mercredi 27 septembre 2023



PRIX CANADINDES 2023 : COLE CAUFIELD RÉCIPIENDAIRE DU TROPHÉE «VAGINA» !

Avant de voir les premiers coups de patins de la nouvelle saison merdique des Canailliens de Mourial, le 11 octobre, à Toronto, il est bon de se rappeler les moins bons moments du torCHon en 2022-23.  Et de distribuer les prix Canadindes aux pires représentants de la Sainte Guenille sale.  Poursuivant ainsi la tradition amorcée l'an dernier.

Un premier Canadinde a été attribué jeudi passé au gagnant du trophée «Tarte» (à ne pas confondre avec le trophée «Hart» remis au joueur le plus utile à son équipe dans la LNH).  Découvrez-le sur mon site l'Anti-Habs Illimité → https://lantihabsillimite.blogspot.com/2023/09/prix-canadindes-carey-price-remporte-le.html
Il est plus que temps de donner maintenant le trophée «Vagina» (et non pas le «Vézina») au pousseux de puck CHicolore le plus femmelette, le plus moumounne, ou le plus feluette de sa gang de piocheux.  Les nommés sont : Christian Dvorak, Cole Caufield, et Paul Byron.

CAUFIELD  AVEC  DES  GAMINS  AUSSI  PETITS  QUE  LUI
Je suis assuré que si vous aviez eu à choisir le lauréat, vous auriez voté pour la nouvelle idole des fefans, le nain de jardin numéro 22 : la mauviette Cole «cold coffee» Caufield.

Remarquez, le minuscule atome moustique de 5'7" (étiré et suspendu sur une corde à linge pendant dix jours avant d'être mesuré sur une échelle deux pouces trop haute) et faisant osciller la balance à 162 livres (avec un jeu de +/- 10 livres, mais plus souvent dans les moins, comme son bilan des +/- sur la patinoire, -35 en carrière), n'est pas le seul porteur du torCHon à jouer «mou».  Au moins une dizaine de joueurs d'avant du Cacanadien touchaient à peine, ou pas du tout, à des adversaires (mises en échec) à chaque match l'an passé.

La saison dernière, les deux champions chez les joueurs guimauves du CH ont été Christian Dvorak avec 0,72 mise en échec par match, et Cole Caufield avec 1,3 mise en échec par match (sûrement accidentelle, ou fruit du hasard).  Au total, en 46 parties, il a frappé les opposants à quatre reprises.  Et que dire de sa robustesse !?  Il a été puni une seule fois (deux minutes pour avoir fait trébucher).

LA «GOAL! CAUFIELD» EST-ELLE MOINS CHÈRE QUE LA MOLSON DU CENTRE BELL ?
Être «mou» ça va bien avec la «p'tite molle» des Molson, la pisse de CHeval des propriétaires du CH, qui vient de subir une hausse de prix pharaonique de 50%, lors du premier match du torCHon au Centre Bêle, en fin de semaine dernière.  Cette boisson infecte représente maintenant un vol au grand jour en «soulageant» les poches des fefans de $ 16,50 l'unité (pourboire non inclus).

Peut-être qu'une telle augmentation de coût sert à payer une partie de la gigantesque hausse de salaire que les Molson viennent d'accorder à Coco Caufield (62,8 millions de dollars sur un contrat de huit ans.



Ayant subi une séparation de l'épaule à Noël, l'an passé (non ce n'est pas en déballant ses cadeaux), il a été victime de la fâcheuse et coupable habitude des dirigeants de la Flanelle torCHonnée de faire jouer ses pions même s'ils sont estropiés.  Résultat ?  Caufield s'est fait séparer la même épaule (droite) à la mi-janvier, et il a dû se faire opérer, et rater le reste de la saison.



Le problème avec les blessures aux épaules, c'est qu'elles sont souvent récurrentes, comme si elles devenaient en porcelaine à force d'encaisser des chocs.  Fiez-vous sur les adversaires des Cannes à CHiens pour cibler les points faibles du Lilliputien Caufield au cours des prochaines saisons.  Le pauvre trotte-menu CHicolore risque d'être un abonné régulier à l'infirmerie et aux commotions cérébrales...  Pas de quartier pour les enfants, dans le monde des vrais hommes de la LNH...

COLE  AVEC  UNE  FIGURINE  À  SON  IMAGE
Mais contrairement à ses coéquipiers, jamais on ne demandera à "Cold" de bien jouer sans la rondelle.  De toutes façons, il en sera toujours incapable.

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Bientôt, sur mon site «Journal Intime d'un Anti-Habs en Feu», j'annoncerai le gagnant du Canadinde du trophée «No-No Norris».
  

En attendant, voyez sur ce même blogue comment l'entraîneur Martin St-Louis est devenu la risée de tout le monde par ses propos décousus et ridicules en public (https://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com/2023/09/martin-st-louis-ou-lart-de-senfarger-en.html)

Histoire de vous instruire et de vous régaler, lisez et admirer le contenu de mon récent article sur le merveilleux dessert qu'est la «pavlova», sur mon site «DESSERTS SPECTACULAIRES» ( https://dessertsspectaculaires.blogspot.com/2023/09/la-pavlova-aux-fruits-rouges-un-dessert.html)

Dans les prochains jours, surveillez ma publication au sujet de la séduisante actrice Jennifer Lawrence, sur mon site web «Full Sexy du Jour» (https://fullsexydujour.blogspot.com/)

Pour les amateurs de football américain, il n'est pas trop tard pour consulter mes analyses approfondies de chaque club de la Ligue Nationale (NFL) sur mon blogue «Football Mania avec Hacksaw» (https://footballmaniaavechacksaw.blogspot.com/2023/09/saison-2023-24-des-49ers-de-san.html).

D'ailleurs, dans la marge de droite de ce site, vous trouverez les adresses de tous mes blogues.  De quoi vous offrir de nombreuses lectures captivantes, y compris celles de mon «Temple de la Honte du CH», «Habs Hall of Shame» (https://templedelahonteduch.blogspot.com/).

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Encore une autre défaite... Hahaha. Mais, si le Caca score un but, pour les fefans, la soirée est PARFAITE! Ils peuvent crier, faire des ''high fives'', faire la vague, se payer une broue a 13,50$.

le match deviens une défaite honorable, un pas dans la bonne direction, le début d'un retour...
Tout ceci est pathétique! Hahahahahahahaha.

Anonyme a dit…

Caufield, le nain de jardin qui riait à gorge déployée après le but gagnant de Suzuki en prolongation à Toronto.

Ce que le lilliputien n'a pas réalisé, c'est que le retour de la CHiasse dans ce match va faire en sorte que les Leafs vont être encore plus préparés et affamés quand ça va compter pour vrai le 11 octobre lors du premier match de la saison.

On peut déjà prédire une raclée. Le rire gras de Caufield se transformera alors en rire jaune. À notre plus grand plaisir, bien sûr !