samedi 22 décembre 2012
LES ANTI-HABS ONT DÉJÀ REÇU LE PLUS MERVEILLEUX DES CADEAUX DE NOËL !
Ici Hacksaw Reynolds, votre humble serviteur et pourfendeur des crottés de CanaCHiens de Moronréal. Je souhaite de très joyeuses fêtes aux anti-habs du monde entier ! Noël étant une fête chrétienne, c'est inutile de souhaiter un bon Noël aux fefans puisque leur religion c'est le torCHon... Et pour eux, le Messie c'est Jesus Price. C'est vrai que ça va bien avec eux-autres. Comme eux, Price est un prodigieux leveur de coude. Remarquez qu'ils n'ont pas besoin de consommer des boissons alcoolisées pour avoir les facultés affaiblies. Un peu comme les journaliCHeux à la langue brune qui s'ennuient à mourir de leurs héros CHicolores depuis le début du lock-out qui nous prive du hockey de la NHL depuis le mois de septembre. Sans leurs CHaudrons adorés, des scribouilleux désoeuvrés comme Mathias Bruniais, du journal La Presse, en sont réduits à fabuler en prétendant trouver des perles dans la formation du club école des CHieux, les minables Bull Dogs de Hamilton. Tout comme leurs grands frères du Caca de la métropauvre, les Bull Dogs croupissent dans les bas-fonds de leur ligue. Pas de doute, dans les mineures, il y a de la relève assurée pour que se poursuive la médiocrité et la déCHéance de la CHiasse.
En cette période de l'année où on aime faire des bilans, il est bon de revenir sur la déconfiture du torCHon en 2012. Comme un chauffard ivre au volant, Passoire Price a su conduire les Canailliens directement dans le fossé, la saison passée... Il s'est transformé en véritable Père Noël pendant toute l'année en faisant de nombreux cadeaux aux marqueurs des clubs adverses, tout spécialement lors des matchs qui se rendaient en fusillade. Lors de ces occasions, même quand les attaquants ennemis rataient leur tir, il parvenait à le déjouer facilement comme s'il s'était agi d'un gardien pee-wee myope. Pas surprenant que les enfants aient peur (photo ci-dessous) de cet amérindien qui joue au cowboy. Porter un torCHon sur le dos et le faire autographier par un "loser" comme Price, il y a de quoi brailler ! Beau cas pour la Direction de la Protection de la Jeunesse (DPJ) ! Et on sait tous que la vérité sort de la bouche des enfants... Surtout quand celle-ci fait une grimace... Quant au gars à droite sur le cliché, il aime mieux ne pas voir cette horreur...
À sa défense, Price a souvent été laissé à lui-même à cause de ses jambons de défenseurs qui, comme Picouille Subban, se faisaient contourner aisément par tous les opposants qui voulaient s'en donner la peine. Et, à leur tour, les défenseurs n'étaient pas soutenus par les joueurs d'avant, ces petits schtroumfs incapables de freiner les attaquants adverses, même en faisant du ski nautique en s'accrochant à eux...
Avec tout ça, les anti-habs ont reçu leur cadeau de Noël avant le temps, dès le mois d'avril : un Cacanadien de Mourial humilié, qui a fait honte à ses partisans en terminant la saison au dernier rang de sa Conférence ! Que demander de plus au Père Noël (ou à Mère Noël, ci-dessus) ? Que nous ayons encore le bonheur de voir les CHieux se faire torcher de plus belle au début de 2013 ! Ainsi nous pourrons rabaisser encore le caquet des fefans moronréalaids qui, malgré l'avalanche de merde que leur a fait manger leur club de broches à foin, l'an dernier, continuent de péter plus haut que le trou... Un trou où leur équipe poche risque encore de s'enfoncer dès la reprise des activités dans la LNH ! Un trou comme le terrier de Therrien, l'ex-nouveau coach du torCHon qui ne cesse de se ronger les sangs en attendant de pouvoir à nouveau exercer son incompétence crasse...
dimanche 9 décembre 2012
P.K. PAR-CI, P.K. PAR-LÀ, P.K. PARTOUT, PAS MOYEN D'AVOIR LA PAIX AVEC LE GROS BOUDIN À SUBBAN |
Le lock-out dans la Ligue Nationale de Hockey ne fait pas que des malheureux. Les veuves du hockey, par exemple, ne se plaindront pas de ce que propriétaires milliardaires et joueurs multimillionnaires soient assez stupides pour perdre des revenus énormes en ne réussissant pas à s'entendre pour signer une nouvelle convention collective. Ces femmes souvent esseulées par des conjoints sportifs de salon qui s'acharnent encore à se passionner pour un club poche comme les Cannes à CHiens de Mourial. Même pour les Anti-Habs, privés du plaisir de pouvoir rire des bévues et des niaiseries des CHieux, il pouvait y avoir des raisons de mieux accepter le conflit de travail dans la LNH. Ainsi, pour nous, l'absence de hockey professionnel aurait pu être un point positif parce qu'elle aurait dû normalement nous soulager de l'omniprésence de l'énervant et prétentieux P.K. Subban, le jambon le plus suffisant de la planète. Mais, oh malheur, nous n'avons même pas pu avoir la paix car le gros babouin à P.K. est demeuré visible pendant le lock-out.
Oui, la grosse tête enflée du CHicolore a continué encore et encore, comme une plaie d'Égypte, à nous infliger ses facéties ridicules et son idiotie proverbiale. Dans la vie, il n'y a pas plus cave qu'un cave qui s'ignore ou qui se croit indispensable. Notre Picouille nationale est dans cette catégorie pathétique. On se souvient de son attitude de prima donna à son année recrue. Il s'était attiré les reproches des joueurs vétérans en bafouant les règles non écrites du hockey. Et puis, l'an passé, on se souvient de son comportement à la fois sournois (mises en échec sous forme de ruades illégales, et coups de cochon à l'endroit de ses propres coéquipiers durant les pratiques) et lâche (il refusait d'engager le combat avec les joueurs victimes de ses gestes dangereux ou déloyaux). Subanane a même poussé son outrecuidance jusqu'à contester ouvertement, et devant les caméras de télévision, l'autorité et le savoir de ses entraîneurs. En dépit de l'unanimité qui existe contre lui, de la part des autres joueurs et des partisans des autres équipes, les fefans du Cacanadien continuent de l'acclamer follement. Que voulez-vous, P.K. et les fefans se méritent et sont faits pour aller ensemble. Tous des enfoirés de première !
Toujours est-il que la pie Subban ne nous a pas donné de répit dernièrement. Un peu comme si nous marchions sur un trottoir et que nous mettions sans cesse les pieds dans des tas de marde de chiens. Il suffit d'avoir les yeux ouverts pour le voir partout : P.K. au réseau de télé Sportsnet comme analyste de hockey (lui qui s'enfarge pourtant dans les lacets de ses patins et qui ne débite que des âneries); P.K. au centenaire du Ritz (où sa présence superflue a suffi à ternir les lustres impressionnants de la bâtisse); P.K. faisant la pluie et le beau temps en s'improvisant lecteur de la météo sur les ondes de CTV; P.K. se faisant aller le mâche-patates chez un concessionnaire Hyundai; P.K. faisant le bouffon (c'est un naturel) à l'émission humoristique THIS HOUR HAS 22 MINUTES; P.K. qui fait rire de lui en disant aux journalistes qu'une saison écourtée donne de meilleures chances aux CHaudrons de gagner la Coupe Stanley. N'en jetez plus cibole, la coupe déborde ! Pitié, on a assez vu cette face à claques, ce visage de boudin repoussant. On a assez entendu ses déclarations plus insignifiantes les unes que les autres. Mon Dieu, libérez-nous de Piqué des vers Subban !
lundi 19 novembre 2012
LES DIRIGEANTS DU CACANADIEN DEVRAIENT ÊTRE TRAÎNÉS DEVANT LA COMMISSION CHARBONNEAU.
