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lundi 20 décembre 2021
LE CANADIEN AU TEMPS DES DINDES !
lundi 29 novembre 2021
JEFF «GORGO» GORTON S'AMÈNE À MONTRÉAL POUR CONTINUER L'OEUVRE DE BERGEVIN...
GORGO |
Chers amis anti-habs, ne soyons pas en deuil ! Comme on le voit parfois dans des avis de décès, ne soyons pas tristes du départ de Symphorien Bergevin et de Timbits Timmins. Réjouissons-nous plutôt de les avoir eu aussi longtemps avec nous pour démolir les CanaDindes de MortYial.
Nul doute, qu'étant donné la situation sans espoir du cimetière du hockey qu'est devenu le bidonville moronréalaid, un bled perdu qui est fui comme la peste par tous les hockeyeurs de qualité, les successeurs de Bergevin et de Timmins ne pourront pas faire mieux qu'eux.
À commencer par le nouveau vice-président hockey, l'américain unilingue anglais Jeff «Gorgo» Gorton, et le futur DG marionnette qu'il va manipuler pour servir de façade bilingue afin de leurrer les pauvres fefans avaleurs de couleuvres bien dodues...
La manoeuvre de Ge-off «tricky» Molson de nommer un v.-p. bidon n'est que sa dernière trouvaille pour démontrer son hypocrisie et son mépris des fefans.
Mais ne soyons pas dupes de la mascarade de tonton Molson, le bateau du CH va toujours prendre l'eau et il va invariablement couler malgré de vaines tentatives pour le renflouer.
Malgré tout, à la moindre petite série de victoires, les fefans hydrocéphales vont retrouver la foi et acheter leurs billets à prix d'or pour crier Olé ! Olé ! Olé ! en acclamant leurs CHaudrons au Centre PouBell.
Geoff Molson et l'establisment anglophone faisant partie des propriétaires du torCHon pourront à nouveau se frotter les mains et célébrer en se disant : «we got them once again» ! $$$$
LE NOUVEAU MONSTRE DU CH JEFF GORGO GORTON |
dimanche 21 novembre 2021
PREMIER QUART DE SAISON DU CH : DU «BIG MARC» AU QUART DE LIVRE SANS FROMAGE...
lundi 1 novembre 2021
HACKSAW REYNOLDS L'AVAIT PRÉDIT : LE CH A FRAPPÉ LE MUR DE PLEIN FOUET !
Ce n'est pas tant que j'ai du mérite, mais je l'avais prédit avant le début de la saison : le Cacanadien allait frapper le mur, comme son gardien de buts Scarey Price https://chcommedanschaudrons.blogspot.com/2021/10/comme-price-le-canadien-va-frapper-le.html
Plus tôt, en publiant le calendrier 2021-22 du torCHon je titrais : «La saison de la grande désillusion» https://chcommedanschaudrons.blogspot.com/2021/09/calendrier-2021-22-du-canadien-de.html
C'était facile de prévoir la saison désastreuse des CHaudrons, ils sont faibles à toutes les positions importantes. À commencer par la ligne du centre avec le garçonnet Nick Suzuki (photo ci-dessus), cent livres, mouillé) comme joueur de centre numéro un. C'est un flop majeur et le Cacad'CHien regrettera longtemps le faramineux contrat de huit ans pour 63 millions u.s. qu'on lui a donné sans qu'il ait réellement fait ses preuves dans la NHL.
Au centre, on attendait beaucoup trop du marginal Christian Dvorak qui, jusqu'à maintenant offre son rendement habituel (1-3-4 en dix matchs).
Je riais très fort lorsque je voyais tous ces fefans -très nombreux- qui portaient avec fierté leur nouveau chandail numéro 22 de «Cold» Caufield (photo ci-dessus), un autre pygmée de cent livres, assez petit pour entrer dans une niche de chien sans se plier et qui n'est évidemment pas de taille pour jouer contre les grands de la NHL. C'est pourquoi on vient de l'envoyer dans la Ligue Américaine, où il pourrait même avoir de la difficulté à compétitionner avec des hockeyeurs peu talentueux.
