux meilleurs pointeurs (Ondrej Palat -23 buts, 36 aides- et Valtteri Filppula -25 buts, 33 aides) ont raté les matchs de fin de saison, tout comme leur as gardien Ben Bishop. Évidemment, en séries, l'état des blessés est un secret bien gardé. On ignore si ces joueurs seront en uniforme mercredi et s'ils seront en bonne forme physique. Devant le filet, les substituts de Bishop ont fini la saison en force, Anders Lindback ayant même été nommé la première étoile de la LNH pour la dernière semaine d'activités. L'autre cerbère, le Letton Kristers Gudlevskis constitue une autre bonne police d'assurance. On se rappelle qu'il avait tenu tête de façon incroyable à l'équipe du Canada lors des Jeux Olympiques de Sotchi. Mais il serait préférable que Bishop soit à son poste même s'il n'a pas d'expérience en tournoi de la Coupe Stanley. Si les blessés sont de retour, le Lighning a l'avantage à l'attaque, surtout avec le dangereux marqueur Steven Stamkos. Le club de Tampa est nettement meilleur à cinq contre cinq, même si depuis l'arrivée de Thomas Vanek, les CHieux ont mieux paru à ce chapitre, durant le dernier mois de la campagne.
Les Bolts devront profiter de la faiblesse en défensive des grosses vidanges que sont Piqué des vers Subban et Andrei "la tortue" Markov. Ces deux vauriens sont épouvantables en couverture défensive, surtout dans les coins de patinoire et devant leur filet. En zone offensive et en zone neutre, ils sont souvent pris hors-position ou à contre-pieds. Ils multiplient les erreurs et les revirements (83 pour P.K. et 82 pour Markov, des chiffres astronomiques, parmi les pires chez les joueurs de la Ligue). Ça adonne mal pour la CHiasse, car ses opposants du Lighning sont excellents en échec-avant. Ils savent qu'en fermant le centre de la patinoire, ils vont repousser les petits schtroumfs du Caca vers les bandes, là où ils se feront facilement écrabouiller. Sur ce plan, surveillez le défenseur Gudas, des Bolts. Il revendique pas moins de 273 mises en échec cette saison. Beaucoup plus que les 189 de Emelin, le champion des CHieux, dans ce domaine. Ryan Callahan, obtenu il y a quelques semaines des Rangers de New York en échange de Martin St-Louis, est très efficace pour contrer les porteurs du disque adverses. Dans le récent match contre la CHiotte à Tampa Bay, il a souvent empêché les CHieux de sortir de leur territoire. C'est d'ailleurs une autre faiblesse de la troupe de Michel "t'es rien" Therrien. Les clubs de bons travaillants, qui leur mettent de la pression, peuvent assez aisément les embouteiller longtemps dans leur territoire.
Le gros point d'interrogation du côté du CHiendent est bien sûr le chambranlant CHokeux Scary Price. Sa pitoyable fiche à vie en séries éliminatoires n'inspire guère confiance. Ceux qui disent qu'il a prouvé qu'il pouvait bien jouer sous pression en étant solide devant les buts d'équipe Canada aux jeux de Sotchi, en février dernier, oublient qu'ils n'aura pas un club d'élite devant lui, cette fois-ci... Il est vrai que ses coéquipiers bloquent énormément de lancers pour lui, et que ça l'aide beaucoup, mais on verra bien ce qu'il pourra faire contre Stamkos, entre autres... Le prolifique buteur des Bolts a le compas dans l'oeil et il dégaine à la vitesse de...l'éclair (lightning en anglais). Les gars du club de Tampa Bay ont aligné quatre victoires en fin de calendrier pour coiffer les Cannes à CHiens au 2e rang de leur division. Les CHaudrons ont aussi gagné plusieurs matchs dans le dernier droit, mais ils n'ont pas été si impressionnants que ça. Avant de connaître une disette à l'offensive dans leurs plus récentes parties, ils s'en étaient bien tirés dans les rencontres précédentes même si Price a accordé fréquemment trois buts et plus par joute. Bref, malgré une bonne fiche, ils ont été inconstants autant à l'attaque qu'en défensive. Répéter pareille recette serait catastrophique pour eux dans la série qui commence mercredi, en terrain hostile.
«GO BOLTS GO» ! Sortez les puantes vidanges CHicolores ! Pour qu'une fois évacuées de notre environnement, on ait ensuite de l'air frais à respirer chez nous...
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