mercredi 16 octobre 2013

LE CALENDRIER FAVORABLE DU DÉBUT DE LA SAISON CONTINUE LA TRADITION D'AVANTAGES INJUSTES DU CACANADIEN.


J'ai lu un article fort instructif de Shawn Reznik (Hockey Writers) cet été.  Il en venait à la conclusion que si le Cacanadien de Mourial ne pouvait pas être désigné comme l'équipe la plus sur-évaluée de l'histoire de notre sport national, elle avait indubitablement joui d'avantages injustes, dans ses périodes de gloire, par rapport aux autres clubs de la LNH.  Bien que ces atouts favorables aient diminué avec le temps, ils sont encore présents de nos jours.  Ainsi, en vertu de son droit d'aînesse (ancienneté) et de la commandite de 375 millions de dollars qui fait de Molson la bière officielle de la Ligue, le torCHon bénéficie encore cette saison d'un début de calendrier facile facile, payant payant.  Le mois d'octobre brille aux couleurs CHicolores avec huit parties sur treize disputées à domicile.  Des dix premiers adversaires des CHaudrons, sept ne se sont pas classés en séries éliminatoires le printemps dernier.  Bref, un beau petit mois relaxe, à affronter des formations poches qui se forcent encore moins au commencement d'un long et éreintant calendrier.  Dans les six premières rencontres, les CHieux ont perdu deux fois face à des clubs (Tor., Calgary) qui ont joué avec intensité et qui les ont bousculés et rudoyés -la façon infaillible pour les battre-.  Dans ses quatre victoires, le bleu, blanc, merde a joué de chance (les Canucks qui marquent dans leur propre filet) ou il a vaincu des équipes faibles et peu inspirées (Phil., Edmonton, Winnipeg).


L'article de Reznik est intéressant parce qu'en expliquant pourquoi les Canailliens ont eu tant de succès dans les années '50, '60 et '70, il met en lumière les raisons qui font que le CH est en déclin depuis vingt ans.  Si la Sainte Guenille a gagné autant de Coupes Stanley dans ces décennies, c'est qu'elle possédait le "know how" avec des dirigeants compétents, rusés, sachant comment "rouler" leurs homologues des autres concessions.  Ils étaient également en mesure d'exploiter les autres avantages dont le club disposait.  Un de ces pouvoirs importants était certes l'argent.  Pleins aux as, les Habitants pouvaient presque s'acheter des championnats en étant capables de mettre la main sur les meilleurs hockeyeurs.  Eux seuls pouvaient se payer un Jean Béliveau (un contrat de $ 100 000 pour cinq ans, une véritable fortune en 1953).  Ils avaient aussi les moyens de se doter d'un système de filiales pour former les prospects qu'ils recrutaient.  Ils furent des pionniers dans ce domaine, ce qui leur donnait plusieurs longueurs d'avance sur les autres clubs.  Par contraste, depuis 20 ans, la CHnoutte n'a pratiquement eu que des incompétents à la direction et au poste de recruteur en chef (Timmins).  Le plafond salarial est le même pour toutes les équipes, ce qui empêche le CHiendent de se payer des Coupes grâce à ses considérables ressources financières.

Mais ce qui faisait vraiment pencher la balance en faveur des Cannes à CHiens dans les temps anciens, c'était avant tout les joueurs qui portaient leur uniforme.  Déjà, en étant les premiers à instaurer un club école, ils attiraient bien des jeunes désireux de parfaire leur formation.  Et, par-dessus le marché, la formule des contrats (appelée "C form") mise de l'avant par la Ligue en ce temps-là, permettait au Caca de signer des joueurs amateurs de 18 ans évoluant partout en Amérique du Nord.  En avance sur son temps et parce qu'il avait de l'argent pour se payer pas mal de recruteurs (scouts), le torCHon pouvait damer le pion à ses adversaires.  Mais le pire c'était la règle des 50 milles qui garantissait l'exclusivité des joueurs amateurs dans un rayon de 50 milles autour de chaque ville ayant une franchise de la NHL.  Cette règle assurait au CanaCHien l'exclusivité des droits sur l'immense bassin de joueurs francophones qui peuplaient alors les alentours de Mourial.  Que vouliez-vous que les Rangers de New York fassent avec un tel règlement ?  Dans les années 50, dans un rayon de 50 milles autour de la Grosse Pomme, les joueurs amateurs capables d'évoluer chez les professionnels étaient tout simplement inexistants !  Ce système de recrutement injuste a perduré jusqu'en 1969.  Dans le hockey moderne, le Caca est sur le même pied que les 29 autres concessions de la LNH.  Et ça paraît.  Les ex-glorieux n'ont plus les mêmes succès à armes égales, que ce soit en matières d'argent, de qualité de recrutement et de capacité à attirer les meilleurs hockeyeurs.  Le système d'impôt, la folie des fefans et des journaliCHieux harceleurs, et la laideur de Montréal jouent même contre les CHieux, maintenant.