Après avoir signé son contrat de trois ans (1,7 million de $ par année) l'entraîneur Dumb Ducharme ne passe plus pour un génie avec ses deux petites victoires dans ses quinze dernières parties de saison régulière (si on compte ses cinq défaites pour finir la saison passée). Rien qu'à l'entendre anônner ses commentaires d'après-match, à la manière d'un arriéré mental, pensez-vous que ses joueurs soient intéressés à suivre ses directives durant les rencontres ou à l'entraînement ?
Je vous épargne les statistiques épouvantables qui placent le CHicolore dans les derniers rangs de la Ligue dans tous les départements. Je vous rappelle mes prévisions d'avant campagne en ce qui concerne la défensive des CHieux : manque de mobilité, nulle en relance, machine à revirements, etc. Je me suis trompé sur un joueur : le piètre Jeff Petry (photo ci-dessus), dont je disais qu'il était le seul défenseur offensif. Il a une aide (0-1-1) en dix parties ! Par contre j'ai vu juste au sujet de ses revirements : il domine la Ligue avec 14 !
Zouin Zouin Drouin a contribué en attaque mais comme je l'ai annoncé dans mon analyse pré-saison, il est atroce en défensive (-5).
Toutes les fois que les Canailliens amorcent mal leur calendrier régulier, ils connaissent des saisons de merde (et les Anti-Habs, des saisons de rêve !). Cette saison ne fera pas exception. Ce n'est pas parce que la LNH ne les aide pas. En vertu de leur droit d'aînesse, la Ligue leur organise toujours un calendrier facile pour commencer la nouvelle campagne. Le Caca en profite généralement pour emmagasiner des points faciles contre des clubs faibles qui, en plus, sont encore dans leur médiocre forme de camp d'entraînement... Mais, cette année, les CHieux ont manqué le bateau...
Sans leadership, ils ont sombré dès le départ. Ils sont amorphes, indisciplinés, au neutre... Ils ont déjà hissé le drapeau blanc. Est-ce que toute cette catastrophe se traduira par des bancs vides au Centre Pou-Bell ? Est-ce que les fefans abandonneront leurs CHaudrons comme leurs joueurs semblent avoir déjà abandonné la partie ? C'est un indice de stupidité qu'il faudra suivre dans les prochaines semaines...tout comme la porte de sortie qui attend le DG Symphorien Bergevin...
lundi 11 octobre 2021
COMME PRICE, LE CANADIEN VA FRAPPER LE MUR...
Après leur élimination en finale de la Coupe Stanley, l'été dernier, chaque joueur du CH est venu tour à tour donner l'accolade (ou un «coco bump») au capitaine Shea Weber et au gardien Carey Price. Comme si c'était la fin pour eux... Comme si tous ces coéquipiers s'excusaient de ne pas leur avoir procuré ce qui leur a manqué durant toute leur carrière : le très convoité trophée de Lord Stanley. Un trophée synonyme de championnat, sans lequel tout grand athlète sportif ne peut vraiment pas être considéré comme un gagnant, et un futur membre du Temple de la Renommée.
Plus tard, dans le vestiaire, au moment de leur point de presse commun, Weber et Price (photo ci-dessus) semblaient vidés et ils donnaient aussi l'impression d'avoir raté leur dernière chance de mettre la main sur l'élusive Coupe Stanley.
Car chance il y a eu à la fin de cette drôle de saison marquée par la pandémie du COVID-19. Faible parmi les équipes de la faible division Nord, improvisée en territoire canadien, le Cacanadien s'était qualifié de justesse dans le nouveau format des séries éliminatoires.
Chance il y a eu en première ronde de ces séries quand leurs rivaux de Toronto se sont effondrés après avoir pris une avance de 3-1. Le DG Symphorien Bergevin l'a reconnu lorsqu'il a fait le point sur la saison 2021 des siens. Il a déclaré que son club avait été chanceux de gagner les deux matchs en prolongation en fin de série. Ils perdaient un de ces affrontements et leur route s'arrêtait là, et on n'aurait pas tant glorifié et célébré leurs «exploits» du dernier tournoi de la Coupe Stanley, après 28 ans de sécheresse en finale...