On le savait depuis longtemps, mais, ces jours-ci, la Commission Charbonneau confirme que Mourial est un bidonville tout croche mené par des individus tout croches. Du reste, il y a quelques années, le magazine MacLean avait publié un numéro attestant que cette cité toute de travers était l'une des plus corrompue de la Terre. Dans ce contexte, et dans ces circonstances, il est tout à fait normal que le CanaCHien de MortYial, l'un des symboles de cette métropauvre en déroute, soit aussi pourri qu'elle, que ce soit sur la patinoire ou dans sa façon d'administrer ses affaires. Si, dans l'industrie de la construction, les fonctionnaires et la direction de la ville-dépotoir moronréalaide brassent de grosses affaires avec la mafia ou des corrupteurs aux noms italiens, il en va de même pour les dirigeants du torCHon qui, ces dernières années, ont donné des contrats juteux à des individus louches, notamment pour la gestion de la boutique des souvenirs, et le Temple de la Renommée du Centre PouBell. Ces hommes de confiance du Cacad'CHien sont soupçonnés de fraude et sont toujours sous enquête, ou en attente de leur procès. Comme des autruches et comme l'ex-maire Tremblay, les responsables fautifs de l'organisation des CHaudrons se mettent la tête dans le sable en jurant ne pas avoir été mis au courant que les gens avec qui ils ont signé ces ententes étaient fort probablement malhonnêtes. Des excuses aussi plates que inacceptables.
C'est drôle, pour les contrats accordés par l'administration corrompue du bidonville de Mourial, comme pour ce qui concerne les Canailliens, tout est, semble-t-il, hors de prix. Pour les ententes signées dans le domaine de la construction par les autorités de la ville-vidanges du sud du Québec, on a découvert que les contribuables ont payé environ 40% plus cher que la valeur médiane des contrats semblables consentis par les autres municipalités de la province. En comparaison, lorsque les frères Molson et leurs associés ont acheté le Caca, ce merdique club de dernière place, ainsi que le Centre BéBell, ils ont payé la somme astronomique de 575 millions de dollars. Une montagne d'argent jugée extravagante par les analystes financiers. Une valeur sur-évaluée, comme le minable club de hockey Canadien qui porte l'étiquette "overrated" depuis belle lurette. L'été dernier, une étude du réseau de télévision ESPN, plaçait les CHieux au 111e rang du classement général (sur 122) de toutes les franchises de sports. Cette place désastreuse est justifiée, entre autres, par la pourriture des entraîneurs (avant-derniers); la faiblesse des joueurs (114e); les mauvaises relations avec les partisans (94e); l'insuffisance des moyens financiers de ces derniers pour se payer un match du CH (116e). Et jusqu'à quel point les fefans n'en ont vraiment pas pour leur argent quand ils donnent leur paye pour voir perdre leurs jambons CHicolores ? ESPN situe ce rapport qualité/prix au 118e rang dans ce merveilleux monde du sport !
Ouch ! Ce rapport fait mal ! Mais il n'est pas surprenant. L'analyse de ESPN indique aussi que, à comparer avec tous les autres amphithéâtres où évoluent les clubs de la NHL, c'est au Centre PouBell, durant les parties des Cannes à CHiens, que le verre de bière se vend le plus cher. Heureusement que la bière, les frères Molson ont les mains dedans, sinon quelle fortune exigeraient-ils pour ces quelques gorgées de houblon faisandé ? En ce qui a trait au prix des billets d'admission à leur navrant spectacle, ce n'est guère mieux. Ce sont les 3e plus onéreux dans toute la LNH. On comprend pourquoi les mafieux, ou leurs amis du monde interlope, donnent des billets du CanaCHien aux fonctionnaires et aux politiciens moronrialaids qu'ils veulent "acheter". Quand on y pense, une paire de billets pour le Caca, ce n'est pas donné !
Pendant ce temps, le lock-out perdure dans la LNH. J'en suis le dernier étonné. L'an passé, en apprenant que Donald Fehr avait été nommé négociateur en chef par l'Association des Joueurs, je me doutais bien que tout ce que l'on pouvait espérer, c'est un calendrier amputé de moitié pour la prochaine saison. Le duo Fehr-Bettman, c'est la combinaison parfaite pour un échec de n'importe laquelle négociation. Je n'ai pas cru un seul mot des belles paroles prononcées l'année dernière par des représentants des deux parties. On jurait alors, de part et d'autre, que l'on déblayerait le terrain des négociations, bien avant la fin de la convention collective, afin que tout soit prêt pour discuter et en venir rapidement à une entente sur le nouveau contrat de travail. On connaît la suite... On ne s'entend même pas sur les montants de ce qui constituent les revenus des propriétaires des clubs de la Ligue. Un jeu de cache-cache, dont les règles sont faites de mauvaise foi, et qui aboutit à un dialogue de sourds que seul un médiateur crédible pourrait transformer en échanges fructueux. Un médiateur que, autant Fehr que Bettman, ne désirent pas, trop orgueilleux qu'ils sont pour confier à une tierce personne le succès des négociations et le prestige qu'ils pourraient en soutirer.
Évidemment, cette situation, ce cul-de-sac, ne fait que des perdants. Le président Barack Obama l'a souligné lors d'une apparition dans un talk-show américain, peu avant l'élection du 6 novembre. Dans ce monde un peu fou du sport professionnel, les propriétaires d'équipe et les joueurs font beaucoup d'argent. Qu'ils se considèrent donc bénis des dieux d'avoir autant de clients-amateurs passionnés qui paient le gros prix pour le spectacle qu'ils présentent. Cette seule considération, ce respect minimum des partisans, auraient dû guider et inspirer les proprios et les joueurs dans leur conduite des négociations afin d'en arriver rapidement à une entente sensée. Faut croire que c'était trop leur demander... Les Anti-Habs sont aussi des perdants dans ce malheureux conflit. Cet arrêt de travail nous prive du plaisir de voir les CHieux se faire battre et bafouer plus souvent qu'à leur tour. Avec la CHiasse au dernier rang, nous tenions les fefans dans les câbles. Nous étions en position de leur donner une autre raclée. Mais voilà que les lumières s'éteignent à cause d'une malencontreuse panne, et que le combat est remis à une date indéterminée. Misère... C'est vraiment dommage pour nous... Mais ce n'est que partie remise. Gardons espoir de pouvoir bientôt revoir P.K. Subban gaffer à sa ligne bleue, Scary Price se faire passer de beaux sapins, et Max Pacioretty se faire péter plusieurs boutons d'acné en se faisant planter dans un coin de patinoire... Ça ferait un beau gros cadeau de Noël ! N'est-ce pas ?!
vendredi 5 octobre 2012
LA SOEUR DE CAREY PRICE A COMPRIS : C'EST UNE FAN DES FLYERS DE PHILADELPHIE !
On serait heureux à moins... Il est facile d'imaginer que la joie inondait le cercle des amis intimes et des membres de la famille de Scary Price quand celui-ci a signé le mirobolant contrat de 39 millions de dollars que lui a consenti le torCHon l'été dernier. Scary a apposé sa griffe sur le précieux bout de papier alors qu'il était chez lui, dans l'Ouest Canadien. Pour célébrer la chance et cette manne incroyable qui lui tombent du ciel, il était entouré, entre autres, de son amoureuse Angela (à gauche sur la photo ci-dessus) et de sa soeur Kayla, qui, pour l'occasion, portait fièrement sa casquette des Flyers de Philadelphie (il n'y a pas de trucage ou de photo montage) ! Elle, elle connaît son hockey !!! À 6,5 millions de $$$ par saison, le gardien tout croche du Cacanadien voit son nom s'ajouter à la liste de plus en plus longue des joueurs surpayés du club des Molson.
