vendredi 27 avril 2012

PACIORETTY FINALISTE POUR LE TROPHÉE MASTERTON : UNE VRAIE JOKE !



Quand j'ai appris que Max Pacioretty était finaliste pour l'obtention du trophée Bill Masterton, je me suis esclaffé de rire. C'est un peu comme si la Sainte Église catholique avait annoncé que Maurice Mom Boucher était en lice pour être canonisé ! Je vous rappelle que le Masterton est remis à chaque année au joueur de la LNH qui a démontré le plus de persévérance, d'esprit sportif et d'amour pour le hockey. Le no 67 des CHieux n'est-il pas le même homme qui, le 27 novembre 2011, s'est livré à un assaut sauvage sur Kristopher Letang des Penguins de Pittsburgh ? Le boutonneux Max Pac n'a-t-il pas été suspendu pour trois matchs par la Ligue, pour une agression qui a cassé le nez de l'as défenseur des Penguins, en plus de lui infliger une sévère commotion cérébrale qui lui a fait manquer plusieurs parties ? Wow ! Bel esprit sportif ! Quel gentilhomme !


On songe à récompenser Pacioretty pour son retour au jeu après l'accident dont il a été victime au Centre PouBell quand une mise en échec de Zdeno Chara l'a expédié sur une tige de métal qui n'aurait pas dû être là ou qu'il aurait fallu mieux recouvrir afin qu'elle ne soit pas dangereuse pour la sécurité des joueurs. Les fefans bipolaires du torCHon ont faussement prétendu que Chara avait voulu se venger de Pacioretty pour un incident survenu plus tôt durant cette saison 2010-11. Revenons à cet incident. C'est arrivé quand Pacioretty a donné un coup de poing dans le dos du grand défenseur des Bruins après avoir marqué un but gagnant en prolongation. Le match était fini. Pourquoi Pacioretty a-t-il attaqué sournoisement Chara alors que celui-ci ne pouvait le voir, et qu'il était "au neutre", sachant que la rencontre était terminée ? C'est une règle non écrite qu'un tel geste lâche ne se fait pas. On est loin d'une démonstration d'un "bon esprit sportif" ! On est très loin du mérite du trophée Masterton. On est plutôt en plein territoire de la couillonnerie...


Cette saison, au cours d'une séance d'entraînement, Pacioretty a été aussi au centre d'une escarmouche avec Pédé Subban. Le responsable de cette bousculade était sans doute le gros citron noir du Cacad'CHien, mais Pacioretty ne s'est pas conduit en gentleman encore cette fois-là... Plutôt indigne d'un candidat au Masterton. Tout comme sa bagarre avec Brian Lee (photo du haut) des Sénateurs d'Ottawa. Bagarre au cours de laquelle il a tenté de loger son majeur dans l'oeil de son adversaire... Wow ! Quel fair play !


On sait que Max Pac est un brave. La saison dernière il a marqué 23 points durant les parties disputées sur la route, en comparaison de 42 au Centre BêêêBell. Il a écopé de 56 minutes de punition dont dix pour s'être battu, deux minutes pour avoir donner de la bande, quatre minutes pour rudesse, huit minutes pour avoir cingler, deux minutes pour conduite anti-sportive, quatre minutes pour double-échec, quatre minutes pour interférence envers les gardiens de buts. Encore là, pas le genre de comportement irréprochable qui peut valoir un Masterton...


Oui, Pacioretty a été malchanceux durant la campagne 2010-11 quand sa tête a heurté un poteau mal placé ou mal rembourré au bout de la baie vitrée. Les blessures qu'il a alors subies étaient sérieuses mais pas tant que ça puisque deux jours après sa mésaventure il était au cinéma et "twittait" allègrement. Il n'était pas exactement à l'article de la mort, comme l'ont prétendu certains fefans fêlés. Par contre sa charge sur Letang, elle, était bel et bien préméditée. Pas pour rien qu'il a été sanctionné par le préfet de discipline de la LNH. C'est déjà une farce monumentale que Pacioretty fasse partie des trois finalistes pour le Masterton. S'il devait remporter le trophée, ce serait un véritable scandale et une imposture inqualifiable !

mardi 17 avril 2012

AHHHH NON ! LES CANACHIENS, LES SUPER BONS À RIEN DE MOURIAL !


