lundi 14 mars 2022

LE FEFAN DU CH, DANS LA PENSÉE DE RÉJEAN TREMBLAY...

Qu'est-ce qui a incité le réputé journaliste sportif Réjean Tremblay à inventer le mot «fefan» pour désigner un certain genre de partisans du Canadien de Montréal ?  Dans le premier de ma série d'articles sur ce sujet, sur mon site «JOURNAL INTIME D'UN ANTI-HABS EN FEU» (https://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com/2021/09/merci-rejean.html) j'expliquais que, de par sa formation à l'ancien cours classique, et à titre de professeur de latin et de grec à Chicoutimi, au début des années '70, monsieur Tremblay est un linguiste qui connaît la racine des mots et leur signification d'origine.  

Décomposer des mots, et en recomposer de nouveaux, ne doit donc pas étonner, étant donné sa maîtrise du vocabulaire français, issu de ses origines grecques et latines.

Ceci dit, sa longue expérience professionnelle en tant qu'observateur averti, d'analyste chevronné et de commentateur bien avisé du hockey en général, et du Canadien de Montréal en particulier, l'a également amené à scruter le comportement et le langage des partisans de la «sainte flanelle».  Et au cours de sa longue et fructueuse carrière, Réjean Tremblay a beaucoup voyagé, et il en a ainsi vu beaucoup d'autres types de partisans de sports à travers le monde.  Il peut parler en connaissance de cause.



Si, il y a une quinzaine d'années, le vétéran journaliste et humaniste originaire du Saguenay Lac St-Jean a senti le besoin de «nommer» un nouveau genre de fans typique du Québec, c'est que ceux-ci se distinguaient vraiment des autres catégories de supporteurs qu'il avait pu observer ailleurs.

Traiter un amateur du CH de «fefan» est loin d'être un compliment.  C'est un terme péjoratif qui indigne ou blesse les partisans du Canadien qui se sentent visés par cette épithète peu flatteuse.  Cette «juteuse» invention a valu de nombreuses inimitiés à monsieur Tremblay de la part des fanatiques du CH.  Par contre, elle fait rigoler les autres amateurs de hockey, ceux qui ne prennent pas pour le Cacanadien -y compris, bien sûr, les Anti-Habs-.

Et ce n'est pas d'hier que le célèbre écrivain et journaliste du JOURNAL DE MONTRÉAL a des démêlés avec l'organisation et les admirateurs du tricolore.  Réjean Tremblay, contrairement aux autres journalistes qui sont généralement complaisants à l'égard de l'équipe des Molson, n'a pas peur de critiquer les joueurs, les dirigeants et les partisans du club de hockey de Montréal.

Ça fait partie de son caractère qui le porte à ne pas détester la polémique et qui aime, tantôt nuancer des extrémismes grossiers allant du rose bonbon au noir charbon, ou tantôt simplement montrer l'envers d'une médaille penchant trop d'un côté.











 Il ne faut pas oublier que, si Réjean Tremblay a un goût pour la controverse, il a aussi un bon sens de l'humour.  Il connaît profondément la nature humaine.  C'est un philosophe espiègle, qui aime agacer et choquer, histoire de pimenter ses écrits ou ses commentaires, mais sans négliger pour autant sa recherche de la vérité, qui est toujours au coeur de sa conscience professionnelle de journaliste.  Il joue avec les mots comme il adore jouer avec les fefans.  

Du reste, il s'amuse à ne pas définir exactement le mot «fefan» afin que ceux qu'il qualifie ainsi «cuisent dans leur jus» et qu'ils s'estiment victimes d'une insulte encore pire qu'elle est en réalité !

L'invention du mot «fefan» reflète donc la richesse du style -Réjean a été récipiendaire du Prix Jules Fournier en 1983- et la personnalité colorée de monsieur Tremblay.  Comme dans ses séries télévisées SCOOP, LANCE ET COMPTE ou CASINO, il faut qu'il y ait de l'action, de l'émotion -et un peu de provocation- dans ses textes et ses scénarios, afin d'intéresser et de faire réagir les lecteurs ou les téléspectateurs. 



Bref, comme on pourrait dire au Lac St-Jean : «il faut que ça grouille» !  Tout sauf la platitude ou le morne «politically correct» !  Vive la fantaisie !

Pas question non plus de lécher les bottes des dirigeants et des propagandistes du Canadien de Montréal pour s'attirer quelque faveur, comme le font tant de ses collègues journalistes de Montréal.  RT n'est pas un porte-panier tricolore...au risque de froisser beaucoup de fefans !

Dans les prochains articles de la série sur les fefans, nous nous amuserons à décomposer cette expression pour en faire ressortir la substantifique moelle comme disait Rabelais...  C'est à suivre...

*  *  *



Un mot sur l'actualité du CH : les joueurs du Caca ont bien compris le message de la nouvelle direction des CHaudrons (le monstre à deux têtes Gorton-Hughes + souris minie St-Louis) : «si vous voulez sortir du trou de MoronsRéal -le plus grand désir de la majorité des pousseux de puck CHicolores- en étant échangés contre quelques bâtons et quelques rondelles, grouillez-vous le c... pour montrer que vous n'êtes pas si pourris, et pour attirer ainsi quelques preneurs».