L'élément nationaliste jadis accolé au CH n'est plus là pour les aider non plus.  Autrefois, l'alignement du Cacanadien était composé à 75% de Québécois.  Porter l'uniforme du CH c'était une grande fierté pour eux.  En séries éliminatoires, ils étaient prêt à souffrir, presque à y laisser leur peau, pour gagner.  Dans une Ligue à six équipes, et compte tenu de leurs avantages injustes, les Canadiens avaient bien plus qu'une chance sur six (17%) de remporter la Coupe.  Même après la première expansion de la Ligue Nationale en 1967, les CHieux avaient beau jeu lorsqu'ils affrontaient les clubs de l'Ouest (nettement inférieurs) en finale.  Aujourd'hui, avec des règles moins faites sur mesures pour eux, le torCHon n'est plus qu'un club ordinaire parmi tant d'autres et ses chances de gagner la Coupe sont de une sur trente (3%).  Les CHieux n'ont plus les valeureux et courageux soldats prêts à se sacrifier pour gagner le gros trophée.  Le Canadien n'a de canadien que le nom puisque ses joueurs sont américains ou européens, à part quelques francophones marginaux qui sont là pour boucher les trous et contenter les fefans et les journalissssssses.  Elle est bien loin la belle époque des Habs invincibles...  Une époque révolue...à tout jamais !

11 commentaires:

Anonyme a dit…

1) Comme je le mentionnais dans un «post» précédent, les petits fefans lobotomisés devraient se calmer les nerfs, car les gains de la Sainte-Guenille cette saison sont survenus contre des équipes dont la fiche combinée est de 9 victoires et... 18 défaites.

2) Merci de nous mettre un lien menant vers cet intéressant article révélateur, car ce n'est pas le petit et ridicule laquais Mathias Brun-Nez qui va produire un tel dossier, occupé qu'il est à lécher le cul des dirigeants de la Sainte-Guenille.

3) On a beau répéter, chiffres et faits à l'appui, que la Sainte-Guenille est devenu un club tout à fait ordinaire, les petits fefans avaleurs de couleuvres nous ressortent encore et encore les conquête de la Coupe Stanley de l'époque des six équipes. Tsé quand tu n'as aucun argument, tu radotes et tu évoques le passé lointain pour te fermer les yeux face à la réalité.

4) Un fait demeure, c'est que depuis que la plupart des règles qui l'avantageaient sont disparues (priorité sur les joueurs francophones, droit de premier refus sur le calendrier, etc.), la Sainte-Guenille a été devancée par les autres clubs.

5) Cela dit, grâce aux 375 millions$ que Molson Coors verse à la LNH, des avantages substantiels sont encore accordés au Torchon. Par exemple, il fait toujours partie des clubs qui disputent le moins de matchs consécutifs en deux soirs. En contrepartie, il affronte très souvent des équipes qui en sont à leur seconde partie en autant de soirs. De même, la Sainte-Guenille joue plusieurs matchs à domicile contre des adversaires qui arrivent au bout d'un long voyage de six ou sept matchs à l'étranger.

Voilà pourquoi cette équipe me pue au nez et me fait vomir. La petite mafia tricolore m'écoeure au plus haut point.

Anonyme a dit…

Je n'en reviens pas d'entendre les minables journalistes lèche-cul et les imbéciles de petits fefans lobotomisés s'emballer comme des mongols parce que la Sainte-Guenille a... quatre victoires!

Ces pauvres crétins n'ont manifestement aucune mémoire (en plus d'être dénués d'intelligence et de jugement). Ces abrutis ne se souviennent pas qu'année après année, le Torchon est dominant durant l'automne... puis s'écroule inévitablement durant les mois d'hiver quand les vrais bons clubs s'ajustent.

Même le ridicule Philippe Cantin (celui qui donnait à Coupe à Montréal l'an passé...) est déjà en train de distribuer les honneurs... après six matchs!!!

Ce laquais rapporteur accorde déjà le Norris au gros babouin Subanane et il confie déjà à Passoire Price le filet du Canada aux Jeux olympiques.

Où sera le risible Cantin le printemps prochain quand la Sainte-Guenille sera hors des séries ou se sera fait torcher dès la première ronde? Où se cachera-t-il pour éviter de devoir expliquer cet autre écrasement de Price? Où se terrera-t-il pour ne pas voir Subanane se faire dominer comme il l'a été par les Sénateurs le printemps passé?

Hacksaw Reynolds a dit…

Ces questions sont à la fois brûlantes et cruciales au sujet des anciennes dynasties du torCHon : combien de ses 24 Coupes Stanley ont été "achetées" par leur pouvoir financier à l'époque ? Et combien de ces 24 Coupes sont directement attribuables aux règlements de la LNH biaisés en sa faveur ?