Oui, on le sait, rire est le propre de l'Homme. On dit aussi que rire c'est la santé. À voir tous les anti-habs sourire et rire à belles dents depuis plusieurs mois, on ne peut contredire cette vérité. Dans la psychologie du rire, ou dans les causes qui sont responsables de la dilatation de la rate, la surprise, l'inattendu, l'absurdité tiennent une place de choix. Les artistes et les humoristes exploitent beaucoup cette veine ou cette source d'inspiration pour produire des effets comiques. En littérature, par exemple, dans une longue énumération, on alignera une série de mots qui sont plus ou moins synonymes. En interrompant cette suite par un mot dont le sens ne va pas avec le reste, on surprendra le lecteur. Celui-ci, d'abord étonné, sera ensuite ravi de l'esprit (esprit comme dans "avoir de l'esprit" ou de l'humour) démontré par l'auteur du texte, qui l'a plaisamment entraîné là où il ne s'attendait pas d'aller. C'est un pétillement de l'intelligence semblable à un coup de baguette magique qui fera sourire ou rire le lecteur. En photographie, le même procédé pourra être employé en jouant sur les contrastes ou la symétrie des objets ou des sujets. On pourra ainsi voir un cliché montrant des rangées de soldats, bien alignés, au garde à vous, avec soudain la présence d'un petit enfant qui se glisse parmi eux. Le sérieux et l'immobilisme des soldats contrasteront avec la mimique et le sourire enjoué du bambin.



C'est ce genre de sentiments, ces clins d'oeil de bonheur, qui m'habitent depuis l'élimination des CHaudrons de Mourial. Face à l'actuel désarroi et à la déroute humiliante des CHieux, la même chanson me revient inlassablement dans la tête. La chanson kétaine "Les Super Canadiens de Montréal" du chanteur acadien Oneil Devost (qui, sur la photo ci-dessus exhibe sa bedaine de bière Molson, sur une plage de la Floride), qui fait état des années de gloire ('50, '60, '70) de la Sainte Guenille, du temps où les victoires et les Coupes Stanley se succédaient et s'alignaient. Du temps que les Canadiens étaient...canadiens (surtout Québécois), vaillants et valeureux. Du temps qu'ils étaient la fierté de la nation. Quel contraste avec le Cacad'CHien des vingt dernières années, qui enfile les défaites et ne fait les séries qu'une année sur deux ! C'est ce contraste frappant, entre les dynasties du passé et les années merdiques des dernières décennies, qui est à la fois saisissant et absurde. Et qui, par le fait même, nous fait tordre de rire...



Le texte de la chanson de Devost est écrit dans un français aussi lamentable que le CH lui-même. Un enfant de deuxième année scolaire aurait pu faire mieux... Je me suis amusé à le réécrire, pour le "fun" comme dirait ce cher Oneil... Pour ceux et celles qui ne connaissent pas la chanson originale, elle est dans dans la vidéo ridicule ci-dessous... Le plus drôle, c'est que ça se termine par le "Nananana, nananana, héhé, goodbye" ! Très approprié pour un club qui a fini à la queue du classement ! Ha ! Ha ! Ha !

Ahhhhh non, Les CanaCHiens,
Les Super bons à rien de Mourial,
Ils sont poCHes, ils jouent mal,
Les pires pourris de la Ligue nationale,
Ahhhhh non, Les CanaCHiens,
Les Super bons à rien de Mourial,
quand ils jouent au hockey,
Ils font vraiment pitié,
On crie "Yé" ! quand ils se font "scorer".

Depuis près de vingt ans,
ils font durs, c'est vraiment un club de poires,
CHaudrons, dignes de ce nom,
Ils jouent comme des fillettes et des mauviettes,
Ils ne font pas d'efforts,
Et les victoires sont de plus en plus rares,
Les Canailliens ont éCHoué,
Ils sont éliminés,
Aux vidanges les CHieux de Mourial.