Après les Scott Gomez (qui fait les délices des humoristes avec ses performances ridicules par rapport à son salaire annuel de 7,375,000 $), Andrei Markov (un molasson infirme des genoux, un peureux qui évite les coins de patinoire et les mises en échec, qui ne se sert plus de ses épaules, qui n'a presque pas joué depuis deux ans et qui empoche 5,750,000 $ par saison pour faire de la bicyclette stationnaire dans le gymnase des CHieux), Brian Gionta (un avorton de capitaine dont la production offensive est en constant déclin mais qui encaisse sa paye de 5 millions de dollars, bon an, mal an), Tomas Kaberle (une hypothèque en défensive, pas physique pour 5 ¢ mais qui reçoit pourtant 4,25 millions de dollars en émoluments à chaque année) et autres Rene Bourque (un indifférent "fat cat" qui fait sonner la caisse à coups de 3 millions de $$$ par saison), Price est probablement le prochain joueur grossièrement sur-évalué des CHaudrons à s'asseoir sur sa mine d'or.
Remarquez que, vu les résultats affreux obtenus sur la patinoire, pratiquement aucun pousseux de puck de la CHnoutte n'a mérité ses revenus démesurés la saison passée. À part le peu rémunéré Mathieu Darche, que l'on a pourtant trouvé le moyen de crisser dehors cet été... Que Price se repose sur son matelas de billets verts ne serait tellement pas surprenant étant donné sa nonchalance naturelle et sa tendance à s'écraser et à bouder quand l'équipe va mal...ce qui arrive très très souvent ces derniers temps ! On se demande sérieusement pourquoi il a été récompensé par une telle augmentation de salaire parce qu'on ne se souvient même pas de la dernière fois qu'il a "volé" un match pour son équipe de vauriens. En fait, ses statistiques indiquent qu'il a régressé l'an passé, au lieu de s'améliorer. Parmi les pires "losers" de la ligue nationale, sa moyenne de buts alloués par partie aurait été encore plus épouvantable si elle avait inclus les buts accordés en fusillade. On voit la qualité d'un gardien de buts en situation de un contre un, quand il doit stopper un joueur en échappée ou en tirs de barrage, quand il n'a aucun de ses défenseurs pour bloquer les lancers à sa place. En pareilles circonstances, Price est tout simplement atroce, ce qui révèle son manque de talent et de technique.
Bien sûr les fefans défendent Scary comme des chiens qui défendent leur os. Ils envoient chier les anti-habs qui se moquent de leur idole. Mais les anti-CHieux ne sont pas les seuls à ridiculiser le no 31 du torCHon. À l'annonce de cette entente insensée de 39 millions de dollars entre Price et le Caca, un journaliste sportif américain faisait judicieusement remarquer que l'amérindien natif de la Colombie-Britannique, qui se déguise souvent en cow-boy, avait plus de masques de gardien dans sa collection que de victoires en séries éliminatoires (fiche de 8-15, moyenne de 2,84 et taux d'arrêt de 0,907). Ha ! Ha ! Ha ! Elle est bien bonne ! Pourtant Price engrangera $ 700 000 de plus par année que son collègue Jonathan Quick, qui vient de gagner la Coupe Stanley et de renouveler son contrat avec les Kings de Los Angeles. En fait, chez les gardiens de la LNH, seuls Pekka Rinne (7 millions de $ par année) et Henrik Lundqvist (6,875 millions) feront plus d'argent que le paresseux cerbère de la CHarogne. Symphorien Bergevin, le DG des CHaudrons a érigé un pont d'or pour Price en le comparant aux meilleurs de sa profession alors que le dégingandé portier de sa troupe poche n'est tout au plus qu'un cerbère bin ordinaire qui ne mérite même pas la moitié du salaire qu'il percevra.
Cette entente super lucrative pour Price aura pour conséquences que le Cacad'CHien sera triplement perdant (perdant = CH de toutes façons). Il perdra d'abord au change en ce sens qu'il n'en aura jamais pour son argent. Ensuite, si Price ressent la pression d'un tel contrat dont le montant est disproportionné par rapport à ce qu'il peut donner sur la glace, il va flancher devant sa cage comme il l'a toujours fait en pareille situation de stress (comme en séries éliminatoires). Enfin, le jeune homme, qui par le passé, a souvent agi en irresponsable (histoires de beuveries et de sorties nocturnes incontrôlées, crises de colère de bipolaire), est toujours une espèce de délinquant et d'individu mentalement faible qui s'écrase dans l'adversité. Il adopte alors une attitude de "je-m'en-foutisme" qui l'incitera simplement à s'asseoir sur son contrat juteux. Et si jamais le club s'améliore (hypothèse peu probable), Price se fiera plus sur ses coéquipiers pour faire le travail, et il va mettre la pédale douce. Dans les circonstances, non seulement le CHiendent lui a consenti trop de bidous, mais c'est surtout la durée de l'entente (six ans) qui représente une erreur coûteuse.
Pour le meilleur (et surtout pour le pire) le Cacanadien est l'équipe de Scary. Les journalistes le disent et la direction du club l'a confirmé. Même que l'on peut se demander si Price n'a pas eu son gros mot à dire dans l'embauche des prétendus durs à cuire Colby Armstrong et Brandon Prust au cours de l'été. Au cours de la dernière campagne, désastreuse à tous les points de vue pour le CHiard, le cow-boy manqué s'est montré particulièrement irrité quand les adversaires fonçaient sur lui sans que ses coéquipiers lèvent le petit doigt pour le protéger. La nouvelle image de robustesse de la CHiasse est peut-être liée à la nécessité d'empêcher les joueurs des autres clubs de malmener celui qui représente le plus précieux investissement du CHicolore. À défaut d'avoir suffisamment d'attaquants menaçants, on mise sur Price pour tenir le fort et gagner des matchs somnifères au compte de 2-1 ou de 3-2. Un pari perdu d'avance...
vendredi 21 septembre 2012
NOUVELLE IDENTITÉ DU CH : LE STYLE "ROLLER DERBY" !
Peut-être que l'ex-DG du Cacanadien de Mourial, Pierre Gauthier, en était venu à la seule conclusion possible, quelques semaines avant d'être éjecté de son siège administratif du Centre PouBell... Avant de tirer cette conclusion, l'homme aux oreilles pareilles à celles de monsieur Spock, avait sans doute retourné mille fois la situation dans sa tête afin de trouver une solution viable aux nombreux problèmes des CHieux. Son dilemme : puisque les impôts, la culture francophone, la laideur de la ville, ainsi que la débilité des fefans et des représentants des médias moronréalaids effarouchent les bons joueurs de la NHL et les incitent fortement à ne pas considérer l'option de venir exercer leurs talents dans la métropauvre, il faut bien trouver un autre moyen d'offrir un spectacle divertissant aux idiots qui persistent à vouloir payer le gros prix pour assister aux défaites répétées du torCHon. En se grattant la tête jusqu'au sang, Gauthier a fini par trouver une issue à son questionnement incessant. La seule identité "vendeuse" du CH, l'unique produit qui puisse plaire un tant soit peu à la bande de "losers" qui continuent à envahir les estrades de la grosse taverne des Molson, c'est une sorte de version hockey du roller derby, ce sport dans lequel on s'envoie allègrement en l'air. C'est le meilleur exemple, ou le rapprochement le plus ressemblant, que j'ai pu trouver pour illustrer la nouvelle philosophie du Cacad'CHien.
