Cette année, les Canadiens et les Canadiennes célèbrent le 50e anniversaire du drapeau de leur pays. Peu importe leur allégeance politique, les gens du Québec doivent respecter l'unifolié et les valeurs qu'il représente. Ce ne semble pas le cas pour l'Ontarien P.K. Subban, le crotté défenseur du CHicolore qui, comme à son habitude, et comme le prouve le cliché ci-dessus, se plait à faire le con et à se faire remarquer, en couchant son gros cul plein de merde sur le drapeau du Canada. On voit parfois des manifestants ou des sportifs canadiens brandir le drapeau, ou même s'en draper, pour montrer leur fierté. À l'opposé, on a aussi déjà vu l'unifolié être piétiné par dépit, protestation, ou pour offenser ceux qu'il représente. Mais là, avec l'épais à P.K., salissant notre emblème national avec sa grosse carcasse dégueulasse, c'est le bout de la marde ! C'est ajouter l'insulte à l'injure... Il se pense bien fin en essayant de faire son petit comique et de se tirer du grand. Il ne réussit qu'à reconfirmer encore et encore que c'est un bouffon sans génie...
Une telle étourderie n'a rien pour étonner quand on connaît le moineau. On a épuisé les épithètes pour qualifier les comportements imbéciles du gros sale no 76 des CHieux. Ce cave-là ne respecte rien, ni la bienséance, ni ses coéquipiers, ni ses entraîneurs, ni les autres joueurs de la LNH, ni les règles du jeu, ni son sport, ni son pays d'adoption (des importés de la Jamaïque). Il vient d'ailleurs d'être encore mis à l'amende ($ 3 000) par les autorités du circuit Bettman pour ses réactions exagérées ("diving" ou simulation de blessures) sur la patinoire. Le plus grave c'est qu'il est super dangereux pour les hockeyeurs adverses quand il distribue ses ruades (il se propulse illégalement dans les airs et frappe le patineur opposé avec son gros derrière de gorille), et ses "slew foot" (crocs-en-jambe par derrière, tout en rabattant son opposant sur le dos avec son bras, manoeuvre pouvant provoquer le coup du lapin et endommager sérieusement les vertèbres du cou du joueur agressé).
Heureusement, le gros jambon du Caca rate souvent son coup quand il tente d'épater la galerie avec ses cabrioles ou son patinage de fantaisie. Le plus drôle survient quand il veut faire un pivot brusque, pour changer de direction, et qu'il se retrouve sur son gros cul de primate, laissant ainsi un joueur de l'autre club s'échapper. Et, bien qu'il le fasse moins qu'à ses premières années de carrière, c'est toujours tordant de le voir faire ses fameuses montées d'un bout à l'autre de la patinoire pour, ultimement, perdre possession du disque ou prendre une débarque avant d'arriver au but ! Pourtant, encore plus stupides que lui, les fefans bipolaires du torCHon continuent de l'applaudir et de l'aduler éperdument. Pauvres cloches fêlées ! Ils encensent un abruti puant et méprisable qui se vante d'être le roi de la flatulence, pour embêter ses adversaires sur la patinoire (selon une autre de ses révélations idiotes, faite cette fois-là à l'émission TOUT LE MONDE EN PARLE, sur les ondes de "Ici Radio-Canada Télé", l'automne passé). Remarquez que ça s'harmonise parfaitement avec les moronréalaids, renommés pour être des colons pas de classe, dans leur bidonville pollué et nauséabond...
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ON VEUT LES SÉNATEURS EN PREMIÈRE RONDE !
Il y a peut-être un scénario de rêve qui est en train de se mettre en place pour la première ronde des séries éliminatoires des CHaudrons de la métropauvre. Si tout va bien, les Sénateurs d'Ottawa, présentement sur une poussée extraordinaire, pourraient se tailler une place en séries et affronter le CHiendent en première ronde. Avec leur invincible gardien de buts Andrew Hammond, surnommé le "Hamburgler", les Sens débordent de confiance et pourraient être un adversaire intraitable pour la bande de "twits" de Michel T'esRien. Le risque, c'est que Hammond soit brûlé en arrivant en séries. Il n'a jamais disputé autant de matchs en si peu de temps, au cours de sa carrière. Mais s'il maintient la forme, son futur vis-à-vis, le pauvre Scary Price, pourrait devoir encore connaître son sort habituel en éliminatoires : se retrouver en dépression nerveuse, du bord des perdants ! Ha ! Ha ! Ha ! la saison de rêve des fefans bipolaires serait brisée en mille morceaux et les petits fefanions, sur leurs minounes sales, prendraient le bord des vidanges ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !
À bas les CHieux et leurs morons de fefans de merde !