Un malheur n'arrive jamais seul, et si le vent semble tourner contre la CHarogne, il apporte aussi une mauvaise odeur, celle du piteux et puant Pédé Subban, qui rentre au bercail, la queue entre les jambes, après avoir perdu la face devant la direction du club et ses coéquipiers, pas très enthousiasmés de le sentir empester l'atmosphère dans leur vestiaire. C'est quand même frustrant pour eux. Sans la grande gueule de la pie Subban, dont la spécialité est de leur voler la vedette, sans son arrogante grosse tête de bacon dans les parages, sans le chouchou des fefans, et forts de quatre victoires d'affilée -une énorme rareté pour eux, presque un miracle- les joueurs du Caca s'attendaient plus que jamais à ce que les lèche-culs de journalisssssssses attachés à leurs basques, la langue bien brune et bien pendante, les encensent, les cajolent, les vantent, les flattent dans le sens du poil, les glorifient, les montent aux nues... Mais quoi ?! Que se passe-t-il ? En entrevues, les petits barbouilleurs à la solde des CHaudrons ne font que les questionner, non pas sur leurs récents exploits, mais au sujet de...du retour du maudit gros tas de merde de Picouille Subbanane. Inutile d'ajouter que Markov, et quelques autres de ses compagnons, ne l'ont pas trouvé drôle, et qu'ils ont manifesté leur agacement envers les scribes, cheerleaders de Piqué des vers.
Pauvre Subban, il croyait bien que les cris des fefans, qui n'ont pas cessé de réclamer sa présence, allaient immanquablement lui assurer de faire sauter la banque des Molson et lui garantir un long et très lucratif contrat. Ce fut un choc pour lui de découvrir qu'il n'aurait pas de passe-droit et qu'il devrait accepter, comme les autres joueurs de son âge, une entente de transition en attendant de faire davantage ses preuves et de décrocher le gros lot. Son complexe de supériorité en a pris un coup, mais, n'ayez crainte, chassez le naturel et il revient au galop ! On reverra très vite le P.K. baveux et suffisant ! Celui qui empoisonne l'existence de ses coéquipiers et irrite les joueurs adverses. On va rire tantôt...
Plusieurs notes intéressantes dans la déconfiture des CHiens sales à Ottawa hier. Contrairement aux observateurs qui disent que chaque match de cette saison écourtée est important, je pense que les dix premières parties de chacune des équipes constituent un exercice de remise en forme, une sorte de camp d'entraînement, à défaut d'en avoir eu un véritable avant la reprise des activités dans la NHL. D'après moi, ce n'est que vers le milieu ou la fin de février que l'on va commencer à séparer les hommes des enfants. D'habitude, cette période correspond au commencement de la fin pour les minables Canailliens. L'an dernier, les Cannes à CHiens ont rompu avec leur "pattern" ordinaire. Au lieu de commencer en lions et d'exciter les fefans au max, ils ont amorcé la saison en moutons et l'ont terminée en poissons pourris (ça c'est normal). Déjà hier, j'ai vu Markov tirer la langue et avoir du mal à revenir dans sa zone. Serait-il déjà rendu au bout de son rouleau ?
Une autre hypothèse que j'avais émise avant le début de la campagne semble se confirmer : les conneries de White (ci-dessus) et de Prust commencent à mettre du plomb dans l'aile des CanaCHiens. L'agressivité prônée par Michel "t'es rien" Therrien, va se retourner contre son club de broches à foin. Desharnain et Erik Cole sont "cold" et ils ne semblent pas destinés à égaler leurs succès de l'an passé. J'avais aussi évoqué cette éventualité. Les recrues Gallegher et Galchenyuk sont tout feu tout flamme, mais qui dit qu'il ne frapperont pas le fameux mur dont on parle quand l'adrénaline qui charrie de nouveaux venus finit pas s'estomper ? Price a déjà commencé à ressentir de la fatigue et a montrer sa paresse caractéristique, quand il a été plutôt ordinaire à ses deux dernières sorties. On sait qu'il n'est pas fort entre les deux oreilles et que sa confiance peut être facilement ébranlée. En cas d'effondrement, ce n'est pas Budaj qui va sauver la CHiasse. On l'a constaté hier à Ottawa. L'absence prolongée de Pacioretty, un des rares piliers de l'équipe, se fera sentir. D'autres éclopés pourraient s'ajouter bientôt, surtout quand, comme hier, le Cacad'CHien se fait brasser (plus de mises en échec encaissées que données, comme dans la défaite contre Toronto). Le facteur blessure va tester la faible profondeur et les vieux joueurs des CHieux. Autre hypothèse qui se vérifiera...
Bref, après quelques victoires surprenantes -pour des losers finis- qui ont fait sortir les petits fefanions sur les minounes sales et pleines de calcium des fefans, les choses vont retomber en place et on devrait revoir le Cacanadien en bas de classement... Ce ne sera peut-être pas aussi bas que prévu, étant donné qu'il y a plus de clubs faibles dans l'Est que dans l'Ouest. Il aurait été désopilant d'assister à des raclées du Caca contre des puissances comme Chicago, San Jose, St-Louis, Minnesota, Vancouver et Los Angeles. Ce n'est que partie remise...
En attendant, dimanche, c'est le Super Bowl XLVII, l'évènement sportif le plus important de l'année. Le match ultime pour la suprématie du football américain opposera deux super équipes dont les défensives sont renommées pour leur rudesse. Ça va cogner dur ! C'est à ne pas manquer ! Qui va gagner ? Je donne mon avis sur mon blogue FOOTBALL MANIA AVEC HACKSAW (http://footballmaniaavechacksaw.blogspot.ca
Il peut arriver que les cheerleaders des deux clubs se "mesurent" (ref. mensurations, hum, hum, insérer ici des sifflements d'admiration) sur les lignes de touche. Si on peut se fier sur la photo ci-dessus, ça promet d'être une "belle" confrontation ! Je rappelle que vous pouvez lire mes plus récents commentaires sur mon compte TWITTER. Cliquez sur "follow me" dans l'espace réservé à cet effet, au-dessus de la section des commentaires, dans la marge de droite...