Car c'est peut-être tragique ou comique - selon que l'on est pro-CH ou Anti-Habs -, mais le nouveau gérant général des CHaudrons, le pince-sans-rire Symphorien Bergevin (même si c'est plutôt son ami Rick Dudley qui, dans l'ombre, tire les ficelles de cette marionnette), a eu beau se creuser la cervelle tout l'été, il en est venu au même constat que son prédécesseur : pour amuser la galerie, faute de pouvoir lui offrir une équipe compétitive, la seule chose à faire c'est de monter un spectacle avec des bouffons acrobates, du genre de ceux du Cirque du Soleil. Bon, disons que le Cirque du Soleil, c'est un peu trop sophistiqué pour les fefans... Parlons plutôt de CHimpanzés acrobates qui feraient des culbutes et des cabrioles sous un grand chapiteau. Où je veux en venir exactement avec toutes ces comparaisons ? C'est que Symphorien Bergevin et son comparse Éphrem Therrien se sont résignés à suivre les traces de Pierre Gauthier, qui en fin de parcours, était allé chercher une grosse bête de cirque (imaginez un gorille avec une chaîne au cou), le très peu subtil Brad Staubitz, pour distraire, par ses esclandres, l'assistance pathétique qui s'entassait toujours au Centre BéBell. À défaut d'avoir du hockey décent, les fefans avaient au moins pu trépigner en voyant Staubitz déclencher quelques foires d'empoigne.
Bien sûr, jusqu'à ce que l'agent libre Shane Doan renouvelle récemment son contrat avec les Coyotes de Phoenix, les fefans avaient rêvé que leurs CHaudrons le mettent sous contrat. Tout comme ils avaient aussi entretenu de vaines chimères au sujet de joueurs autonomes de qualité supérieure comme P.-A. Parenteau, Zach Parize ou Ryan Suter. Ça fait pourtant vingt ans que les châteaux de cartes des fefans s'écroulent avant même d'être complétés. Il faut croire que ces crétins de comprendront jamais : bons joueurs ne riment plus avec Canadiens de MortYial. Encore une fois, tout ce que la CHiasse a pu réussir à récolter sur le marché des agents libres, ce sont des pousseux de puck finis (Colby Armstrong et Francis Bouillon) et un matamore payé à prix d'or, Brandon Prust). Prust, le pugiliste aux mains de ciment, ne serait pas venu dans le bidonville moronréalaid si le Caca n'avait pas triplé son salaire (10 millions de dollars pour un contrat de quatre ans) et si sa blonde aux grosses boules, Marie Pier Morin (photo), n'avait pas travaillé dans ce trou infect. Cet ex-chipie de l'émission de télé OCCUPATION DOUBLE, que l'on a aussi vue parmi les beautés qui ouvrent des valises dans LE BANQUIER, aspire à une carrière de mannequin. Ça ne décolle pas encore très fort, et elle est confinée au marché peu enviable de Morons city. Prust en est à sa quatrième équipe en quatre ans (Phoenix, Calgary, New York Rangers et torCHon town). À 28 ans, il a 24 buts en carrière et il joue une douzaine de minutes par match. Il a terminé au premier rang de la LNH pour les punitions majeures (20) l'an dernier. Il va remplacer Staubitz (dont on a pas retenu les services) comme guignol digne de SLAP SHOT.
Colby Armstrong, lui (ci-dessus avec une belle perruque de clown), a vu son contrat racheté par les Maple Leafs de Toronto. Il était devenu un indésirable parce qu'il ne produisait plus et parce qu'il a les os aussi fragiles que ceux d'un enfant nouveau-né. Un autre restant de table ramassé par le bleu, blanc, merde, une spécialité dans leur cas. Au cours des deux dernières années, Armstrong, un ancien protégé de Michel "t'es rien", a raté l'équivalent d'une saison complète en accumulant une quantité industrielle de blessures de toutes sortes : nez cassé, fracture du pied, cheville étirée, vision embrouillée, doigt amoché, autre problème à un pied, etc. On dit de lui qu'il est bon dans les coins de patinoire et qu'il frappe d'aplomb. Ça c'était avant toutes ces blessures qui l'ont rendu cassant comme une poupée de porcelaine déjà fêlée... Avec un peu de chance, il va pouvoir jouer ses neuf minutes en moyenne par partie durant au moins la moitié du calendrier écourté par le présent lock-out dans la NHL... De toutes façons, Armstrong a déjà commencé à songer à l'éventualité de changer de carrière. Il étudie la possibilité de se recycler dans la coiffure pour femmes, comme en témoigne son air fort intéressé sur le cliché ci-dessous...
Francis Bouillon, 37 ans bientôt, et récupéré de la cour à "scrap" des Predators de Nashville, a un physique aussi hypothéqué que son nouveau coéquipier arrivé de Toronto. Lui également, est un ancien chouchou de Éphrem Therrien. Il a des ennuis de santé récurrents, comme ses douleurs à l'aine, son genou de paillasson, équivalent à celui d'un p'tit vieux de 80 ans. Il traîne également les reliquats d'une commotion cérébrale et il est diminué par de vieilles blessures à une jambe, à une cheville et à une épaule. Un chausson avec ça ? Reste à voir si le nouveau "franco" de service, qui remplace Mathieu Darche comme porte-panier auprès de la faune journalistique moronréalaise, ne sera pas plutôt confiné à la galerie de la presse en raison du surplus de personnel à la ligne bleue du CHicolore. Un peu comme Bouillon, il y a quelques années, Darche s'est vu montrer la porte par les Canassons, après leur avoir pourtant rendu de fiers services. Il y a deux ans, Darche avait marqué des buts importants en toute fin de saison pour permettre à son organisation de broches à foin de sauver la face en entrant de justesse en séries, par la trappe du sous-sol. Cette façon cavalière d'agir rappelle à notre souvenir le traitement que Bob Gainey avait fait subir à Bouillon lors de son premier passage avec les CHieux. Mal pris et menacé d'élimination en séries Stanley, Gainey avait forcé Bouillon à jouer même si ce dernier était encore blessé et qu'il n'était pas en état de revenir au jeu. Peu de temps après son sacrifice dangereux, Bouillon était sacré dehors.
Avec des joueurs décocrissés comme Armstrong et Bouillon, et d'autres du genre de Andrei "jambe de bois" Markov, pourquoi les fefans sont-ils toujours surpris et évoquent la malchance quand leurs petits joueurs "feluettes" et leurs vieilles picouilles finies tombent comme des mouches durant la saison ? Quand tu cours après le trouble, ce dernier a vite fait de te rattraper, plus vite que Scott Gomez peut patiner pour retourner en douce au banc après un demi-shift... Si on fait le compte, on a Travis Moen, Ryan White, Brandon Prust, Colby Armstrong, Pédé Subban, Alexei Emelin et Francis Bouillon qui pratiquent tous le même style de jeu : la mise en échec sous forme de ruade contre les adversaires afin de faire frétiller de plaisir les fefans sur leur banc. Ce faisant, ces triple cornichons renverseront leur verre de bière et leur pop-corn, et ils devront en acheter d'autres pour faire marcher à plein régime la machine à fric des Molson. Ça va ressembler au roller derby quand, à grands coups de coude, de genou, de hanche et de poing un patineur expédie l'opposant dans le décor après l'avoir fait voltiger au-dessus de la piste. Sans oublier le spectaculaire coup de la corde à linge qui peut faire crier de contentement le fefan le plus apathique.
