jeudi 28 mars 2013
TIM THOMAS MANQUE AUX BRUINS DANS LEURS MATCHS CONTRE LE CACANADIEN.
Cette année, les Bruins de Boston ont certes de bonnes chances de battre le torCHon de la nécropole moronréalaide pour le titre de la division nord-est de la Conférence de l'Est. Mais il leur manque encore des éléments pour pouvoir remporter une seconde Coupe Stanley en trois ans. Il n'y a rien à redire sur la tenue défensive, généralement impeccable (3e meilleur club de la Ligue pour les buts accordés avec une moyenne de 2,19 par partie), de l'équipe de l'entraîneur Claude Julien. Mais en attaque, les "B's" connaissent des ratés. Milan Lucic et Nathan Horton ont des difficultés à produire offensivement. L'ajout d'un Morrow ou d'un Iginla n'aurait pas nui. Mais les Penguins ont eu la main plus heureuse que les Bruins pour s'assurer les services de ces deux solides et talentueux gaillards. Et devant le filet, si Tuuka Rask est sans doute un bon gardien, il n'a pas la hargne ou la confiance que son prédécesseur Tim Thomas possédait. C'est dommage que ce dernier ait décidé de prendre une année sabbatique et que la direction du club ait ensuite choisi de se départir de ses services.
On spécule, et c'est un peu futile, mais on ne peut s'empêcher de penser que si Thomas avait gardé les buts le 3 mars et hier encore contre les CHieux, le résultat de ces deux joutes aurait pu basculer en faveur des Bruins. Thomas avait le don de déconcentrer et de frustrer les CHaudrons en les défiant et en les matraquant (à coups de bâton et de gants) devant sa cage. Avec son style peu orthodoxe et son fichu caractère, il inspirait confiance à ses coéquipiers. Il faisait toujours les gros arrêts en fin de match pour préserver la victoire des siens. Il aimait la pression. Il aimait sortir de son filet pour braver les Canailliens. Sa forte personnalité, son côté rude, son attitude sans peur, cadraient parfaitement dans le style des "big bad Bruins". Ça manque présentement et ça manquera probablement aussi aux Bruins dans les prochaines séries éliminatoires. Les hommes de Claude Julien ont brassé en masse les CHicolorés (33 hits contre 21) hier. Mais ils leur manquaient quand même Boychuk et McQuaid (blessés, ainsi que le versatile joueur de centre Chris Kelly) à la défense. Deux solides cogneurs qui adorent aussi secouer les puces des mauviettes du Caca.
Hier, on a d'ailleurs pu encore vérifier l'importance de la confiance et du leadership d'un gardien de but pour conduire un club à la victoire. Jesus Price a été crucifié en 2e période par les Bruins. Budaj a pris la relève en 3e période, et sa bonne performance a permis aux CHieux de profiter de bonds favorables pour égaler le score et l'emporter en fusillade (au cours de laquelle Budaj a excellé). Le but chanceux de Markov (déviation sur Chara) à huit secondes de la fin du temps régulier, a un peu atténué les carences et les gaffes incroyables du 79 de la CHiasse en défensive (-3). Emelin, son compagnon de jeu, a été atroce lui aussi (-3). Non, vraiment, le torCHon ne méritait pas de gagner.
À souligner une fois de plus l'attitude lâche et hypocrite de Pédé Subban durant cette rencontre. Il a refusé les nombreuses invitations à se battre, lancées par des joueurs de Boston. Le gros Caca se sauvait ou se cachait derrière les arbitres lorsque la soupe devenait trop chaude. Quel couillon !
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3 commentaires:
Calice...Martin Biron à soir !
C'est quoi cette hostie de manie de mettre son 2e goaler contre la CHiasse!
N'ayez crainte chers anti-habs. La CHiasse va disparaitre des séries dès la première ronde.
Des gardiens pourris comme Martin Biron, le TorCHon n'en affrontera pas en séries.
Quel minable ce Tortorella. Sa décision d'envoyer un gardien qui n'est pas de calibre pour la LNH contre les CHieux au centre Bell était complètement ridicule. C'est comme s'il donnait une victoire gratis à l'équipe de schtroumpfs montréalaise.
Vite, que commence les séries pour qu'on se débarrasse de cette CHiasse puante le plus vite possible.
La saison actuelle du TorCHon est aussi circonstancielle que sa saison miraculeuse de 2008:
1) Un nombre ridiculement élevé d'avantages numériques attribués par des arbitres complaisants.
2) Des adversaires très faibles et avec des attaques anémiques qui font bien paraître n'importe quelle défensive.
3) Un nombre exceptionnel de joueurs étoiles blessés que la Sainte-Guenille n'a pas à affronter: Spezza, Karlsson, Lupul, Brière, Malkin, Boychuk, Ward, Weiss, Versteeg, Staal, Michalek, Anderson, Coburn, Ohlund, etc.
4) Une absence totale de blessures aux joueurs de la CHiasse, ce qui lui permet de profiter d'une meilleure cohésion sur l'ensemble d'une saison.
5) Un calendrier favorable où les séquences de matchs rapprochés sont plus rares pour le CHiendant que chez les adversaires et où ceux-ci visitent presque toujours le Centre PouBell à la fin d'un long séjour épuisant à l'étranger.
De toute façon, on le sait tous, quand le printemps arrivera, les CHaudrons vont vite disparaître (comme ils sont vite disparus en 2008).
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