(Refrain)

Scott Gomez, Gionta, plus ça va,
Et moins il y a des joueurs du Canada,
Erik Cole, Emelin, Plekanec, Lars Eller, Pacioretty,
Tous sont les descendants de peuples fiers,
Qui ne sont pas canadiens.
Ils n'ont rien à cirer,
Du français, notre fierté,
Au vidanges les CHieux de Mourial.

(Reprendre le refrain, pour rire sans fin !)

mercredi 11 avril 2012

LES SÉRIES DE LA LNH COMMENCENT CE SOIR AVEC LA GUERRE DE PENNSYLVANIE !


Le grand ménage a été fait. Le menu fretin comme le Cacanadien (je rêve que leur premier choix du prochain repêchage refuse de jouer pour eux) a été balayé et est parti dans les vidanges. Débarrassés des pousseux de puck et du hockey de BS ! Place à la vraie saison. Celle des séries éliminatoires de la Coupe Stanley. Place au vrai hockey. Au hockey intense et palpitant. Ça commence ce soir avec la guerre entre les Flyers de Philadelphie et les Penguins de Pittsburgh. Scott Hartnell a promis qu'il y aurait un bain de sang. Il y aura bien davantage. Quelque chose comme du grand hockey. Ce sera une finale de la Coupe Stanley...avant le temps... Dans l'Ouest, je crois que la série Kings contre Canucks sera également captivante. Et on gardera aussi un oeil sur les Coyotes de Phoenix (les futurs Nordiques ?).

Si le coeur vous en dit, joignez-vous à moi sur mon blog LES SÉRIES DE LA LNH (http://lesseriesdelalnh.blogspot.com) pour vivre ensemble les multiples péripéties des batailles qui feront rage pour l'obtention de la Coupe Stanley. Commentaires, analyses, prédictions, vidéos, coups de coeur, on va être là pour jouer aux gérants d'estrade et s'amuser... Pour vous mettre en appétit, voici un montage de quelques grands moments des éliminatoires du temps passé. Quel but de Brad May sur une passe incroyable de Pat Lafontaine ! May day ! May day ! May day !

lundi 9 avril 2012

MORT DE HABS CACANADIEN : RAPPORT D'AUTOPSIE.


Samedi le 7 avril 2012, en fin de soirée, au Centre PouBell de Mourial, après une longue agonie, est décédé Habs Cacanadien. Il laisse dans le deuil plusieurs milliers de fefans éplorés et quelques journalistes désoeuvrés. Le cadavre a été découvert dans la CAVE de l'édifice par les ambulanciers. Ils ont constaté le décès. À leur arrivée, le corps était raide et blanc, avec des traces de meurtrissures bleues et rouges. Signes qu'il avait été battu plus d'une cinquantaine de fois au cours des derniers mois. La dépouille mortelle dégageait une forte odeur de pourriture. On l'a transportée à la morgue avant de l'envoyer au laboratoire médico-légal de la métropauvre pour qu'on procède à une autopsie.

L'autopsie du macCHabée a révélé la présence de plusieurs pathologies qui ont contribué au décès. La cause principale de mortalité a été identifiée comme étant une hémorragie interne massive de merde, consécutive à la perforation du gros intestin (aussi appelé côlon Moen). Il y avait de la matière fécale dans tout le corps. Les médecins légistes ont aussi diagnostiqué une rupture de l'intestin grêle (ou intestin Gomez) qui était sans doute la cause des nombreuses diarrhées dont s'est plaint le trépassé au cours des deux dernières années. Entre le rectum et l'anus (voir en bas du diagramme ci-dessus), les toubibs ont remarqué une grosse tumeur cancéreuse noire en forme de hot dog, au niveau du tube Subbanal (aussi nommé trou du cul).

L'examen de la partie frontale de la cerveau-direction (lobes gainey-gauthier) a permis de découvrir une atrophie grave de cette partie du cerveau qui contrôle le jugement et les impulsions. Cette déformation congénitale provoquait une sclérose et une paralysie de l'organe décisionnel de Habs Cacanadien. En d'autres mots, ce handicap le plongeait souvent dans la brume et l'obscurité. Ainsi diminué par cette infirmité, inutile d'ajouter que le trucidé n'était pas une 100 watts.

