Contrairement au match peu éprouvant (du patinage de fantaisie sans contacts physiques) contre les Islanders mardi, les CHieux de Mourial ont affronté hier un club de durs (Philadelphie) qui les ont cinglés et leur ont appliqués des doubles-échecs à profusion ! Les pauvres femmelettes CHicolores en ont mangé des coups de hockey, un peu partout sur le corps ! Pas moins de cinq pénalités (sur les neuf qu'on leur a décernées) ont été infligées aux Flyers pour ce genre d'infractions. Parlez-moi d'une équipe qui va droit au but et qui malmène ses adversaires ! Pas de niaisage de la part des Flyers : on fonce en zone adverse et on travaille sans relâche. Ils ne font pas de quartiers à leurs ennemis, si vous vous approchez de leur gardien vous allez en payer le prix : coups de bâtons, doubles-échecs, coups d'épaules et coups de coude. Ils ne font pas de prisonniers... Peu importe les punitions, puisque les CHaudrons ont un jeu de puissance absolument nul. Alors on peut les frapper à tour de bras et les épuiser petit à petit. Mais, le problème, c'est que les officiels semblent s'être donnés le mot pour envoyer tout le temps les joueurs des clubs visiteurs au cachot dans les dernières parties disputées au Centre BéBell. Quand le Caca tire de l'arrière par un ou deux buts, il en profite pour retirer le gardien et jouer avec l'avantage numérique de deux hommes. Hier, avec un peu plus de deux minutes à jouer dans la joute, Maxime Talbot et David Desharnais se retenaient mutuellement, mais c'est seulement le joueur des Flyers qui a été puni. Pas sérieux ! Incroyable ! C'était anodin et marginal comme geste. Normalement les zèbres laissent passer ces peccadilles... Mais ça n'a finalement pas changé le résultat de la game : 4-3 Flyers. Même sans leur meilleur attaquant (Claude Giroux) et leur as défenseur Chris Pronger, tous deux blessés, les meneurs au classement de l'Est ne s'en sont pas laissés imposer par les p'tits canaCHiens.
Quelle belle équipe ! De la profondeur à revendre avec les Jagr (10 buts), Hartnell (15), Brière (9), Read (11), Voracek (5), van Riemsdyk (8), Talbot (9) et le solide Simmonds (9). Sans parler de leur excellente brigade défensive qui a limité les dégâts durant les nombreuses infériorités numériques, y compris un 3 contre 5 qui a duré près de deux minutes. Impressionnant ! Du sang froid, du talent, du savoir-faire, de la détermination : exemplaire ! Le vieux Jagr a beaucoup ralenti mais on apprécie le fait qu'il continue de tenter des jeux lorsqu'il est en possession de la rondelle, au lieu de la "dumper" tout le temps profondément derrière le filet adverse, comme presque tous les autres joueurs le font. Les Flyers pénétraient facilement en territoire moronréalaid et mettaient de la pression sur les Emelin (qui se fait contourner facilement quand il joue à droite), Kaberle (qui ne s'implique tellement pas physiquement qu'il pourrait jouer avec des oeufs dans ses culottes sans les casser), et Subban (simplement pourri dans toutes les phases du jeu) qui ont tous connu beaucoup d'ennuis. Souvent paniqués ils remettaient sans cesse le disque au "Orange Crush". C'était trop de politesse et de générosité. Les Flyers n'en demandaient pas tant. Les deux super héros des fefans, Subban et Price, ont d'ailleurs uni leurs efforts pour donner le but vainqueur aux visiteurs. Price a vu son dégagement être intercepté (comme ça lui arrive souvent) et P.K. a piqué du nez en cafouillant (comme il en a l'habitude) et en commettant lui aussi une bévue pour singer sur son tata Scary. Pour sa part, Michael "encule" Cammalleri (payé 6 millions de $ par saison et qui a toujours zéro but sur le power play) a enfin retrouvé le fond du filet (photo ci-dessus) mais aucun de ses sept lancers au but n'a fait de même ! Comme c'est le cas depuis une éternité, seul le trio de Desharnais a fonctionné. Mais les trois buts de la CHiasse ont été merdiques. Sur le filet de Desharnais, Bobrovsky n'a rien pu faire puisqu'il était empêtré dans pas moins de cinq joueurs cordés dans son demi-cercle. Sur celui de Leblanc, la rondelle a dévié sur un joueur avant de se retrouver directement sur la palette du jeune blanc bec des CHaudrons. Enfin, Cole a marqué avec sa jambe ou son patin et on cherche encore le disque resté coincé on ne sait où... Il s'agissait d'une 7e victoire consécutive pour Philadelphie, une 9e à leurs dix derniers matchs, et une 12e en 16 parties à l'étranger. Les CHieux peuvent seulement rêver à de telles séries victorieuses, eux qui ont toutes les misères du monde à coller deux gains d'affilée et qui n'ont gagné que cinq de leurs 17 joutes à domicile cette saison. Ils ne doivent leur salut (temporaire) qu'à des points de BS récoltés en perdant en prolongation ou en fusillade.
