À quoi faut-il s'attendre de la série éliminatoire de 2e tour entre le Cacanadien de Mourial et les Bruins de Boston ? Cet affrontement, qui débutera en fin de semaine -la date n'est pas encore fixée au moment où j'écris ce billet- devrait offrir du jeu serré. Il n'y aura pas beaucoup d'espace de manoeuvre sur la patinoire. On se surveillera de près et lorsque les Bruins attaqueront en zone CHieuse, attendez-vous à ce que les cinq joueurs du Caca se transforment tous en gardiens de buts pour bloquer les lancers. Avec le fragile Scary Price devant le filet, pas de chances à prendre : mieux vaut arrêter le plus de rondelles possibles pour ne pas qu'elles le déjouent. Encore une fois, d'ailleurs, les anti-habs ont eu raison de ramener sur terre les fefans et les mange-marde de journalistes moronréalaids qui crient depuis longtemps que Price est le meilleur gardien au monde. Or, il n'est même pas finaliste pour gagner le trophée Vézina. Sur-estimé disions-nous ? Pas par les membres du jury qui attribuent les trophées dans la NHL, semble-t-il... Même chose du côté de Pédé Subban qui, lui aussi, brille par son absence à la course au trophée Norris cette année. Son demi-Norris de l'an passé était une supercherie, une erreur grossière, -un tour de magie ?- que l'on a heureusement pas répétée en 2014.
La 34e guerre éliminatoire de l'histoire entre Boston et MortYial risque de faire des morts et de nombreux blessés. Surtout du bord du torCHon. Mais rassurez-vous, ce ne seront pas des vrais morts et des vrais blessés. Depuis une couple de semaines, je fredonne la chanson "les Comédiens" de Charles Aznavour. Cet ancien succès du célèbre chanteur français s'applique tellement bien aux CanaCHiens ! Tout ce qui entoure le phénomène et la religion qu'est le Cacad'CHien fait penser à un cirque ou à une grande pièce de théâtre. Dans sa toune, Aznavour parle de magiciens. Et on songe alors aux arbitres qui transforment par magie des buts qui n'en sont pas ou font, au contraire, apparaître des buts qui n'auraient pas dû compter. Le plus souvent à la faveur des Canailliens. De même, des hors-jeu disparaissent, des pénalités au Caca partent en fumée ou passent de cinq ou quatre minutes (méritées) à seulement deux minutes. Même Ginette Reno devient une magicienne spectaculaire en beuglant l'hymne national et en touchant à Bourque et à Brière pour les transformer en scoreurs.
On voit aussi dans ces grandes mises en scène au Centre PouBell, des clowns (Subban, Gallagher), des musiciens (journalistes lèche-cul qui jouent du violon en chantant les louanges des Therrien, Bergevin et autres porte-couleurs de la CHite), des avaleurs d'épée (Markov, Gorges, Pacioretty) ou de couleuvres (les fefans). On a même répété la pièce de théâtre hier, parce que les Canayins sont inactifs depuis trop longtemps, après avoir balayé le Lightning en première ronde. On voit des choses prodigieuses quand le Caca joue dans la métropauvre (ne dit-on pas aussi que l'on "joue" au théâtre). On voit des morts rescussiter, comme la fois où Chara a exécuté Pacioretty mais que ce dernier a été vu deux jours plus tard au cinéma. Combien de fois n'a-t-on pas vu retraiter au vestiaire un CHicolore se tordant de douleur et semblant souffrir le martyre ? Cinq minutes plus tard il revenait au jeu, frais comme une rose.
Et c'est bien là le dilemme pour les Bruins. Ils peuvent battre les CHaudrons en jouant avec robustesse. Mais ils ne doivent pas non plus y aller trop fort. Ils risquent de perdre leur concentration en courant après les poules mouillées du Caca, ils risquent de pécher par indiscipline et de se mettre les arbitres à dos -si ce n'est pas déjà fait-. Avertissement au rude Milan Lucic : pas la peine de viser l'entrejambe des CHieux, ils n'ont pas de couilles. Ce sont des lâches et des eunuques. Des acteurs de théâtre, des champions du plongeon volontaire et des blessures simulées. Comme c'est frustrant et dommage que les Bruins, et leur excellent gardien Tuuka Rask, semblent perdre une partie de leurs moyens quand ils rencontrent la CHiasse !
Cette impuissance, ce genre de complexe, est toujours un mystère et une source d'étonnement. Et on se demande également si ce n'est pas cette année que la commandite de 375 millions de dollars, qui a fait de Molson la bière officielle de la NHL, propulsera, comme par magie, les CHicolores en finale de la Coupe Stanley. De longues séries, à cinq ou six millions de revenus à chaque match au Centre BéBell, ça serait un beau retour sur l'investissement pour les frères Molson, propriétaires des CHaudrons. Comme si c'était arrangé avec le gars des vues... Et j'entends chanter Aznavour :
«Si vous voulez voir confondus les coquins
Dans une histoire un peu triste
Où tout s'arrange à la fin
Si vous aimez voir trembler les amoureux
Vous lamenter sur Baptiste
Ou rire avec les heureux
Poussez la toile et entrez donc vous installer
Sous les étoiles le rideau va se lever
Quand les trois coups retentiront dans la nuit
Ils vont renaître à la vie, les comédiens
Viens voir les comédiens
Voir les musiciens
Voir les magiciens
Qui arrivent
Viens...»
9 commentaires:
Les anti-habs attendent ce moment depuis longtemps.
