mercredi 27 janvier 2016
LE CACANADIEN DE MOURIAL : UN CLUB DE DEUX DE PIQUE...
Le timing était bon. Juste avant la longue pause du match des étoiles, le directeur général du CH, Marc "Symphorien" Bergevin, se disait sans doute qu'il ne risquait rien en descendant dans le vestiaire pour rencontrer ses joueurs, avant de convoquer la presse et de prendre tout le blâme pour les insuccès de son équipe. Le calendrier était plus que favorable : trois matchs contre les deux pires clubs de la NHL, Toronto et Columbus (2 fois). En gagnant ces trois parties faciles, Bergevin devait penser qu'on lui attribuerait le mérite d'avoir réveillé ses troupes, et il passerait pour un As. Il redonnerait ainsi le sourire et de l'espoir aux fefans.
De plus, en se crucifiant lui-même sur la place publique pour la descente aux enfers de ses vauriens, Symphorien (photo ci-dessus, dans sa personnification de clochard barbu, symbole du bidonville de Morons-Réal) détournait l'attention et il appliquait le dicton : «Faute avouée est à moitié pardonnée». Sauf que le scénario de l'incompétent DG des CHieux ne s'est pas concrétisé. Son club de dindes a gagné de peine et de misère à Toronto (après n'avoir disputé qu'une seule bonne période), avant de perdre les deux rencontres suivantes contre les misérables Blue Jackets de Columbus (privés de joueurs blessés importants, dont leurs deux gardiens de buts) par un pointage combiné de 10 à 4 !!! Résultat : Bergevin, au lieu de passer pour un As, passe pour un deux de pique... Comme le reste des membres de son personnel, d'ailleurs...
En tout cas, on ne peut pas reprocher aux CHaudrons leur manque de constance. Leur entraîneur Michel "Éphrem" T'esRien en demande à ses pousseux de puck depuis deux mois, et ils lui en donnent. Ils sont constants dans la défaite ! Après avoir gagné trois matchs en décembre, ils en ont fait autant en janvier avec trois courtes victoires (huit revers) ! Au cumulatif, le torCHon revendique donc 18 défaites dans ses 23 dernières parties (dont 7 à ses 8 plus récentes), et il s'est incliné huit fois dans ses dix derniers matchs devant ses fefans, au Centre PouBell. AUCUN club de la LNH n'est pire qu'eux depuis deux mois. Hier, le but de Galchenyuk, était le premier du Cacad'CHien en 3e période depuis le...3 décembre 2015 ! Wow ! C'est vous dire comment cette bande de deux de pique est pourrie ! Therrien aura-t-il la grâce d'être congédié avant de perdre les rares cheveux qui lui restent (photo ci-dessus) ? Au train où vont les choses, le Caca a plus de chances de finir la saison sous la cave du classement général, que de participer aux séries éliminatoires !
Dans les circonstances, pas étonnant qu'il y avait au-dessus de mille sièges vides hier pour le dernier match aller-retour contre Columbus. C'était un 480e match consécutif à guichets fermés pour la CHiasse, mais, même s'ils avaient payé leur billet, ces mille clients dépités avaient choisi d'être ailleurs plutôt que d'assister à une autre prestation gênante de leur équipe de pic-pic et de deux de pique. Tant qu'à se présenter dans la caverne d'Ali Baba des Molson, avec un sac de papier brun sur la tête pour huer leurs héros devenus des zéros... Quand on est un farouche partisan de la Sainte Guenille, il faut être masochiste pour assister au spectacle navrant de ces attaquants dont les faibles lancers n'arriveraient pas à faire tomber des cannes de beans géantes, à cinq pieds d'eux. Il faut aimer souffrir quand vous voyez les défenseurs du club faire la charité à profusion en ne cessant pas de donner le disque à des adversaires ravis, qui n'ont qu'à le pousser dans la cage CHicolore très mal défendue par le Condon percé, ou le cerbère de la Ligue mineure qu'est Ben "l'écartelé" Scrivens...