Ça criait fort chez les schizophréniques fefans à cause du but refusé à Plekanec en première période. Ils juraient tous durs comme fer que Cole n'avait pas pu nuire au gardien des Flyers sur ce jeu puisqu'il ne lui avait pas touché. La vidéo ci-dessus leur donne tort, comme d'habitude ! On voit que Cole recule dans Bobrovsky au point d'en perdre quasiment l'équilibre ! Non seulement il touche au gardien mais il gêne son travail à deux, sinon trois reprises, en entrant en contact avec lui avec son patin et sa main. La photo ci-dessous trahit aussi Cole. On le voit plaidant sa cause à l'arbitre...presque à cheval sur Bobrovsky ! Le but ne devait pas être accordé même si souvent on n'applique pas le règlement. Scary Price aurait bien voulu que le but de Zolnierczyk soit refusé pour les mêmes raisons, sauf que dans le cas du joueur des Flyers qui a gêné un peu le portier des CHieux, il a été poussé par un porte-couleur du bleu, blanc, merde (contrairement à Cole, sur le but refusé à Plekanec). Le degré de frustration de Price grandit à mesure que les défaites s'empilent à son dossier. On le voit fréquemment chiâler après les officiels après avoir été victimisé sur des buts pour lesquels il a pourtant une bonne part de responsabilité. La nouvelle maturité de Scary, disent en choeur ses coachs et les journalicheux de la métropauvre ? Laissez-moi rire ! Avant le début de la saison, j'écrivais ici que le sort du Cacanadien reposait surtout sur les épaules de Price. Pas très original, et facile de déduire cette vérité. L'an passé il a joué au-dessus de sa tête. Jusqu'à maintenant, en 2011-12, il est pas mal retourné à ses performances très ordinaires d'il y a deux ans. Que ça continue de la sorte et le torCHon va sombrer...
Entre les branches, des rumeurs se font de plus en plus persistantes concernant Scott Gomez. On chuchote qu'il serait en mesure de jouer mais que plus personne, du côté de la direction du CH ne veut le voir continuer à jeter le discrédit sur l'organisation de la Sainte Guenille en se traînant les patins sur la patinoire durant les matchs. Subban en est un autre qui devrait bientôt (si ce n'est déjà fait) exaspérer l'état-major CHicolore. On a beau lui répéter autant comme autant de ne pas lever son bâton jusqu'au plafond dans son élan arrière pour décocher des tirs frappés, il s'entête à faire constamment le contraire. Ses lancers revolent partout, sauf sur le but. Quelqu'un a même prédit qu'il finira par tuer une mouette à force de rater la cible par des kilomètres ! À moins que ce soit un coéquipier qui subisse une commotion cérébrale en recevant un de ses boulets dans le front ! Après chaque revers de leurs favoris, les fefans demandent le congédiement de Jacques Martin ! Moi, j'aimerais plutôt qu'il cesse de faire des points de presse ! Il répète toujours les mêmes âneries et cherche à se défiler quand des journalistes anglophones posent des questions pertinentes. D'ailleurs, hier, dans un article de la Montreal Gazette, on reprochait à la direction du torCHon de toujours essayer de cacher de l'information et de dissimuler la vérité (notamment dans le dossier Markov). À part Martin, qui ne dirait rien et ce serait pareil, seul Pierre Gauthier est autorisé à parler aux médias, et il le fait rarement. Les autres personnes dont les noms apparaissent dans l'organigramme de la CHnoutte, ont l'ordre de se fermer la gueule et de ne pas parler aux journalistes. Par exemple, seul Marc Denis, durant les matchs diffusés sur le réseau bull shit (ou RBS), semble avoir le droit de parler à l'assistant-entraîneur Randy Ladouceur. Ce dernier n'est pas accessible aux autres scribes, que ce soit avant, pendant et après les parties. Les têteux scribouilleurs francophones qui couvrent (littéralement) le CanaCHien acceptent cette situation sans rechigner. Ils sont bien domptés. Ils savent à quoi s'en tenir (c'est-à-dire vanter le CH quand il gagne; parler tout bas et poser des questions mielleuses quand il perd).
