mardi 18 septembre 2018

IL EST OÙ LE BONHEUR, IL EST OÙ ? «IN VEGAS» Max Pacioretty...


Héééé...Héééé....Hééééé !!!!  Hello amis Anti-Habs !  C'est le retour de «CH comme dans CHaudrons» pour une autre saison de hockey prometteuse pour nous les Anti-CHieux !  Que de joie, de fous rires, et de sarcasmes en perspective à l'aube de cet autre désastre que sera cette campagne 2018-19 des Cannes à CHiens de MortYial !

Comme c'est drôle d'entendre les dirigeants incompétents de la CHiasse essayer de qualifier la situation actuelle de leur club de broches à foin !  On ne veut pas prononcer le mot «reconstruction» et on invente des formules tordues pour tenter de bercer d'illusions les pauvres fefans hydrocéphales.

Il faut avouer que ces caves impénitents semblent plus difficiles à attirer dans la caverne d'Ali Baba (et ses 40 voleurs CHicolores, là où le verre de bière -pisse de cheval- Mollassonne se vend au prix d'une caisse de douze au dépanneur) qu'est le Centre PouBell.  Les racoleurs du service de marketing des Frères Molson doivent augmenter leur budget de campagne publicitaire cette année pour essayer d'attirer la clientèle, jadis captive, de moins en moins inspirée par le spectacle désolant que leur club de merde leur présente plus souvent qu'autrement ces derniers temps...  Mettons que les poissons sont moins faciles à trôler qu'avant, quoi que...chassez le naturel et il revient au galop !  Il ne faut pas sous-estimer l'idiotie naturelle du fefan bipolaire !

Comme pour vous, sans doute, l'été 2018 a été si beau que j'estimais devoir en profiter au maximum.  Écrire des billets pour ce blogue aurait été un gaspillage de temps en cette saison estivale magnifique.  Je n'avais par le goût de me tremper le nez dans cette nauséabonde fosse à purin qu'est le Cacad'CHien de MoronsRéal.  D'ailleurs, les fefans rencontrés au hasard des routes du Québec, cet été, n'avaient pas non plus le coeur à parler de leur équipe «chérie» en perpétuelle «déconstruction» sous le marteau piqueur du démolisseur en chef : le pauvre clin-clin Symphorien Bergevin...  Ils étaient plutôt fuyants et évasifs les fêlés des CHaudrons...


Vers la fin du printemps, après la déconfiture de la saison dernière, j'avais entrepris, avec délectation, l'analyse de cette 25e année sans Coupe Staley pour les Canailliens.  Après avoir passé en revue la défensive poreuse et mollassonne du bleu, blanc, merde, il me restait à analyser l'offensive -inoffensive- de tire-pois de la CHiasse.  C'était peu avant que les chauds rayons de soleil de l'été devancent leur arrivée et m'enlèvent toute envie de parler de hockey.  Après tout, seuls les fefans enragés discutent encore de leurs idoles en pleine canicule quand le thermomètre dépasse les 35 degrés Celsius...à l'ombre.

Du reste, j'avais signalé à maintes reprises, durant la saison misérable du CHiendent, que l'attaque mourialaise était anémique et qu'en marquant entre zéro et deux buts par match elle n'allait pas réussir à récolter bien des victoires.  Une disette de filets qui faisait le désespoir du malheureux et dépressif gardien Scary Price qui lui, de son côté, n'arrivait plus à stopper des ballons de plage gros comme son faramineux contrat qui commence cette année.

Oh, je ne voulais pas être redondant et pointer encore l'évidence du manque de talent et la lâcheté des attaquants de la CHiotte -allo l'attitude-.  Mais je voulais seulement faire part de quelques remarques sur certains joueurs qui étaient supposés transporter et pousser ce club de fainéants.

D'abord, le seul point positif de cette offensive de pétards mouillés a certes été Brendan Gallagher.  Ce gars-là est cinglé.  Il faut qu'il le soit pour ne pas céder à la sclérose léthargique qui entoure et étouffe sa bande de traîne-savates.


