jeudi 28 juillet 2011
LES JOUEURS DES BRUINS N'AURAIENT PAS DÛ SERRER LA MAIN DE SUBBAN APRÈS L'ÉLIMINATION DU CACANADIEN...
La saison prochaine il sera intéressant de surveiller Pédé Subban pour voir si quelqu'un a réussi à lui mettre du plomb dans la caboche au cours de la saison estivale. À son année recrue, tant son entraîneur Dumbo Martin (qui l'a envoyé réfléchir pendant quelques matchs sur la galerie de la presse), son mentor Hal Gill (qui l'a semoncé après que Picouille ait fait un torCHon de son chandail no 76 en le jetant négligemment par terre dans le vestiaire), que des adversaires comme Mike Richards et Tim Thomas qui ont condamné son comportement indigne qui ne respecte pas le code d'honneur de tout bon joueur professionnel de hockey, ont échoué dans leurs tentatives de redresser ce jeune écervelé qui se croit déjà plus gros que la Ligue Nationale et son sport. On a aussi invité vainement les nombreux vétérans des CHieux à faire l'éducation du gros blanc bec de la défensive CHicolore. Rien n'y fait, son crétinisme semble incurable. C'est un mouton noir naturel, à la tête dure comme une roche. "Born this way" comme dirait Lady Gaga !
Bon... À cause de sa jeunesse, on n'a pas encore pris des mesures draconiennes pour lui faire entendre raison, pour essayer de l'arrêter de faire le pitre sur la patinoire, pour qu'il cesse de jouer la comédie en simulant des blessures ou en exécutant des plongeons volontaires afin de faire prendre des punitions non méritées à des opposants. Mais il énerve grandement les vétérans de la LNH. Ça me rappelle un peu le comportement d'un autre cave, Sean Avery, lorsqu'il a bafoué le code d'éthique de son sport en commettant un genre d'obstruction jamais vue auparavant à l'endroit du gardien Martin Brodeur durant les séries éliminatoires, il y a trois ou quatre ans. Avery bouchait littéralement la vue du cerbère québécois en lui mettant son bâton et ses gants directement devant les yeux, tout en tournant le dos au jeu. On a dû instaurer le "règlement Avery" pour punir, bannir et empêcher ce genre de gestes stupides. Faudra-t-il que la Ligue invente un "règlement Subban" pour condamner et sanctionner ses agissements de cancre sur la glace ? Avant d'en arriver là, peut-être pourrait-on lui passer un message ou l'avertir que la patience et la pitié des autres joueurs à son égard ne sont pas illimitées... Ou on pourrait simplement l'avoir davantage à l'oeil et appliquer les règlements qui existent déjà concernant le "diving" et la conduite anti-sportive. Il existe peut-être un autre moyen de dompter l'extravagant hot-dog portant le dossard no 76 du torCHon... On se rappelle qu'au terme de la série Devils/Rangers, Brodeur, dégoûté des tactiques déshonorantes de Avery, avait refusé de lui serrer la pince lors du traditionnel échange de poignées de main mettant fin aux hostilités. Aurait-il été envisageable qu'aucun des joueurs des Bruins de Boston ne donne la main à "Piqué des vers" Subban après qu'ils l'aient expédié en vacances en éliminant son club de broches à foin, le printemps passé ? Les Bruins sont trop respectueux du code d'honneur du hockey pour faire un tel affront au pauvre con de la CHiasse. Sans compter qu'il y a peut-être d'autres étapes "punitives" et des moyens plus persuasifs à employer avant de songer à en arriver là... Des étapes comme un voyage gratuit sur une civière à l'hôpital après que notre moineau têtu ait reçu un bon vieux six pouces à la bonne place...
En tout cas, comme on peut le constater en scrutant la photo en haut de cet article, Tim Thomas semblait se mordre les lèvres pour se retenir de dire sa façon de penser à l'arrogant P.K. qui avait un sourire de victoire dans la face, même si le Cacanadien avait perdu. Une fois rendu dans le vestiaire cependant, le portier des Bruins s'est vidé le coeur au sujet du clown des CHaudrons. S'attardant en particulier sur les plongeons délibérés de Subban, Thomas a fustigé le jeune noir en déclarant aux journalistes : «Je n'ai aucun respect pour des gestes du genre. C'est une vraie honte. Ce n'est pas comme ça que le sport devrait être pratiqué. Il fait constamment mal paraître les arbitres.» Quand c'est rendu que des joueurs sont sincèrement solidaires des officiels, l'heure est grave mes amis ! Mais c'est tout de même une preuve que le récent gagnant du trophée Connie Smythe respecte son sport, LUI !
mardi 5 juillet 2011
PIERRE "SPOCK" GAUTHIER A-T-IL OU EST-IL UN CANCER ?