Le Caca accueille les Devils samedi soir au Centre PouBell. Les représentants du New Jersey auront joué la veille et seront donc plus fatigués que les Guenilloux. Qu'à cela ne tienne, ça ne veut pas dire que le torCHon va gagner ! Il est bien capable d'inventer une nouvelle façon de perdre ! Mais avec six matchs sur la route qui s'en viennent dans le temps des fêtes, à partir de mardi prochain à Boston, les Canailliens ont tout intérêt à tout faire pour engranger les deux points à l'enjeu samedi soir contre les Devils. C'est vrai que les citrons moronréalaids sont moins pitoyables lorsqu'ils évoluent à l'étranger, mais il s'agit néanmoins d'un voyage éreintant au cours duquel pourrait bien se jouer le sort de leur saison de misère...
6 commentaires:
Ah, ah, ah, ah!
Une autre humiliante défaite pour le Torchon! Et devant le troupeau de 21 000 abrutis en plus!
Rappelons quelques faits:
- Les Flyers étaient privés de Pronger et de Giroux.
- Peter Laviolette a décidé d'employer son gardien réserviste.
- Le généreux arbitre a donné aux CHenilles pas moins de neuf avantages numériques (dont certains très douteux).
- Le Torchon disputait un match à domicile (donc pas d'excuse du voyagement).
Malgré toutes ces circonstances favorables, la Sainte-Guenille a encore perdu devant ses imbéciles de petits fefans lobotomisés.
Et le plus amusant, c'est que le but gagnant a été inscrit par Andrej Meszaros, celui qui a été choisi le meilleur défenseur des Flyers l'an passé et celui que l'insignifiant lèche-cul Mathias Brunet a déjà qualifié de joueur très ordinaire.
Ce pauvre crétin de Brunet devrait se contenter de lécher le derrière de son ami et partenaire de tennis Trevor Timmins, car c'est encore ce que ce pauvre plouc fait de mieux.
Parlant de plouc, c'est amusant de sentir ces jours-ci la frustration monter dans les têtes creuses de pafaits idiots comme M4rco le consanguin, Tidan le cave profond du village et Sercote le mongol frustré venu de l'Ouest.
Après avoir imposé un sale capitaine raciste et puant qui refusait de dire «Bonjour» et «Merci», voilà que le Torchon nous enfonce dans la gorge un entraîneur à la tête carrée.
Quelle organisation de cul! Aujourd'hui, plus que jamais, je chie sur cette équipe de blokes, sur ses dirigeants rednecks et sur ses petits fefans lobotomisés et colonisés.
Le Torchon de Montréal nous fait reculer de 60 ans, avec ses nombreux unilingues. Cette organisation est dégueulasse et elle me lève le coeur. Je pisse sur tous ceux qui la soutiennent.
Malédiction!Oreilles vient de se faire virer, ça c'est pas bon pour nous les anti-habs mais ce n'est pas tellement grave il nous restes pas mal de stock à se mettre sous la dent avec tout ce ramassis d'incompétent de plouk de troisieme zone de peigne-cul de la sainte guenille.
pathétique! au risque de me répéter qu elle saison de reve pour tout les anti chiasse.ARBITRAGE... suis je paranoiaque ou bien a toute les match des chieux a montréal quand le plouk a houde présente les arbitres et qu il y a des francophones parmis eux c est une vraie farce. y a tu juste moi ou bien? boule....
et bien c est le bout d la marde j écoute les leches cul du caca et la grosse nouvelle LOUIS LEBLANC A MARQUÉ SONT PREMIER BUT !
Salut Hacksaw,
Bertrand Raymond, peu de fois intelligent, viens de publier sur rbs un article disant que le seul successeur logique serait Patrick Roy..... Imaginons nous deux secondes, après 2 défaites de suites du caca Patrick Roy pète les plombs sur les questions insignifiantes des journalichieux... j'en salive juste d'y penser. On dirait que dans leur têtes de fefans déficients, il n'y a aucune logique. Patrick Roy diriger l'équipe la plus difficile à diriger, me semble que c'est comme mélanger du feu et de l'essence. Roy n'a RIEN prouvé comme entraîneur, il a peut-être remporté une coupe Mémorial mais on est loin d'une coupe Stanley...
Comme on dit souvent, plus ça change pour le caca, plus c'est pareil...
Pépé
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