C'est pas des farces, même aidés par leurs amis les arbitres, qui leur donnent injustement des buts qui ne sont pas bons, ou des jeux de puissance à répétitions; alors qu'ils refusent des buts valables aux opposants; les Canailliens ne sont pas capables de gagner ! Les joueurs semblent avoir abdiqués, ou ils attendent le retour au jeu du sauveur Jésus Price (photo ci-dessus). Celui-là, ces temps-ci, il doit être content de patiner en solitaire avant les entraînements, ou de demeurer chez lui, ou bien caché dans l'infirmerie. Contrairement à ses coéquipiers, il n'a pas à trouver des excuses ou des paroles creuses pour expliquer leur calvaire. Il tarde tellement à revenir dans l'alignement, que quand il le fera, les Cannes à CHiens risquent d'être déjà éliminés. À moins que les dirigeants du club décident que, la saison étant fichue, il vaut mieux que Price subisse maintenant l'opération au genou qui s'impose de toute façon...
Ces derniers temps, le deux de pique le plus drôle à voir jouer chez les maudites CHarognes est sans contredit Pédé Subban. Hier c'était vraiment comique de le voir encore tenter ses pirouettes de chimpanzé de cirque alors qu'il se trouvait derrière son filet. Une fois, alors qu'il s'exécutait pour plaire à la galerie, il a eu la mauvaise surprise d'être pris en sandwich entre deux porte-couleurs des Blue Jackets. Le crétin no 76 a perdu la rondelle, qui s'est vite retrouvé dans le but, derrière son gardien ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Quel jeu de stupide ! Le gros Caca a été directement responsable d'un autre but de Columbus, plus tard dans la partie. Et que dire de sa célébration de bouffon après qu'il eut marqué un but chanceux dans le match précédent à Columbus. Dubinski l'a rabroué, et Pédé, mécontent, l'a poussé et a écopé d'une punition ! Quel con ! Il faut l'être au centuple pour porter sa propre image (regardez sur sa casquette, photo ci-dessus) sur tous ses vêtements ! Ses coéquipiers peuvent bien le détester ! Plus cave, plus vain et plus imbu de toi-même, tu t'appelles Denis Codinde Coderre !
En plus, hier, grâce à un de ses fameux tirs tout croche, Subbanane a atteint Pacioretty (photo ci-dessus) en pleine face ! Bingo ! La plaie va enlaidir encore davantage le boutonneux "capitaine à la noix" du Caca ! Ce sera tordant de voir la nouvelle "pucker face" de MaxPac, le prince nu (totalement dépourvu de la moindre graine de leadership) ! Le plus grave c'est l'affligeante nouvelle qui nous a appris que le franc tireur Daniel Carr, lui aussi blessé, est fini pour le reste de la saison catastrophique des CHieux ! Sur qui donc pourront se fier les CHaudrons pour réussir à atteindre leur production habituelle de zéro à deux buts par match ?
Après les cuisantes défaites de la CHnoutte, comme c'est désopilant d'entendre toutes les sornettes des fefans ou des journalèCHe-culs, vendus à leur cause ! Tous se désâment pour trouver la solution aux problèmes de leurs CHéris. S'ils lisaient mes chroniques et les commentaires de mes lecteurs, ils sauraient bien que la maladie, qui tue leurs favoris, est incurable. Et ce, en raison d'un paquet de facteurs que nous expliquons fréquemment ici. Pour une foule d'autres fefans, c'est simplement le retour de Price qui représente LA solution à tous les maux des Habs. Pauvres cancres, ils seront bien vite désillusionnés, une fois de plus !
Ceux et celles, qui croient que les CanaCHiens ont atteint le fond du baril, se trompent royalement. Il y a encore de la place dans les bas-fonds du classement ! Célébrons, mes amis, cette merveilleuse saison qui en est encore une de rêve pour les clairvoyants Anti-Habs ! Dans le jeu de patience des fefans, il n'y a que des deux de pique. Et les jokers (les Anti-Habs) ne sont pas admis.