Mais voilà, l'honneur est sauf, et Geoff Molson, ainsi que les autres dirigeants de l'équipe, pourront répéter : «vous voyez, il suffit de participer aux séries et tout peut arriver ensuite». On la connaît la rengaine... Cependant, les tordus de fefans en demanderont plus, en vertu de leur insensé calcul voulant qu'après une participation à la finale, l'étape suivante est la conquête de la Coupe Stanley, et une parade sur la Ste-Catherine !
Leurs grandes attentes ont peut-être baissé un peu lorsqu'ils ont appris que Weber ne jouerait pas cette saison (sa carrière est probablement finie) et que leur dieu Scarey Price a frappé le mur en s'inscrivant au programme d'aide de la Ligue Nationale et de l'Association des joueurs.
Bergevin a annoncé que Scarey serait absent pour un minimum de 30 jours, mais les joueurs qui ont eu recours à cette aide ont manqué en moyenne trois mois d'activités. Ça ne fait pas une grande différence puisque Price est devenu un joueur à temps partiel au cours des dernières années. Il s'est absenté souvent et longuement, soit à cause de ses genoux en compote, soit à cause de raisons mystérieuses ou de fausses blessures. On se doute bien que, souvent, c'était la faute de ses problèmes mentaux, mais l'hypocrisie des dirigeants CHicolores l'a toujours protégé.
Cette fois-ci, le chat est sorti du sac, et c'est l'épouse de Price, Angela, qui a vendu la mèche dans un message sur les réseaux sociaux. C'est le moral de Scarey qui a flanché. Ça fait longtemps que son mari souffre à Mourial. Rappelez-vous, il y a quelques années, sa fameuse déclaration dans laquelle il disait se sentir «comme un Hobbit» dans la métropauvre moronréalaide.
Ça fait des lunes que Scarey veut changer d'air. Il n'en peut plus de la pression des fefans cinglés qui exigent de lui des performances de super héros et de plus grand gardien de l'univers.
Il n'en peut plus d'être incapable de justifier son salaire astronomique. Déjà qu'en raison de sa personnalité, Price a toujours eu du mal à se contrôler lui-même. On se souvient de ses crises de colère après avoir accordé de mauvais buts. Ses efforts pour éviter de perdre la tête en pareilles occasions se sont traduits par l'excès contraire, c'est-à-dire, de la nonchalance.
Son ancien entraîneur des gardiens, Stéphane Waite, a déclaré ces derniers jours, que Scarey est un perfectionniste. Il exige trop de lui-même, et puisque la perfection n'existe pas, il s'en veut trop lorsqu'il commet des erreurs ou qu'il n'est pas à la hauteur de ce qu'il pense pouvoir faire.
Durant la série contre les Golden Knights de Las Vegas, Price excellait devant son filet, il «pétait» le feu en affirmant, tout enflammé : «I am having the time of my life» ! Quelques semaines plus tard, il est au fond de l'abîme. Les montagnes russes de la bipolarité...
Il n'en peut plus de supporter le poids des aspirations démesurées des fefans et du peuple autochtone dont il est issu. D'ailleurs, tout ce monde n'a pas encore compris puisqu'il passe encore pour un modèle à suivre parce qu'il a eu le «courage» de demander de l'aide pour son manque de «dureté du mental» !
Il n'en peut plus des journalistes qui l'achalent et le bombardent de questions après les matchs. C'est à peine s'il s'ouvre la bouche pour leur dire quelques mots évasifs.
Il n'en peut plus de Montréal, une ville de bas de gamme. Il veut retourner sur la côte ouest, où résident sa famille et celle de sa conjointe.
Car, oui, lui et sa femme croyaient dur comme fer que cela se produirait cet été après que la direction du CH l'ait laissé sans protection pour le repêchage d'expansion du Kraken de Seattle. Mais voilà, pauvre Scarey, le DG du Kraken, Ron Francis, n'a pas mordu à l'hameçon. C'est possiblement ce refus qui a été la goutte qui a fait déborder le vase de Scarey, et qui lui a fait frapper le mur.
Impossible à échanger, à cause de son trop lourd contrat, et de ses problèmes physiques et mentaux; ses espoirs d'être repêché par Seattle s'étant envolés; Price se voyait enfermé dans le trou noir de Montréal, sans issue et incapable de livrer la marchandise que l'on attend de lui. Les lumières se sont éteintes...
