Dans le post mortem de cette autre campagne où les CHieux ont été incapables d'atteindre le seuil de respectabilité qu'est une participation aux séries Stanley, le maître illusionniste, le directeur général Symphorien Bergevin, a minimisé cet autre année d'échec en faisant miroiter un avenir prometteur pour sa bande de CHokeux. Ses explications n'ont pas convaincu tous les journalistes lors de la conférence de presse faisant le bilan de cet autre coup d'épée dans l'eau de la troupe moronréalaise.
Un scribe anglophone, moins complaisant que ses collègues francophones (lèche-culs de tout ce qui est bleu, blanc, rouge) s'est même endormi vers la fin de cette démonstration ennuyeuse et répétitive où on nous sert toujours les mêmes excuses et les mêmes platitudes comme «nous allons dans la bonne direction» ou «ce n'est que le début», etc.
Bien sûr, l'incompétent Bergevin, après avoir vanté la progression de son club par rapport à la désastreuse saison précédente (c'était impossible de faire pire) a dû élaborer sur ce qui avait moins bien été en 2018-19. Mais, il a oublié certaines raisons qui ont encore fait manquer le bateau des séries à ses CHaudrons.
Il a oublié de mentionner que si son «extraordinaire» gardien de buts Scary Price n'avait pas connu un aussi mauvais début de saison, sa gang aurait été de la grande danse du printemps dans la LNH. On le sait, les deux premiers mois du calendrier régulier sont cruciaux pour les Cannes à CHiens. C'est durant cette période précoce, où le jeu est moins serré, qu'en jouant avec plus d'intensité, -comme si c'était une question de vie ou de mort-, que les porte-couleurs de la CHiasse parviennent à surprendre des adversaires qui prennent ça plus relax.
Immanquablement, quand les CHieux ne font pas bonne provision de victoires pendant cette période plus facile, ils manquent généralement de points pour accéder aux éliminatoires de fin de saison. Car, bien entendu, à partir de janvier, ils s'écroulent habituellement quand leurs petits joueurs moumounes sont incapables de survivre quand le jeu devient plus viril et intense.
Scary Price a été louangé cette année parce qu'il a supposément battu des records d'équipe pour un gardien de buts. Tout le monde sait, sauf les fefans bipolaires du Cacad'CHien, que l'on ne peut comparer l'époque de Price à celle de Jacques Plante, le cerbère qu'il a dépassé pour le nombre de victoires et de minutes jouées en carrière. Aux temps de Plante, les saisons étaient plus courtes et les matchs nuls existaient toujours.
Mais n'essayez pas d'expliquer cela aux fefans. Pour eux et la bande de vendus de la presse mourrialaise, Price est un monstre sacré intouchable et irréprochable. Pourtant en début de campagne, Scary n'a gagné que sept matchs en dix-sept départs. Et il a même dû s'absenter assez longtemps pour soigner (en psychiâtrie ?) une blessure entre...les deux oreilles. Il prolongeait ainsi son calvaire de la saison 2017-2018. Mais contrairement à cette saison précédente, son substitut, Antti Niemi n'a pas fait le travail devant le filet du torCHon. Les points perdus durant cette période cruciale pour le CH sont revenus les hanter en fin de calendrier.
Price n'a pas été assez bon non plus pour stopper la débandade de sa gang de CHokeux alors que les défaites s'enchaînaient durant le mois de février. Même dans les derniers jours de la saison, quand les CHieux luttaient avec les Hurricanes de la Caroline et les Blue Jackets de Columbus pour s'emparer des dernières positions donnant droit aux séries, Price a CHoké comme d'habitude en se faisant passer un sapin entre les jambières, en prolongation, dans une défaite de 2-1 contre les Canes. Puis il s'est effondré dans un humiliant revers de 6-2 contre les Jackets à Columbus.
Verdict pour l'échec de cette saison 2018-19 ? Le «héros» Scary Price : coupable ! Les fefans devraient le reconnaître s'ils n'avaient pas la mémoire aussi courte et s'ils n'étaient pas aveuglés par la propagande CHicolore qui glorifie le 31...
Les gardiens de buts du Caca ne sont pas les seuls responsables de cette autre déconfiture du CHiendent en 2018-2019. Dans un prochain billet, on désigne d'autres coupables (certains sont surprenants), cette fois du côté des joueurs d'avant...
1 commentaire:
Imaginons un instant ce qui se passerait médiatiquement si les Yankees traversaient une séquence de 26 ans de médiocrité.
Les journalistes newyorkais tomberaient à bras raccourcis sur les dirigeants de l'équipe.
Mais à Montréal, c'est différent. Les journalistes sont des guenilles à genoux devant la CHiasse. Un troupeau de «Brun-Nez» à la solde des Pourris. Ils servent le TorCHon alors que leur mandat premier serait plutôt de servir leur clientèle et de donner l'heure juste.
Mais dans le fond c'est une bonne chose pour nous les Anti-Habs. Les langues brunes ne mettent pas de pression sur Bergevaurien et M. BIÈRE pour que les choses changent au Centre Bell. Tant mieux pour nous. Tout le monde se complait dans la médiocrité. C'est parfait comme ça.
--> 26 ans de sécheresse... and counting ! Ha Ha Ha Ha
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