dimanche 25 juillet 2021
TIMMINS ET BERGEVIN ONT ENCORE MOINS DE JUGEMENT QUE LOGAN MAILLOUX !
vendredi 16 juillet 2021
REMISE DE LA COUPE STANLEY AU LIGHTNING : BETTMAN DIT TOUT EN NE DISANT RIEN SUR LE CANADIEN !
jeudi 8 juillet 2021
DUCHARME ET LE CH : «SI PRÈS ET SI LOIN» DE LA COUPE STANLEY...
Certes, être si près de la Coupe, "la voir sans l'avoir", doit être particulièrement cruel, y compris pour leurs cinglés de fefans. Mais une fois les souffrantes émotions un peu calmées, il faut se rendre à l'évidence : le Lightning est un club supérieur au CH, à toutes les positions, et son personnel, autant les joueurs que la direction, a mieux joué ses cartes que ses médiocres adversaires du bidonville mort-yialaid.
Des adversaires imprévus, essentiellement parachutés en finale par un concours de circonstances attribuable au COVID-19. Un accident, en sorte... Cette surprenante participation du CH à la finale Stanley devrait être marquée d'un astérisque dans les livres d'histoire. Mais cela n'est pas nécessaire. L'histoire ne se souvient pas des perdants de la finale de la Coupe Stanley. Ça me fait penser à la fameuse chanson de l'ancien groupe Abba : «The winner takes it all; The loser's standing small.» Ainsi qu'au succès de Queen : «We are the champions, no time for losers».
À cause du coronavirus, la Ligue Nationale de Hockey a réussi de peine et de misère à passer à travers une saison écourtée, presque avortée. Elle a dû refaire et recomposer ses divisions, tordre et condenser son calendrier de matchs à l'extrême pour "sauver les meubles" quand des éclosions de COVID ont affecté certaines de ses équipes (dont surtout les Canucks de Vancouver, des rivaux malheureux du Cacad'CHien).
Ainsi, le Cacanadien est passé d'une division très forte à une nouvelle division canadienne improvisée et...pas mal moins forte ! Et même là, si sa saison désastreuse s'était un peu prolongée et que plusieurs de ses adversaires de division n'avaient pas tant sous-performé ou été ennuyé par la pandémie, le torCHon n'aurait même pas fait les séries.Une fois "sortis", par miracle et par chance, de sa faible division, les Cannes à CHiens ont encore été merdeux en affrontant Vegas au lieu de l'Avalanche du Colorado, un club plus fort à l'attaque, qui aurait sans doute battu les CHieux. Avec un supposé gros marqueur comme Pacioretty (qui, comme lorsqu'il était avec le CH, disparaît dans les matchs importants) et Marc-André Fleury, un gardien toujours à son pire contre le CHicolore, il n'est guère étonnant que les Golden Knights aient plié l'échine devant un Scarey Price ayant temporairement retrouvé ses moyens.
C'était à la fois loufoque et irréel de voir les CHaudrons au côté du trophée Clarence Campbell, remis aux champions de la Conférence de l'Ouest. Pas difficile de comprendre pourquoi aucun des membres du CH n'a touché au trophée ! Les CHaudrons n'avaient pas d'affaires là, dans l'Ouest, c'est un club de l'Est ! Une autre absurdité causée par le COVID-19.
Voir leurs idoles avec ce trophée, c'était «malade» comme le criaient à juste titre les fefans survoltés qui avaient vu leurs bons à rien honteux devenir de nouveaux dieux du hockey mondial. Pour ces détraqués, c'était clair, c'était de nouveau 1993, avec la Coupe au bout de la finale. Du moins c'est ce que ces cabochons pensaient, avant que le Lightning les réveille brusquement et brise leurs rêves de bipolaires. Sans toutefois tuer leurs nombreuses araignées dans le plafond...
Il s'est dit et écrit un paquet de niaiseries et de faussetés au sujet du Caca durant son improbable odyssée vers la finale. C'est trop drôle et ridicule. Je vais y revenir, mais je m'accorde une petite pause.
Du hockey tout croche, jusque dans les chaleurs du mois de juillet, cela n'est pas normal, et cela a de quoi écoeurer n'importe lequel chrétien...sauf des fefans malades qui ont payé $ 30 000 pour une paire de billets au Centre PouBell pour voir leurs pousseux de puck se faire déclasser par ce qu'est vraiment un excellent club de hockey, un club champion, si près de la Coupe Stanley au point de s'en emparer, de la soulever triomphalement , de l'embrasser, et d'y boire du champagne. Le CHampagne des CHampions. Si loin de l'affreuse robine des losers, des Molson, du torCHon...