Oh...ce discours a bien provoqué un peu les récents "succès" -relatifs- du torCHon, sur la patinoire, mais ils ne dureront pas.  La lune de miel de Tintin St-Louis se terminera bientôt.  Les CHieux demeurent de sérieux aspirants à la cave du classement, au grand désarroi des fefans...et au grand plaisir des Anti-CH qui s'amusent de tout ce ridicule cirque CHicolore.     

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Un fefan est, par définition, un avaleur de couleuvres qui boit les paroles d'un Pierre Houde ou d'un Félix Séguin. Car le fefan-type écoute toujours le hockey en français.

Que ce soit à RBS ou à TVA PORCS, année après année, c'est constamment le même modus operandi. Les commentateurs-lèche-culs vont toujours vanter les dirigeants et joueurs en place. Et ils vont toujours planter ceux qui ont quitté l'équipe.

Cette bande de nez bruns avait fait l'éloge de Bergevaurien. Il avait gagné à Chicago. Mais une fois parti, on crache dessus.

Ils avaient vanté Ducharme à tour de bras. Le coach parfait qui avait gagné partout. Une fois parti, ils ne se gênent pas pour l'envoyer en dessous de l'autobus.

Ils disaient que Subban, un gagnant du Norris, était le joueur le plus populaire du TorCHon. Une fois parti, ils ont commencé à parler de lui comme étant une machine à revirements.

Kotkaniemi avait un visage rafraichissant et il fallait prôner la patience avec lui. Une fois parti, on souligne à grands traits sa saison ordinaire en Caroline.

Le fefan se complait dans cette propagande et cette bullshit. Il se sent rassuré. Ça lui fait oublier que les CHieux sont médiocres et n'ont rien gagné depuis 1993.

Le fefan est facilement manipulable. Vous savez les annonces de cossins «tel que vu à la TV». Être un dirigeant d'une de ces compagnies, j'irais m'installer à la sortie du Centre Bell à la fin des matchs de la CHiasse pour offrir mon produit. Des cossins, j'en vendrais en tabar...

Anonyme a dit…

Dans la catégorie «fefan lobotomisé et minable lèche-cul», le nom de l'abruti Mathias Brun-Nez me vient immédiatement à l'esprit.

Cet imbécile est reparti en mission pour réhabiliter son vieux copain Trevor Timmins et tenter de faire oublier les nombreux échecs de ce parfait incompétent.

En plus, l'hypocrite Brun-Nez ment quand il est question de ses rapports avec Timmins. Ainsi, il a déclaré dans une radio montréalaise n'avoir vu Timmins qu'à l'occasion de rencontres de presse. Or, c'est totalement faux, car ils ont souvent été vus en train de jouer au tennis ensemble.

Que Brun-Nez diminue encore son très faible niveau de crédibilité journalistique, c'est son problème. Mais qu'il cache ses liens d'amitié avec un gars qu'il défend bec et ongles, cela prouve que c'est un fils de pute menteur et sans honneur.

Marc L. a dit…

Très bon article ce matin dans le JdM de Tremblay. En gros il dit que le CH sera encore médiocre pour plusieurs années mais que l’organisation du torCHon sont les champions pour faire avaler le contraire aux fefans.

Anonyme a dit…

Les fefans sont des abrutis de classe mondiale toujours prêts à avaler les couleuvres que leur enfonce dans la gorge la direction du chicolore.

Le fefan typique est dénué d’intelligence, de jugement et de mémoire. C’est un imbécile lobotomisé convaincu que chaque joueur repêché par la Sainte-Guenille est une future vedette et que chaque transaction de son équipe est un vol.

Pour inciter les fefans à bouffer la grossière propagande chicolore, il existe des minables laquais comme l’insignifiant Mathias Brun-Nez, la grosse patate Mario Langlois, le bedonnant Tony Marinaro et quelques autres crétins. Ces lèche-culs sont eux-mêmes des fefans. Donc, ils s’avèrent incapables d’esprit critique envers leurs chouchous.

Ces idiots composent le fond de litière du journalisme et ils sont totalement méprisés par leurs confrères. C’est le cas de l’innocent Mathias Brun-Nez, qui s’est ridiculisé et humilié il y a quelques années avec un scoop raté (celui de la pseudo-acquisition de Marian Hossa par la Sainte-Guenille).

L’andouille Brun-Nez a d’ailleurs la capacité d’attirer des vomissures humaines. En effet, dans son défunt blogue, on mesurait toute la stupidité typique des fefans grâce à des imbéciles comme Dennis Dubeau, le drogué Serge Côté (sercote), l’obèse ivrogne Stéphane Latulippe (johnlatou), Georges Papamichalopoulos (thesaurus) habsforever, m4rco et quelques étrons du genre.

Marc L. a dit…

Le CH sera au moins les premiers dans quelque chose cette année.

1ère équipe à ne pas se classer officiellement pour les séries. On le savait depuis longtemps mais depuis hier soir c’est certain à 100% qu’ils sont out.

Avec le E à côté de leur nom dans le clsssement.

Dehors les vidanges.