Le Canadien peut-il se passer de ses services pour une longue période (ou à jamais) ? Non, si on en juge par son rendement lors des absences précédentes de son gardien vedette. Certes, au cours des dernières saisons, Price avait l'habitude de connaître des périodes creuses quand il jouait. À la manière d'un bipolaire, il avait des hauts et des bas (plus de bas que de hauts cependant, ces dernières années), mais il parvenait parfois à sauver les meubles.
Mais, la saison passée, lui et son partenaire Jake Allen (photo ci-dessus) ressemblaient à deux gardiens substituts (deux no 2). Pour le début de la présente campagne, les CHaudrons auront devant le filet un gardien numéro 2 (Allen) et un numéro 3 (Samuel Montembeault). Ce qui augure plutôt mal pour la position la plus importante dans l'alignement.
En défensive, c'est la même chose. Weber était devenu un «temps partiel» lui aussi à cause de ses nombreuses absences et parce qu'il jouait souvent blessé. Même diminué par les blessures, il était quand même plus utile que certains de ses coéquipiers défenseurs, ainsi que sur le jeu de puissance, avec son dur lancer de la pointe.
La brigade défensive 2021-22 est déficiente, surtout en ce qui concerne sa lenteur, sur le plan du jeu de transition, et au chapitre des revirements. Attendez-vous à la voir coincée souvent et longtemps dans son territoire. Seul Jeff Petry peut fournir de l'offensive mais il est pourri défensivement.
Dépourvus dans leur capacité de relancer l'attaque, les défenseurs vont handicaper les joueurs d'avant. La ligne du centre, déjà faible avec des gardiens très ordinaires et des défenseurs au talent limité, n'est pas meilleure avec des joueurs de centre douteux. Nick Suzuki peut être bon par moments mais il est inconstant et peut disparaître pour de longues périodes.
Le nouveau venu Christian Dvorak est un gars d'un demi-point par match mais il manque de robustesse et une ancienne grave blessure à un genou risque toujours de revenir le hanter. Défensivement, et sur les mises au jeu, il ne comblera pas la perte de Phillip Danault. Et on sait combien le jeu défensif est important dans le système de jeu du torCHon.
C'est en jouant la trappe à outrance, et en jouant bien «sans la rondelle» que le Caca réussit le mieux à s'en tirer. Lorsqu'il réussit à se discipliner en restant à l'intérieur de ce système, il peut connaître un peu de succès, même si ça donne du hockey plate, à dormir debout, pour les spectateurs.
Les CHieux sont plus forts sur les ailes, mais on doute fortement que Tyler Toffoli (photo ci-dessus) puisse répéter sa production offensive exceptionnelle de la saison passée. Mike Hoffman s'amène à Montréal où il en sera à sa quatrième équipe en quatre ans (après Ottawa, Floride et St-Louis). Il peut ajouter de l'offensive lorsqu'il reviendra au jeu (présentement blessé à un genou). Mais il a une réputation de fauteur de troubles dans le vestiaire et le jeu défensif n'existe pas pour lui.
Les fefans donnent déjà le trophée Calder (meilleure recrue) au minuscule Cole Caufield mais ils devraient attendre de voir comment il pourra endurer l'exigeant calendrier de 82 matchs de la LNH. Au cours de ses trois dernières saisons de hockey il n'a disputé qu'un total de 119 parties (moyenne de 40 matchs par année).
Usé physiquement en raison de son style «kamikaze» et des nombreuses blessures subies au cours de sa carrière, Brendan Gallagher n'est plus aussi productif en attaque. Est-il lui aussi, comme Price et Weber, rendu au bout du rouleau ?
Josh Anderson peut être dangereux à l'offensive, mais lui aussi est irrégulier et il produit par séquences, entrecoupées de périodes d'hibernation plus ou moins longues !
Enfin, on ne sait pas à quoi s'attendre de Jonathan Drouin (photo ci-dessus), l'autre top six chez les joueurs d'avant. Est-il vraiment remis de ses problèmes d'anxiété et de dépression ? Le jour de l'annonce de la défection de Price, Drouin a été retiré de l'alignement du match préparatoire auquel il devait participer...