À voir son visage émacié, son teint terreux, son regard éteint, sa silhouette squelettique, il est permis de se demander si Pierre "Spock" Gauthier n'est pas atteint d'une forme maligne de cancer... À entendre sa voix à peine audible, ses arguments creux et ses longs silences, on en vient à se questionner sur santé mentale... À constater les résultats faméliques de son travail depuis l'élimination hâtive de sa troupe de ballet-jazz contre les Bruins de Boston en avril dernier, il est légitime de penser qu'il EST UN CANCER pour son organisation... Mouais... la pêche aux agents libres a encore été désastreuse cette année pour l'homme aux oreilles identiques à celles de Monsieur Spock. Fallait-il s'attendre à autre chose puisqu'au fil des vingt dernières années, Mourial s'est transformé en cimetière de joueurs finis ou rejetés par les autres clubs de la NHL ? Il faut dire également que Gauthier avait préparé le terrain en faisant le post mortem de la saison écourtée des CHieux, au lendemain de leur dernière défaite. Y allant d'une déclaration sibylline et creuse, dont lui seul a le secret, il avait fait un oracle de sa maigre personne en murmurant du bout des lèvres : «Nous ne sommes pas loin d'aspirer à la Coupe Stanley». Paroles magiques qui ont encore, comme toujours, conforté les fefans dans leurs croyances religieuses fanatiques à l'égard du futur glorieux de la Sainte Guenille... Bien assis sur son steak, à ses côtés, le coach aux oreilles de pachyderme, Jacques "Dumbo" Martin s'était dépêché lentement de renchérir en balbutiant dans un français infirme : «Nous avons l'expérience, la profondeur et le caractère pour relever les plus grands défis et faire face à l'adversité. Les joueurs ont l'équipe à coeur». À noter que ces mots ne sont pas les siens mais une traduction, par les journaliCHe-culs moronréalaids, du franglais rachitique de Martin. Alors, si tout est parfait comme l'affirme la direction du torCHon, si tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, pourquoi se donner la peine d'améliorer l'équipe ? Ça va de soi que les changements ne peuvent être que de nature cosmétique... La Coupe est à portée de main... C'est clair comme de l'eau de vaisselle... On garde le cap. Surtout le cap salarial ! Et c'est pas grave si on fait patate encore l'an prochain. On n'aura qu'à justifier l'échec par les blessures à des joueurs clefs, ou mettre la faute sur le mauvais temps, ou la malchance, ou l'inconstance du Frère André, ou le piteux état des ponts autour du bidonville mourialaid...
Heureusement que j'étais bien assis lorsque j'ai consulté le site internet du Réseau des Suceurs (RDS) juste avant l'ouverture du marché des agents libres. En première page, les porteurs de valises de la CHiasse, des maîtres maquilleurs et des experts en chirurgie plastique pour embellir l'image du torCHon, avaient écrit que le CH avait ni plus ni moins que Brad Richards dans sa mire et qu'il voulait l'attirer dans la métropauvre. Encore une fois, une démonstration éclatante que ces imbéciles ne vivent pas sur la même planète que le commun des mortels. Richards dans le dépotoir à ciel ouvert de Gérald Tremblay !!! Pensez-y ! Du délire ! Pourquoi pas essayer d'aller chercher le Prince William pour le faire jouer avec le Caca tant qu'à y être ?! Complètement insensé ! Joueur d'élite et CanaCHien de Mourial ne vont tout simplement pas dans la même phrase ! Oubliez ça les fefans ! Aucun joueur étoile ne se pointera dans votre trou à rats, à moins d'y être obligé parce qu'il doit venir y jouer avec son équipe pour affronter vos deux de pique...
Le seul poisson qui a mordu à l'hameçon de Spock Gauthier a été Erik Cole. Et, encore là, Gauthier n'a pas de mérite puisque c'est le cap'tain America, Brian Gionta, qui a réussi à capturer son compatriote et ex-porte-couleurs des Hurricanes. Probablement en le faisant boire beaucoup d'alcool ou en lui faisant fumer du bon stock... De toute façon, Cole est étiquetté "béquille", comme Andrei Markov, dans tous les guides ou les revues de prévisions de hockey. Il a été blessé gravement à plusieurs reprises et il a manqué une quantité astronomique de parties. Il est rapiécé de partout à la suite de fractures ou de sévères contusions à la jambe (deux fois), à un pied (deux fois), à la hanche, au coude, à un bras, à une vertèbre, au cou, et au haut du corps. Il a été éprouvé par des maux de dos et il a aussi souffert d'un muscle étiré à la cuisse. Tout ça parce qu'il joue un style "kamikaze" en se bagarrant devant le filet, en se débattant le long des rampes, et en faisant des mises en échec qui lui font encaisser une partie des coups qu'il donne ou qu'il mange en entrant en collision avec des adversaires. Cet autre américain (on devra rebaptiser bientôt le CH du nom des "Mount Real Yankees" tellement il y a d'amerloques dans le club des Molson) arrive à un âge (33 ans au début de novembre) où les joueurs d'avant connaissent généralement un déclin assez marqué. D'ailleurs, c'est ce que disent les revues spécialisées. Dans la revue FORECASTER on conclut, en parlant de Cole : «veteran power forward on the decline». En ce sens, il cadre parfaitement dans le portrait du torCHon, composé essentiellement de joueurs pour la plupart âgés, glissant inexorablement sur une pente descendante. En défensive, cette vérité était tellement flagrante que l'on a laissé aller le vieux Hamrlik, Gauthier craignant sûrement que ce vieux croûton lui chie dans les mains comme Spacek l'an passé. Avec Markov qui va très certainement retourner à l'infirmerie au moindre coup de vent l'automne prochain, le Peter Gauthier from Vermount a recruté quelques défenseurs européens ce printemps afin de colmater d'éventuelles brèches à sa brigade défensive de l'âge d'or. À savoir si ces gars-là sont prêts à affronter les rigueurs du calendrier de la NHL, c'est une autre paire de manches... Peut-être que Alexei Yemelin ne serait pas pire que Spacek, Gill, Subban ou Weber, mais ça c'est loin d'être certain...
Alors, Gauthier a-t-il ou est-il un cancer ? Difficile de se prononcer... C'est plutôt le bidonville de Mourial qui est rongé par cette terrible maladie incurable. À examiner ses problèmes urbains, sanitaires, ou de pollution, on ne voit guère de différence entre la métropauvre et les poumons noirs d'un cancéreux. Avec comme métastases furonculeuses les crétins de fefans...
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