C'est donc ça la nouvelle identité des Canailliens : puisqu'on ne peut rivaliser au hockey avec les autres clubs, autant s'éclater en faisant du rodéo comme au Stampede de Calgary. D'autant plus que le torCHon compte dans ses rangs un faux cowboy : l'amérindien déguisé Scary Price. Avec sa face de "beu", Therrien est l'homme tout désigné pour diriger cette troupe de bouffons. Certains soirs, ça va être du vaudeville, d'autres soirs ce sera du roller derby ou du cirque d'animaux pas très savants... Des heures de plaisir attendent les Anti-Habs. À condition que la saison finisse par commencer ! C'est la grâce que je nous souhaite. Mais avec le dialogue de sourds qu'ils entretiennent sporadiquement, les frères Fehr, d'un côté, et Bettman et Daly, de leur bord, ne laissent pas présager un règlement rapide du conflit qui opposent les joueurs aux propriétaires. Seule consolation pour nous, Anti-CHieux, c'est que plus le début de la saison sera retardé, plus longtemps le Cacad'CHien conservera la cave du classement de l'Est, acquise en 2011-2012.
mercredi 12 septembre 2012
REPÊCHAGE 2012 : ET SI TIMMINS S'ÉTAIT ENCORE FOURVOYÉ ?
C'est toujours comique de surveiller tout ce qui s'écrit et se dit au sujet du Super Cacad'CHien de Morverial. En publicité, on emploie souvent le truc des comparaisons. Que ce soit, par exemple, pour faire la promotion de produits de beauté ou d'un régime d'amaigrissement, on utilise des photos montrant une personne AVANT et APRÈS le traitement, pour montrer l'efficacité de la camelote que l'on désire vendre. Si on applique le même procédé pour analyser le dernier repêchage des CHieux, en juin dernier, on se rend compte que l'AVANT et l'APRÈS sont très révélateurs en ce qui concerne le choix des joueurs repêchés. D'abord, avant le repêchage, histoire de ne pas avoir l'air trop fou s'il se fourvoie dans ses prédictions, l'expert ou le ti-joe connaissant qui se prononce sur les choix que le Caca devaient faire, prendra soin de souligner que le processus de sélection des joueurs amateurs n'est pas une science exacte. Puis, en considérant les besoins de l'équipe, il avancera quels joueurs devraient avoir la préférence des décideurs en place, chez les CHaudrons. Après le repêchage, en comparant les choix des experts et ceux du grand manitou du CH, Trevor "Tim bits" Timmins, on pouvait relever des différences notoires.
C'est ainsi que, pour ne parler que du premier choix du torCHon, plusieurs connaisseurs penchaient en faveur de Filip Forsberg, un joueur dont le style est plus physique et plus rude que celui de Alex Galchenyuk, sur qui le club monronréalaid a finalement jeté son dévolu. Vers la toute fin de son règne, l'ex-DG Pierre Spock Gauthier, avait fini par reconnaître, après à peu près tout le monde, qu'il y avait trop de schtroumfs dans sa formation. On aurait pu tenté de remédier à ce manque de robustesse en repêchant des jeunes au physique plus imposant, du genre "power forward". Au lieu de cela, Timmins le cabochon, a sélectionné Sebastian Collberg en deuxième ronde. Ce dernier fait 5 pieds 11 pouces et pèse 175 livres, lorsque son équipement est bien détrempé...
Les analystes qui militaient en faveur de Forsberg faisaient remarquer, à juste titre, que prendre Galchenyuk à sa place, représentait un choix risqué. Galchenyuk a raté presque toute la saison dernière à cause de ligaments déchirés à un genou. Le même genre de blessure qui a ruiné la carrière d'un certain Andrei Markov... Encore là, la CHiasse ne semble avoir rien appris de ses bévues du passé. Non seulement le premier choix du Caca a un genou fragilisé, mais il a une année complète de développement (ou d'expérience) en moins, par rapport aux autres prospects de son âge. Ça aussi c'est un facteur à ne pas négliger pour un club pourri comme le CH, qui a besoin d'aide immédiatement. Certes, avant sa blessure, Galchenyuk avait connu une bonne saison en profitant de la présence de Nail Yakupov à ses côtés, dans son club junior. Yakupov, un prodige, a été le tout premier choix du repêchage de 2012. S'il n'avait pas été là pour compléter ses jeux, Galchenyuk aurait sûrement eu moins de succès dans la Ligue junior de l'Ontario. Ce qui amène à poser une autre question brûlante : comment Galchenyuk se débrouillera avec le Caca quand il jouera avec des deux de pique sur sa ligne d'attaque ?
Bon, ici au Canada, on connaît le phénomène de surenchère qui caractérise tout ce qui touche à la CHiasse. L'évaluation que font les fefans concernant les futurs porte-couleurs du bleu, blanc, merde défonce toujours tous les plafonds, et même la stratosphère.... Galchenyuk devrait être un bon joueur de centre de 2e trio. Ce qui, ironiquement, devrait lui garantir un poste de centre no 1 dans une équipe aussi démunie et poche que les Canailliens ! Mais, il ne sera pas un super man, comme le croit tellement tous les fefans. Mais cette fièvre des fefans à l'égard de tout ce qui tourne autour de leur club minable, affecte aussi les journalistes. C'est drôle, avant le repêchage, les avis étaient partagés au sujet des juniors que le Caca devait sélectionner. Après, quand les choix ont été connus, c'était pourtant l'unanimité chez les scribes, qui criaient au génie en affirmant que Timmins avait volé tous ses semblables en réalisant le meilleur repêchage durant cet encan des joueurs amateurs de juin 2012 à Pittsburgh. Curieux tout de même : chez les scribouilleux de la presse, on sera passé de la prudence au doute; et du doute à la certitude... La plus élémentaire sagesse a pourtant établi depuis longtemps, qu'il n'y a que deux certitudes en ce bas monde : la mort et l'impôt !!! Mais allez donc tenter d'expliquer cette vérité à des vendus qui ne voient que ce qu'ils veulent bien voir...
mercredi 29 août 2012
IL NE FAUT PAS SE FIER AUX APPARENCES : LE CACANADIEN EST DIRIGÉ PAR DES UNILINGUES ANGLOPHONES.
Est-ce que les Mountriawl Canadians, l'équipe de l'establishment anglophone de la métropauvre, craignent le retour des Nordiques de Québec ? À voir tous les changements apportés cet été à l'organigramme de l'administration des CHieux, on peut le croire. On a engagé énormément de Québécois francophones pour renouveler le personnel d'entraîneurs et faire le ménage dans une organisation qui a lamentablement échoué et qui a perdu presque tout son lustre au cours des dernières années. Depuis près de deux décennies, comme la ridicule et incompétente administration municipale de Mourial, le Cacad'CHien a été couvert de honte et s'est attiré les railleries des anti-habs à cause de multiples scandales (joueurs impliqués dans des histoires de viols, d'agressions sexuelles, de détournements de mineures, d'escortes et de beuveries), de son mauvais management, et de son acoquinement avec des individus malhonnêtes (notamment des fraudeurs à la direction de la boutique des souvenirs, et du Temple de la Renommée du Centre PouBell, etc).
Sous les apparences du nouveau visage francophone du club des Molson se cache une autre réalité. Avec leur hypocrisie habituelle et l'habileté qu'ils ont dans l'art de tromper les gens, les propriétaires des CHaudrons n'ont rien fait pour augmenter la présence francophone au sein de leur formation, lorsqu'elle retournera sur la patinoire, on ne sait trop quand. Les Américains, et dans une moindre mesure les Européens, sont en surnombre dans l'alignement CHicolore. Et avec les jeunes que la CHiasse a repêché ces dernières années, il en sera encore ainsi pour longtemps. Et aux postes de commande, les anglophones unilingues détiennent le vrai pouvoir, reléguant les Québécois à des rôles de subalternes, de laquais ou de seconds violons. Quand, après avoir retourné toutes les pierres du chemin et fait l'inventaire de tous les candidats disponibles, le vieux sénateur Serge Savard a fait croire en la trouvaille du siècle en présentant à la presse Marc "Symphorien" Bergevin, le nouveau directeur-général du club, tout le monde s'est interrogé sur le bien-fondé de cette décision douteuse. À croire que personne ne voulait de cette tâche titanesque de redonner de la décence à cette organisation décrépite et en fond de cale. Savard et le torCHon misaient donc sur un "no name" sans expérience pour rebâtir leur département hockey, redevenu la risée de toute la Ligue Nationale.