Évidemment, même si je constatais depuis longtemps un désintérêt et un ralentissement progressif du seul gros canon du club qu'était Max Pacioretty, je ne pensais pas qu'il serait aussi lamentable et pathétique et qu'il descendrait aussi bas qu'il l'a fait en 2017-18.  Il filait de plus en plus un mauvais coton et il semblait dégoûté de la sainte flanelle et de son rôle de capitaine manqué.  L'air puant et pollué de la métropauvre était devenu irrespirable pour lui.  Il se traînait avec peine sur la patinoire, au fil des défaites et des humiliations incessantes.

Ça paraissait non seulement dans ses replis défensifs déficients mais dans ses propos, après le début de saison horrible des siens.  J'avais été sidéré de l'entendre spécifier aux observateurs qui lui reprochaient de se contenter de jouer en périphérie du filet adverse, que, d'aller dans l'enclave pour essayer de marquer ou de faire des jeux productifs, ce n'était pas son genre ni celui du surdoué qu'était censé être Jonathan Drouin.  Pas le genre de déclaration que vous rêvez d'entendre d'un capitaine supposé être un leader et un exemple de courage et de détermination pour ses coéquipiers !

Quant à savoir s'il a oui ou non demandé fréquemment à être échangé au cours de cette saison de misère, on ne le saura peut-être jamais, les dirigeants du Cacanadien ayant l'habitude de faire avaler des couleuvres aux fefans et aux journalicheux serviles.  Je comprendrais, vu son environnement poisseux et le climat infect qu'il avait lui-même contribué à dégrader, que MaxPac ait souhaité de tout son coeur se retrouver sous d'autres cieux plus cléments.

Et à voir la photo qui coiffe ce billet, l'Américain d'origine italienne a été comblé !  Heureux dans son nouvel uniforme, il vole littéralement dans le ciel de Las Vegas !  C'est beau à voir et ça nous fait mesurer à quel point c'est un soulagement, et le souhait le plus cher de tout hockeyeur le moindrement doué, de quitter l'asile qu'est le repère des Canachiens de Mourial, ce bidonville répugnant au coeur de la Sibérie du hockey.

Bien qu'avant son premier coup de patin avec le Caca, j'avais prédit, dans mon blogue «Journal Intime d'un Anti-Habs en Feu», que Jonathan Drouin (no 92) allait décliner, dans l'éteignoir montréalais, je ne croyais pas qu'il tomberait si creux.  Ce qui m'a frappé, c'est à quel point il avait peur de se faire mettre en échec sur la patinoire.  Il évitait, le plus possible, tout contact physique, zigzaguant en diagonale lorsqu'il était porteur du disque et se réfugiant constamment dans le «no-man's-land», près de la bande, à la hauteur du cercle de mise au jeu, à droite du filet adverse.  De là, ses lancers ou ses passes échouaient 99% du temps.  Et ses replis défensifs ?  Oubliez ça !  Monsieur semble estimer qu'il n'est pas payé (grassement d'ailleurs) pour cette besogne, comme en témoigne sa ronflante fiche de moins 28 dans la catégorie des plus et des moins.  Lui, prendre son homme en zone défensive ?  Pouah !  Loin de lui ce boulot méprisable, qui ne convient pas, il faut le dire, à son frêle «frame» de poule mouillée...

Des rumeurs ont circulé à l'effet qu'il jouait blessé.  Même si c'était vrai -ce que je ne crois pas- bien des joueurs traînent des bobos, sans que leur rendement en soit pour autant affecté.  Si les fefans pensaient que Drouin serait la super vedette québécoise tant attendue, le digne successeur des Richard, Béliveau ou Lafleur, ils ont vite déchanté...  Ça leur apprendra à gober tout ce que les dirigeants de la Chiure leur balance par la tête...  Pendant ce temps, à Tampa Bay, le jeune défenseur (Mikhail Sergachev) que les CHaudrons ont sacrifié en échange de Drouin, fait flèche de tout bois et fait encore mal paraître l'organisation cacachienne.  Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !


