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- Bon... Récemment, on a fait grand état de la 300e victoire en carrière de Scary Price, obtenue contre les faibles Coyotes de l'Arizona, la semaine dernière.
- Les fefans du Cacanadien ont toujours considéré Price comme un héros. Sauf lors de certains épisodes de bipolarité ou de dépression. Bien entendu... Cet état d'esprit leur appartient. Leur «radiographie» mentale est faite de «hauts» trop hauts et de «bas» trop bas. D'amour excessif et de haine exagérée. Comme c'est aussi le cas pour Scary.
- Les fefans du Caca ont souvent monté leur «Jesus» Price aux nues, en le coiffant de la couronne de «Sauveur». Puis, parfois, ils lui ont mis une couronne d'épines sur la tête en le huant copieusement quand les choses allaient mal. Price, de son côté, a aussi eu des sautes d'humeur envers les partisans trop envahissants de sa vie privée. Le moral fragile de Scary est à l'image de celui des fefans CHicolores. C'est pourquoi ils vont si bien ensemble !
- Le gardien numéro un du torCHon connaît présentement une saison en dents de scie. Comme son état psychologique habituel, d'ailleurs. Il montre une fiche très ordinaire de quinze victoires et quatorze défaites (incluant quatre revers en bris d'égalité); avec une moyenne de buts alloués par match de 2,84 et un pourcentage d'arrêts de ,904.
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- La situation chez les gardiens de buts des CHaudrons est plus précaire encore que lors de la saison désastreuse de l'an dernier. Quand Scary a complètement flanché en 2017-2018, la bonne tenue du substitut Antti Niemi (photo ci-dessus) a évité une humiliation encore plus grande pour les Canailliens. Si Niemi ne gagnait pas beaucoup plus que son collègue portant le no 31, il permettait parfois à son club pourri de rester dans certains matchs.
- Il n'en va pas de même cette année alors qu'il montre un dossier de 4-3-1 avec une affreuse moyenne de 4,14 et un taux d'arrêts épouvantable de ,876. Si Price s'écroule (comme c'est fort probable pour lui et son équipe poche) en seconde moitié de campagne, Niemi ne pourra pas sauver le moindre meuble, cette fois...
- Les fefans bipolaires à cervelle d'oiseau, et les vendus lèche-culs journalistes montréalais, qui adulent les Cannes à CHiens, ont beau souligné les «exploits» de leur gardien chouchou au 300 gains, ils oublient, à dessein, l'envers de la médaille, c'est-à-dire la fiche perdante de Carey Price.
- En effet, Scary détient le record du plus grand nombre de défaites pour un gardien du Caca d'CHien. Officiellement c'est 211 revers. Mais si on ajoute les 66 défaites en bris d'égalité, on arrive à un total de 277. Pourquoi ne pas tenir compte de ces échecs en prolongation et en tirs de barrage alors qu'on ne mentionne pas quel nombre de victoires ont été obtenues en pareilles situations ?
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- Price a participé à 588 parties durant sa carrière. Chez ses homologues du CH qui ont disputé au moins 500 rencontres, il est de loin celui qui a perdu le plus de matchs. En 551 joutes de saison régulière avec les CHieux, Patrick Roy (photo ci-dessus) en a gagné 289 et en a perdu 175 (avec 66 matchs nuls). Jacques Plante, quant à lui, demeure le meilleur gardien de l'histoire de la CHiure avec 314 gains, 133 revers (107 nuls) en 556 parties.
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- En séries éliminatoires, quand la pression augmente, Carey Price montre encore plus de quoi il est fait. Sa réputation de «CHoker» transparaît vraiment. Bien que Théodore revendique aussi une fiche perdante (onze gains, quinze revers), c'est Price qui domine à ce chapitre avec 31 défaites (25 gains) en 57 départs en séries de la Coupe Stanley. Seul Roy (42 défaites mais 70 victoires) et Ken Dryden (32 défaites mais 80 victoires) ont perdu plus de matchs en séries que Price, mais c'était respectivement en 114 et en 112 parties jouées (soit deux fois plus que Scary).
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- Mais arrêtez de glorifier Price pour ses 300 victoires ! Tenez compte également de ses 308 défaites (saisons régulières, et séries éliminatoires comprises) !
lundi 24 décembre 2018
PRICE : LE PIRE "LOSER" DE L'HISTOIRE DU CANADIEN DE MONTRÉAL
mercredi 31 octobre 2018
LE CANADIEN À L'IMAGE DU FRILEUX "TURTLE NECK" PLEKANEC...
Tout le monde a bien rien l'été dernier quand la seule prise du DG des CHaudrons, Symphorien Bergevin, sur le marché des agents libres, a été le revenant Tomas "Turtle Neck" Plekanec. Évidemment, tous les agents libres de qualité n'ont même pas daigné regarder du côté de Mourial pour se trouver une place où aller jouer. Tellement la mauvaise réputation de cette concession merdique est maintenant faite et refaite depuis un bon bout de temps. Il n'y a que les hockeyeurs qui n'ont pas le choix, comme les joueurs recrues, les rejets des autres clubs, les canards boiteux finis et ceux qui ne sont bons qu'à remplir un chandail de nécessiteux, qui se bouchent le nez et acceptent à contre-coeur de se traîner les patins devant les foules de fefans de la métropauvre-bidonville-moronsréalaide.