Ce que le camp d'entraînement a révélé (ou confirmé), c'est qu'il n'y a pas de relève chez le Cacanadien. Lorsque les blessures frapperont, il n'y a pas de remplaçants de qualité qui pourront venir du club ferme de Laval.
Avec la formation actuelle et son manque de profondeur, difficile de ne pas croire que le CH ne fera pas patate cette saison. Dans leur division (Atlantique), la compétition est forte avec Toronto, Floride, Tampa Bay et Boston. Ottawa et Détroit devraient être meilleurs. Seuls les Sabres de Buffalo font vraiment pitié. Finir au moins au 3e rang pour se tailler une place en séries éliminatoires semble illusoire pour le Cacanadien. Mériter une qualification en séries par la voie des clubs repêchés (wild cards) de la Conférence semble tout autant improbable. Les favoris pour ces deux postes étant Boston, Pittsburgh et Washington.
Bien sûr, à chaque année, il y a des clubs qui surprennent agréablement et d'autres qui déçoivent beaucoup. Avec maintenant 32 clubs dans la LNH, le talent est encore plus dilué ou partagé qu'avant. Si vous pouvez compter sur un ou quelques rares super stars dans votre équipe, vous êtes chanceux. Ce n'est pas le cas du Canadien. Aucun de leurs joueurs n'est en mesure de transporter l'équipe. Surtout pas un Carey Price en détresse... La saison 2021-22 sera pénible à Montréal...
mercredi 29 septembre 2021
UNE SÉRIE SUR LES FEFANS : POUR RIRE UN BON COUP !
MES BLOGUES ANTI-HABS SONT FAITS POUR S'AMUSER DU CIRQUE QUI ENTOURE LE CANADIEN DE MONTRÉAL.
DANS CE CIRQUE LOUFOQUE, LES FEFANS DU CH TIENNENT UNE PLACE DE PREMIER CHOIX.
LE «FEFANISME», QUEL PHÉNOMÈNE SUPER POUR RIRE À GORGE DÉPLOYÉE ! LE RIRE PAR L'ABSURDE EST UNE DES CATÉGORIES D'HUMOUR PARMI LES PLUS APPROPRIÉES POUR SE MOQUER DE CES RIDICULES PARTISANS DU CACANADIEN.
SI, ICI, AU QUÉBEC LE TERME «FEFAN» EST ENTRÉ DANS LE VOCABULAIRE DU LANGAGE COURANT, CE N'EST PAS LE CAS À L'ÉTRANGER. BEAUCOUP DE MES LECTEURS INTERNATIONAUX ME DEMANDENT «QU'EST-CE QU'UN FEFAN ?»
EN VOULANT RÉPONDRE À CETTE QUESTION, MES RÉFLEXIONS M'ONT AMENÉ SUR DE NOMBREUSES PISTES ÉTYMOLOGIQUES ET PSYCHOLOGIQUES.
LES IMAGES MENTALES ET LES ASSOCIATIONS D'IDÉES SE SONT MULTIPLIÉES DANS MA TÊTE DURANT MES RECHERCHES SUR LE «FEFANISME».
TANT ET SI BIEN QUE LE SUJET A GROSSI ET M'IMPOSE LA NÉCESSITÉ D'ÉCRIRE UNE SÉRIE D'ARTICLES SUR CES FEFANS DONT LA NATURE ET L'ATTITUDE INSPIRENT À LA FOIS LA PITIÉ, L'ÉTONNEMENT, ET LA RIGOLADE.
À TOUT SEIGNEUR TOUT HONNEUR, MON PREMIER BILLET DE LA SÉRIE SUR LES FEFANS S'ADRESSE AU CRÉATEUR DU MOT «FEFAN» : LE RÉPUTÉ JOURNALISTE RÉJEAN TREMBLAY.
QU'EST-CE QUI A BIEN PU L'INSPIRER OU LE POUSSER À INVENTER CE MOT POUR IDENTIFIER CES GENS QUI SONT TELLEMENT OBSÉDÉES (MALADES ?) PAR LE SORT D'UN SIMPLE CLUB DE SPORT QUI, DANS LE FOND, NE PRATIQUE QU'UN JEU PARMI TANT D'AUTRES ?
