Il y a huit ans, le 13 mars 2009, je publiais mon premier billet anti-habs sur le blogue «CH comme dans torCHon». L'ancêtre de CH comme dans CHaudrons, qui a été censuré après des plaintes formulés par des fefans frustrés auprès de l'hébergeur du site. Cette naissance survenait au lendemain du congédiement brutal de l'entraîneur Guy Carbonneau. Un homme trop honnête, mis à la porte par la direction des CHieux, parce qu'il était trop franc et qu'il osait varloper ses joueurs quand ils jouaient comme des pieds.
En fondant mon blogue Anti-Caca, je visais surtout d'avoir un fun noir en me moquant de l'ex-prestigieuse organisation CHicolore, de leurs partisans fêlés et des reporters de la presse sportive moronréalaise, véritables prostitués qui couchent avec les CHieux en déshonorant leur profession. Et du fun, croyez-moi, j'en ai eu en masse même si au cours des deux dernières années, j'ai manqué de temps libre pour écrire mes chroniques. Que voulez-vous, contrairement aux cinglés de fefans, j'ai une vie en dehors du Cacad'CHien.
Lorsque j'ai commencé mon blogue, c'était aussi pour essayer de prendre la relève de Martin, auteur du blogue «Anti-Habs», qui venait de jeter l'éponge parce qu'il était écoeuré de faire le ménage dans la section «commentaires» de son site, inondé de spams par des fefans saboteurs. Ces derniers ont tenté de me faire subir le même sort pour CH comme dans torCHon. C'est pourquoi j'ai dû filtrer les commentaires.
Même si j'ai eu beaucoup de plaisir à pondre mes billets anti-CHiasse depuis huit ans, je m'ennuie un peu de l'ancien site Anti-Habs de Martin. Là où on pouvait intervenir librement dans les escarmouches avec nos opposants pro-CHieux. De véritables affrontements épiques, du genre "bagarres de bar", qui pouvaient durer trois jours de temps. La plupart du temps, au terme de ces joutes sans merci, nos adversaires, exaspérés et à bout d'arguments, nous faisaient des menaces et rêvaient de nous tordre le cou ! C'était le bon temps !
Parmi les frappés de fefans qui écrivaient des commentaires sur le site et dont nous nous moquions des arguments ridicules, je me rappelle surtout du fanatique Dennis Dubeau et de la peur que je lui avais faite en lui faisant croire que je travaillais au ministère du revenu et que j'allais fouiller dans ses déclarations de revenu ! Il avait "freaké" pas à peu près ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Sacré Dennis, un gros mangeur de sandwiches aux tomates, qui grattait la guitare en chantant sa haine des Bruins de Boston ! Quel concentré de con !
Ici, au début, quelques fefans-matamores sont bien venus faire un tour mais ils se sont faits tellement rabrouer et massacrer qu'ils n'ont pas demandé leur reste. Dommage ! Ils n'ont pas la couenne dure !