Autre signe du profond désespoir des habitants de Fefan-Land, j'ai recommencé à recevoir des messages remplis de menaces et d'insultes. Je les publierais bien, pour que tous les Anti-CH puissent en rire et constater la faiblesse du cerveau de ces abrutis, mais le vocabulaire qu'ils emploient est beaucoup trop sous le standard de la décence que je veux respecter ici...
mercredi 13 janvier 2016
CE QUE LES ANTI-HABS SE PLAISENT À DIRE AUX FEFANS DU CACANADIEN...
Lundi sur le portail de MSN, un article a attiré mon attention. Écrit par Yourianne Plante (Espresso), il avait pour titre : «CE QU'IL NE FAUT PAS DIRE AUX FANS DU CANADIEN». Déjà, ce titre sous-entend que les partisans du torCHon ne sont pas des êtres normaux. En ce sens qu'ils n'acceptent pas que l'on se moque de leur club de broches à foin sous prétexte qu'il s'agit de la Sainte Flanelle. Cela implique donc un aspect "religieux" et sacré qu'il faut absolument respecter. Comme il existe des fanatiques religieux du genre du groupe "État Islamique", il existe des "Talifans" intégristes qui capotent pour leur Bleu, Blanc, Merde. Une sorte de folie de bipolaires qui va parfois jusqu'au point de vandaliser le bidonville moronréalaid, quand ces abrutis primitifs perdent complètement la carte. Sans compter le sort qu'ils réservent aussi parfois aux Anti-Habs ou aux gens raisonnables -non détraqués par la propagande CHicolore- qui osent critiquer les CHieux ou les fefans eux-mêmes. Des lecteurs de mes blogues anti-CH ont déjà témoigné qu'ils avaient été agressés verbalement ou physiquement dans des bars sportifs ou des lieux publics où sévissent les pauvres débiles légers qui ne jurent que par le Caca.
Examinons donc les assertions de Yourianne Plante dans son texte paru cette semaine.
1. Le Cacanadien dépend entièrement du gardien Scary Price.
Difficile de contredire cette vérité au vu de la débandade qui envoie présentement les CHaudrons en enfer. Depuis que Price est absent à cause d'une blessure au genou droit, la formation de Michel T'EsRien affiche le pire dossier de la Conférence de l'Est. Nuançons un peu ce fait en rappelant toutefois que moi, et les lecteurs de ce blogue, avons toujours souligné que Scary était lui-même bipolaire sur les bords. Quand la pression monte, par exemple en séries éliminatoires, Price s'effondre ou disparaît à l'ombre en raison de blessures mystérieuses. Il faut comprendre que si Scary est si fragile mentalement et physiquement, c'est aussi parce que la bande de lâches et de vauriens qu'il a devant lui, le laisse se débattre tout seul devant son filet. À force de se lancer à genoux à tout bout de champ et de se projeter d'un bord à l'autre de sa cage, Price peut bien avoir des faiblesses au milieu des jambes et au-dessus des épaules...
2. Les Canailliens ne feront pas les séries.
Oui, cette petite phrase fait toujours "tilter" les fefans. C'est presque la fin du monde pour eux. Ils ne veulent jamais le croire. Ils ont tellement la chienne que cette calamité puisse arriver à chaque année. Que faire de leur vie uni-dimensionnelle, au printemps, s'ils sont privés de leurs héros chéris, et de la possibilité vitale d'afficher leur arrogance proverbiale ? Ces névrosés et ces frappés sombrent alors dans des dépressions profondes comme l'atteste le fort degré d'anti-dépresseurs que l'on retrouve ensuite dans le fleuve autour de l'île de Mourial-la-sale. Le taux de violence conjugale augmente aussi en flèche dans la métropauvre quand ces fêlés ne peuvent se défouler faute d'une participation de leurs idoles au grand bal printanier.
3. Il manque un attaquant de puissance.
J'ai encore relevé cette carence dans mon plus récent billet sur mon blogue L'ANTI-HABS ILLIMITÉ, il n'y a pas longtemps. Ce problème récurrent s'explique par l'évidence qu'aucun agent libre qui a ce profil de "power forward" ne veut signer pour la CHiure, dans une ville de merde, avec des journalistes sangsues et des partisans cinglés. Et il ne faut pas compter sur l'incompétent Trevor Timmins pour en dénicher un lors des repêchages des joueurs amateurs...
