lundi 16 février 2015

RUEL AURA PROFITÉ DE L'EFFICACITÉ DE LA MAFIA DU CACANADIEN.


En fin de semaine à Sherbrooke, on a célébré les funérailles de Claude Ruel.  À l'annonce du décès de l'ancien coach et recruteur en chef du Cacanadien de Moronréal, quelques jours auparavant, on a eu droit au concert d'éloges habituel des corneilles qui rodent autour du club des Molson et qui osent parfois se qualifier de journalistes.  Ils ont louangé et encensé Ruel en soulignant ses hauts faits d'armes, notamment son flair pour recruter les jeunes joueurs les plus talentueux de son époque, celle des années soixante et soixante-dix.  Certes, celui que l'on surnommait "Piton" a été un bon soldat pour le torCHon, mais il faut relativiser son bilan.  Il n'y a pas de mystère pour expliquer les dynasties du Caca dans les décennies '50, '60 et '70.  S'ils ont gagné toutes ces Coupes Stanley, durant ces périodes fastes, c'est que les CHieux étaient dirigés par une MAFIA efficace qui savait tirer les ficelles, dans l'ombre, derrière des portes closes.  Ce n'est pas d'hier que les dirigeants sans scrupule des Habs exploitent leur crédule clientèle.  La multitude des fefans-vaches-à-lait, et de multiples combines financières plus ou moins louches ont donné le pouvoir indispensable de l'argent, à cette MAFIA CHicolore.  Qui dit argent dit puissance.  Et ce pouvoir incomparable de tordre des bras ou d'imposer ses volontés.

C'est ainsi que dans les années '50, pour paver la voie à leurs glorieuses dynasties, les Canailliens, plus riches que les autres équipes de la LNH, étaient les seuls qui pouvaient se payer des joueurs dispendieux comme Jean Béliveau, ainsi qu'un réseau élaboré de dépisteurs.  Ça aide un peu à se bâtir et à se "paqueter" un bon alignement.  Et, surtout, en faisant jouer leur énorme influence ($$$) auprès des dirigeants de la Ligue, les Cannes à CHiens avaient réussi à modifier les règles du recrutement des joueurs amateurs.  C'est ainsi qu'ils avaient obtenu l'exclusivité totale du bassin de jeunes recrues dans un rayon de 50 milles autour de Mourial.  Aussi bien dire qu'ils avaient comme chasse gardée tout le territoire québécois de même que celui des provinces maritimes.  Il va sans dire aussi qu'à cette époque où les joueurs d'origine canadienne dominaient complètement le monde du hockey, ce bassin de jeunes talents réservés à la CHarogne, et comprenant même une partie de la riche pépinière ontarienne, facilitait grandement la tâche d'un recruteur comme Claude Ruel.

Le règlement des "50 milles" avantageait énormément la CHnoutte, surtout par rapport aux quatre clubs américains qui, avec Toronto et MortYial, formaient les cadres de la NHL.  Que vouliez-vous que les Rangers de New York, par exemple, fasse avec leur rayon de recrutement protégé de 50 milles autour de la Grosse Pomme ?  Dans ce temps-là, il n'y avait aucun prospect américain dans leur coin !  Et après la première expansion en 1967, qu'est-ce que pouvaient faire les nouvelles équipes de l'Ouest quand elles passaient en finale contre le Cacad'CHien ?  Des proies faciles...  Des Coupes Stanley faciles...  Et on ne parle même pas ici des tours de passe-passe du DG Sam Pollock, qui se plaisait à fourrer ses homologues inexpérimentés ou incompétents pour réaliser des transactions ou des échanges à sens unique, en faveur de la Sainte Guenille. 


Après que l'on ait corrigé l'incroyablement injuste système de recrutement, les Canailliens ont continué de "surfer" sur de bonnes années avec des joueurs comme Guy Lafleur, repêchés avant les changements.  Une fois disparue cette dernière cohorte de surdoués protégés, le Caca a disparu dans les toilettes.  Depuis 1979, il n'a gagné que deux Coupes Stanley, en profitant de l'élimination hâtive des meilleurs clubs en 1986 et en 1993, et en copiant à outrance le système de la fameuse trappe mise au point par les Devils du New Jersey.  Soulignons aussi que le long règne de l'incompétent Trevor Timmins, un indigne successeur de Ruel comme recruteur en chef, n'a pas aidé la CHiure, au cours des deux dernières décennies.

Quand on parle de MAFIA du Cacanadien, on parle aussi de modus operandi ou de façon de faire commune avec le monde interlope qui grenouille dans la métropauvre.  Si les dirigeants et les gens du département des relations publiques du torCHon s'arrangent pour contrôler l'information et répandre leur propagande en manipulant à leur guise les journaliCHeux dociles ou complices qui leur baisent le cul, ils savent aussi imposer leur OMERTA, leur loi du silence, quand il est question, comme il y a quelques années, d'étouffer des scandales qui auraient éclaboussé leur belle image de marque.  Souvenez-vous des faces d'enterrement des animateurs et des commentateurs de RDS, quand ils croyaient, un certain soir de match du Caca à l'étranger, que la police attendrait l'avion des CHieux à l'aéroport de St-Hubert, pour procéder à l'arrestation de certains joueurs du CHiendent accusés de viols, d'agressions sexuelles et de détournement de mineures.  Le journal LA PRESSE allait révéler cette affaire plus que grave dans les prochaines heures.  Puis OUPS !  La MAFIA du Caca est intervenue, avec son OMERTA, et on n'en a plus jamais entendu parler.  Pas plus que de l'enquête que devait faire les autorités de la Ligue Nationale à ce sujet...

Aujourd'hui, la loi du silence du CH s'impose toujours, notamment en ce qui concerne le nombre effarent de punitions qui ne sont jamais appelées contre les CHieux.  Les arbitres ne sifflent pas.  Ils gardent le silence.  Surtout au Centre PouBell où les héros des fefans viennent de disputer douze de leur seize dernières parties.  C'est aussi le silence au sujet du conflit d'intérêt flagrant entre Molson, propriétaire des Habs, et la Ligue NaCHionale, qui a encaissé 375 millions de dollars US pour faire de la bière Molson leur pisse de cheval officielle.

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J'ai bien ri l'autre jour, le 7 février dans un match contre les Devils, quand Pédé Subban a été coupé à la bouche par le bâton de Dainius Zubrus.  Jaromir Jagr (voir photo ci-dessus) est venu voir si le "fakeux" à Subban ne se faisait pas saigner lui-même, comme il l'avait fait contre les Bruins de Boston, dans un match éliminatoire, au début de sa carrière.  C'était tordant de voir Subban lui montrer sa plaie, comme s'il disait «come on, je saigne vraiment».  C'est vous dire comment le gros 76 du Caca est perçu par les autres joueurs de la Ligue.  C'est une chose d'être hué par les spectateurs dans les arénas à travers la LNH, -on dirait que Subban aime ça puisqu'il est ainsi le centre d'attraction-, c'en est une autre de ne pas être respecté par ses pairs, qui font le même métier.  Quelle maudite charogne !  Un déshonneur pour le hockey...