En fait, Bergevin ne savait tellement pas comment s'y prendre pour commencer à remplir sa mission impossible, qu'il a lancé un S.O.S. désespéré à son ancien "boss" (avec les Blackhawks) et ami Rick Dudley (à gauche sur la photo sous le titre), qui était encore sous contrat avec les Maple Leafs de Toronto. Même si Brian Burke, le DG des Leafs, ne voulait pas le laisser partir, Dudley a fini par se retrouver à MortYial, à condition de ne pas révéler les secrets qu'il détenait en prévision du repêchage qui se tenait dans les jours qui allaient suivre. Bergevin était revenu plusieurs fois à la charge afin d'obtenir la libération de son mentor. Et ce n'était pas pour rien. Le pauvre Symphorien était paniqué à l'idée de conduire le bateau du CanaCHien sans avoir de gouvernail à sa disposition. Selon ce qu'on a appris entre les branches, il ne faut pas se leurrer : le vrai gérant général de la CHiure est bel et bien Dudley. Bergevin n'est que son porte-parole et son porte-valises. Il paraît que Savard est resté estomaqué. Selon certaines sources d'information, il n'a pas apprécié le choix de Bergevin.
En nommant Scott Mellanby, (2e photo à partir du haut) un autre de ses chums, à la tête du département du développement des joueurs, Marc Bergevin s'est aussi assuré que son homme de confiance veillerait à ce que des sous-fifres comme Patrice Brisebois et Martin Lapointe -- dont les postes n'existaient pas avant leur nomination -- ne nuisent pas plus qu'ils vont l'aider dans le redressement de la situation pitoyable dans laquelle l'incompétent Trevor Timmins (photo ci-dessus) a laissé cet important domaine, si crucial dans les succès de tout club de hockey. Si Timmins a été un des rares anciens cadres de l'organisation à conserver son emploi, il ne faut pas sauter aux conclusions et penser qu'on l'a retenu à cause de ses excellents états de service. En fait, le recruteur en chef n'est plus qu'un simple exécutant puisque la nouvelle direction l'a dépouillé d'à peu près toutes ses responsabilités. En effet, il ne s'occupe plus du développement des jeunes qu'il a repêchés et, puisque la spécialité de Rick Dudley est de savoir repérer et recruter de bons joueurs juniors, c'est sûrement lui qui va avoir le dernier mot quand Timmins lui fera des suggestions lors des encans amateurs. Pour être honnête, la direction des Canassons devrait dire que Timmins en est presque réduit à un rôle de simple dépisteur...
Bref, pendant que Symphorien Bergevin, le clown "conteur de jokes de mon oncle", s'occupera de relations publiques en amusant les journaliche-culs à l'occasion de rencontres impromptues ou de conférences de presse arrangées avec le gars des vues; pendant que la foule des Québécois de service, nouvellement embauchés aux échelons inférieurs, fera semblant de sauver la "face francophone" de l'organisation en portant les valises de leurs patrons anglais; ces derniers, Rick Dudley et Scott Mellanby, seront aux commandes de l'appareil qui survolera la populace des fefans. Ça ne garantit en rien que cette machine volera bien haut, mais ça signifiera encore que les proprios du torCHon agissent sous de fausses représentations "francophones" afin d'éviter des manifestations -- pas bonnes pour l'image -- comme celle du printemps dernier, quand des nationaleux ont protesté publiquement contre la nomination du pauvre bouche-trou Randy Cunneyworth (un bloke) comme "head coach" des Mountriawl Americans.
mardi 21 août 2012
NOMINATION DE THERRIEN AU POSTE D'ENTRAÎNEUR : LES FANS ANGLOPHONES DU CANADIEN SONT CHOQUÉS ET DÉCOURAGÉS...
Je n'ai pas fait de recherche à ce sujet, mais, même si les Cannes à CHiens de MortYial se sont transformés en un club de CHaudrons au cours des dernières décennies, ils demeurent encore fort populaires dans le reste du Canada. Tellement et si follement aimés d'ailleurs, que, au total, ces CHieux doivent compter plus de partisans anglophones que de fefans francophones. Et, comme dans tous les autres domaines, ces deux catégories de supporteurs de la Sainte Guenille ne se comprennent pas. Au hockey comme pour tout le reste, anglos et francos représentent deux solitudes. C'est ainsi que la nomination de Michel "Éphrem" Therrien comme entraîneur-chef du Cacanadien a été accueilli assez différemment dans les deux communautés. Du côté des fefans, la nouvelle du retour de Therrien, pour un second séjour derrière le banc du bleu blanc merde, n'a pas nécessairement soulevé beaucoup d'enthousiasme, mais les "frogs" mordus de la CHiure se sont dits généralement d'accord pour qu'on lui donne une deuxième chance à la barre de l'équipe des Molson.
Chez les têtes carrées du Canada entier, l'annonce de l'embauche de Therrien a été reçue avec incompréhension, incrédulité et découragement. Pourquoi ramener cet idiot qui a été un des seuls instructeurs du CH à avoir eu le déshonneur de compiler une fiche perdante dans la longue histoire du club ? On a vite rappelé les vieux souvenirs qui sont à l'origine de la réputation ridicule du gros plein de soupe de Therrien. D'abord, on s'est souvenu de sa façon de s'habiller comme un clown, avec son fameux veston jaune (photo ci-dessus) et ses cravates mal assorties. Et puis on s'est rappelé la célèbre séquence où on le voyait faire le geste du "coupe-gorge" durant un match, alors qu'il dirigeait les Penguins de Pittsburgh. Enfin, on a revisionné sa crise de malade (c'est sur YouTube) au cours de laquelle il avait descendu ses joueurs publiquement, en point de presse, après une défaite de ses Pingouins. Peu de temps après, on le mettait à la porte. Avant d'être réengagé par le CHiendent après trois ans de purgatoire, Therrien n'était même pas venu près ou loin d'être pris en considération pour un poste d'entraîneur dans la LNH. Guy Carbonneau connaît présentement le même sort. Aucune organisation ne veut l'embaucher parce qu'il a eu lui aussi le tort de critiquer ses joueurs publiquement quand il dirigeait les jambons de Mourial.
Therrien affirme maintenant qu'il a eu sa leçon et qu'il a appris de ses erreurs. Il se présente comme un nouvel homme, un homme changé, plus sage, amélioré. Les anglos sont sceptiques. Ils croient que l'ancien Therrien, celui qui perd facilement la tête et le contrôle, quand ça va mal, reviendra rapidement sur le devant de la scène. Mais, d'autre part, il est assez stupéfiant de les entendre se demander pourquoi l'entraîneur-chef du Caca doit savoir s'exprimer dans la langue de Molière. Les canadiens anglais ne comprennent pas pourquoi le CHicolore se prive ainsi des meilleurs candidats au poste de coach. Faut-il rappeler que l'hiver passé, la nomination de l'unilingue anglophone Randy Cunneyworth, à la barre du club, a failli causé une émeute aux alentours du Centre PouBell ? Quand on parle des deux solitudes... Il est vrai que la longue association du torCHon avec les Molson en fait, dans les faits, le club de l'establishment anglais de Mountreal. D'où l'incompréhension des "red necks" de la métropauvre à l'endroit du fait français. Ils ont la certitude que le CHicolore leur appartient.