4. Subban est pourri.
Alors là, si vous osez proférer cette calomnie, "watch out", les fefans vont vous sauter dessus à coup sûr. Je ne sais pas ce qu'ils lui trouvent mais Subban est un intouchable à Mourial, alors qu'il est détesté et hué partout ailleurs, même chez lui à Toronto. Si vous lisez mes blogues ou les commentaires de mes lecteurs, vous aurez la preuve par mille que "Piqué des vers" Subban ne mérite même pas le dixième de son salaire exorbitant. Que c'est un individu imbu de lui-même, un "m'as-tu vu" qui lève le coeur de ses coéquipiers, qui, ensevelis sous ses idioties, en ont plus qu'assez de sa grande gueule, de ses farces plates, de sa vantardise, et de sa suffisance absurde. Il fait encore plus dur cette saison avec ses deux petits buts de minable.
5. Le Cacad'CHien est un club de lâches.
Ça fait longtemps qu'on le répète ici, les CHieux sont une bande de mercenaires qui ne se présentent que pour collecter leur gros chèque de paye. Ça n'empêche pas les fefans de payer le gros prix pour assister à leur match, et pour acheter la camelote aux couleurs des Habs. Ils aiment tellement se faire fourrer à boire leur petit verre de pisse Molson vendu au prix d'une caisse de douze bouteilles dans les dépanneurs. Quand le jeu se corse et devient plus viril en janvier, les petits Schtroumfs de T'EsRien prennent leur trou et évitent les coins de patinoire. Des jaunes et des femmelettes...
6. Ils commencent les saisons en lions et ils les finissent en moutons.
On ne manque jamais de le faire remarquer ici parce que les fefans sont tout feu tout flamme quand leurs p'tits gars gagnent fréquemment en début de campagne. Ils s'enragent lorsque nous les avertissons que ça ne durera pas, que tout va basculer vers le bas pour le Caca, quand la vraie saison commencera, c'est-à-dire après les fêtes de fin d'année. Et comme de fait, quand le printemps approche, la CHiure se retrouve au dépotoir, et les fefans crétins pleurent et s'adonnent au vandalisme dans les rues infectes de leur bidonville.
7. La Sainte Guenille n'a rien gagné depuis presque un quart de siècle.
Les fefans vivent dans le passé des 24 Coupes Stanley de la franchise. Si vous riez de leur petit club médiocre ils vous ressortiront toujours cet argument dépassé. Depuis leur dernière conquête du trophée de Lord Stanley, en 1993, les CHieux vivotent sur une des plus longues disettes sans coupe parmi les équipes de la NHL. Ils sont dans le "top 5" dans ce domaine peu enviable. Pour se consoler de ces décennies de misère les fefans vont soulever le fait que Toronto n'a pas gagné une Coupe depuis 1967. Une façon de détourner l'attention de leur propre situation merdique.
Bin oui, quelle farce ! Sous les dehors trompeurs d'un coach qui semble au-dessus de ses affaires, l'infortuné T'esRien n'a jamais gagné de championnat important. C'est un "loser" qui est à sa place dans une équipe de "losers". Les Penguins de Pittsburgh ont gagné la Coupe immédiatement après s'être débarrassé de lui. Ça veut tout dire ! Éphrem est tout juste bon à faire peur aux journalistes lèche-cul de Moronréal quand l'idée leur effleure l'esprit de vouloir dire ou écrire l'ombre d'une critique défavorable à la CHiasse. Si les dociles scribes, qui mangent dans la main des dirigeants du torCHon, faisaient leur job comme du monde, les histoires gênantes comme celles au sujet du feluette Galchenyuk, mouché par sa blonde, de Kassian, ou de Beaulieu foirant et détériorant l'image du CH dans des bars de Codinde Ville, sortiraient bien plus souvent. Ce n'est pas d'hier que les porte-couleurs des CHaudrons déshonorent leur profession et leur organisation. Mais l'omnipotence des dirigeants "mafieux" des Cannes à CHiens fait en sorte que les scandales sont majoritairement étouffés, avec la complicité des pseudo-journalistes qui sont souvent copains-copains avec les joueurs et les gens de l'administration CHicolore.