Des foules de moins en moins nombreuses d'ailleurs, a-t-on fini par apprendre de la part de la direction des CHieux. On ne joue plus à guichets fermés au Centre PouBell. Ça on le savait déjà depuis belle lurette puisqu'on savait également que les gens de la CHiasse nous mentaient au sujet de la suite ininterrompue de salles combles dans leur repère de voleurs et d'exploiteurs. Les fefans hydrocéphales sont durs de comprenure, mais auraient-ils enfin commencé à réaliser que les dirigeants de leur pitoyable club les prend pour des valises avec une grosse poignée dans le dos ? Ou bien les pauvres fefans n'ont tout simplement plus les moyens de se payer un match du Caca au Centre PouBell à cause des prix exorbitants des billets, du stationnement, de la bière et autre camelote redondante.
Dire qu'autrefois, les grosses compagnies de la métropauvre, les politiciens véreux ou les gens de la mafia récompensaient les gens qu'ils voulaient remercier, corrompre ou acheter en leur donnant des billets pour assister aux parties du CanaCHien. J'imagine que le truc ne fonctionne plus maintenant. Le spectacle désolant offert par les lâches de Claude Julien intéresse de moins en moins le monde désabusé du bidonville de la mairesse Plante.
Oui, il y avait de quoi rire du retour de Plekanec avec les Cannes à CHiens. Un geste désespéré, typique de l'organisation CHicolore qui doit se contenter de ramasser des vidanges pour boucher les trous de leur alignement pourri. Avant d'être blessé, et après avoir été laissé de côté lors des premières rencontres de la saison, (pas assez bon pour percer le médiocre alignement des CHieux) Pleky a célébré son millième match dans la LNH, presque tous disputés avec le Caca, sauf un bref séjour l'an passé avec les Maple Leafs de Toronto.
À cette grandiose occasion, où cours d'une cérémonie d'avant-match pour honorer le 14 du CHiendent pour son exploit d'avoir été si longtemps dans la Ligue grâce à un club qui ne pouvait pas trouver mieux tout en le surpayant grassement (52 millions de $ durant son illustre carrière), tonton Geoff Molson et Symphorien Bergevin étaient présents au centre de la patinoire, revêtant ironiquement le col roulé orné du logo du CH, pour faire un clin d'oeil à la marque de commerce dérisoire de leur frileux joueur de centre hommagé...
Celui qui avait déjà déclaré, après un de ses innombrables matchs pitoyables, qu'il avait joué «comme une fillette», aura évolué dans une équipe à son image : médiocre, terne, frileuse, sur-évaluée...
Et c'est encore le cas cette année malgré les fefans excités qui sont dans l'allégresse à cause d'un assez bon début de campagne de leurs dieux en octobre. Comme si la Coupe Stanley se gagnait en ce précoce mois d'automne... Il faudrait qu'ils se calment. Le torCHon n'est qu'en milieu de classement et il a déjà démontré les mêmes faiblesses qui l'ont souvent fait régresser par le passé et qui causeront encore sa chute dans les prochaines semaines.
C'est toujours la même histoire. Le seul espoir des Canailliens de ne pas connaître une saison lamentable c'est de se défoncer en début de campagne pour surprendre des clubs somnolents, qui n'ont pas encore pris leur élan au commencement du marathon qu'est le long calendrier de la LNH.
Mais déjà, même en si peu de temps et avec des succès relatifs, on a pu voir les carences et les fêlures des CHaudrons. D'accord, les nouveaux venus ont assez bien fait. Max Domi, Tomas Tatar et même Jonathan Drouin ont revigoré l'attaque mourialaise. Mais c'est parce qu'ils n'ont pas encore eu le temps d'être éteints par l'atmosphère malsaine et étouffante qui règne dans la Sibérie du hockey. Un bled sordide où les fefans sont cinglés et où les journaleux taches à marde vous emmerdent royalement ! Ce n'est qu'une question de temps avant que ces joueurs temporairement fringants étouffent, baissent les bras et capitulent comme le reste de leur gang d'enfoirés sur patins.
Pour battre les Canailliens, c'est toujours la même recette. Soit qu'ils soient facilement surclassés au niveau talent (défaite au premier match, à Toronto); soit que leur faible attaque -y compris l'avantage numérique anémique- se bute à une bonne performance des gardiens adverses (défaites contre les Kings, les Sabres et les Stars); soit qu'ils affrontent un club affamé, qui travaille plus fort qu'eux (défaite à Buffalo); soit qu'ils soient impuissants contre des clubs formés de joueurs imposants physiquement (le torCHon est l'équipe la plus légère et la plus petite de toute la Ligue Nationale).