ET, EN PASSANT, QU'EST-CE QUE L'ASSEMBLÉE NATIONALE DU QUÉBEC ATTEND POUR LUI DÉCERNER ENFIN SA MÉDAILLE D'HONNEUR, LUI QUI BRILLE DANS SON MÉTIER DEPUIS CINQUANTE ANS, ET DONT LES TÉLÉ-SÉRIES DRAMATIQUES, LES FILMS, ET SES AUTRES OEUVRES ÉCRITES ONT EU TANT DE SUCCÈS, AUTANT AU PAYS QU'À L'INTERNATIONAL ? LUI QUI A TANT MILITÉ POUR QUE LE CANADIEN DE MONTRÉAL REFLÈTE NOTRE NATION EN ALIGNANT PLUS DE JOUEURS QUÉBÉCOIS...
BEAUCOUP DE QUÉBÉCOIS MOINS MÉRITANTS QUE LUI ONT REÇU CET HONNEUR. Y AURAIT-IL DE LA POLITICAILLERIE À L'ORIGINE DE CETTE NON-NOMINATION ?
QUOI QU'IL EN SOIT, REVENONS À NOS MOUTONS : ÊTES-VOUS INTRIGUÉS OU FASCINÉS COMME MOI PAR CES CURIEUSES «BIBITTES» QUE SONT LES FEFANS ? ALLEZ ! N'HÉSITEZ PAS À ME FAIRE PART DE VOS COMMENTAIRES OU DE VOS BLAGUES SUR CES ÉTRANGES CAS DE PSYCHANALYSE, SUR CES INFORTUNÉS DÉTRAQUÉS !
À SUIVRE SUR MON BLOGUE «JOURNAL INTIME D'UN ANTI-HABS EN FEU !»
https://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com/2021/09/merci-rejean.html
jeudi 2 septembre 2021
CALENDRIER 2021-22 DU CANADIEN DE MONTRÉAL : LA SAISON DE LA GRANDE DÉSILLUSION...
Parce qu'ils ont vu leur bande de vauriens se transformer en club Cendrillon, grâce à un «magique» concours de circonstances, qui leur a permis de participer à la finale de la Coupe Stanley, les fefans du Canadien de Montréal ont renouvelé leur foi en leur équipe de broches à foin. Désormais, ils croient que tous les espoirs leur sont permis et qu'à la fin de la prochaine saison, ils pourront boire du champagne dans la Coupe de Lord Stanley.
Quelle immense désillusion les attend, les pauvres ! Les changements apportés à sa formation par le DG (Directeur Gâteux) Symphorien Bergevin durant la courte saison morte équivalent à changer quatre trente sous pour une piastre. C'est-à-dire remplacer des pions minables par d'autres tout aussi minables.
Mais à cause du miracle du printemps dernier, les fefans se fourvoient en étant maintenant convaincus que Bergevin et Ducharme sont des génies. Dans ces cas également, ils se bercent d'illusions, eux qui, on le sait, ont été bercés trop près du mur après leur naissance. Leur réveil sera brutal quand eux et leurs deux génies verront leurs héros de paille sombrer vers la cave du classement...
La pitoyable troupe de l'entraîneur Dumb Ducharme retrouvera, pour son plus grand malheur, sa division d'appartenance, c'est-à-dire, la division Atlantique. Avec des adversaires bien plus coriaces que ceux de la faible division canadienne de la saison passée, créée à cause de la pandémie de COVID-19, mais qui, malgré leur manque de force -excepté Toronto- ont quand même failli écarter le torCHon des séries éliminatoires (dernier club à entrer en séries, avec la pire fiche des clubs qualifiée au cours des vingt dernières années).
Plusieurs des 82 matchs de la saison régulière 2021-22 (voir calendrier ci-dessous) seront donc disputés contre des équipes redoutables de leur section : Tampa Bay, Boston, Floride, Toronto, tous des aspirants légitimes à la Coupe Stanley. Même les améliorés Sénateurs d'Ottawa pourraient donner du fil à retordre au Cacanadien. À mesure que la saison progressera, les fefans bipolaires des CHieux s'apercevrons qu'au lieu de sentir la Coupe, ça sentira de plus en plus la merde...
Octobre 2021