9. Markov est au bout du rouleau.
Le joueur le plus ancien de la CHarogne en arrache pas à peu près, surtout lorsque le calendrier s'étire, en deuxième moitié de saison. Les jambes ne suivent plus la cadence, le souffle devient court, et les erreurs se multiplient, pour le 79. Comme d'habitude, les fefans se calent dans le déni jusqu'au cou lorsque vous leur signalez ces faits. C'est encore ce vieux réflexe de se réfugier dans le passé, quand Markov était un défenseur pas trop pire...
10. Les joueurs d'avant ne sont pas de taille.
Comme je l'écrivais un peu plus haut, nous avons maintes fois ridiculisé ici les CHaudrons à cause de la petite taille de leurs attaquants, presque tous bâtis sur des "frames" de poulet. Quand le jeu est moins rude en début de saison, les Lilliputiens du Cacanadien peuvent toujours se tirer d'affaire, mais quand le hockey devient une guerre pour hommes, à partir de janvier, les petits schtroumfs des Habs revolent partout et ne font résolument plus le poids... Ils se cachent et deviennent invisibles sur la patinoire.
11. Le CH ne gagne plus depuis qu'il ne compte plus assez de Québécois.
Ceux qui lisent mon blogue TEMPLE DE LA HONTE DU CH savent que je partage cet avis. Ça rejoint un des points précédents qui mentionnait le manque de coeur des joueurs du Caca, qui sont presque tous américains ou européens. Ils se fichent bien des petits fefans Québécois même si ce sont ces derniers qui payent leurs gros contrats. Ça fait longtemps que les dirigeants des Guenilloux ne sont même pas foutus de trouver un capitaine capable de s'exprimer en français. Dans le fond, c'est préférable ainsi, quand ces patineurs étrangers envoient chier les fefans francophones, ces derniers ne peuvent pas comprendre. Comprendre à quel point ils sont méprisés par des gars qu'ils adulent ou conspuent, selon qu'ils gagnent ou perdent, en bons bipolaires qu'ils sont.
12. L'absence des Nordiques à Québec fait l'affaire des Canayens.
Ainsi, sans point de comparaison gênant, et sans compétition dans leur marché, les gens des Canailliens peuvent se pogner le cul sans se forcer, et exploiter sans vergogne leur pitoyable clientèle captive.
13. Les meilleurs joueurs du CH sont...dans les bureaux du Centre PouBell.
On en a touché un mot tantôt, les meilleurs actifs du CH ne sont pas sur la patinoire ou dans les sièges de direction. Les joueurs les plus utiles au Cacanadien sont plutôt les employés qui travaillent au département de marketing de l'équipe. Ce sont des spécialistes de la propagande mensongère, et ils s'avèrent des as dans l'art de faire avaler des couleuvres de plus en plus grosses aux faibles d'esprit que sont les milliers de fefans. Le Centre PouBell ne dérougit jamais et il est toujours rempli à pleine capacité de fefans rendus encore plus nonos par la consommation assidue de l'avariée bière Molson.
14. Le Cacanadien n'est plus le club des Glorieux.
Ça fait belle lurette que les CHieux sont des "losers". Surtout depuis que la LNH compte plus que six ou douze équipes et que les règles du repêchage ne favorisent plus indûment le torCHon. Les Cannes à CHiens ne peuvent plus acheter la Coupe Stanley comme avant, en se payant des Jean Béliveau qu'aucun autre club pouvait s'offrir, dans ce temps-là. Depuis la mise en place du plafond salarial, les chances sont plus égales pour toutes les équipes. Et alors, dans ces conditions, c'est l'incompétence des dirigeants du Caca, et le repoussoir qu'est la ville corrompue et affreuse de Mourial, qui sont les facteurs qui prévalent et sont déterminants... Ce qui explique leurs déboires des vingt-deux dernières années... Au tournant du siècle et du millénaire, le gouvernement du Québec a même dû financer un américain, George Gillett, qui venait de faire faillite, pour acheter un club de merde dont personne ne voulait...
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