Chez les CHieux, plus ça change, plus c'est pareil. On se souvient qu'il y a deux ans, quand ils ont choisi Jacques "Dumbo" Martin pour mener les destinées de leur bande d'enfoirés, ils comptaient sur lui pour rétablir l'ordre et instaurer un régime disciplinaire, après la zizanie qui a marqué la fin du bref passage de Carbonneau derrière le banc. Un peu tout le monde disait que Martin était un entraîneur de transition, en attendant qu'un homme plus capable, comme Guy Boucher, prenne le club en charge. On a laissé filer ce dernier à Tampa Bay... Maintenant on dit la même chose de Therrien : il est là temporairement, en attendant d'être remplacé par Patrick Roy. Selon certaines sources d'information, Bob Hartley était l'homme que Symphorien Bergevin voulait comme pilote de sa formation. Mais Hartley a plutôt opté pour l'offre des Flames de Calgary. C'est ainsi que le gérant général des CHaudrons a dû se rabattre sur Therrien pour boucher le trou derrière le banc des joueurs et... oui, devinez quoi ? Pour rétablir la discipline autant sur la patinoire que dans le vestiaire.
À défaut d'améliorer leur groupe de vauriens par la voie des agents libres ou par celle du repêchage, les dirigeants des Canailliens ont donné le mandat à leur nouvel entraîneur de tirer le maximum du peu de talent qui est à sa disposition. Pour l'appuyer dans son rôle de "père fouettard" et de "presse-citrons", Therrien a choisi Gérard Gallant (ci-dessous, au milieu) comme entraîneur-adjoint. À eux deux, ils vont former le plus beau duo d'enragés et de "faces à claques" de la Ligue Nationale... Incidemment, le surnom de Gallant est "turkey" (dinde). Pas de farce, c'est vrai ! Dinde ! Quel beau surnom pour quelqu'un qui va entraîner un club de dindes !!! Ha ! Ha ! Ha !
Pour les analystes les mieux avisés, le style "tortionnaire" ou "coups-de-pied-au-cul" de Therrien et de Gallant est dépassé, dans la NHL d'aujourd'hui. Crier après les joueurs ou les humilier, c'est du "stuff de juniors" ou du fin fond des plus miteuses ligues mineures. En fait, les paris sont déjà ouverts en ce qui concerne la date à laquelle Therrien va être "remercié" une deuxième fois de ses services par la CHarogne. Certains gagent même qu'il ne durera même pas un an. Juste le temps de capoter et de perdre son vestiaire. Rappelons que les CHieux ont fait passer dix entraîneurs à l'abattoir au cours des dix-neuf dernières années. Pour les experts c'est clair : la nomination de Therrien signifie que les dirigeants du Cacanadien ont baissé les bras pour au moins deux autres saisons, en espérant qu'après la fin des gros contrats des joueurs engagés par le duo Gainey/Gauthier, les jeunes repêchés ces dernières années pourront prendre adéquatement la relève de cette bande de "losers".
Ce que les observateurs ont hâte de voir, c'est comment réagiront les joueurs quand on ressortira les vieux enregistrements des critiques de Therrien faites contre eux à l'émission l'Antichambre. Comment le nouveau pilote de la CHiasse pourra-t-il dire du bien de certains de ses poulains, après les avoir descendus publiquement sur les ondes du réseau Bull shit (RBS) ? Il va passer pour un hypocrite. Pour éviter cet écueil, on a vu Therrien préparer le terrain de la conciliation, en se faisant tout doux et tout miel à l'égard de ses anciens confrères journalistes, le jour de l'annonce de sa nomination. Il veut manifestement mettre les scribes de son côté en les flattant dans le sens du poil et en blaguant familièrement avec eux. On dit que Therrien déteste les joueurs qui sont paresseux ou/et qui ont la tête enflée. Beaux conflits à prévoir avec ceux qui ont ce profil parmi sa gang de deux de pique: Subban et Price en tête de liste ! On n'a pas fini de se marrer, chers amis anti-habs !
lundi 13 août 2012
LES FEFANS DU CH DEVRONT PAYER ENCORE PLUS CHER POUR VOIR PERDRE LEUR CLUB POCHE AU CENTRE BELL...
Plus souvent pour les huer que pour les acclamer, les fefans des CHaudrons de Moronréal devront débourser encore plus d'argent pour se payer des billets afin d'aller voir perdre le Bleu Blanc Merde au Centre PouBell au cours de la saison 2012-13. Si saison il y a, bien entendu, puisque le renouvellement de la convention collective, à temps pour octobre, est loin d'être une chose acquise présentement... Mais, d'un autre côté, (positif celui-là !) si saison il y a, les fefans pourraient bénéficier de billets gratuits, comme en fin de campagne le printemps passé. On se rappellera en effet qu'avec la fiche honteuse du torCHon en 2011-12, pas mal de détenteurs de billets ne se donnaient même plus la peine d'assister aux défaites des CHieux au repère de voleurs des Molson. Et même en offrant gratuitement leurs laissez-passer à des gens de leur famille ou à des amis, ils ne trouvaient pas preneurs. On appelle ça la misère ou...la déchéance totale ! Ne reculant devant aucun scrupule, la direction du Caca a donc décrété une hausse de 2,5 % du prix des billets pour la prochaine année de débandade de son club de dernière place, un club pourri bien installé dans la cave du classement des équipes de l'Est.
Évidemment, si les Molson avaient été obligés d'ajuster le prix des billets en fonction du rendement récent de leur équipe de poires, ils auraient dû manger leurs bas en 2012-13. Car l'an passé le torCHon a dégringolé à tous points de vue : une baisse de 19 % au chapitre des points au classement; une débarque de 30 % au niveau des victoires; un affaissement encore plus catastrophique de 33 % du côté des victoires à domicile; 2 % de moins en ce qui a trait à la production de buts, de la part d'une offensive qui était déjà anémique (avec un jeu de puissance parmi les plus faibles de la LNH); 8 % de plus de buts alloués (gracieuseté de Scary Price, le nouvel homme de 39 millions de dollars de la CHiure). La plus belle "crosse" dans cette augmentation des droits d'entrée aux matchs de la CHnoutte, c'est peut-être le fait troublant que rien n'est prévu, aucun remboursement, en cas de grève ou de lock-out dans la NHL, cet automne.
Il faut comprendre que les Molson et leurs associés ont besoin de revenus accrus après avoir dépensé sans compter au cours de la saison morte. Des contrats aux montants faramineux ont été consentis à des joueurs poches ou de second ordre. On a aussi engagé un méchant paquet d'entraîneurs et d'adjoints aux compétences plus ou moins douteuses. Sans oublier qu'il faut payer encore pendant un an ceux que l'on a congédiés et qui sont toujours sous contrat : Gauthier, Martin, Cunneyworth, Ladouceur, Pearn. Considérant leur clientèle comme une clientèle "captive", les Molson ne craignent pas de la perdre même en la "saignant" toujours davantage à chaque année. Nous ne sommes probablement pas loin du petit verre de bière Molson vendu $ 12 l'unité aux fefans. Le principal projet des propriétaires du CH, un club payé beaucoup trop cher il y a une couple d'années, n'est pas d'améliorer le produit sur la patinoire mais de bâtir au plus vite la tour de 48 étages de condos luxueux (534 unités entre 250 000 et 800 000 $ l'unité) sur la Place (ou, plutôt, à la place) du Centenaire, juste à côté du Centre PouBell. Les pauvres fefans qui avaient acheté les fameuses briques de cet espace public agrémenté de quatre statues de grands joueurs du passé (Béliveau, Lafleur, Richard et Morenz, si je ne me trompe pas) devront essayer de les retrouver dans l'immensité de cette tour enlaidie du logo du Caca à son sommet. Un logo que l'on devrait recolorer en vert, la couleur de l'argent, le vrai symbole des entreprises des Molson.