Une faiblesse à la hauteur du cou a aussi été décelée. Ce qui a conduit le médecin à conclure que, de son vivant, le mort avait été affecté par le syndrome du cou mou de max pac (surnommé "call 911"). Les glandes salivaires de l'individu autopsié étaient anormalement détériorées. Ce phénomène, aussi associé à la maladie du fefanatisme, se produit fréquemment chez les personnes alcooliques ou qui, comme dans certaines peuplades primitives d'Haïti Nord, avalent trop de couleuvres. Des problèmes de digestion ennuyaient également Habs Cacanadien, ce qui le faisait passablement CHier et qui faisait donc de lui un CHieu. Une carence dans le Cardia bourque, à l'entrée de l'estomac (voir la partie droite du diagramme) empirait ces désagréments.

L'individu souffrait aussi d'insuffisance cardiaque. Une maladie du coeur qui causait de l'inconfort à l'effort. C'est pourquoi Habs Cacanadien ne se forçait pas. C'était la règle du moindre effort qui lui était prescrite. Le muscle cardiaque principal était petit, mince et sous-développé. Comme celui des schtroumfs. On sait que plusieurs personnes dans l'entourage de monsieur Cacanadien lui reprochaient de ne pas avoir le coeur à l'ouvrage, de manquer de bon sang, d'être mou et de ne pas avoir de colonne vertébrale. C'est pourquoi il filait souvent un mauvais coton ou une mauvaise flanelle.



En scrutant le membre viril du sujet d'autopsie, le personnel médical en est venu à la conclusion que sa fonction érectile était déficiente. Bref, ça ne levait pas haut son affaire. Même en situation d'avantage numérique, les spermatozoïdes ne devaient pas aller loin, a estimé celui qui a disséqué les testicules de Habs Cacanadien. Ce dernier était certainement impuissant. Son système immunitaire ou défensif semblait anémique, à en juger par le nombre effarant de virus et de microbes que l'on a trouvé dans le cadavre. On attribue parfois cette faiblesse au trop grand nombre de tasses de café prises par le malade. Celui-ci n'arrêtait pas grand chose et il était incapable de mettre en échec les maladies infectieuses.


Enfin, selon ce que l'on a pu observer, la personne décédée souffrait d'insuffisance rénale. Ses reins ne parvenaient plus à exercer leur rôle de filtreurs ou de gardien du sang. Ce dernier charriait ainsi les déchets du corps du malade à travers le filet de veines qui irrigue cette partie de l'anatomie humaine. Parce que les reins n'accomplissaient pas leur travail de protection, la veine principale qui les traverse se transformait en passoire (dite la passoire price). Il en résultait un empoisonnement progressif et une augmentation de la moyenne des bactéries qui déjouaient et défaisaient le système de défense immunitaire de Habs Cacanadien.

La famille affligée du décédé invite les sympathisants à compenser l'envoie de fleurs par des dons en argent à la Fondation Molson. Bien que celle-ci déborde déjà de contributions monétaires, elle ne refusera aucun don supplémentaire. Il n'y aura pas de funérailles. L'argent ainsi épargné ira directement dans les coffres de la Fondation. La dépouille mortelle sera incinérée et les cendres seront balancées dans le fleuve St-Laurent, si on réussit à le trouver, à proximité de l'Île de Moronréal.

vendredi 6 avril 2012

LE CH AU DERNIER RANG : L'ÉQUIVALENT D'UNE COUPE STANLEY POUR LES ANTI-HABS !