L'autre bizarrerie que j'avais notée chez les attaquants du CHiard, c'est le comportement étrange de l'énigmatique Alex Galchenyuk.  Un autre haut choix de repêchage raté du crétin Trevor Timmins.  Aussi frileux que Drouin, sur la glace, évitant soigneusement les zones dangereuses, «Chucky» figeait tout autant, sinon plus, quand il faisait face aux joueurs-nalistes, dans le vestiaire (remarquez son air suspicieux sur la photo ci-dessus).  À croire qu'il craignait qu'ils découvrent et sortent des squelettes qu'il semblait cacher dans son placard.  Depuis sa venue avec la Sainte Flanelle Sale, on avait entendu toutes sortes d'histoires malpropres concernant ses agissements de foireux en-dehors de la patinoire.

Comme on le fait toujours quand des odeurs de scandales flottent dans l'entourage de l'équipe, les dirigeants du Caca échangent ou libèrent les joueurs qui sentent trop mauvais ou qui ne rentrent pas dans le moule.  Rappelez-vous les Shayne Corson, Mike Ribeiro, les frères Kostitsyn, Roman Hamrlik et tous ceux qui, il y a une dizaine d'années, étaient impliqués dans un scandale (étouffé in extremis par les gros bonnets du CH) d'agressions sexuelles et de détournements de jeunes filles d'âge mineur.  Tous, sans exception, ont été expédiés ailleurs ou éliminés.  Bye Bye Galchenyuk, shippé en Arizona...

Bon sang que l'on va rigoler et se taper sur les cuisses encore cette année !  Du tout bon et du bonbon, à s'en lécher les babines !  Amenez-en !  Que le fun commence (en fait, il est déjà commencé et il ne s'arrête jamais, -quand on y pense- avec cette bande de tarés maladroits !).

Il y a quelques jours, lors du tournoi de golf précédant l'ouverture du camp d'entraînement des CHieux, RDS, (ou était-ce le réseau de télévision des Porcs -TVA-, propagandistes du club des Molson ?) avait comme immense toile de fond, derrière les animateurs, une photo géante d'une balle de golf, avec le logo du CH dessus, et tout près d'un trou sur le vert.  Image prémonitoire de ce qui attend les CHaudrons en 2018-19 : un vent très léger suffira pour les pousser dans le trou, dans les bas-fonds du classement !  Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

Je vous reviens bientôt pour vous donner mon appréciation des changements (mauvais, bien entendu) survenus chez les Canayins au cours de cet été splendide que nous venons de vivre...

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Pacioretty: 1 but et une passe et la 3e étoile à son premier match à Vegas !

Galchenyuk: 2 buts et la 1e étoile à son 2e match en Arizona.

Subban: Un candidat au Norris face à un Weber amoché et sur le déclin.

Ce qui est bon pour nous les Anti-Habs, c'est que tous les joueurs qui quittent la CHiasse vont dire à tout le monde dans la LNH à quel point ce fut une délivrance de partir de la ville de loser qu'est Montréal !

Ça veut dire qu'il sera de plus en plus difficile pour les CHieux d'attirer des joueurs autonomes.

D'ici peu, Montréal sera la destination la plus repoussante pour les joueurs de hockey. À notre plus grand plaisir, bien sûr !

Anonyme a dit…

Bonjour amis antihabs. A chaque fois que Pacioretti apparait aux infos, il a l'air d'un gars libéré. Tant mieux pour lui. J'aurais aimé qu'il demeure avec la Chiasse étant le pire capitaine de l'histoire. Mais notre copain Bergevaurien a continué son bon boulot. Il a obtenu bien pire!!! En prenant en compte tom pouce Domi a la place de Galchenyuk, thank's Mark. Toute une saison en vue pour nous antihabs.

Pour ce qui est des fefans, ces têtes d'eau composées d'un petit pois numéro 2 comme cerveau. Ils sont toujours aussi débiles... Rien qu'a voir leur réaction dans un match intra-équipe au centre poubell... Wowww, C'est Jeff qui doit être content. Il ne doit pas en revenir non plus. Nul n'est besoin d'améliorer le produit,l'argent rentre a pleine pochetté!!!

https://www.youtube.com/watch?v=24x6rBVrRuk

Amis antihabs, allez voir ce petit bijoux que j'ai découvert par hasard. Ça dure 30 secondes et publié en Avril dernier!
Cette vidéo résume tout et c'est tordant!