On ne peut pas changer le passé, mais on peut toujours essayer de l'imaginer autrement. Avec les règlements d'aujourd'hui appliqués à ce temps-là (années '50 et '60), combien de Coupes le Caca aurait pu rafler ? Sans doute pas beaucoup plus que une sur six, soit sa proportion de chance de gagner le championnat de la Ligue (le CH étant une des six équipes originales de la LNH).

Si tel avait été le cas, les fefans d'aujourd'hui ne pourraient pas être aussi arrogants en nous rappelant les exploits passés de leur Sainte Flanelle. Et aucun prestige particulier ne pourrait être associé aux CHieux...
Un prestige et un statut acquis injustement ou frauduleusement... Un prestige et une gloire qui ont étouffé ou camouflé bien des scandales et des passes croches qu'on ne connaîtra jamais...
Je rêve à une commission d'enquête qui pourrait lever le voile sur tous ces crimes ou ces malfaisances...
Je déteste l'injustice et les faux semblants. C'est aussi pourquoi je méprise le Cacad'CHien de Moronréal, ses dirigeants manipulateurs et ses partisans baveux.

Hacksaw Reynolds a dit…

Ça m'arrive une ou deux fois par année. Tout en faisant autre chose, j'écoute l'émission de radio de Ron "ton ton petipatapon" Fourrenié. Je suis tombé sur son entrevue avec Francis Bouillon hier soir et j'avais honte pour Ronnie le débile léger. Comment peut-on être lèche-cul et à-plat-ventriste à ce point ? Comment peut-on avoir le nez, la bouche et la face toute entière aussi brun marde CHicolore ?

J'avais envie de lui téléphoner pour lui demander qui le payait pour être aussi vendu au torCHon. Évidemment on m'aurait empêché de lui poser ce genre de questions gênantes. Il faut être un fefan fini pour écouter ce genre de clown et de ligne ouverte...à sens unique !

À son émission il était aussi question du désir de Bobby Orr de voir Don Cherry faire son entrée au Temple de la Renommée. Cherry est justement un bouffon -ses costumes le confirment- qui est engagé pour faire du divertissement en donnant un show. Ça me fait penser que Fournier a dû s'inspirer beaucoup de lui pour réussir à avoir son propre show à la radio...

Anonyme a dit…

Amis anti-habs, vous avez sans doute noté qu'il y a quelques jours, l'insipide laquais Mathias Brun-Nez a publié un texte (très mal écrit et plein de fautes) sur les soi-disant 10 meilleurs prospects de la Sainte-Guenille.

Personnellement, j'ai éclaté de rire en voyant cet autre papier complaisant du risible propagandiste et porte-parole du Cacadien de Montréal.

Pensez-vous sérieusement qu'il y a 10 joueurs avec le potentiel d'atteindre la LNH dans cette organisation remplie d'incompétents?

Avec ce ridicule texte, le lèche-cul Brun-Nez a encore tenté de protéger son vieux copains Trevor Timmins en essayant de nous faire croire que ce très mauvais dépisteur savait dénicher les talents exceptionnels.

Peut-être qu'un jour, Mathias Brun-Nez va dévoiler au public la vraie nature de sa relation avec Timmins et les raisons pour lesquelles il le défend jusqu'à en perdre le peu de crédibilité qu'il lui reste.

En attendant, Brun-Nez fait honte à sa profession. Prononcez le nom de ce porteur de valises devant d'autres journalistes, et ils partiront à rire à juste titre.

Anonyme a dit…

merci merci encore au neg a subbanane pour le but gagnant tres beau samedi soir et comme le disait si bien pierre (plouk)houde c est le resultat d un long voyage .ah ah ah pauvre minable en passant y en a tu qui ecoute ron fournez . c est epouvantable le roi des leche cul du cacadchien pauvre petit hydrocephale qu il est dire que cet abruti arbitrait dans la lnh /.boule

Anonyme a dit…

Les anti-habs ont très hâte aux matchs de jeudi et samedi prochain contre Anaheim et San Jose.

La CHiasse va se faire défoncer solide. Ha Ha Ha Ha

Anonyme a dit…

Le minable TorCHon continue d'être l'équipe la plus mardeuse de la LNH en se tapant des matchs faciles contre des équipes aux prises avec des blessures à des joueurs clés.

Ainsi après avoir joué contre Vancouver (sans Alexander Edler) et Edmonton (sans Sam Gagner), les pourris du CHicolore ont affronté les faibles Blue Jackets de Colombus au moment où ils étaient privés de leur meilleur joueur, Marian Gaborik.