On a beau se dire que ce n'est que du hockey, mais compte tenu de l'immense place que le torCHon occupe dans nos médias et dans les conversations de tous les jours des Québécois, on ne peut sous-estimer l'impact de la pitoyable saison qui s'achève pour le CHiard. Un impact douloureux pour les fefans qui n'ont jamais vu venir le coup de masse qu'ils ont encaissé en plein front. Sans cesse bercés par les illusions, les rêves et la nostalgie du passé dont les ont enveloppés la direction et le marketing du Cacanadien, jamais les fefans auraient pu songer, ne serait-ce qu'une seconde, que leurs héros CHicolores s'écraseraient de cette façon aussi lamentable que brutale. Le choc est majeur, la peine est grande, même s'ils tentent de cacher leurs vrais sentiments en haussant les épaules, en feignant l'indifférence ou en "jouant ça cool". Voir leurs amours finir derniers, finir dans la cave, et passer eux-mêmes pour une bande de caves que l'on a abusé, c'est terriblement humiliant. Surtout quand on est arrogants et prétentieux comme les Moronréalaids. Lorsqu'on a craché en l'air d'aussi haut qu'eux, le crachat "pince" plus lorsqu'il retombe sur le nez. Porter le bonnet d'âne du dernier de classe, c'est un précédent, une première dans l'histoire moderne de leur club centenaire. En dedans, au plus profond d'eux-mêmes ça fait mal. Et les anti-habs sont là pour tourner le fer dans la plaie !


Pour nous aussi, le dernier rang de la CHnoutte est un évènement majeur. Même si, contrairement aux fefans, nous sentions plus la catastrophe s'en venir pour les minables Habs. Réalisons que durant tout l'été, nous pourrons rire à gorge déployée des infortunés mordus des CHaudrons. Surtout quand ils diront (du moins ceux qui n'ont pas honte ou qui ne se cacheront pas) que les déboires de leurs favoris ne dureront pas et que la nouvelle direction du club le relancera vers le succès. Nous pourrons répondre par des sarcasmes et les envoyer péter dans les fleurs. Ce n'est pas rien ! La dernière place du Caca, c'est notre scalp, notre trophée, NOTRE COUPE STANLEY ! C'est la grande paix. Notre joie de regarder les séries éliminatoires en n'ayant qu'à jouir du bon hockey. Sans avoir à subir l'anti-hockey de la CHarogne. Ça non plus, ce n'est pas rien ! Pas facile pour les fefans de servir de tapis sur lequel tout le monde se torCHe les pieds, en bas de l'escalier qui conduit à la cave ou au sous-sol.



Car le Cacad'CHien est l'équipe sportive qui est à la fois la plus aimée de ses partisans aveugles, et la plus détestée par les fans des autres clubs. Encore récemment, j'en ai eu une autre preuve probante lorsque je suis allé voir le dernier combat de l'échevelé Ryan White sur YouTube. Rappelez-vous, il s'est fait rosser par le jeune Erik Gudbranson des Panthers. On ne l'a pas revu depuis... Presque tous les commentaires qui accompagnaient la vidéo étaient des témoignages de satisfaction. La satisfaction de voir un joueur de la CHiure se faire moucher comme un petit morveux. Je vous en traduis quelques-uns : «Rien de mieux que de regarder un joueur du CH se faire fendre la face». «Les Habs sont là où je les aime, dans la merde. White avec le "C" du siège de toilette sur son chandail se fait flusher par Gudbranson.» «Quelle saison de merde des pauvres Habs. They suck.» «La tentative de White (de se battre) a été aussi réussie que la saison des Canadiens.» «White s'est fait botter le cul par une recrue.» «J'adore voir un Habs manger une volée.» Et cette remarque très judicieuse : «Le nouveau mantra du CH : si tu ne peux pas jouer du bon hockey, fait chier le monde en te battant.» En effet, vers la fin de cette saison perdue depuis longtemps, Peter Gowtier est allé chercher Brad Staubitz pour aider White à donner un show de bouffons aux fefans qui s'ennuyaient à mourir en voyant leurs deux de pique tourner en rond sur la patinoire... Une vraie farce !