En attendant, pour la prochaine saison, le défi des CHaudrons sera de devenir possiblement la première équipe à défoncer le plafond salarial de 70 millions de dollars tout en finissant dans la cave du classement. Qu'est-ce que ce serait tordant ! Mais les Molson ne craignent nullement ce scénario puisque les idiots de fefans seront toujours là pour payer pour les pots cassés !
mardi 24 juillet 2012
LES RÉSEAUX SOCIAUX AMPLIFIENT LA POURRITURE DES CANACHIENS...
Depuis le début du nouveau millénaire, la technologie, les téléphones intelligents en particulier, a changé nos vies. Avec ces petits mais très puissants appareils, et les réseaux sociaux qu'ils ont aidé à créer, les nouvelles et les images voyagent à la vitesse de l'éclair. Par exemple, si Scary Price prend une brosse dans un bar mal famé des catacombes de Moronréal, tout le monde le saura avant même qu'il soit saoul comme une botte. La minute que Pédé Subban échappera une connerie ou critiquera son nouveau coach Michel T'es rien, vous le saurez aussi, quasi instantanément. C'est fantastique ! Tous ceux et celles qui possèdent ces petits bijoux de la technologie peuvent s'improviser journalistes ou commentateurs. Et un diffuseur comme YouTube devient leur agence de presse. Bien sûr, l'information de masse, que ces gens transmettent, est brute et traitée sommairement. Elle peut porter à confusion et être interprétée de bien des façons. Ce qui est d'ailleurs parfois très amusant ou choquant, mais toujours plus intéressant que les textes insignifiants de Mathias Brunet ou de Pierre Houde...
Autrefois, quand un spectateur était enragé en sortant du Forum de Montréal, après une contre-performance des CHaudrons, il avait le temps de se calmer en retournant à la maison. Aujourd'hui, grâce à son iphone, un fefan qui assiste à un match pourri du Cacanadien, pourra cracher ou "texter" son mécontentement à la planète entière, alors qu'il se trouve encore sur les lieux du "crime". C'est ainsi que "tout le monde en parle" en même temps, et que la pourriture du torCHon est amplifiée et multipliée par milliers et par millions sur les réseaux sociaux. Une aubaine formidable pour les Anti-Habs ! Le club des Molson n'est plus seulement nul à CHier, il devient SUPER NUL ! Pour notre plus grand plaisir !
Entendre à tous vents et à tous azimuts les fefans râler et chiâler à propos d'un CHicolore en perdition et en déroute, quelle jouissance pour les Anti-CHiures ! On peut toutefois se lasser de ces jérémiades. Le plus drôle et le plus tordant ce sont plutôt les purs et durs fefans (aussi dénommés les "avaleurs de couleuvres") qui croient, année après année, que les changements apportés à la direction ou au personnel de l'équipe, vont faire des miracles et relancer leur club poche sur le sentier de la gloire.
Geoff Molson, le président des CHieux, s'est targué, ce printemps, d'être à l'écoute des fans de son club, en fréquentant les réseaux sociaux. Il s'est vanté d'avoir convaincu un détenteur de billet de saison de ne pas canceller son abonnement. Sur FaceBook, le client insatisfait avait manifesté son dégoût de l'organisation CHicolore en s'estimant floué après toutes les promesses non tenues avec lesquelles les dirigeants du club l'avaient berné. Les abonnements, l'argent, la vente de bébelles au logo du CH, voilà bien les priorités des Molson, après avoir racheté trop cher une équipe toute croche. Pour espérer rentrer dans leur argent, les vendeurs de bière Molson se sont parfois tirés dans le pied. Par exemple, l'automne dernier, pour faire le plus de recettes possibles, ils ont programmé un nombre exagéré de parties hors concours à domicile.
Afin de remplir l'alignement (et de ne pas surtaxer les mêmes joueurs) pour ces matchs d'exhibition disputés en un très petit nombre de jours, l'état-major de la CHarogne a dû garder entre 30 et 40 joueurs pendant trop longtemps, au dernier camp d'entraînement. Résultats ? Un manque de cohésion, un manque d'unité et une forme physique douteuse, puisque les membres réguliers de l'équipe n'avaient pas joué assez longtemps ensemble, avant le début de la vraie saison. Les conséquences de cette soif d'argent, cette surcharge de joutes "payantes", ont mené à l'un des pires débuts de campagne de l'histoire du club, ainsi qu'à une épidémie de blessures qui n'a rien arrangé... Le calendrier de parties hors concours est à peine plus léger en septembre et en octobre prochains. Les nouveaux administrateurs des CHaudrons feront-ils les mêmes erreurs de gestion que leurs prédécesseurs ?
Encore cette année, pour meubler leurs loisirs et entretenir leur passion CHicolore, au cours de la saison morte, les fefans vont rêver que les jeunes joueurs repêchés ces dernières années par Trevor Ti-Mine (le minable), vont tous éclore en même temps, et qu'ils vont tout renverser sur leur passage. Ils vont aussi perdre leur temps à spéculer sur les chances inexistantes qu'un GROS agent libre ou un joueur sur le marché des échanges (comme Nash, Parise, Weber ou Suter) s'amène dans la métropauvre pour sauver leur club misérable. Les pauvres fefans sont tellement décrochés de la réalité. Cette réalité veut que, même avec la sixième plus grosse masse salariale de la LNH, la CHiasse n'arrive à attirer dans le trou mourialaid que des joueurs médiocres et sur-payés. Qui veut se retrouver avec un club de dernière place ? Quel joueur veut payer plus d'impôts et de taxes que partout ailleurs en Amérique ? Qui est intéressé à ne plus avoir de vie privée et à se faire épier constamment par des journalistes cinglés et des partisans débiles ? Qui veut habiter un bidonville comme Mourial et avoir à composer avec une culture étrangère et un climat aussi peu vivable ? Enfin, qui veut être "coaché" par un cave comme Michel Therrien ?
Au début du mois de juin, un journaliste anglophone de Montréal jasait avec un futur agent libre (ayant demandé que son nom ne soit pas divulgué). Le scribe lui disait que les Canailliens pourraient être intéressés à ses services. Mais lorsque le membre des médias a informé le joueur de la possibilité que Therrien soit nommé entraîneur du CH, le futur agent libre lui a dit, après un long silence de 30 secondes : «Si c'est le cas, il me restera 29 autres équipes avec lesquelles je pourrais signer» ! Véridique ! C'est bien ça le pire. En plus de tous les handicaps qui désavantagent les CHieux dans leur tâche titanesque de mettre un club décent sur la patinoire, il fallait qu'ils en ajoutent un autre en nommant Therrien comme entraîneur en chef !
N'allez pas non plus vous imaginer que le visage encore plus français (des "frogs" partout aux postes de commandement) de la direction, et le souvenir des manifestations "pro-français" du printemps dernier (lors de la nomination de l'anglophone Randy Cunneyworth comme instructeur en chef) vont inciter les bons joueurs du circuit Bettman à faire des pieds et des mains pour venir jouer pour la CHnoutte. Misère...
Sur les réseaux sociaux, quand la nouvelle de la nomination de "T'es Rien" s'est répandue comme une traînée de poudre, les mots qui ont été les plus souvent "textés" ont été : "t'es pas sérieux» ! C'est une formule lapidaire qui convient à tout ce que les CHaudrons ont fait cet été... J'y reviendrai plus tard... Mais, moi qui croyait que les Canassons avaient atteint le fond du baril, le printemps dernier, j'étais dans l'erreur et...j'en ris encore !