Ce sera presque orgasmique de voir les CHieux se faire démolir par l'équipe la plus talentueuse de la LNH, soit les Bruins de Boston.
Et après chaque volée de la CHiasse, quel plaisir ce sera de voir les mines déconfites des lèche-culs de l'AntiCHambre à RBS.
Tant qu'à moi, la seule variable qui pourrait jouer en faveur du CH, sera... les arbitres.
Pour gagner, les Bruins devront ABSOLUMENT remporter les deux premiers matchs à domicile, car on sait qu'en raison de sa commandite de 375 millions, les décisions vireront tôt ou tard en faveur des CanapoCHes de Montréal.
Je m'attends à une série qui ira à la limite... et l'équipe qui en sortira sera passablement amochée.
Quant au Vézina, les trois gardiens en nomination ont autant sinon plus leur place que Price.
Rask a la chance de jouer derrière une des unités défensives les plus solides de la LNH. Varlamov, c'est tout le contraire au Colorado. Le système d'équipe implanté par le groupe d'entraîneurs de Patrick Roy a apporté ses dividendes, et Varly a volé des matchs à lui seul. Quant à Bishop, sans lui, et on l'a vu en séries, Tampa Bay n'aurait jamais été en séries.
Mon choix : Semyon Varlamov.
Hacksaw, je ne suis pas d'accord avec toi quand tu écris que Rask semble perdre une partie de ses moyens face à la Sainte-Guenille.
Cette saison, contre la CHiasse, il montre une excellente moyenne de 1,95 but alloué et un pourcentage d'arrêts de 932. Je serais plus nerveux si j'étais un fefan, car Price a été caché toute la saison par Therrien face aux Bruins, qu'il n'a affrontés qu'une fois.
Toutefois, il est exact de penser que les arbitres seront un obstacle de plus pour Boston. Quand on sait à quel point les zèbres sont influencés par le troupeau de mongols sauvages du Centre PouBell, on peut s'attendre à du favoritisme et à des décisions plus que douteuses.
Attendons-nous aussi, en effet, à voir des plongeons, des simulations de blessures et autres cochonneries du genre de la part du minable CHicolore.
En revanche, sachant que les regards seront tournés vers lui, le gros babouin Subanane va sans doute encore vouloir en faire trop, ce qui lui fera commettre des tonnes de bévues amusantes, mais coûteuses pour son club.
Subanane est un insignifiant à la tête enflée, incapable de mesurer les enjeux. Tout ce qui l'intéresse, c'est de se mettre en valeur, quitte à placer son équipe dans le pétrin. Les Bruins devraient donc exploiter son manque de jugement et sa stupidité prouvée.
Il y a deux ans, quand le torCHon a fini au dernier rang dans l'Est, j'ai parodié une chanson de Jacques Brel ("voir un ami pleurer", qui est devenue "voir un fefan pleurer") sur mon site L'ANTI-HABS ILLIMITÉ. Mon texte fantaisiste a connu un bon succès si je me fie aux statistiques du nombre de lecteurs.
Je récidive cette fois avec une parodie de la toune de Louis-Jean Cormier, "Bull's Eye", pour rendre hommage à un des meilleurs anti-habs, Milan Lucic, des Bruins.
Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! C'est à lire et à rire sur L'ANTI-HABS ILLIMITÉ !
Que c'est mignon de voir les petits fefans lobotomisés faire du triomphalisme après une simple victoire (en prolongation en plus).
Ce qu'il y a d'amusant avec ces pauvre imbéciles, c'est qu'ils sont totalement prévisibles et qu'ils tombent dans les mêmes pièges année après année.
Ça n'en sera que plus jouissif pour nous, les anti-habs, de rouler ces crétins dans leur propre marde à la fin de cette série.
Et voilà, un autre match gagné avec l'aide des arbitres. Deux pénalités contre zéro en OT sur sa propre glace faut le faire. J'aime mieux ne pas m'imaginer ce que ce sera quand ils joueront au Royaume des crétins.
Les bons vieux Bruins continuent à trouver une nouvelle façon de perdre à chaque match contre le CH. Rask perd ses moyens et Chara devient un joueur parmi tant d'autres. Ce n'est que la première partie mais j'ai peur pour le reste. Il faut que Boston gagne absolument demain, on se le souhaite.
les bruins vont ganier cette serie
On a frôlé la catastrophe hier mais finalement la chance aura souri aux Bruins, mais depuis combien de temps les cacas sont chanceux? depuis leur remonté de merde contre Ottawa, depuis ça? les fins de matchs, les shoutouts, les prolongations, les punitions, des arbitres douteux, tout a favoriser la CHiasse.
Si ils veulent améliorer leur chance de s'en débarrasser, Claude Julien devra trouver une solution a Subban sur le power-play, Subban l'a dit avant le 1er match, il disait vouloir surprendre les Bruins avec le power-play et ça marche a merveille, il va se planter dans le milieu de la ligne bleu et attend les passes, aucun jouer des Bruins pour l'ennuyer, c'est la seul chance de la CHiasse de gagner cette série et surtout a Montreal, il risque d'y avoir des arbitres conplaisants, Julien devra y voir.
Jim Carr
Chers amis anti-habs, notre patience aura enfin été récompensée.
Dans quelques jours, nous serons débarrassés de cette pollution qui s'appelle la CHiasse.
La débandade des CHieux hier après-midi aura été le point tournant de la série.
Préparons le champagne: les schtroumpfs vont bientôt envahir les terrains de golf.
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