Parmi tous les commentateurs qui se moquaient du K.O. subi par White, vous vous doutez bien qu'il y en avait un qui voulait défendre les vauriens du CanaCHien. Comme d'habitude, en effet, un fefan éploré et insulté demandait de quel droit tous ces méchants osaient s'acharner sur les Glorieux, gagnants de 24 Coupes Stanley. Encore le passé à la rescousse. Toujours ce fabuleux passé... J'y reviendrai dans mon prochain billet. Mais pour l'instant, je vous laisse sur ces pensées : «Quand on s'accroche au passé, on est incapable de saisir le présent.» (Jan Glidewell) / «Il n'y a pas d'avenir à vivre dans le passé.» (Daniel Savage) / «Il vaut mieux avoir de l'avenir que du passé.» (Victor Cousin). Pas sûr que les CHieux ont un avenir brillant. Leur calvaire (on est vendredi saint) pourrait perdurer. Contrairement aux fefans qui croient qu'ils peuvent se sortir du trou rapidement. Demandez aux Oilers d'Edmonton, aux Panthers de la Floride ou aux Rangers de New York si c'est si facile que ça de se sortir de la misère. Les Penguins de Pittsburgh ont aussi mangé leur pain noir pendant plusieurs saisons avant de quitter la cale d'un navire qui a été longtemps à la dérive... Ouais... les Anti-Habs pourraient être sur le party pour encore quelques années ! Et vogue la galère !

jeudi 5 avril 2012

LES BLESSURES : UNE EXCUSE POUR LES FAIBLES...COMME LES CANACHIENS.


Samedi soir, le rideau de la honte tombera sur une des pires saisons de la "glorieuse" histoire des CHaudrons du bidonville moronréalaid. On sait déjà que, peu importe qui fera le post mortem de cette désastreuse campagne, il invoquera la malchance et les blessures pour expliquer cette catastrophe. Et, comme d'habitude, les fefans mange-marde acquiesceront sans poser de question ou sans remettre en question le futur du club des Molson. Pire que ça, ils pardonneront tous les faux pas de la direction au cours des dernières années, et ils feront des chèques en blanc pour "financer" la prochaine édition du torCHon. Les plus mordus de la CHiasse considèrent déjà l'année horrible de 2011-12 comme un accident de parcours. À croire que leur jugement est altéré parce que leur cerveau trempe dans de la bière Molson frelatée, ou de la pisse de cochons drogués, ce qui revient au même... Ils sont les seuls épais à ne pas comprendre que l'unique accident de parcours des 20 dernières années aura été la participation à la finale de Conférence, il y a deux ans, quand le gardien Jaroslav Halak a accompli des miracles pour sauver les CHieux de leur habituelle élimination rapide.



Bon, même si c'est une excuse aussi facile que bidon, examinons néanmoins ce fameux bilan des blessures qui est supposément la cause de tous les malheurs de la CHiure. Même si je ne suis pas un admirateur de l'ex-entraîneur Michel Therrien, il a au moins le mérite d'avoir "coaché" pendant plusieurs années dans la LNH. Il sait de quoi il parle, il a de l'expérience. Il y a une couple de semaines, à l'Anti-CHambre (RBS), il a donné son point de vue sur le phénomène des blessures. Avant même que la saison commence, disait-il, vous savez que trois de vos neuf premiers attaquants et deux de vos défenseurs réguliers seront blessés pour des périodes assez longues. Vous devez planifier en conséquence. Il me semble que ces paroles de Therrien sont exactes et pleines de bon sens. La question que l'on se pose : est-ce que le Cacanadien a été plus affecté que les autres équipes par des séjours prolongés de ses meilleurs joueurs à l'infirmerie ? Et, ensuite, ce lourd bilan médical était-il prévisible ? Je l'ai déjà écrit, il y a deux ans, sur "CH comme dans torCHon", plus vous avez de petits joueurs feluettes, de vieux joueurs usés, ou des "béquilles" qui ont la réputation d'être fragiles, plus vous aurez de blessés au cours de la saison. Si, comme dans le cas des CanaDindes, vous n'avez pas de policier (avant l'arrivée de Staubitz) pour protéger vos nombreux frileux, si vous n'avez pas assez d'athlètes robustes, vous risquez de voir augmenter le nombre de matchs perdus à cause des "accidents". De même, si une grosse partie de votre plan de match consiste à bloquer des lancers pour éviter à votre gardien de se faire défoncer, vous courez au-devant des mauvais coups et des membres cassés. Le style "kamikaze" des Cole, Subban et Pacioretty, qui foncent au but en essayant de passer à travers les défenseurs ennemis, peut aussi amener des "ennuis de santé". Si ces téméraires et le petit Desharnais ne se sont pas fait "ramasser" d'aplomb cette saison, ça ne veut pas dire qu'ils vont aussi bien s'en sortir l'année prochaine. Et où pourraient se rendre les CHaudrons sans ces "piliers" ? Pas plus haut que le rang qu'ils occupent aujourd'hui...