On a évoqué un mystérieux virus pour justifier son absence, mais, en vérité, Gaborik était trop paqueté pour jouer, car il était sorti souper la veille avec son ancien coéquipier des Rangers Brandon Prust.

Évidemment, privés de leur joueur vedette, les Blue Jackets ont été une proie facile pour la Sainte-Guenille. «Miraculeusement», Gaborik a guéri de son «virus» et a été le meilleur joueur de son équipe contre Vancouver dimanche.

Autre blessure qui fait l'affaire du TorCHon: les Oilers vont se présenter au Centre PouBell mardi privés de leur meilleur joueur, Taylor Hall. Déjà que cette équipe traîne dans les fonds de classement, elle sera encore plus faible face aux mardeux de la Sainte-Guenille.

Hacksaw Reynolds a dit…

@ Anonyme de 09:54

Pas d'accord avec toi pour dire que les Blue Jackets ont été une proie facile pour les CHieux, l'autre soir. En fait, même privé de son meilleur attaquant, Columbus a mis énormément de pression sur le torCHon dans sa zone à partir de la 2e période. Les très ordinaires Jackets ont été dominants et ils ont ainsi comblé un déficit de 3-0. Ils auraient probablement gagné si leur gardien Bobrovsky n'avait pas fait un beau but-cadeau à Plekanec en toute fin de rencontre.

S'ils n'avaient pas été mardeux dans quelques-unes de leurs victoires, les CHaudrons joueraient présentement pour moins de .500 alors que le calendrier les favorise au boutte depuis le début de la saison. D'ailleurs, s'ils ne parviennent pas à jouer pour .500 en octobre, ils pourraient être cuits rapidement ! Un scénario idéal pour les Anti-Habs !

Anti-Fefan a dit…

HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA

Je vais vous raconter une histoire tout aussi risible que véridique :

La nuit dernière, alors que je venais de terminer une ronde à la résidence de personnes âgées où je travaille, à Joliette, déjà heureux de la défaite de la CHiasse aux mains des jeunes mais inconstants Oilers d'Edmonton, je me décide d'allumer la télévision, pour savourer une autre fois ce revers du Brun-Blanc-Marde.

QUELLE NE FUT PAS MA RÉACTION, quand j'ai vu, DE MES PROPRES YEUX, le jeune Lars Eller, soi-disant la 8e révélation des fefans et médias licheux de bottes moronréalaids, AFFIRMER, À QUI VOULAIT L'ENTENDRE, que les Oilers avaient une structure de jeu, et un club digne de calibre junior...

QUEL........ CAVE!!! HAHAHAHAHA

Par ses paroles aussi idiotes qu'inutiles, Eller n'a pas seulement contribué à faire parler de lui, mais à motiver un club qui était déjà à terre, avant même la mise au jeu initiale!!!!!!

B-R-A-V-O!!! LOL

Non seulement les Oilers se sont permis de lui ramener son arrogance en pleine tronche, ils ont effectuée une remontée de QUATRE BUTS SANS RÉPLIQUE, profitant, tiens, tiens, d'une désorganisation TOTALE de la défensive du CHicolore, pour ultimement remporter la victoire.

Mais le pire dans tout ça, c'est que les fefans trouvent le moyen de le DÉFENDRE... Moi qui croyait qu'il restait encore un microcosme d'onde de jugement dans la tête de ces pauvres abrutis, voilà qu'encore une fois, eux-mêmes trouvent le moyen de faire rire d'eux-mêmes.

À croire que les frais chiés se tiennent tous ensemble. WAY TO GO, les Habs... LOL

J'ai tellement ri, suite à cette déclaration, que j'en ai eu de la misère à terminer mes deux dernières rondes de 5 et 6 heures à la job.

La maxime : ''La parole est d'argent, et le silence est d'or'' sied parfaitement à Lars Eller, et le CH en général. La prochaine fois, qu'ils réfléchissent à 100 fois avant de motiver un adversaire.

Anonyme a dit…

Le putois Mathias Brun-Nez a beau être un méprisable laquais de première classe, il sait vraiment comment manipuler l'esprit des épais qui écrivent sur son blogue.

Par exemple, au lendemain d'une autre humiliante défaite de la Sainte-Guenille contre les faibles Oilers d'Edmonton, ce minable lèche-cul a écrit: «Carey Price n’était pas en forme et le reste du club non plus.»

Notez bien le «Carey Price n'était pas en forme». Pas «Carey Price a été faible» ou «Carey Price a mal joué». Non, il a «été faible», comme s'il avait eu une grippe ou un malaise.

Crisse, Price a été mauvais, espèce d'insignifiant de Brun-Nez. Pas capable de l'écrire, pauvre crétin? Pas capable d'admettre que ton chouchou surévalué a encore été incapable de protéger une avance?

Brun-Nez est réellement un pauvre type, un risible bouffon et une lamentable tête à claques.