C'était particulièrement drôle de les voir s'effondrer lors de leur premier match à domicile contre Los Angeles (blanchis 3-0). Les Kings sont à l'autre bout du spectre en étant la formation la plus grosse de la Ligue en ce qui a trait à la taille et au poids. Il fallait voir les ridicules petits sCHtroumfs bleu, blanc, merde revoler ou se river le nez sur leurs rivaux californiens en tentant de les mettre en échec ou de leur enlever la rondelle. Il fallait les voir tomber comme des fillettes lorsque leurs adversaires soufflaient un peu sur eux ou les effleuraient ! C'était d'un comique burlesque ! Et lorsqu'ils se faisaient prendre en sandwich dans les attroupements de joueurs devant le filet ou dans les coins de patinoire, c'était hilarant comme c'est pas possible !
Quelle jubilation hier de voir l'excellent Alexander Radulov se moquer des fefans et lever le nez sur les journalicheux frustrés de MortYial. Un peu plus et Radu baissait ses culottes et montrait son cul pour manifester son mépris à cette bande de mange-marde. La saison est encore bien jeune mais les Anti-Habs se bidonnent déjà jusqu'à en perdre le souffle et à s'en endolorir les côtes !
samedi 29 septembre 2018
CALENDRIER 2018-19 DU CANADIEN DE MONTRÉAL : ÇA PROMET !
La saison dernière a été l'une des pires de la longue histoire de 110 ans du torchon de Montréal. Et tous les pronostics pour la prochaine campagne pointent vers un désastre comparable.
Avec des changements pré-saison qui n'apportent aucune amélioration à l'alignement, il est facile de prédire l'enfer aux CHieux en 2018-19.
Devant les buts, le dépressif Scary Price a déjà commencé à "varger" sur les poteaux de son filet en matchs hors concours. Rien n'indique qu'il pourra éviter de se retrouver sur le carreau à cause de ses sempiternelles blessures -y compris celles entre les deux oreilles- comme ce fut le cas au cours des dernières années.
Avec un Shea Weber encore à l'infirmerie, au moins jusqu'à Noël, sa défensive (inchangée) sera toujours aussi pourrie que l'an passé. Price ne pourra donc pas s'y fier pour le sauver et l'empêcher d'accorder au moins un ou deux mauvais buts par match.
Et avec une offensive dépourvue de marqueurs, toute la pression sera donc sur les épaules du pauvre Scary, qui n'aura aucune marge de manoeuvre pour éviter la débâcle. On sait comment il croule sous la pression, parce qu'il est incapable de la supporter, surtout en situation de désavantage numérique où lui (% d'arrêt de .849) et sa bande de pic-pic (30e sur 31 clubs avec un PK à 74,1%) ont été pitoyables en 2017-18. Sans parler de la pression qui vient de son gigantesque contrat.
Et sur le jeu de puissance (?), -la seule situation où les CHaudrons étaient moins désavantagés par leurs attaquants de petite taille-, qui remplacera Pacioretty et Galchenyuk pour faire bouger les cordages du filet adverse ? Tomas Tatar ? Un rejet des Red Wings et des Golden Knights ? Jonathan Drouin ? Une déception qui a peur de son ombre et qui se cache en périphérie entre deux zones ? L'adolescent Kotkaniemi ? Qui aura du mal à jouer contre de vrais hommes ? Max Domi ? L'écervelé indiscipliné qui peine à marquer plus de dix buts par saison et qui risque plus de nuire à son club que de l'aider ?
Ouais, il y a un manque criant de main-d'oeuvre de qualité chez les CHieux. Il y a bien le petit baveux à Gallagher, mais son style de jeu le prédispose à se faire frapper et à se faire blesser. Il a été épargné l'an passé mais rien ne garantie que ce sera la même histoire cette année. Ses 31 buts de 2017-18 pourraient être difficiles à répéter. Et si, comme c'est souvent le cas, des blessures frappent certains joueurs-clés, il n'y a aucune profondeur, aucune relève dans l'organisation pour atténuer les malheurs des CHaudrons. Ils vont se faire manger tout rond, comme des cup-cakes !
Les experts s'attendent au mieux à une légère amélioration de la fiche des Canailliens cette saison, peut-être 80 points (71, en 2017-18). Ce qui serait loin de suffire pour participer aux séries éliminatoires. Mais un tel scénario signifierait fort probablement le congédiement du DG Symphorien Bergevin. Ce que les Anti-Habs redoute, évidemment. On veut que le démolisseur en chef garde son poste pour continuer son oeuvre de destruction !
Bref, le calendrier 2018-19 (ci-dessous) promet. Surtout le début. On sait que lorsqu'ils partent du mauvais pied, les Cannes à CHiens connaissent des saisons catastrophiques. Alors, on devrait être fixé rapidement sur un éventuel déluge... En route vers une autre année de rêve pour les Anti-CH !
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Mercredi, 3 octobre, 19h00
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