Par exemple, compte tenu du passé récent de Andrei "too soft" Markov (une béquille apparaît à côté de son nom dans toutes les revues de pools de hockey), faut-il être surpris qu'il ait raté 69 parties cette année ? Peut-être qu'il en a manqué plus que prévu, mais ses deux blessures majeures au genou au cours des dernières années, avaient de quoi inquiéter son employeur et les fefans qui voyaient en lui un futur gagnant du trophée Norris. Un bon DG aurait prévu un plan d'urgence au cas où... Le mauvais improvisateur Pierre Gauthier (retourné chez lui au Vermont) a tenté de parer le pire en engageant Campoli et en faisant plus tard l'acquisition de Kaberle. Ces deux pneus de rechange ont crevé. Est-ce que c'était sage de confier la défense de la ligne bleue à autant de recrues (Diaz, Emelin) ou de défenseurs sans expérience (Subban, Weber) ? Poser la question, c'est y répondre.



Du côté de l'offensive, à part le capitaine américain Brian Gionta (un joueur moyen qui produit 0,5 point par partie), quelle perte si importante a fait que les nioCHons sont au dernier rang de leur Conférence ? Scott Gomez ? Je vous entends rire d'ici ! Ryan White ? Soyons sérieux ! Travis Moen ? Voyons donc ! Ce n'est pas parce qu'il a marqué quelques buts en début de saison qu'il aurait pu continuer au même rythme. D'ailleurs, avant d'être blessé, ça faisait déjà longtemps qu'il s'était "éteint". Mathieu Darche ? Misère, il a 35 ans et il a du mal à jouer sur un quatrième trio. Non, la vérité, c'est que le noyau offensif du club (Plekanec, Cole, Desharnais, Pacioretty) n'a pas été éprouvé par les blessures. Contrairement au coeur de beaucoup d'autres formations de la Ligue Nationale. Que l'on songe aux Penguins (Crosby, Jordan Staal, Z. Michalek, Tyler Kennedy, Letang), aux Flyers (Pronger, Brière, Van Riemsdyk, Meszaros), aux Bruins (Horton, Peverley, Savard), aux Devils (Zajac, Andy Green), aux Capitals (Backstrom, Mike Green), aux Sabres (Ennis, Gerbe, Myers). Même les Hurricanes de la Caroline auraient pu connaître une bonne saison s'ils n'avaient pas perdu pour aussi longtemps les services des Skinner, Pitkanen, Larose et Ruutu. Les Blues de St-Louis ont gagné toute l'année malgré les absences prolongées de Andy McDonald et de David Perron. Ce ne sont que des exemples parmi tant d'autres. Et je n'ai même pas parlé des blessures aux gardiens de buts Miller (Buf.) Vokoun (Was.) et Anderson (Ott.) qui ont nui à leur club respectif. Non, vraiment, les blessures, c'est l'excuse des faibles et des "losers". Difficile de trouver plus faibles et plus "losers" que les Canailliens de Mourial. Point final ! Comme le disent les Anglais, "la preuve est dans le pudding"...qui n'a pas levé bien haut cette année, dans la métropauvre.

lundi 2 avril 2012

LES CANAILLIENS DE MORTYIAL BATTUS ET REBATTUS : 50 DÉFAITES ÇA FAIT BEAUCOUP...



Depuis quelque temps, j'ai délaissé un peu l'analyse des matchs des CanaDindes de Mourial. Ça se comprend. Il n'y a plus rien à prouver. Étant à l'avant-dernier rang de la Ligue Nationale de Hockey, c'est clair comme de l'eau de roches qu'ils sont pourris. Les preuves sont faites. On reconnaît l'arbre rabougri et malade à ses fruits moisis. Ça fait deux mois que le Caca se trouve à disputer des parties...hors concours, puisqu'il est éliminé depuis belle lurette. Avec au moins la moitié de l'équipe (sans gouvernail) composée de joueurs finis ou du calibre de la Ligue Américaine. Sans compter tous les autres qui ont été bougrement sur-évalués. Fallait pas s'attendre à des miracles de la part de ce ramassis de restants de table sur patins... Leur demander de gagner plus que leur part de joutes, c'était comme exiger que des sans-abris malades mentaux et alcooliques de Moronréal fondent une compagnie et lui fassent faire des millions de dollars de profits. Oui, c'est un peu redondant d'analyser les contre-performances constantes des CHaudrons de la métropauvre. Ça revient pas mal toujours au même. Même "pattern", mêmes résultats honteux et affligeants pour les fefans bipolaires en peine. La seule chose vraiment sensée, c'est d'en rire. D'en rire beaucoup. Car le dernier rang dans l'Est et 50 défaites, ça fait beaucoup. Comme les six milliards de solitudes dans la chanson de Daniel Bélanger...



Tout de même, soulignons encore la lâcheté du couillon Pédé Subban qui, samedi soir, après avoir donner un coup de bâton dans le dos à Matt Hendricks, des Capitals de Washington, derrière le filet de Budaj, s'est sauvé à pleines jambes quand sa victime a laissé tomber les gants devant lui, dans le but de l'inviter à payer son compte pour son geste odieux. Un pleutre, un salaud et un poltron, c'est donc ça l'idole des fefans qui crient «P.K., P.K., P.K.» match après match. Il faut bien dire aussi, que les amateurs de hockey des autres villes du circuit Bettman leur répondent indirectement en huant le gros jambon no 76. Jambon qui affiche le pire dossier de son club de nouilles avec un pourcentage d'efficacité sur ses lancers (buts marqués divisés par tirs au but) de 3,5 % (sans parler de son record de revirements, de ses tonnes de pénalités stupides, et de sa multitude d'échecs dans ses batailles à un contre un devant les buts). Wow ! Tout un joyau ! Il peut bien se tenir avec l'autre joyau rouillé du torCHon, Scary Price. Les deux font la paire...de clowns ! Dire que cet été, on va leur construire un pont d'or pour qu'ils signent de nouveaux contrats. Comme dirait l'autre en cette semaine sainte : "pardonnez-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font".



Un mot aussi sur le Saint Martyr Canadien Max Pacioretty, qui, deux jours après avoir été supplicié par Zdeno Chara l'an passé, se payait du bon temps dans un cinéma près de chez lui. On fait grand cas de ses 30 buts cette saison. Mais il les a marqués par bourrées. Pas sur une base régulière. Pas de façon à faire gagner fréquemment sa bande de losers. À ses onze dernières games, il a lancé 43 fois au filet, il a obtenu 35 chances de marquer et...zéro but ! Way to go Max ! Une des raisons qui expliquent peut-être pourquoi les CHieux ne revendiquent que deux buts cette saison, en période de prolongation. Quand ça se corse, quand l'enjeu devient plus grand, quand c'est le temps de se surpasser, les CHaudrons CHokent et s'écrapoutissent encore plus, si c'est possible... À part Cole avec dix buts, aucun autre pion CHicolore n'a fait scintiller la lumière rouge des buts à plus de cinq reprises sur le jeu de puissance. Dans LA PRESSE, le journaliste François Gagnon tenait à défendre Turtle Neck Plekanec pour ses performances pas si pires que ça (50 points). Il oubliait que sa fiche de plus/moins est à - 18, à peine moins pire que celles de Emelin (-19), Bourque (-20) et Kaberle (-19). Pour un joueur comme Plekanec, renommé pour être fiable en défensive, cette statistique est catastrophique, surtout au salaire faramineux qu'il encaisse. Mais voilà que j'analyse encore trop le gâchis des CanaDindes. Je voulais écrire un billet pour rire des nioCHons bleu, blanc, merde ! Je vais me reprendre dans les prochains jours !

En attendant, si vous voulez rire, allez lire mon plus récent article dans mon JOURNAL INTIME D'UN ANTI-HABS EN FEU (http://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com). Je réponds à la question : si en 1983 Wayne Gretzky a pu qualifier les faibles Devils du New Jersey de "club de Mickey Mouse", comment qualifierait-il aujourd'hui le club de vauriens de la famille Molson ?